29-06-2024, 10:45 AM
Chapitre 7 : Une partie endiablée
Extrait du Livre des pouvoirs :
« Inhibiteur » : Il y a un pouvoir plus puissant que les « psy » : il s'agit des « inhibiteurs ».
La description de ce pouvoir est justement d'annihiler les autres pouvoirs, aux contacts des personnes possédant ce pouvoir, les dons s'évaporent.
« Les inhibiteurs » sont considérés soit comme des parias, la peste à coté, est bénédiction, mais comme une providence par d'autres.
Les personnes possédant ce pouvoir sont souvent engagées comme garde du corps pour des personnalités importantes ou enrôlées par l'armée pour des interventions dans des conflits militaires.
Malheureusement (ou heureusement), là ou cela devient compliqué : ils sont soumis comme tout à chacun par leur propre limitation.
Robert Lexin (président de la guilde d'étude des pouvoirs).
J'étais resté pour manger avec Toni, nul besoin d'appeler ma mère lui avais-je dit, je devais de toutes façons m'absenter pour aller en ville. Au lieu de cela, je ne perdais pas au change, j'allais passer une après-midi avec mon grand amour.
Nous étions dans sa chambre, une chambre assez classique avec des guitares électriques accrochées au mur avec des posters de super groupes de rock. Dans le coin de la pièce trônait son lit et son bureau avec un ordi.
— Cool ! Tu as des posters de Ramstein ! Je vois que tu aimes ce groupe aussi.
— Toni opina de la tête : oui ! Je les ai vu en concert à Bercy. Ça arrache !
Bon, j'ai toujours quelques affaires de sport en plus. Je suis plus grand que toi et plus costaud mais cela devrait t'aller...
— Oui... Cylian fixait le lit de Toni. Ses pensées étaient perdu dans quelques pensées érotiques. Il se voyait dans ce grand lit avec Toni, lui caressant les cheveux et l'embrassant tendrement sur ses lèvres.
— Ben vas y ! Essaye les !
Cylian se dessapa, il était en boxer. Son corps loin d'être musclé était longiligne et fin. Il n'avait pas un poil de graisse et sur son ventre laissait apparaître les lignes de ses abdos ainsi qu'un fin duvet de poil sous le nombril.
Toni était derrière lui, occupé à prendre ses affaires dans son sac de sport, Cylian se demanda si son ami le matait derrière son dos, cette pensée lui fit comme un électrochoc dans son esprit.
Cylian avait revêtu la tenue prêtée par Toni.
— Alors voyons voir de quoi tu as l'air là dedans ? Hmmm moué ça te vas assez bien. Tu as déjà tes basket, ce tee-shirt et ce pantacourt te vont aussi bien qu'à moi
— Merci Toni, je demanderai à ma mère de te les laver pour te les rendre ensuite.
Allons y !
— Minute Cyl'(Cyl'? c'était Julien qui m'appelait comme ça mais venant de Toni, j'en était ravi) je dois aller chercher de l'argent pour le bus, le terrain de tennis est à l'autre bout de la ville.
— T'inquiète pas pour le transport, je m'en occupe, déclara Cylian avec un petit sourire malicieux, allons dans le jardin.
Quelques minutes plus tard, ils étaient tous les deux sur la pelouse derrière la grande demeure.
— Laisse toi porter dit Cylian, dans un instant. Tu ne sentiras plus de gravité.
— Hey ! ! ! Attends ! Mais tu es sûr que je ne vais pas tomber ? Et si tu perdais tes pouvoirs ?
— Ne t'inquiètes pas, ma limitation est loin de se manifester et puis tu as confiance non ?
— Je te fais confiance tu le sais bien.
— Bon ok, il faut que je te prenne par la taille. Cylian rougit comme une tomate lorsqu'il enserra Toni (il pensait que Toni allait tôt ou tard s'en apercevoir). Il regarda l'expression sur le visage de Toni mais celui-ci lui souriait de toutes ses dents. Mon dieu comme il était beau ! Il était temps de le ramener au paradis avec les anges. Ses mains contre le tee-shirt de Toni effleurèrent ses muscles. Les yeux de Cylian se remplirent d'ambre et ils décollèrent.
— Hey ! moins vite t'es fou ?
— Quoi tu as peur ?
Cylian était dans son élément. Il était le maître de la situation. Il aurait tout donné pour embrasser Toni à ce moment là. Déjà les maisons défilèrent sous leurs pieds.
Le soleil était encore haut dans le ciel lorsque nous arrivâmes sur le terrain de tennis, à cette époque de l'année, il restait encore du monde mais pas cet après-midi.
Les deux protagonistes choisirent un terrain qu'ils ouvrirent à l'aide du badge de Toni.
