10-02-2024, 01:14 PM
Huitième défi phrasette
— Merde ! Qui est l'andouille qui m'a piqué mes affaires ? s'exclama Dominique en sortant de la douche de l’internat…
Il avait juste entrouvert le rideau et passé la tête, ruisselant car on lui avait aussi piqué sa serviette. Il vit les cinq gars hilares qui se douchaient avec lui, entièrement nus. L’un d’entre eux, appelé Ryan, tenait à la main le sous-vêtement et le montrait aux autres en disant :
— Il est très sexy ton slip blanc.
— Oui, fit Dominique, mais cela ne doit pas vous empêcher de me le rendre, je vous donnerai l’adresse du site où vous pourrez acheter le même.
— Ce n’est pas vraiment le slip qui nous intéresse, plutôt ce qu’il contient.
— C’est du bizutage et le bizutage est interdit.
— On sait, dit un nommé Nathaniel. Encore un qui veut faire du droit. Tu veux déposer plainte ? Jusqu’à la Cour suprême ? Tu n’as pas de couilles ?
— Au propre ou au figuré ? fit un autre en riant.
— Écoute, reprit Ryan, cette école existe depuis deux cents ans, c’est une des dernières du pays qui n’est pas mixte, on doit contrôler si tu as des couilles, c’est la tradition, sinon, qui le fera ? La fille du directeur ?
— Surtout avec ton prénom épicène, ajouta Nathaniel, c’est louche, il y a une femme qui s’était inscrite il y a quelques années, cela a fait scandale lorsqu’elle a été découverte.
— L’infirmière a déjà contrôlé cet après-midi, dit Dominique, je t’assure que j’en ai deux.
— Tu as aimé quand elle t’a tripoté ? Elle t’a fait jouir ?
Dominique commençait à se rendre compte de sa maladresse. Ryan expliqua :
— Les douches n’ont jamais eu de rideaux, je ne sais pas ce qui a pris l’architecte qui les a rénovées pendant les vacances.
— Un commando est prévu la nuit prochaine pour les arracher, dit Nathaniel.
— Les surveillants ne diront rien ? s’étonna Dominique.
— Ils sont bien trop contents de venir nous mater quand on se lave le cul.
Dominique eut une idée : il allait sortir en cachant sa bite avec les mains, ils n’oseraient pas le toucher, cela aurait été une agression sexuelle. Il ouvrit le rideau.
— C’est déjà mieux, fit Ryan, encore un petit effort. On voit bien que tu bandes et ça ne va choquer personne.
— Vous êtes… balbutia Dominique, tous gays ?
— Pas du tout, mais connais-tu un gars normalement constitué tenir trois mois sans bander et se branler ?
Les cinq twinks prirent leurs bites dans leurs mains et débutèrent des caresses énergiques. Dominique abandonna toute pudeur et montra la sienne, suscitant quelques cris d’admiration car c’était lui qui avait la plus grosse. Ryan fit amende honorable :
— Je me suis trompé à ton sujet, d’habitude ce sont les puceaux peu membrés qui renâclent. Certains mettaient même un slip de bain lorsqu’il n’y avait pas de rideaux.
Dominique ne précisa pas qu’il était aussi puceau et que c’était la première fois que quelqu’un d’autre voyait son pénis bandé. À ce moment-là, un surveillant entra et dit :
— Messieurs, je vous rappelle qu’il est interdit de se branler dans les douches et, accessoirement, de traumatiser les bleus.
— Oui, Monsieur, dit Ryan, comment faites-vous pour arriver toujours au bon moment pour nous le dire ?
— C’était facile de deviner que vous alliez demander au nouveau de vous montrer ses couilles et je vois qu’il va faire sensiblement remonter la moyenne qui avait malheureusement tendance à baisser ces dernières années. Allez vous habiller, le repas va bientôt être servi.
Dominique venait d’arriver dans cette école en cours d’année scolaire, un dimanche après les vacances de Pâques, et il avait tout à apprendre. Il partageait la chambre de Dorian, son mentor, âgé de deux ans de plus que lui. Ils passèrent leur uniforme qui était obligatoire pour le diner.
