19-02-2024, 05:16 PM
Septième Saint Valentin :
— On ne voit pas ton sexe ! ai-je murmuré, devant la photo d’un mètre carré affichée au-dessus de son lit, dans sa chambre, que je découvrais enfin, après les trois premières nuits, passées dans la mienne.
— Charles l’a effacé par photoshop, en me donnant des ailes, il avait dit que je ne perdais pas au change…
— Le photographe ?
— Ouaip ! Et accessoirement, mon ex.
— Il est doué, mais vu… ce que j’ai déjà vu en vrai, et pas que vu, d’ailleurs… ça ne t’avait pas trop vexé ?
— C’est le cadeau d’adieu, après la rupture, d’un mec aigri et rancunier. Mais j’aime la photo, donc, je le suis moins que satisfait de le savoir jaloux que d’autres après lui… eh bien, disons que dans un premier temps, ils calent sur mes pectoraux, qui n’ont pas été retouchés, eux…
J’ai ramené le regard sur son torse, qu’il venait de dénuder, avant de souffler ‘’J’avoue, et dans un deuxième temps ?’’
— Le second effet kiss cool, a-t-il soufflé, en abaissant d’un seul geste son slim et son boxer à mi-cuisse, donnant deux rebonds à son membre lourd.
Comme un rituel, il s’est jeté sur le matelas, le sien, cette fois, en battant doucement des jambes, pour m’inviter à le débarrasser de ses derniers vêtements.
— Tu veux bien… ? a-t-il ensuite suggéré, me tirant de la transe hypnotique que la vue de son corps me met à chaque fois.
— Ah… oui, bien sûr.
Je ne comprendrai jamais vraiment le plaisir qu’il y trouve, mais j’ai embrassé la pulpe de ses longs orteils, pour voir du coin de l’œil ce que la caresse étrange provoque rapidement près d’un mètre plus haut, puis remonté ses mollets, et l’intérieur de ses cuisses de mes lèvres, que j’ai ensuite délicatement refermées sous la couronne de son gland.
— Alex… A-attends, ai-je ahané, empalé sur la moitié de son mât, le souffle court. J’ai tendu la main vers le flacon de poppers sur la table de chevet, pour le déboucher et sniffer plusieurs fois le vasodilatateur, qui a lentement calmé ma respiration erratique et détendu mes muscles, en plus de l’effet désinhibant, moins utile.
Après cinq minutes de chevauchée – ou peut-être juste deux, comment dire ? – il m’a empoigné le bassin de ses grandes mains et m’a maintenu enfoncé sur lui, pour nous retourner sur le lit, remonter mes jambes sur sa taille, et reprendre – mais cette fois à son rythme – la possession de mon intimité.
Libéré de la fonction active de l’échange, je me suis abandonné aux mouvements de son corps dans le mien, tantôt longs et profonds, tantôt retenus sur les premiers centimètres de mon rectum, stimulant ma prostate… L’alternance lui assure l’endurance pour lentement m’amener au plaisir.
Pour mieux le recevoir en moi, j’ai cambré le dos, rejetant la tête en arrière, pour rouvrir les yeux sur la photographie XXL au mur, avant que les sensations s’intensifient, et me donnent l’impression d’à mon tour m’envoler vers un Paradis qui me serait pourtant interdit…
— Ça va, je suis bien, c’était bon… ai-je répondu, lové contre son corps, en caressant du bout des doigts les poils fins qui courent sur sa poitrine. ‘’Et certains des… nooombreux mecs que tu as honorés ont dû te le dire, tu es très beau, Alex.’’
— Tu l’es aussi, dans le plaisir, Jonas ! Tu t’abandonnes, tu es tellement expressif…
— Trop ? Je ne simule pas, je te jure !
— Je sais, t’inquiète, ça demanderait une concentration dont, sans me vanter, tu ne sembles plus capable. Pas plus que je ne le serais d’imaginer à quoi tu penses pendant qu’on fait l’amour…
— Ce n’est pas clair pour moi non plus, ai-je soupiré. ‘’Sinon qu’à un moment, je me suis imaginé accroché à toi, si beau et fort, qui montais vers les nuages… L’effet de la photo, je suppose’’.
