16-02-2024, 04:29 AM
Troisième : 10 mots, Saint Valentin !
démoniaque
mirifique
bizance
comateux
dubitatif
gâteux
auréolé
polisson
cacophonie
glamour
«Vous souvenez-vous de Maître Abélard et de son aventure avec la tendre et belle Héloïse? L'oncle de la jeune fille aidé de ses amis fit bien voir son courroux aux deux amants : il était farouchement opposé à leur union. Le pauvre professeur de Mathématiques en eut le souffle coupé et, d'après la chronique, pas que le souffle.
Au 20e siècle, Jean Dutourd, fort célèbre érudit, Académicien, grande gueule et Grosse Tête chez Bouvard sur RTL de 16 à 18, raconte : étudiant les Belles Lettres en Sorbonne, je me faisais un peu de "gras" en travaillant chez un patron qui vendait des pianos rue de Rivoli à Paris. Ne voilà-t-il pas qu'un client pousse la porte et me demande : "Bonjour monsieur, je désirerais un piano mais un quart de queue coupé car je n'ai pas beaucoup de place.
-Certainement, monsieur, nous avons justement un fort beau modèle. Venez, je vous le montre."
Chemin faisant vers le fond du magasin, près de la caisse où se trouvait le patron, Jean confie à son client : "Chez nous, monsieur, nous donnons des noms aux différents types de nos pianos. C'est celui-ci que vous désirez. Nous l'avons appelé «Abélard».
Le patron, en s'excusant auprès du client, m'interrompt alors et me prie de le suivre dans la réserve. Dix minutes plus tard, on voit un jeune étudiant tout habillé sortir par la porte donnant sur la cour...
Mais quel rapport avec la suite, me direz-vous? Patience, nous y voilà. Il y avait autrefois, fin 19e-début 20e, une honorable famille d'origine Kazakh mais depuis longtemps établie en France : un jeune couple et le frère de monsieur. Leur patronyme était Niaque. Le couple eut un fils que ses parents prénommèrent Démo, courant chez eux en Kazakhie. Tous les voisins s'extasièrent en venant admirer le poupon, le tout récent Démo Niaque. Mais hélas, le papa décéda brusquement et le chagrin fut très partagé. Seulement voilà : six mois plus tard, une mirifique idée germa dans l'esprit de la pauvre femme. Puisqu'il fallait un père au petit Démo, pourquoi ne pas épouser son beau frère Arma? Ainsi, une seconde union forma une nouvelle famille entre Arma Niaque et la mère du petit. Et puis, pendant qu'on y était, un nouveau petit vint montrer le bout de son nez dix mois plus tard. Ses parents le nommèrent Ammo. Démo et Ammo étaient donc demi-frères et , tout naturellement, se ressemblaient : n'est pas Niaque qui veut! la nouvelle famille vivait honnêtement même si ce n'était pas Byzance tous les jours. Arma avait trouvé un poste au Crédit Municipal (Décidément...!) : il accueillait les clients et leur indiquait le guichet idoine en fonction de leurs apports.
Un jour, Simo, un lointain cousin, s'échappa du pays d'Asie et s'en vint s'établir dans la même rue qu'Arma et son épouse. Il venait, accompagné de son fils, Insom qui, bien entendu, s'appelait aussi Niaque. Il était veuf, hélas, fichu destin!
Tout ce petit monde vivait tranquillement, Simo, ayant la bosse savante, était co-mateux et donnait des leçons particulières de cette discipline aux jeunes lycéens des environs. Puis, avec son garçon, il vint s'établir dans le même immeuble que ses lointains parents.
Les enfants grandissaient, devenaient ados puis, peu à peu, s'intéressaient, comme quasi tous les jeunes gars, à ce qui se développait sur leurs corps. Quand Ammo atteignit sa dix-huitième année, son frère aîné et leur cousin en avaient dix-neuf. Autant dire qu'ils ne s'ennuyaient pas tous les trois, comparant, s'exerçant sans être le moins du monde dubitatifs. Ce mot, d'ailleurs, les amusait beaucoup. Le facétieux Ammo, le plus jeune et peut-être le plus doué, en avait composé un nom noble : Monsieur du Bite à Tifs, ce qui correspondait très bien à ce qu'ils possédaient, étant bruns de tignasse et assez précoces de ce côté.
Je ne vous ferai pas un dessin de leurs activités spéciales auxquelles ils s'adonnaient très régulièrement dès qu'ils avaient un moment de liberté dans un coin tranquille. Mais ils agissaient toujours avec beaucoup de doigté, à la grande joie du récipiendaire de ces réjouissantes attentions. Ah, mes amis, ils y mettaient du cœur...et du reste, pas gâteux pour deux sous et les initiatives étaient auréolées de compliments bien sentis avec grand désir de recommencer pareil exercice. Ils se permettaient des positions parfois très acrobatiques et inédites , prenant des risques polissons, émettant aussi des sons pas toujours polis que ma bonne éducation m'interdit de reporter ici. Et, un jour que tous les parents avaient quitté la maison leur recommandant de s'atteler à leurs devoirs, ils "s'attelèrent", en effet, suivant les recommandations parentales, mais pas vraiment à leur travail de lycée ou de faculté. Quelle cacophonie retentit alors : des Ohhh... des Ahhhh, des "vas-y plus fort" des "encore" si bien qu'au bout d'une bonne heure trente, épuisés, trois loustics allongés sur le grand lit, affichant un sourire banane, savouraient leur effort passé en se caressant réciproquement de manière très très glamour.
