29-06-2024, 04:15 AM
Défi phrasette de départ:
— J'ai revendu mon entreprise spécialisée pour une petite fortune, même partagée avec mon ex-femme… Oui, j’ai été marié, très longtemps, avant d’oser enfin, tardivement, assouvir mes envies profondes. Dans un sens, je le lui dois, a-t-il soufflé, avant de capter mon regard interrogatif et d’ajouter ‘’Maladivement jalouse, elle ne m’autorisait que des collaborateurs masculins, sans réaliser que la proportion naturelle de gays… et la perspective de promotion canapé en a poussé un à m’offrir plus que son professionnalisme, par opportunisme, elle a fini par l’apprendre. Mais pas de regrets, tout passif qu’il était, ou prétendait être, il n’était qu’un actif bilantaire de la société, que j’ai négocié à mon avantage avec le reste.
— Ceci explique… tout cela, ai-je sobrement admis, avec un regard circulaire sur son penthouse en espace ouvert, alors qu’il fait courir ses doigts sur mon torse qui se soulève plus calmement, ma respiration lentement apaisée, après le match-retour que j’ai initié ce matin. Après quelques heures de sommeil pour ‘recharger les batteries’. La formule l’avait fait légèrement sourire, avant qu’une expression bien plus franche - limite victorieuse - sur son visage accompagne nos secondes jouissances presque simultanées, cette fois.
— À ton âge, tout cela peut sembler trivial, au mien, enfin pouvoir satisfaire toutes… du moins beaucoup de mes envies l’est moins, crois-moi. Comme les besoins de celui qui…
‘Nous y voilà’, ai-je pensé, en retenant un sourire narquois, avec un sentiment d’empathie mêlée d’un peu de pitié. ‘Enfin est le mot important de son argument d’un bonheur idéal… Enfin idéal’, et c’est triste mais je n’y participerai pas. Ses besoins et ses envies ne sont pas les miens.
À part le fait d’avoir été l’artisan d’un éventuel rêve qui aurait coloré sa courte nuit, je n’ai rien à me reprocher, le message était clair, mon corps ne lui appartiendrait que pour un partage ponctuel, sans autre lendemain que celui-ci, où j’ai voulu – un peu égoïstement – revivre des sensations finalement rares avec des mecs de mon âge, alors que ceux du sien apportent à l’échange ce qu’ils appellent la maturité, en réalité, juste l’expérience, la patience et l’endurance, qui compenseront encore quelques années les rides cruelles déjà présentes, et l’affaissement annoncé du corps, mais leur laissent l’illusion de pouvoir s’attacher un amant plus jeune, sinon – sans l’avouer – un bâton de vieillesse.
Que je ne serai jamais, pas de promesse ni d’engagement au-delà d’une nuit.
— Vraiment ? Moi… et toi ? avait-il demandé, encore légèrement incrédule, à la sortie du bar, la clé de sa Lexus en main.
— Tu as du potentiel, avais-je souri, avec le sourire du sphinx, le laissant libre d’estimer la part potentielle des verres qu’il m’avait offerts et des quatre-vingt chevaux du moteur de sa voiture qu’il avait fait ronronner sur le chemin d’un quartier sélect, puis sur la rampe d’accès au garage en sous-sol d’un immeuble résidentiel.
— Dois-je t’appeler tonton si on croise un voisin sur le palier ?
— Ce sera inutile, avait-il murmuré, ses lèvres dans mon cou, alors que les portes de l’ascenseur s’ouvraient directement sur son appartement, pour ajouter ‘’J’occupe tout l’étage. Tu veux prendre quelque chose ?’’ en indiquant une desserte garnie de bouteilles.
J’avais porté le regard dans la direction opposée, vers le lit, avant de le ramener sur lui, avec un sourire lubrique.
J’aime voir le désir dans les yeux des hommes qui me déshabillent, et sous leur bouche qui explore mon corps pendant le lent effeuillage, avant que je m’allonge lascivement, offert, sur le ventre. ‘’Si beau… parfait, même de dos… Tu… tu es bien passif ?’’