— Oh ! Jonas… Solide et fragile à la fois, comme chantait Goldman, tu… tu plairait à Charles, ça ne te dirait pas de te faire tirer ? Le portrait, je veux dire.
— Tu me jettes dans les bras de ton ex ?
— Sans grand risque, Jonas. Charles est un vantard, il se prétend versatile, mais il est juste un passif absolu au final, et pas un très bon coup, personne ne changera ça.
— Tu doutes de mes capacités, on dirait.
— Hmmm… Même toi, avec ton petit corps de diablotin désirable, et surtout avec ce que tu peux en faire, tu ne changeras pas un baudet en étalon. Mais soit, chiche ? m’a-t-il défié. ‘’Je le contacte’’.
***
— On ne voit pas ton sexe non plus, a soufflé Alex, quand je lui ai montré le portrait que Charles a réalisé, puis photoshopé. ‘’Mais la pose, on dirait le Lucifer de la peinture de Cabanel, je me demande ce qui lui en a donné l’idée… Tu l’as chauffé ?’’
— Même pas.
Ou si peu… C’était hier, mais j’ai déjà oublié… Ah non, tiens, ça me revient, par bribes. Je me suis déshabillé et allongé sur le sol, avec peut-être un regard de défi. Un moment déstabilisé, il s’est ressaisi et a pris quelques clichés, avant de venir corriger ma position… Ensuite, il est possible que je l’aie tiré sur mon corps nu et embrassé… Disons qu’ensuite, il se peut qu’il ait ouvert son pantalon et ait imposé son sexe très moyen à mon intimité, pour une invasion qui m’aurait mis, au mieux, un masque d’indifférence…
Ce dont il se serait alors vengé en choisissant le cliché sur lequel j’arbore l’arrogance la plus méprisante.
Mais c’est juste un scénario possible, et je ne cautionne pas l’humiliation, Alex ne doit même pas le savoir.
— On ne voit pas ton sexe ! ai-je murmuré, devant la photo d’un mètre carré affichée au-dessus de son lit, dans sa chambre, que je découvrais enfin, après les trois premières nuits, passées dans la mienne.
— Charles l’a effacé par photoshop, en me donnant des ailes, il avait dit que je ne perdais pas au change…
— Le photographe ?
— Ouaip ! Et accessoirement, mon ex.
— Il est doué, mais vu… ce que j’ai déjà vu en vrai, et pas que vu, d’ailleurs… ça ne t’avait pas trop vexé ?
— C’est le cadeau d’adieu, après la rupture, d’un mec aigri et rancunier. Mais j’aime la photo, donc, je le suis moins que satisfait de le savoir jaloux que d’autres après lui… eh bien, disons que dans un premier temps, ils calent sur mes pectoraux, qui n’ont pas été retouchés, eux…
J’ai ramené le regard sur son torse, qu’il venait de dénuder, avant de souffler ‘’J’avoue, et dans un deuxième temps ?’’
— Le second effet kiss cool, a-t-il soufflé, en abaissant d’un seul geste son slim et son boxer à mi-cuisse, donnant deux rebonds à son membre lourd.
Comme un rituel, il s’est jeté sur le matelas, le sien, cette fois, en battant doucement des jambes, pour m’inviter à le débarrasser de ses derniers vêtements.
— Tu veux bien… ? a-t-il ensuite suggéré, me tirant de la transe hypnotique que la vue de son corps me met à chaque fois.
— Ah… oui, bien sûr.
Je ne comprendrai jamais vraiment le plaisir qu’il y trouve, mais j’ai embrassé la pulpe de ses longs orteils, pour voir du coin de l’œil ce que la caresse étrange provoque rapidement près d’un mètre plus haut, puis remonté ses mollets, et l’intérieur de ses cuisses de mes lèvres, que j’ai ensuite délicatement refermées sous la couronne de son gland.