Serait-ce la faute d'un trop joli cucupidon ? »
démoniaque
mirifique
bizance
comateux
dubitatif
gâteux
auréolé
polisson
cacophonie
glamour
«Vous souvenez-vous de Maître Abélard et de son aventure avec la tendre et belle Héloïse? L'oncle de la jeune fille aidé de ses amis fit bien voir son courroux aux deux amants : il était farouchement opposé à leur union. Le pauvre professeur de Mathématiques en eut le souffle coupé et, d'après la chronique, pas que le souffle.
Au 20e siècle, Jean Dutourd, fort célèbre érudit, Académicien, grande gueule et Grosse Tête chez Bouvard sur RTL de 16 à 18, raconte : étudiant les Belles Lettres en Sorbonne, je me faisais un peu de "gras" en travaillant chez un patron qui vendait des pianos rue de Rivoli à Paris. Ne voilà-t-il pas qu'un client pousse la porte et me demande : "Bonjour monsieur, je désirerais un piano mais un quart de queue coupé car je n'ai pas beaucoup de place.
-Certainement, monsieur, nous avons justement un fort beau modèle. Venez, je vous le montre."
Chemin faisant vers le fond du magasin, près de la caisse où se trouvait le patron, Jean confie à son client : "Chez nous, monsieur, nous donnons des noms aux différents types de nos pianos. C'est celui-ci que vous désirez. Nous l'avons appelé «Abélard».
Le patron, en s'excusant auprès du client, m'interrompt alors et me prie de le suivre dans la réserve. Dix minutes plus tard, on voit un jeune étudiant tout habillé sortir par la porte donnant sur la cour...
Mais quel rapport avec la suite, me direz-vous? Patience, nous y voilà. Il y avait autrefois, fin 19e-début 20e, une honorable famille d'origine Kazakh mais depuis longtemps établie en France : un jeune couple et le frère de monsieur. Leur patronyme était Niaque. Le couple eut un fils que ses parents prénommèrent Démo, courant chez eux en Kazakhie. Tous les voisins s'extasièrent en venant admirer le poupon, le tout récent Démo Niaque. Mais hélas, le papa décéda brusquement et le chagrin fut très partagé. Seulement voilà : six mois plus tard, une mirifique idée germa dans l'esprit de la pauvre femme. Puisqu'il fallait un père au petit Démo, pourquoi ne pas épouser son beau frère Arma? Ainsi, une seconde union forma une nouvelle famille entre Arma Niaque et la mère du petit. Et puis, pendant qu'on y était, un nouveau petit vint montrer le bout de son nez dix mois plus tard. Ses parents le nommèrent Ammo. Démo et Ammo étaient donc demi-frères et , tout naturellement, se ressemblaient : n'est pas Niaque qui veut! la nouvelle famille vivait honnêtement même si ce n'était pas Byzance tous les jours. Arma avait trouvé un poste au Crédit Municipal (Décidément...!) : il accueillait les clients et leur indiquait le guichet idoine en fonction de leurs apports.
Un jour, Simo, un lointain cousin, s'échappa du pays d'Asie et s'en vint s'établir dans la même rue qu'Arma et son épouse. Il venait, accompagné de son fils, Insom qui, bien entendu, s'appelait aussi Niaque. Il était veuf, hélas, fichu destin!
Tout ce petit monde vivait tranquillement, Simo, ayant la bosse savante, était co-mateux et donnait des leçons particulières de cette discipline aux jeunes lycéens des environs. Puis, avec son garçon, il vint s'établir dans le même immeuble que ses lointains parents.
Les enfants grandissaient, devenaient ados puis, peu à peu, s'intéressaient, comme quasi tous les jeunes gars, à ce qui se développait sur leurs corps. Quand Ammo atteignit sa dix-huitième année, son frère aîné et leur cousin en avaient dix-neuf. Autant dire qu'ils ne s'ennuyaient pas tous les trois, comparant, s'exerçant sans être le moins du monde dubitatifs. Ce mot, d'ailleurs, les amusait beaucoup. Le facétieux Ammo, le plus jeune et peut-être le plus doué, en avait composé un nom noble : Monsieur du Bite à Tifs, ce qui correspondait très bien à ce qu'ils possédaient, étant bruns de tignasse et assez précoces de ce côté.
Je ne vous ferai pas un dessin de leurs activités spéciales auxquelles ils s'adonnaient très régulièrement dès qu'ils avaient un moment de liberté dans un coin tranquille. Mais ils agissaient toujours avec beaucoup de doigté, à la grande joie du récipiendaire de ces réjouissantes attentions. Ah, mes amis, ils y mettaient du cœur...et du reste, pas gâteux pour deux sous et les initiatives étaient auréolées de compliments bien sentis avec grand désir de recommencer pareil exercice. Ils se permettaient des positions parfois très acrobatiques et inédites , prenant des risques polissons, émettant aussi des sons pas toujours polis que ma bonne éducation m'interdit de reporter ici. Et, un jour que tous les parents avaient quitté la maison leur recommandant de s'atteler à leurs devoirs, ils "s'attelèrent", en effet, suivant les recommandations parentales, mais pas vraiment à leur travail de lycée ou de faculté. Quelle cacophonie retentit alors : des Ohhh... des Ahhhh, des "vas-y plus fort" des "encore" si bien qu'au bout d'une bonne heure trente, épuisés, trois loustics allongés sur le grand lit, affichant un sourire banane, savouraient leur effort passé en se caressant réciproquement de manière très très glamour.
Serait-ce la faute d'un trop joli cucupidon ? »
Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
à chacun son histoire bis (mais ici ce sont des anciennes (g@y-tous styles) ) (slygame.fr)
La "hot" du père Noël ! (GAY-ADO-OS) (slygame.fr)
Piscine...et plaisir aqueux (OS-minet-gay) (slygame.fr)
-La tête dans les étoiles (aquatique)-(fanfiction - gay - humour) (slygame.fr)
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