Pour seule réponse, j’avais légèrement soulevé le bassin, lui offrant la vue sur mes fesses offertes, qu’il avait écartées pour longuement appliquer sur mon intimité la caresse de sa langue, jusqu’à ce que la satisfaction, juste cérébrale à ce stade, me fasse soupirer de satisfaction. ‘’Préservatif, ou… ? C’est un peu tue-l’amour…’’.
— Toujours ! Enfin, presque toujours… Il y a des choses qui ne tuent plus mais pourrissent la vie. Non, la seule chose qui le soit vraiment, ce sont les chaussettes au lit, avais-je bobardé, pour paraitre plus pur et innocent que je ne le suis, en tournant le visage vers lui, pour faire glisser le regard du sien, sur sa poitrine couverte de poils grisonnants, sur son sexe dressé, et enfin sur l’emballage argenté qu’il avait sorti de nulle part.
Je me suis offert à sa lente et patiente possession de mon corps, puis à une vingtaine de mouvements amples de la longueur de son membre raide, avant de l’interrompre, de me tourner sur le dos, de murmurer, sincère mais un peu pour le flatter, ‘’Je préfère ainsi… stimulation de ma prostate, et avec ton épaisseur…’’, pour remonter les cuisses sur ses flancs et, de doigts légers, ramener sa virilité en moi. ‘’Oooh ouiii’’ avais-je gémi, forçant à peine la grimace gourmande sur mes lèvres et mon regard écarquillé par le désir, en accueillant la pénétration, retenue par la pression de mes mains sur son torse. ‘’Viens… doucement, longtemps…’’
— Coquin, mais avide, avait-il souri, pour ajouter ‘’Ne t’inquiète pas, le plaisir de mes amants et l’une des constantes du mien, il n’y a rien de plus beau qu’un garçon qui s’abandonne à sa jouissance, et en plus, ainsi, avec toi, je ne me contenterai pas de l’entendre, étouffée, dans l’oreiller’’ en portant le regard sur mon gland qui commençait à émerger de mon prépuce.
Autant que la répétition, hoquetée, de l’onomatopée, l’envoi d’un nombre assez inédit de jets de sperme sur mon torse, l’avait assuré de la puissance de mon orgasme. Avec une moue satisfaite, il avait repris l’invasion de mon corps, avec bien moins de retenue, provoquant des répliques de mon plaisir, jusqu’à quatre poussées plus espacées accompagnées de grognements, qui avaient trahi le sien.
Il s’était endormi presque immédiatement, pour se réveiller trois heures plus tard, avec le passage taquin de ma langue sur son méat légèrement poisseux et de mes doigts qui caressaient la cicatrice sous son gland resté apparent. ‘’C’est devenu rare’’ ai-je murmuré.
— Il y a maintenant des techniques plus… esthétiques, mais à mon époque, il n’y avait pas vraiment d’autres options.
— C’est juste inhabituel, mais une fois dressé, ça ne change rien, et j’en ai rarement découvertes à l’état flaccide, tu sais...
— C’est l’effet des beaux jeunes hommes comme toi sur tout mâle normalement constitué, tout comme la fatigue consécutive, désolé, j’ai piqué du nez, malgré que j’avais… que j’ai toujours envie de toi.
— Et qui te dit que ce n’est pas partagé ? ai-je murmuré, avant de le reprendre en bouche pour restaurer sa rigidité.
— Tu es un diable, un beau diable, a-t-il dit, pour me tourner sur le dos, relever une de mes cuisses sur sa taille et faire coulisser son membre entre mes fesses, ‘’un succube qui invite à… succomber’’.
— Poétique, ça.
— Je peux l’être… comme je peux dire plus crument que j’ai envie de te baiser jusqu’à te faire jouir et me répandre en toi ! Mais sans latex, cette fois, je suis presque toujours prudent, et de toute manière, je me fais régulièrement tester, tu peux vraiment me croire. C’est différent pour l’actif, et pour le passif, sentir l’éjaculation…
— C’est une légende urbaine, ça, ai-je ri. ‘’On ne la sent pas, juste un peu les palpitations du membre, et peut-être une lubrification légèrement augmentée.’’
— Sérieux ? Je n’ai pratiqué le hors-piste qu’une fois, avec mon assistant, il m’avait assuré…
— … que la puissance et la quantité… ? Il voulait te ferrer en te flattant, je pense, désolé de briser le rêve. Mais sinon, une seule fois, donc ? Soit… Viens, ainsi, maintenant, je t’ai dit, avec tes dimensions, je… Bref, je suis encore dilaté.