Après quelques balles d'échauffement, ils commencèrent à jouer un match. Cylian était subjugué : Toni se déplaçait à la fois souple et rapide comme un félin sur le court.
— Tu as déjà joué au tennis demanda Toni ?
— Oui il y a quelques années au badminton.
— Avec une poêle à frire tu veux dire ?
— Vas y ! Fait le kéké, c'était toi qui était mort de peur il y a quelques minutes dans les airs ! dit Cylian passablement vexé de la remarque de Toni.
— Ce n'est pas pareil jugea Toni. Tu es le seul à faire ça toi.
— Tiens attrape celle là !
Toni regarda son adversaire d'un regard perçant.
Cylian sentit venir un mauvais coup (allez arrête de regarder le torse de ton Apollon lorsqu'il saute et concentre toi sur la balle ! se disait-il).
Toni arma son bras et servit : une balle ? Non ! une comète avec une traînée bleutée fusa en direction de son adversaire.
— Espèce de... .
— Quoi ?
Toni étouffait de rire en plein milieu du court.
« Tu veux jouer à ça ? » pensa Cylian, il fallait qu'il se montre digne de Tony, montrer à son amour qu'il tiendrait le rythme tout au long du match, que Toni, bien entraîné maintenait à un niveau assez ardu.
Au service suivant de Toni, Cylian donna tout ce qu'il avait, il renvoya la balle. Son corps commençait à ruisseler de transpiration, rattrapant la balle jusqu'au fond du court.
Toni amena son ami à un coté du terrain pour finalement envoyer la balle à l'autre bout.
Cylian fulmina (pas cette fois mon adoré !) il décolla de quelques mètres du sol et frappa la balle comme maintenu suspendu en l'air... et... Toni ne pu rattraper la balle !
— Non ! Mais tu as triché Cyl'!
— Après toi ! fit remarquer calmement son adversaire... mais à bout de souffle.
La balle de match fut tout de même vite expédiée par Toni.
Les deux protagonistes se rejoignirent au milieu du terrain et comme les pros se donnèrent l'accolade.
— J'espère que je ne t'ai pas trop crevé ? s'inquiétait Toni.
— Tu m'as lessivé mais ne crois pas que j'allais me laisser faire.
— Non tu m'as quand même fait courir, j'ai été ravi de jouer avec toi.
— Moi aussi mais ne compte pas sur moi avant longtemps pour te mettre ta raclée !
Extrait du Livre des pouvoirs :
« Inhibiteur » : Il y a un pouvoir plus puissant que les « psy » : il s'agit des « inhibiteurs ».
La description de ce pouvoir est justement d'annihiler les autres pouvoirs, aux contacts des personnes possédant ce pouvoir, les dons s'évaporent.
« Les inhibiteurs » sont considérés soit comme des parias, la peste à coté, est bénédiction, mais comme une providence par d'autres.
Les personnes possédant ce pouvoir sont souvent engagées comme garde du corps pour des personnalités importantes ou enrôlées par l'armée pour des interventions dans des conflits militaires.
Malheureusement (ou heureusement), là ou cela devient compliqué : ils sont soumis comme tout à chacun par leur propre limitation.
Robert Lexin (président de la guilde d'étude des pouvoirs).
J'étais resté pour manger avec Toni, nul besoin d'appeler ma mère lui avais-je dit, je devais de toutes façons m'absenter pour aller en ville. Au lieu de cela, je ne perdais pas au change, j'allais passer une après-midi avec mon grand amour.
Nous étions dans sa chambre, une chambre assez classique avec des guitares électriques accrochées au mur avec des posters de super groupes de rock. Dans le coin de la pièce trônait son lit et son bureau avec un ordi.
— Cool ! Tu as des posters de Ramstein ! Je vois que tu aimes ce groupe aussi.
— Toni opina de la tête : oui ! Je les ai vu en concert à Bercy. Ça arrache !
Bon, j'ai toujours quelques affaires de sport en plus. Je suis plus grand que toi et plus costaud mais cela devrait t'aller...
— Oui... Cylian fixait le lit de Toni. Ses pensées étaient perdu dans quelques pensées érotiques. Il se voyait dans ce grand lit avec Toni, lui caressant les cheveux et l'embrassant tendrement sur ses lèvres.
— Ben vas y ! Essaye les !
Cylian se dessapa, il était en boxer. Son corps loin d'être musclé était longiligne et fin. Il n'avait pas un poil de graisse et sur son ventre laissait apparaître les lignes de ses abdos ainsi qu'un fin duvet de poil sous le nombril.
Toni était derrière lui, occupé à prendre ses affaires dans son sac de sport, Cylian se demanda si son ami le matait derrière son dos, cette pensée lui fit comme un électrochoc dans son esprit.
