23-08-2020, 09:18 PM
Premier jour - 1er juillet 2020
La chambre d’amis est grande : en plus de deux lits très hauts, avec un matelas mince, il y a le fameux canapé blanc, meubles dessinés par Le Corbusier. Des coussins de soie noire sont posés sur le canapé, Adelin se souvient que la duchesse lui avait dit qu’elle brodait elle-même les dragons et autres animaux chimériques sur ceux-ci. Au mur, des dessins d’hommes nus, œuvres des élèves de l’école d’art.
— Il y en a un que tu as dessiné ? demande Patrice.
— Non, mais je croquerai ta bite et je l’offrirai à la comtesse, en souvenir de cette nuit. Et tu pourras aussi venir poser à l’école, nous cherchons souvent des modèles, nu avec le masque devant les élèves tu seras craquant.
— Et si je bande ?
Patrice est soudain inquiet, Adelin le remarque.
— Ça va ? demande-t-il.
— Ça ira, tu le feras tranquillement.
— Je crois que j’aurais mieux fait de te dépuceler à l’hôpital, tu n’aurais rien remarqué.
— Je n’étais pas dans le coma… J’ai bien senti quand tu me suçais.
— On va essayer une position où on peut se voir. Couche-toi sur le canapé, sur le dos.
Adelin met deux coussins sous la tête et la nuque de Patrice pour les surélever. Il enlève l’accoudoir se trouvant à l’opposé et écarte les trois éléments du canapé, il s’agenouille ensuite sur le tapis, embrasse son ami et le masse légèrement sur tout le corps.
Il décalotte ensuite le gland, libérant le piercing et caresse délicatement la hampe. Le pénis de Patrice réagit favorablement. Adelin ne désire pas le branler, c’est juste pour le détendre. Il enduit son doigt de lubrifiant, écarte un peu les jambes afin d’accéder à la rosette. Patrice semble apprécier, il a fermé les yeux. Adelin continue à effleurer doucement la verge et les bourses, tout en forçant le sphincter avec un doigt. Patrice gémit.
— Ça va toujours, demande Adelin.
— Je suis comme dans un rêve, comme lorsque j’étais fiévreux. Continue.
Adelin introduit un deuxième doigt après avoir repris du lubrifiant, puis un troisième. Ce doit être la grosseur de son pénis, heureusement que Patrice n’est pas tombé amoureux de Raphaël ou de Djibril. Adelin place un coussin sous les fesses de son ami et remonte ses jambes sur sa poitrine. Adelin déroule un préservatif sur son membre dressé avant de monter sur le canapé, logeant ses genoux dans l’interstice entre les éléments, il est ainsi à la bonne hauteur. Un signe de tête de Patrice indique qu’il est prêt.
Adelin positionne son gland devant la rosette et l’enfonce lentement. Il espère que le piercing ne va pas causer de douleurs à son ami. Celui-ci fait d’abord une grimace puis sourit, indiquant que ça a passé. Adelin ne sent pas de résistance. Il enfonce son membre le plus loin possible et reste immobile, Patrice peut apprécier l’effet de ce corps étranger dans son rectum. L’érection d’Adelin durcit avec le sphincter qui serre la base de son pénis.
Adelin débute alors de prudents mouvements de va-et-vient, s’appuyant sur les pieds de Patrice qui semble un peu crispé, il n’a plus qu’une demi-molle. Adelin lui demande une nouvelle fois si ça va.
— Tu fais ça parfaitement, répond Patrice.
— Je vais moins m’appliquer sinon tu vas penser que ce n’est pas la première fois.
— Je te fais confiance.
— Tu me diras quand tu en auras assez.
Patrice n’en a pas assez, il aime de plus en plus. Il referme les yeux afin de se concentrer sur les sensations qu’il éprouve sur sa prostate. Adelin finit par ressortir son membre.
— Qu’y a-t-il ? s’étonne Patrice.
— Bah, j’ai joui.
— Je n’avais pas remarqué.
— On devra encore faire des progrès, mais ça s’est bien passé pour une première fois.
— Oui, dommage que je puisse pas te rendre la pareille.
— Nous avons toute la vie devant nous.
— Tu veux vraiment finir ma vie avec moi ?
— Tu en doutais ? Lève-toi, que je voie si tu peux toujours marcher.
Patrice n’a qu’une légère douleur à l’anus, pas pire qu’à son frein toujours sensible. Adelin lui passe une lingette humide à la camomille dans la raie des fesses pour le soulager.
— Service parfait ! dit Patrice.
— N’oublie pas ma nouvelle vocation, je veux devenir infirmier.
— Bon, alors j’ai besoin de soins urgents au zizi.
— Couche-toi sur le lit, je vais me laver les mains.
Adelin ne croise pas la duchesse en allant à la salle de bain, elle doit enfin être couchée. Elle va les questionner le lendemain matin. Il revient dans la chambre et se couche à côté de Patrice qui lui demande :
— Tu me suces ?
— Non, c’est trop tôt.
— Tu es dur avec moi.
— Il faut souffrir pour être beau.
Adelin recommence ses douces caresses sur le pénis de son ami qui reprend rapidement de la vigueur, Patrice inonde son torse de semence.
— Ouais, fait Adelin, tu n’as pas tenu très longtemps non plus.
Adelin nettoie Patrice avec un mouchoir, désinfecte le piercing et remet un pansement, ils échangent ensuite un long et doux baiser avant de s’endormir nus dans les bras l’un de l’autre.
Belle fin, vous ne trouvez pas ? Je vous ai encore promis un épilogue, cela sera un autre jour, je suis aussi épuisé après avoir écrit cet épisode et je n’ai même pas d’infirmier pour me soigner.