Ce ne fut qu’après le repas, excellent pour de la cuisine anglaise, que les deux colocataires sortirent se promener dans le parc, profitant de la douce chaleur printanière, et qu’ils eurent le temps de discuter.
— Je suis désolé pour ce qui s’est passé, dit Dorian.
— Tu n’y peux rien, c’est la tradition.
— Je ne suis pas désolé pour cela, j’aurais dû t’avertir avant, je ne savais pas qu’il y avait des rideaux. Autrefois, cela t’aurait paru plus naturel de te retrouver nu en présence des autres et tu n’aurais pas eu cette réaction.
— Tu dois comprendre, j’étais dans une école catholique avant de venir ici et les règles étaient devenues très strictes, pour ne pas soumettre les prêtres à la tentation.
— Je comprends parfaitement. En passant, tu as vraiment une belle bite et je ne m’offusquerais pas de la revoir, si tu le désirais, évidemment.
Après leur promenade, les jeunes gens ôtèrent leur uniforme et se couchèrent sur leurs lits en ne gardant que leurs sous-vêtements. Dorian allait mettre son casque pour écouter de la musique lorsque Dominique l’interrompit :
— C’est vrai que tu as envie de revoir ma bite ?
— Le rôle d’un mentor est de s’assurer du bien-être de la personne dont il s’occupe et je pense que la sexualité en fait partie. Comme l’a dit Ryan, tout le monde se branle dans cette école, alors, pourquoi se cacher pour le faire, même si l’on n’est pas gay ?
Dominique sortit son sexe dressé de son slip blanc, rassuré par la bienveillance de Dorian qui fit de même, l’incitant à prendre tout son temps avant d’atteindre l’orgasme, ce qui ne réussit pas cette première fois.
*********************
Quelques mois plus tard, c’était l’avant-dernier jour avant les vacances d’été. Dominique et Dorian se promenaient à nouveau dans le parc, profitant de la douce chaleur du début de l’été. Le mentor avait réussi ses examens et allait quitter l’école pour l’université alors que Dominique avait encore deux ans à tirer.
— Tu vas passer l’été seul ? demanda Dominique à Dorian.
— Oui, être coincé des heures dans un avion avec mes parents pour un safari au Kenya, très pour moi. Et toi ?
— Les miens vont au Japon, cette culture m’est étrangère et je ne les accompagne pas non plus. Toujours seul, sentimentalement je veux dire ?
— Ouais, fit Dorian, aux vacances de Pâques, ma mère m’a incité à me trouver enfin une petite amie, jusqu’à présent je disais que mes études avaient la priorité. Elle avait même invité une des ses connaissances avec sa fille, très charmante, mais j’ai été maladroit avec elle et nous n’avons même pas échangé nos coordonnées. Et toi ?
— Aussi seul, à moins que…
Ils marchèrent quelques instants en silence, puis Dominique dit :
— J’aimerais te demander quelque chose, je n’ai jamais osé.
— Bien sûr, tu sais que tu peux tout me dire.
— Es-tu… gay ?
— Il t’a fallu trois mois pour que tu t’en aperçoives, tu aurais dû écouter les ragots. Oui je suis gay, et toi ?
— Moi aussi.
— On disait que nous baisions tous les soirs ensemble, mais finalement ce n’était pas vrai, on s’est contentés de se branler.
— On a beaucoup progressé dans ce domaine et je suis devenu un champion du contrôle de l’éjaculation grâce à tes conseils, fit Dominique, mais tu aurais pu me proposer… autre chose.
— Il fallait nous concentrer d’abord sur nos études, c’était le plus important. Je ne voulais pas te donner un mauvais exemple comme mentor.
Dominique regretta le temps perdu, mais Dorian avait eu raison. Ils marchèrent jusqu’à l’orée du jardin, où se trouvaient quelques buissons.
— Tu fais quoi cet été ? demanda Dorian.