Cylian avait revêtu la tenue prêtée par Toni.
— Alors voyons voir de quoi tu as l'air là dedans ? Hmmm moué ça te vas assez bien. Tu as déjà tes basket, ce tee-shirt et ce pantacourt te vont aussi bien qu'à moi
— Merci Toni, je demanderai à ma mère de te les laver pour te les rendre ensuite.
Allons y !
— Minute Cyl'(Cyl'? c'était Julien qui m'appelait comme ça mais venant de Toni, j'en était ravi) je dois aller chercher de l'argent pour le bus, le terrain de tennis est à l'autre bout de la ville.
— T'inquiète pas pour le transport, je m'en occupe, déclara Cylian avec un petit sourire malicieux, allons dans le jardin.
Quelques minutes plus tard, ils étaient tous les deux sur la pelouse derrière la grande demeure.
— Laisse toi porter dit Cylian, dans un instant. Tu ne sentiras plus de gravité.
— Hey ! ! ! Attends ! Mais tu es sûr que je ne vais pas tomber ? Et si tu perdais tes pouvoirs ?
— Ne t'inquiètes pas, ma limitation est loin de se manifester et puis tu as confiance non ?
— Je te fais confiance tu le sais bien.
— Bon ok, il faut que je te prenne par la taille. Cylian rougit comme une tomate lorsqu'il enserra Toni (il pensait que Toni allait tôt ou tard s'en apercevoir). Il regarda l'expression sur le visage de Toni mais celui-ci lui souriait de toutes ses dents. Mon dieu comme il était beau ! Il était temps de le ramener au paradis avec les anges. Ses mains contre le tee-shirt de Toni effleurèrent ses muscles. Les yeux de Cylian se remplirent d'ambre et ils décollèrent.
— Hey ! moins vite t'es fou ?
— Quoi tu as peur ?
Cylian était dans son élément. Il était le maître de la situation. Il aurait tout donné pour embrasser Toni à ce moment là. Déjà les maisons défilèrent sous leurs pieds.
Le soleil était encore haut dans le ciel lorsque nous arrivâmes sur le terrain de tennis, à cette époque de l'année, il restait encore du monde mais pas cet après-midi.
Les deux protagonistes choisirent un terrain qu'ils ouvrirent à l'aide du badge de Toni.
Après quelques balles d'échauffement, ils commencèrent à jouer un match. Cylian était subjugué : Toni se déplaçait à la fois souple et rapide comme un félin sur le court.
— Tu as déjà joué au tennis demanda Toni ?
— Oui il y a quelques années au badminton.
— Avec une poêle à frire tu veux dire ?
— Vas y ! Fait le kéké, c'était toi qui était mort de peur il y a quelques minutes dans les airs ! dit Cylian passablement vexé de la remarque de Toni.
— Ce n'est pas pareil jugea Toni. Tu es le seul à faire ça toi.
— Tiens attrape celle là !
Toni regarda son adversaire d'un regard perçant.
Cylian sentit venir un mauvais coup (allez arrête de regarder le torse de ton Apollon lorsqu'il saute et concentre toi sur la balle ! se disait-il).
Toni arma son bras et servit : une balle ? Non ! une comète avec une traînée bleutée fusa en direction de son adversaire.
— Espèce de... .
— Quoi ?
Toni étouffait de rire en plein milieu du court.
« Tu veux jouer à ça ? » pensa Cylian, il fallait qu'il se montre digne de Tony, montrer à son amour qu'il tiendrait le rythme tout au long du match, que Toni, bien entraîné maintenait à un niveau assez ardu.
Au service suivant de Toni, Cylian donna tout ce qu'il avait, il renvoya la balle. Son corps commençait à ruisseler de transpiration, rattrapant la balle jusqu'au fond du court.
Toni amena son ami à un coté du terrain pour finalement envoyer la balle à l'autre bout.
Cylian fulmina (pas cette fois mon adoré !) il décolla de quelques mètres du sol et frappa la balle comme maintenu suspendu en l'air... et... Toni ne pu rattraper la balle !
— Non ! Mais tu as triché Cyl'!
— Après toi ! fit remarquer calmement son adversaire... mais à bout de souffle.
La balle de match fut tout de même vite expédiée par Toni.
Les deux protagonistes se rejoignirent au milieu du terrain et comme les pros se donnèrent l'accolade.
— J'espère que je ne t'ai pas trop crevé ? s'inquiétait Toni.
— Tu m'as lessivé mais ne crois pas que j'allais me laisser faire.
— Non tu m'as quand même fait courir, j'ai été ravi de jouer avec toi.
— Moi aussi mais ne compte pas sur moi avant longtemps pour te mettre ta raclée !