La chambre d’amis est grande : en plus de deux lits très hauts, avec un matelas mince, il y a le fameux canapé blanc, meubles dessinés par Le Corbusier. Des coussins de soie noire sont posés sur le canapé, Adelin se souvient que la duchesse lui avait dit qu’elle brodait elle-même les dragons et autres animaux chimériques sur ceux-ci. Au mur, des dessins d’hommes nus, œuvres des élèves de l’école d’art.
— Il y en a un que tu as dessiné ? demande Patrice.
— Non, mais je croquerai ta bite et je l’offrirai à la comtesse, en souvenir de cette nuit. Et tu pourras aussi venir poser à l’école, nous cherchons souvent des modèles, nu avec le masque devant les élèves tu seras craquant.
— Et si je bande ?
Patrice est soudain inquiet, Adelin le remarque.
— Ça va ? demande-t-il.
— Ça ira, tu le feras tranquillement.
— Je crois que j’aurais mieux fait de te dépuceler à l’hôpital, tu n’aurais rien remarqué.
— Je n’étais pas dans le coma… J’ai bien senti quand tu me suçais.
— On va essayer une position où on peut se voir. Couche-toi sur le canapé, sur le dos.
Adelin met deux coussins sous la tête et la nuque de Patrice pour les surélever. Il enlève l’accoudoir se trouvant à l’opposé et écarte les trois éléments du canapé, il s’agenouille ensuite sur le tapis, embrasse son ami et le masse légèrement sur tout le corps.
Il décalotte ensuite le gland, libérant le piercing et caresse délicatement la hampe. Le pénis de Patrice réagit favorablement. Adelin ne désire pas le branler, c’est juste pour le détendre. Il enduit son doigt de lubrifiant, écarte un peu les jambes afin d’accéder à la rosette. Patrice semble apprécier, il a fermé les yeux. Adelin continue à effleurer doucement la verge et les bourses, tout en forçant le sphincter avec un doigt. Patrice gémit.
— Ça va toujours, demande Adelin.
— Je suis comme dans un rêve, comme lorsque j’étais fiévreux. Continue.
Adelin introduit un deuxième doigt après avoir repris du lubrifiant, puis un troisième. Ce doit être la grosseur de son pénis, heureusement que Patrice n’est pas tombé amoureux de Raphaël ou de Djibril. Adelin place un coussin sous les fesses de son ami et remonte ses jambes sur sa poitrine. Adelin déroule un préservatif sur son membre dressé avant de monter sur le canapé, logeant ses genoux dans l’interstice entre les éléments, il est ainsi à la bonne hauteur. Un signe de tête de Patrice indique qu’il est prêt.
Adelin positionne son gland devant la rosette et l’enfonce lentement. Il espère que le piercing ne va pas causer de douleurs à son ami. Celui-ci fait d’abord une grimace puis sourit, indiquant que ça a passé. Adelin ne sent pas de résistance. Il enfonce son membre le plus loin possible et reste immobile, Patrice peut apprécier l’effet de ce corps étranger dans son rectum. L’érection d’Adelin durcit avec le sphincter qui serre la base de son pénis.
Adelin débute alors de prudents mouvements de va-et-vient, s’appuyant sur les pieds de Patrice qui semble un peu crispé, il n’a plus qu’une demi-molle. Adelin lui demande une nouvelle fois si ça va.
— Tu fais ça parfaitement, répond Patrice.
— Je vais moins m’appliquer sinon tu vas penser que ce n’est pas la première fois.
— Je te fais confiance.
— Tu me diras quand tu en auras assez.
Patrice n’en a pas assez, il aime de plus en plus. Il referme les yeux afin de se concentrer sur les sensations qu’il éprouve sur sa prostate. Adelin finit par ressortir son membre.
— Qu’y a-t-il ? s’étonne Patrice.
— Bah, j’ai joui.
— Je n’avais pas remarqué.
— On devra encore faire des progrès, mais ça s’est bien passé pour une première fois.
— Oui, dommage que je puisse pas te rendre la pareille.
— Nous avons toute la vie devant nous.
— Tu veux vraiment finir ma vie avec moi ?
— Tu en doutais ? Lève-toi, que je voie si tu peux toujours marcher.
Patrice n’a qu’une légère douleur à l’anus, pas pire qu’à son frein toujours sensible. Adelin lui passe une lingette humide à la camomille dans la raie des fesses pour le soulager.
— Service parfait ! dit Patrice.
— N’oublie pas ma nouvelle vocation, je veux devenir infirmier.
— Bon, alors j’ai besoin de soins urgents au zizi.
— Couche-toi sur le lit, je vais me laver les mains.
Adelin ne croise pas la duchesse en allant à la salle de bain, elle doit enfin être couchée. Elle va les questionner le lendemain matin. Il revient dans la chambre et se couche à côté de Patrice qui lui demande :
— Tu me suces ?
— Non, c’est trop tôt.
— Tu es dur avec moi.
— Il faut souffrir pour être beau.
Adelin recommence ses douces caresses sur le pénis de son ami qui reprend rapidement de la vigueur, Patrice inonde son torse de semence.
— Ouais, fait Adelin, tu n’as pas tenu très longtemps non plus.
Adelin nettoie Patrice avec un mouchoir, désinfecte le piercing et remet un pansement, ils échangent ensuite un long et doux baiser avant de s’endormir nus dans les bras l’un de l’autre.
Belle fin, vous ne trouvez pas ? Je vous ai encore promis un épilogue, cela sera un autre jour, je suis aussi épuisé après avoir écrit cet épisode et je n’ai même pas d’infirmier pour me soigner.
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Récits de Lange128 indisponibles sur Slygame
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