04-05-2024, 04:46 PM
Effectivement, si je savais localiser la partie germanophone de la Belgique et l'emplacement approximatif de Liège, je n'imaginait pas que la zone germanophone, en vert sur le carte diffusée le 1er mai, soit si peu étendue.
Au siècle dernier, après une crevaison en Allemagne réparée d'abord à la bombe anticrevaison, on m'avait plutôt conseillé de faire faire la réparation (changement du pneu) en Belgique. J'étais arrivé par la partie germanophone de la Belgique, mais effectivement, à Liège, ils parlaient bien français.
Concernant la France, c'est dans la première moitié du siècle dernier que le français a été adopté et enseigné comme langue nationale. Né à Toulouse, donc une grande ville, tout le monde dans ma famille parlait exclusivement français. Toutefois, si quelqu'un sonnait à la porte alors qu'on n'attendait personne, ma mère (fille d'agriculteur) disait souvent : Qu’es aquò ?
Lorsque j'étais petit, il n'y avait que chez des amis de la famille (d'anciens voisins de mes grands-parents) qu'une dame âgée (née avant 1900, probablement entre 1880 et 1890) ne parlait que patois et répondait De qué vòl dire aquò ? si on lui disait quelque-chose en français (mais sa fille traduisait).
Ce n'est que plus tard, à l'université qu'un autre étudiant venant de l'Aveyron ou du Tarn (donc un département plus rural) m'avait d'abord dit quelque-chose en patois avant de parler français.
De nos jours, certains voudraient que l'occitan soit enseigné dans les écoles de ma région, les bretons sont très attachés à leur drapeau et certains à leur langue, les basques aussi (encore plus) mais leur territoire géographique est très peu étendu en France. Il est possible aussi que certains parlent beaucoup le catalan vers Perpignan.
Pour ma part, à enseigner une autre langue dès l'école primaire, je préférerai que ce soit l'esperanto. Son apprentissage en premier favoriserait d'ailleurs celui d'autres langues étrangères.
Au siècle dernier, un homme politique très attaché à la langue française a fait voter une loi pour que les notices et autres documents technique et toute inscription dans les lieux publics soient rédigées en français. Il s'appelait Jacques Toubon, mais dans une émission de télévision humoristique sur la politique (avec des marionnettes), il était devenu Jack Allgood.
Au siècle dernier, après une crevaison en Allemagne réparée d'abord à la bombe anticrevaison, on m'avait plutôt conseillé de faire faire la réparation (changement du pneu) en Belgique. J'étais arrivé par la partie germanophone de la Belgique, mais effectivement, à Liège, ils parlaient bien français.
Concernant la France, c'est dans la première moitié du siècle dernier que le français a été adopté et enseigné comme langue nationale. Né à Toulouse, donc une grande ville, tout le monde dans ma famille parlait exclusivement français. Toutefois, si quelqu'un sonnait à la porte alors qu'on n'attendait personne, ma mère (fille d'agriculteur) disait souvent : Qu’es aquò ?
Lorsque j'étais petit, il n'y avait que chez des amis de la famille (d'anciens voisins de mes grands-parents) qu'une dame âgée (née avant 1900, probablement entre 1880 et 1890) ne parlait que patois et répondait De qué vòl dire aquò ? si on lui disait quelque-chose en français (mais sa fille traduisait).
Ce n'est que plus tard, à l'université qu'un autre étudiant venant de l'Aveyron ou du Tarn (donc un département plus rural) m'avait d'abord dit quelque-chose en patois avant de parler français.
De nos jours, certains voudraient que l'occitan soit enseigné dans les écoles de ma région, les bretons sont très attachés à leur drapeau et certains à leur langue, les basques aussi (encore plus) mais leur territoire géographique est très peu étendu en France. Il est possible aussi que certains parlent beaucoup le catalan vers Perpignan.
Pour ma part, à enseigner une autre langue dès l'école primaire, je préférerai que ce soit l'esperanto. Son apprentissage en premier favoriserait d'ailleurs celui d'autres langues étrangères.
Au siècle dernier, un homme politique très attaché à la langue française a fait voter une loi pour que les notices et autres documents technique et toute inscription dans les lieux publics soient rédigées en français. Il s'appelait Jacques Toubon, mais dans une émission de télévision humoristique sur la politique (avec des marionnettes), il était devenu Jack Allgood.