03-07-2024, 11:53 AM
Toni et Cylian se chamaillèrent et Cylian tomba sur le bel ado blond, ils étaient mort de rire.
Cylian était sur le torse de son ami, ses mains posées sur les biceps de Toni. Cela le faisait rire encore plus fort.
La nuit tombait, ils se retrouvèrent dans les vestiaires. Toni donna une serviette à son ami.
Toni n'était pas pudique et baissa naturellement son short et son boxer. Cylian le regardait sans voix de dos. Il avait devant lui des fesses bien musclées et imberbes, bien rebondies.
« Alors tu viens ? Le dernier à la douche à perdu ! »
Toni se retourna. Il avait un beau sexe au repos. Sa queue était calottée parsemé de fin poils blonds.
En érection, elle devait être assez longue pensa Cylian, lui-même étant assez fier de ses 16 cm.
Il fini par se déshabiller et rejoint son ami sous les douches.
Son sexe était plus fin et moins long, une toison pubienne plus fournie lui remontait en mince filet jusqu'au nombril. Nos deux amis se toisèrent et furent pris d'un fou rire.
— En tout cas, avec tes abdos et ton corps bien sculpté les filles doivent toutes être sur toi. Je serais une fille, je t'aurais déjà sauté dessus, osa dire Cylian.
Toni rigola :
— Aah c'est réciproque alors. Mais tu es un garçon timide. Tu devrais plus de mettre en avant, et puis tu as un torse superbe !
— Pour toi c'est facile ! répliqua Cylian. Tu es le capitaine de l'équipe d'athlétisme. Tu es costaud et avec ton pouvoir tu ne crains personne !
— Tu es bien sûr de toi mon cher. Chacun de nous à ses faiblesses, qu'elles soient physiques ou émotionnelles. Crois moi, j'ai vécu à la dure après la perte de ma mère. J'ai du m'occuper de mon petit frère pendant que mon père travaillait, toujours en voyage d'affaire.
A ce moment Toni s'avança vers Cylian. Ses yeux rencontrèrent les siens. Il déposa sa main sur son épaule.
Cylian était comme électrisé, le corps entièrement nu de son Apollon en face de lui. Il ne put retenir une érection. Sa queue se dressait sans qu'il ne puisse rien faire.
— Hum je vois que je te fais un certain effet. Le bâton est déjà au garde à vous !
Les 16 cm de Cylian étaient fièrement déployés. Il rougit sans savoir quoi dire.
— Euh je suis désolé, je bande pour un rien quand je prends ma douche.
— T'inquiète pas, je sais ce que c'est. Moi aussi ça m'arrive quand je suis seul sous la douche. Je me fais plaisir, si tu vois ce que je veux dire, répondit le bel ado blond, avec un clin d'œil espiègle.
— Je suis désolé de t'avoir rappelé des souvenirs aussi douloureux, excuse moi.
— Ce n'est rien, compléta Toni. Venant d'un ami aussi sincère et aussi beau que toi !
Cylian s'approcha d'un pas, comme encouragé par les répliques de son bel amour.
— Moi beau ? Tu veux rire ! Comparé à toi...
— Cylian... Il faudrait que tu prennes confiance en toi. Tu es merveilleux et tu as une générosité énorme. Tu as du cœur avec tout le monde. Finalement c'est moi qui me replie dans une carapace.
Toni joignit l'acte à la parole en effleurant délicatement le torse de son ami, sentant dans ses mains un battement de cœur qui s'accélérait.
Cylian fit un pas en direction de Toni : point de non-retour, leurs corps se frôlèrent. Cylian était comme hypnotisé par les yeux du blondinet. Son sexe tendu effleura le sexe de Toni qui semblait réagir à cette divine caresse.
A ce moment, leur pensée fusionnèrent : l'un savait ce que l'autre avait en tête, pensées qui galopaient tel une horde de chevaux indomptables.
Sans dire un mot, les lèvres de Cylian rencontrèrent celles de Toni...
Cylian ferma les yeux. Les lèvres de son partenaire étaient un calice divin, une salive sucrée. Leurs langues se frôlèrent et dansèrent ensemble.
Toni étendit ses bras musclés autour de Cylian, caressant sa peau encore humide et douce.
— Je rêve de ce moment depuis le premier jour ou je t'ai vu déclara Cylian, depuis la rentrée. Je n'ai pas arrêté de penser à toi... je... je... t'aime !
Toni lui lança un sourire désarmant en direction de son ami.
— Excuse moi si moi je ne montre pas mes sentiments. Je suis assez introverti, toujours sur le qui-vive, mais crois moi, au fond de moi, mes sentiments sont très fort. Si cela devient sérieux entre nous, jamais je ne te ferai du mal. Quand Kevin m'a raconté ce que tu avais fait pour lui, à cette seconde, je t'ai ouvert mon cœur !