Grisé par l’excitation, il ne s’est pas fait prier, et m’a pénétré en deux poussées et, si j’ai limité l’amplitude de ses mouvements, et interrompu quatre fois son pilonnage peu retenu, il a très vite gémi ‘’Oooh, je v… je vais…’’
— Attends ! ai-je décrété en enroulant mes doigts sur ma hampe dressée pour appliquer le passage de mon prépuce luisant de pré-sperme. Il a joui avant moi, j’ai redoublé d’efforts, pour profiter de sa rigidité.
— C’était bon, hein ! n’a-t-il pu s’empêcher de souffler, plutôt fier, pour réaliser l’audace de sa remarque, et l’adoucir. ‘’Du moins, je pense, ton corps… Tu es étrangement affectueux, et réactif dans le plaisir’’.
Le premier adjectif n’est pas vraiment justifié, mes gestes, la prise de mes membres serrés sur sa taille et sa nuque n’avaient de motivation que celle de le garder longtemps en moi, pour amener mon plaisir à son maximum et, sous son regard brillant, le répandre cette fois en lourdes coulées de ma semence sur mon poing serré et mon pubis.
Il m’a rejoint sous la douche, sous le prétexte fallacieux de me frotter le dos, avant de s’agenouiller pour, je l’imagine trop bien, voir suinter les traces de sa jouissance… Sans un mot, je me suis épongé, avant de me rhabiller et de me diriger vers la porte de l’ascenseur, où j’ai glissé ‘’C’était bon, oui, mais je vais être en retard à mon job d’appoint, un salaire de doctorant ne nourrit pas son homme…’’
— Tu pourrais t’en passer, j’ai les moyens…
— De m’entretenir ? J’ai un peu plus de fierté que ça.
— Je comprends, c’était déplacé, excuse-moi. On ne se reverra pas, j’imagine…
Je n’ai pas eu le cœur d’oraliser une réponse qu’il connait déjà, j’ai juste forcé un sourire désolé alors que la paroi de métal coulissait en silence.
— J'ai revendu mon entreprise spécialisée pour une petite fortune, même partagée avec mon ex-femme… Oui, j’ai été marié, très longtemps, avant d’oser enfin, tardivement, assouvir mes envies profondes. Dans un sens, je le lui dois, a-t-il soufflé, avant de capter mon regard interrogatif et d’ajouter ‘’Maladivement jalouse, elle ne m’autorisait que des collaborateurs masculins, sans réaliser que la proportion naturelle de gays… et la perspective de promotion canapé en a poussé un à m’offrir plus que son professionnalisme, par opportunisme, elle a fini par l’apprendre. Mais pas de regrets, tout passif qu’il était, ou prétendait être, il n’était qu’un actif bilantaire de la société, que j’ai négocié à mon avantage avec le reste.
— Ceci explique… tout cela, ai-je sobrement admis, avec un regard circulaire sur son penthouse en espace ouvert, alors qu’il fait courir ses doigts sur mon torse qui se soulève plus calmement, ma respiration lentement apaisée, après le match-retour que j’ai initié ce matin. Après quelques heures de sommeil pour ‘recharger les batteries’. La formule l’avait fait légèrement sourire, avant qu’une expression bien plus franche - limite victorieuse - sur son visage accompagne nos secondes jouissances presque simultanées, cette fois.
— À ton âge, tout cela peut sembler trivial, au mien, enfin pouvoir satisfaire toutes… du moins beaucoup de mes envies l’est moins, crois-moi. Comme les besoins de celui qui…
‘Nous y voilà’, ai-je pensé, en retenant un sourire narquois, avec un sentiment d’empathie mêlée d’un peu de pitié. ‘Enfin est le mot important de son argument d’un bonheur idéal… Enfin idéal’, et c’est triste mais je n’y participerai pas. Ses besoins et ses envies ne sont pas les miens.