— J’ai acheté un pass Interrail et je vais parcourir l’Europe : Paris, Rome, Vienne, Berlin, Berne.
— Tu seras à l’hôtel ou l’auberge de jeunesse ?
— À l’hôtel, j’ai tout réservé, pas des cinq étoiles, mais toujours avec un grand lit. Et toi, quel est ton programme ?
— Ce sera plus sportif : des randonnées en Écosse, nous avons eu un bon entrainement dans cette école. Ma tente a deux places, en se serrant un peu. Tu viens avec moi ?
— Merci de l’invitation. Et toi, tu es partant pour la découverte de l’Europe ?
Dorian ne répondit pas, il entraina Dominique derrière les buissons sans dire un mot et le prit dans ses bras pour échanger un long baiser.
— Merde ! Qui est l'andouille qui m'a piqué mes affaires ? s'exclama Dominique en sortant de la douche de l’internat…
Il avait juste entrouvert le rideau et passé la tête, ruisselant car on lui avait aussi piqué sa serviette. Il vit les cinq gars hilares qui se douchaient avec lui, entièrement nus. L’un d’entre eux, appelé Ryan, tenait à la main le sous-vêtement et le montrait aux autres en disant :
— Il est très sexy ton slip blanc.
— Oui, fit Dominique, mais cela ne doit pas vous empêcher de me le rendre, je vous donnerai l’adresse du site où vous pourrez acheter le même.
— Ce n’est pas vraiment le slip qui nous intéresse, plutôt ce qu’il contient.
— C’est du bizutage et le bizutage est interdit.
— On sait, dit un nommé Nathaniel. Encore un qui veut faire du droit. Tu veux déposer plainte ? Jusqu’à la Cour suprême ? Tu n’as pas de couilles ?
— Au propre ou au figuré ? fit un autre en riant.
— Écoute, reprit Ryan, cette école existe depuis deux cents ans, c’est une des dernières du pays qui n’est pas mixte, on doit contrôler si tu as des couilles, c’est la tradition, sinon, qui le fera ? La fille du directeur ?
— Surtout avec ton prénom épicène, ajouta Nathaniel, c’est louche, il y a une femme qui s’était inscrite il y a quelques années, cela a fait scandale lorsqu’elle a été découverte.
— L’infirmière a déjà contrôlé cet après-midi, dit Dominique, je t’assure que j’en ai deux.
— Tu as aimé quand elle t’a tripoté ? Elle t’a fait jouir ?
Dominique commençait à se rendre compte de sa maladresse. Ryan expliqua :
— Les douches n’ont jamais eu de rideaux, je ne sais pas ce qui a pris l’architecte qui les a rénovées pendant les vacances.
— Un commando est prévu la nuit prochaine pour les arracher, dit Nathaniel.
— Les surveillants ne diront rien ? s’étonna Dominique.
— Ils sont bien trop contents de venir nous mater quand on se lave le cul.
Dominique eut une idée : il allait sortir en cachant sa bite avec les mains, ils n’oseraient pas le toucher, cela aurait été une agression sexuelle. Il ouvrit le rideau.
— C’est déjà mieux, fit Ryan, encore un petit effort. On voit bien que tu bandes et ça ne va choquer personne.
— Vous êtes… balbutia Dominique, tous gays ?
— Pas du tout, mais connais-tu un gars normalement constitué tenir trois mois sans bander et se branler ?
Les cinq twinks prirent leurs bites dans leurs mains et débutèrent des caresses énergiques. Dominique abandonna toute pudeur et montra la sienne, suscitant quelques cris d’admiration car c’était lui qui avait la plus grosse. Ryan fit amende honorable :
— Je me suis trompé à ton sujet, d’habitude ce sont les puceaux peu membrés qui renâclent. Certains mettaient même un slip de bain lorsqu’il n’y avait pas de rideaux.
Dominique ne précisa pas qu’il était aussi puceau et que c’était la première fois que quelqu’un d’autre voyait son pénis bandé. À ce moment-là, un surveillant entra et dit :
— Messieurs, je vous rappelle qu’il est interdit de se branler dans les douches et, accessoirement, de traumatiser les bleus.