Cylian était sur le torse de son ami, ses mains posées sur les biceps de Toni. Cela le faisait rire encore plus fort.
La nuit tombait, ils se retrouvèrent dans les vestiaires. Toni donna une serviette à son ami.
Toni n'était pas pudique et baissa naturellement son short et son boxer. Cylian le regardait sans voix de dos. Il avait devant lui des fesses bien musclées et imberbes, bien rebondies.
« Alors tu viens ? Le dernier à la douche à perdu ! »
Toni se retourna. Il avait un beau sexe au repos. Sa queue était calottée parsemé de fin poils blonds.
En érection, elle devait être assez longue pensa Cylian, lui-même étant assez fier de ses 16 cm.
Il fini par se déshabiller et rejoint son ami sous les douches.
Son sexe était plus fin et moins long, une toison pubienne plus fournie lui remontait en mince filet jusqu'au nombril. Nos deux amis se toisèrent et furent pris d'un fou rire.
— En tout cas, avec tes abdos et ton corps bien sculpté les filles doivent toutes être sur toi. Je serais une fille, je t'aurais déjà sauté dessus, osa dire Cylian.
Toni rigola :
— Aah c'est réciproque alors. Mais tu es un garçon timide. Tu devrais plus de mettre en avant, et puis tu as un torse superbe !
— Pour toi c'est facile ! répliqua Cylian. Tu es le capitaine de l'équipe d'athlétisme. Tu es costaud et avec ton pouvoir tu ne crains personne !
— Tu es bien sûr de toi mon cher. Chacun de nous à ses faiblesses, qu'elles soient physiques ou émotionnelles. Crois moi, j'ai vécu à la dure après la perte de ma mère. J'ai du m'occuper de mon petit frère pendant que mon père travaillait, toujours en voyage d'affaire.
A ce moment Toni s'avança vers Cylian. Ses yeux rencontrèrent les siens. Il déposa sa main sur son épaule.
Cylian était comme électrisé, le corps entièrement nu de son Apollon en face de lui. Il ne put retenir une érection. Sa queue se dressait sans qu'il ne puisse rien faire.
— Hum je vois que je te fais un certain effet. Le bâton est déjà au garde à vous !
Les 16 cm de Cylian étaient fièrement déployés. Il rougit sans savoir quoi dire.
— Euh je suis désolé, je bande pour un rien quand je prends ma douche.
— T'inquiète pas, je sais ce que c'est. Moi aussi ça m'arrive quand je suis seul sous la douche. Je me fais plaisir, si tu vois ce que je veux dire, répondit le bel ado blond, avec un clin d'œil espiègle.
— Je suis désolé de t'avoir rappelé des souvenirs aussi douloureux, excuse moi.
— Ce n'est rien, compléta Toni. Venant d'un ami aussi sincère et aussi beau que toi !
Cylian s'approcha d'un pas, comme encouragé par les répliques de son bel amour.
— Moi beau ? Tu veux rire ! Comparé à toi...
— Cylian... Il faudrait que tu prennes confiance en toi. Tu es merveilleux et tu as une générosité énorme. Tu as du cœur avec tout le monde. Finalement c'est moi qui me replie dans une carapace.
Toni joignit l'acte à la parole en effleurant délicatement le torse de son ami, sentant dans ses mains un battement de cœur qui s'accélérait.
Cylian fit un pas en direction de Toni : point de non-retour, leurs corps se frôlèrent. Cylian était comme hypnotisé par les yeux du blondinet. Son sexe tendu effleura le sexe de Toni qui semblait réagir à cette divine caresse.
A ce moment, leur pensée fusionnèrent : l'un savait ce que l'autre avait en tête, pensées qui galopaient tel une horde de chevaux indomptables.
Sans dire un mot, les lèvres de Cylian rencontrèrent celles de Toni...
Cylian ferma les yeux. Les lèvres de son partenaire étaient un calice divin, une salive sucrée. Leurs langues se frôlèrent et dansèrent ensemble.
Toni étendit ses bras musclés autour de Cylian, caressant sa peau encore humide et douce.
— Je rêve de ce moment depuis le premier jour ou je t'ai vu déclara Cylian, depuis la rentrée. Je n'ai pas arrêté de penser à toi... je... je... t'aime !
Toni lui lança un sourire désarmant en direction de son ami.
— Excuse moi si moi je ne montre pas mes sentiments. Je suis assez introverti, toujours sur le qui-vive, mais crois moi, au fond de moi, mes sentiments sont très fort. Si cela devient sérieux entre nous, jamais je ne te ferai du mal. Quand Kevin m'a raconté ce que tu avais fait pour lui, à cette seconde, je t'ai ouvert mon cœur !