À part le fait d’avoir été l’artisan d’un éventuel rêve qui aurait coloré sa courte nuit, je n’ai rien à me reprocher, le message était clair, mon corps ne lui appartiendrait que pour un partage ponctuel, sans autre lendemain que celui-ci, où j’ai voulu – un peu égoïstement – revivre des sensations finalement rares avec des mecs de mon âge, alors que ceux du sien apportent à l’échange ce qu’ils appellent la maturité, en réalité, juste l’expérience, la patience et l’endurance, qui compenseront encore quelques années les rides cruelles déjà présentes, et l’affaissement annoncé du corps, mais leur laissent l’illusion de pouvoir s’attacher un amant plus jeune, sinon – sans l’avouer – un bâton de vieillesse.
Que je ne serai jamais, pas de promesse ni d’engagement au-delà d’une nuit.
— Vraiment ? Moi… et toi ? avait-il demandé, encore légèrement incrédule, à la sortie du bar, la clé de sa Lexus en main.
— Tu as du potentiel, avais-je souri, avec le sourire du sphinx, le laissant libre d’estimer la part potentielle des verres qu’il m’avait offerts et des quatre-vingt chevaux du moteur de sa voiture qu’il avait fait ronronner sur le chemin d’un quartier sélect, puis sur la rampe d’accès au garage en sous-sol d’un immeuble résidentiel.
— Dois-je t’appeler tonton si on croise un voisin sur le palier ?
— Ce sera inutile, avait-il murmuré, ses lèvres dans mon cou, alors que les portes de l’ascenseur s’ouvraient directement sur son appartement, pour ajouter ‘’J’occupe tout l’étage. Tu veux prendre quelque chose ?’’ en indiquant une desserte garnie de bouteilles.
J’avais porté le regard dans la direction opposée, vers le lit, avant de le ramener sur lui, avec un sourire lubrique.
J’aime voir le désir dans les yeux des hommes qui me déshabillent, et sous leur bouche qui explore mon corps pendant le lent effeuillage, avant que je m’allonge lascivement, offert, sur le ventre. ‘’Si beau… parfait, même de dos… Tu… tu es bien passif ?’’
Pour seule réponse, j’avais légèrement soulevé le bassin, lui offrant la vue sur mes fesses offertes, qu’il avait écartées pour longuement appliquer sur mon intimité la caresse de sa langue, jusqu’à ce que la satisfaction, juste cérébrale à ce stade, me fasse soupirer de satisfaction. ‘’Préservatif, ou… ? C’est un peu tue-l’amour…’’.
— Toujours ! Enfin, presque toujours… Il y a des choses qui ne tuent plus mais pourrissent la vie. Non, la seule chose qui le soit vraiment, ce sont les chaussettes au lit, avais-je bobardé, pour paraitre plus pur et innocent que je ne le suis, en tournant le visage vers lui, pour faire glisser le regard du sien, sur sa poitrine couverte de poils grisonnants, sur son sexe dressé, et enfin sur l’emballage argenté qu’il avait sorti de nulle part.
Je me suis offert à sa lente et patiente possession de mon corps, puis à une vingtaine de mouvements amples de la longueur de son membre raide, avant de l’interrompre, de me tourner sur le dos, de murmurer, sincère mais un peu pour le flatter, ‘’Je préfère ainsi… stimulation de ma prostate, et avec ton épaisseur…’’, pour remonter les cuisses sur ses flancs et, de doigts légers, ramener sa virilité en moi. ‘’Oooh ouiii’’ avais-je gémi, forçant à peine la grimace gourmande sur mes lèvres et mon regard écarquillé par le désir, en accueillant la pénétration, retenue par la pression de mes mains sur son torse. ‘’Viens… doucement, longtemps…’’
— Coquin, mais avide, avait-il souri, pour ajouter ‘’Ne t’inquiète pas, le plaisir de mes amants et l’une des constantes du mien, il n’y a rien de plus beau qu’un garçon qui s’abandonne à sa jouissance, et en plus, ainsi, avec toi, je ne me contenterai pas de l’entendre, étouffée, dans l’oreiller’’ en portant le regard sur mon gland qui commençait à émerger de mon prépuce.
Autant que la répétition, hoquetée, de l’onomatopée, l’envoi d’un nombre assez inédit de jets de sperme sur mon torse, l’avait assuré de la puissance de mon orgasme. Avec une moue satisfaite, il avait repris l’invasion de mon corps, avec bien moins de retenue, provoquant des répliques de mon plaisir, jusqu’à quatre poussées plus espacées accompagnées de grognements, qui avaient trahi le sien.