— Alex… A-attends, ai-je ahané, empalé sur la moitié de son mât, le souffle court. J’ai tendu la main vers le flacon de poppers sur la table de chevet, pour le déboucher et sniffer plusieurs fois le vasodilatateur, qui a lentement calmé ma respiration erratique et détendu mes muscles, en plus de l’effet désinhibant, moins utile.
Après cinq minutes de chevauchée – ou peut-être juste deux, comment dire ? – il m’a empoigné le bassin de ses grandes mains et m’a maintenu enfoncé sur lui, pour nous retourner sur le lit, remonter mes jambes sur sa taille, et reprendre – mais cette fois à son rythme – la possession de mon intimité.
Libéré de la fonction active de l’échange, je me suis abandonné aux mouvements de son corps dans le mien, tantôt longs et profonds, tantôt retenus sur les premiers centimètres de mon rectum, stimulant ma prostate… L’alternance lui assure l’endurance pour lentement m’amener au plaisir.
Pour mieux le recevoir en moi, j’ai cambré le dos, rejetant la tête en arrière, pour rouvrir les yeux sur la photographie XXL au mur, avant que les sensations s’intensifient, et me donnent l’impression d’à mon tour m’envoler vers un Paradis qui me serait pourtant interdit…
— Ça va, je suis bien, c’était bon… ai-je répondu, lové contre son corps, en caressant du bout des doigts les poils fins qui courent sur sa poitrine. ‘’Et certains des… nooombreux mecs que tu as honorés ont dû te le dire, tu es très beau, Alex.’’
— Tu l’es aussi, dans le plaisir, Jonas ! Tu t’abandonnes, tu es tellement expressif…
— Trop ? Je ne simule pas, je te jure !
— Je sais, t’inquiète, ça demanderait une concentration dont, sans me vanter, tu ne sembles plus capable. Pas plus que je ne le serais d’imaginer à quoi tu penses pendant qu’on fait l’amour…
— Ce n’est pas clair pour moi non plus, ai-je soupiré. ‘’Sinon qu’à un moment, je me suis imaginé accroché à toi, si beau et fort, qui montais vers les nuages… L’effet de la photo, je suppose’’.
— Oh ! Jonas… Solide et fragile à la fois, comme chantait Goldman, tu… tu plairait à Charles, ça ne te dirait pas de te faire tirer ? Le portrait, je veux dire.
— Tu me jettes dans les bras de ton ex ?
— Sans grand risque, Jonas. Charles est un vantard, il se prétend versatile, mais il est juste un passif absolu au final, et pas un très bon coup, personne ne changera ça.
— Tu doutes de mes capacités, on dirait.
— Hmmm… Même toi, avec ton petit corps de diablotin désirable, et surtout avec ce que tu peux en faire, tu ne changeras pas un baudet en étalon. Mais soit, chiche ? m’a-t-il défié. ‘’Je le contacte’’.
***
— On ne voit pas ton sexe non plus, a soufflé Alex, quand je lui ai montré le portrait que Charles a réalisé, puis photoshopé. ‘’Mais la pose, on dirait le Lucifer de la peinture de Cabanel, je me demande ce qui lui en a donné l’idée… Tu l’as chauffé ?’’
— Même pas.
Ou si peu… C’était hier, mais j’ai déjà oublié… Ah non, tiens, ça me revient, par bribes. Je me suis déshabillé et allongé sur le sol, avec peut-être un regard de défi. Un moment déstabilisé, il s’est ressaisi et a pris quelques clichés, avant de venir corriger ma position… Ensuite, il est possible que je l’aie tiré sur mon corps nu et embrassé… Disons qu’ensuite, il se peut qu’il ait ouvert son pantalon et ait imposé son sexe très moyen à mon intimité, pour une invasion qui m’aurait mis, au mieux, un masque d’indifférence…
Ce dont il se serait alors vengé en choisissant le cliché sur lequel j’arbore l’arrogance la plus méprisante.
Mais c’est juste un scénario possible, et je ne cautionne pas l’humiliation, Alex ne doit même pas le savoir.
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