Il s’était endormi presque immédiatement, pour se réveiller trois heures plus tard, avec le passage taquin de ma langue sur son méat légèrement poisseux et de mes doigts qui caressaient la cicatrice sous son gland resté apparent. ‘’C’est devenu rare’’ ai-je murmuré.
— Il y a maintenant des techniques plus… esthétiques, mais à mon époque, il n’y avait pas vraiment d’autres options.
— C’est juste inhabituel, mais une fois dressé, ça ne change rien, et j’en ai rarement découvertes à l’état flaccide, tu sais...
— C’est l’effet des beaux jeunes hommes comme toi sur tout mâle normalement constitué, tout comme la fatigue consécutive, désolé, j’ai piqué du nez, malgré que j’avais… que j’ai toujours envie de toi.
— Et qui te dit que ce n’est pas partagé ? ai-je murmuré, avant de le reprendre en bouche pour restaurer sa rigidité.
— Tu es un diable, un beau diable, a-t-il dit, pour me tourner sur le dos, relever une de mes cuisses sur sa taille et faire coulisser son membre entre mes fesses, ‘’un succube qui invite à… succomber’’.
— Poétique, ça.
— Je peux l’être… comme je peux dire plus crument que j’ai envie de te baiser jusqu’à te faire jouir et me répandre en toi ! Mais sans latex, cette fois, je suis presque toujours prudent, et de toute manière, je me fais régulièrement tester, tu peux vraiment me croire. C’est différent pour l’actif, et pour le passif, sentir l’éjaculation…
— C’est une légende urbaine, ça, ai-je ri. ‘’On ne la sent pas, juste un peu les palpitations du membre, et peut-être une lubrification légèrement augmentée.’’
— Sérieux ? Je n’ai pratiqué le hors-piste qu’une fois, avec mon assistant, il m’avait assuré…
— … que la puissance et la quantité… ? Il voulait te ferrer en te flattant, je pense, désolé de briser le rêve. Mais sinon, une seule fois, donc ? Soit… Viens, ainsi, maintenant, je t’ai dit, avec tes dimensions, je… Bref, je suis encore dilaté.
Grisé par l’excitation, il ne s’est pas fait prier, et m’a pénétré en deux poussées et, si j’ai limité l’amplitude de ses mouvements, et interrompu quatre fois son pilonnage peu retenu, il a très vite gémi ‘’Oooh, je v… je vais…’’
— Attends ! ai-je décrété en enroulant mes doigts sur ma hampe dressée pour appliquer le passage de mon prépuce luisant de pré-sperme. Il a joui avant moi, j’ai redoublé d’efforts, pour profiter de sa rigidité.
— C’était bon, hein ! n’a-t-il pu s’empêcher de souffler, plutôt fier, pour réaliser l’audace de sa remarque, et l’adoucir. ‘’Du moins, je pense, ton corps… Tu es étrangement affectueux, et réactif dans le plaisir’’.
Le premier adjectif n’est pas vraiment justifié, mes gestes, la prise de mes membres serrés sur sa taille et sa nuque n’avaient de motivation que celle de le garder longtemps en moi, pour amener mon plaisir à son maximum et, sous son regard brillant, le répandre cette fois en lourdes coulées de ma semence sur mon poing serré et mon pubis.
Il m’a rejoint sous la douche, sous le prétexte fallacieux de me frotter le dos, avant de s’agenouiller pour, je l’imagine trop bien, voir suinter les traces de sa jouissance… Sans un mot, je me suis épongé, avant de me rhabiller et de me diriger vers la porte de l’ascenseur, où j’ai glissé ‘’C’était bon, oui, mais je vais être en retard à mon job d’appoint, un salaire de doctorant ne nourrit pas son homme…’’
— Tu pourrais t’en passer, j’ai les moyens…
— De m’entretenir ? J’ai un peu plus de fierté que ça.
— Je comprends, c’était déplacé, excuse-moi. On ne se reverra pas, j’imagine…
Je n’ai pas eu le cœur d’oraliser une réponse qu’il connait déjà, j’ai juste forcé un sourire désolé alors que la paroi de métal coulissait en silence.
Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
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