— Oui, Monsieur, dit Ryan, comment faites-vous pour arriver toujours au bon moment pour nous le dire ?
— C’était facile de deviner que vous alliez demander au nouveau de vous montrer ses couilles et je vois qu’il va faire sensiblement remonter la moyenne qui avait malheureusement tendance à baisser ces dernières années. Allez vous habiller, le repas va bientôt être servi.
Dominique venait d’arriver dans cette école en cours d’année scolaire, un dimanche après les vacances de Pâques, et il avait tout à apprendre. Il partageait la chambre de Dorian, son mentor, âgé de deux ans de plus que lui. Ils passèrent leur uniforme qui était obligatoire pour le diner.
Ce ne fut qu’après le repas, excellent pour de la cuisine anglaise, que les deux colocataires sortirent se promener dans le parc, profitant de la douce chaleur printanière, et qu’ils eurent le temps de discuter.
— Je suis désolé pour ce qui s’est passé, dit Dorian.
— Tu n’y peux rien, c’est la tradition.
— Je ne suis pas désolé pour cela, j’aurais dû t’avertir avant, je ne savais pas qu’il y avait des rideaux. Autrefois, cela t’aurait paru plus naturel de te retrouver nu en présence des autres et tu n’aurais pas eu cette réaction.
— Tu dois comprendre, j’étais dans une école catholique avant de venir ici et les règles étaient devenues très strictes, pour ne pas soumettre les prêtres à la tentation.
— Je comprends parfaitement. En passant, tu as vraiment une belle bite et je ne m’offusquerais pas de la revoir, si tu le désirais, évidemment.
Après leur promenade, les jeunes gens ôtèrent leur uniforme et se couchèrent sur leurs lits en ne gardant que leurs sous-vêtements. Dorian allait mettre son casque pour écouter de la musique lorsque Dominique l’interrompit :
— C’est vrai que tu as envie de revoir ma bite ?
— Le rôle d’un mentor est de s’assurer du bien-être de la personne dont il s’occupe et je pense que la sexualité en fait partie. Comme l’a dit Ryan, tout le monde se branle dans cette école, alors, pourquoi se cacher pour le faire, même si l’on n’est pas gay ?
Dominique sortit son sexe dressé de son slip blanc, rassuré par la bienveillance de Dorian qui fit de même, l’incitant à prendre tout son temps avant d’atteindre l’orgasme, ce qui ne réussit pas cette première fois.
*********************
Quelques mois plus tard, c’était l’avant-dernier jour avant les vacances d’été. Dominique et Dorian se promenaient à nouveau dans le parc, profitant de la douce chaleur du début de l’été. Le mentor avait réussi ses examens et allait quitter l’école pour l’université alors que Dominique avait encore deux ans à tirer.
— Tu vas passer l’été seul ? demanda Dominique à Dorian.
— Oui, être coincé des heures dans un avion avec mes parents pour un safari au Kenya, très pour moi. Et toi ?
— Les miens vont au Japon, cette culture m’est étrangère et je ne les accompagne pas non plus. Toujours seul, sentimentalement je veux dire ?
— Ouais, fit Dorian, aux vacances de Pâques, ma mère m’a incité à me trouver enfin une petite amie, jusqu’à présent je disais que mes études avaient la priorité. Elle avait même invité une des ses connaissances avec sa fille, très charmante, mais j’ai été maladroit avec elle et nous n’avons même pas échangé nos coordonnées. Et toi ?
— Aussi seul, à moins que…
Ils marchèrent quelques instants en silence, puis Dominique dit :
— J’aimerais te demander quelque chose, je n’ai jamais osé.
— Bien sûr, tu sais que tu peux tout me dire.
— Es-tu… gay ?
— Il t’a fallu trois mois pour que tu t’en aperçoives, tu aurais dû écouter les ragots. Oui je suis gay, et toi ?
— Moi aussi.
— On disait que nous baisions tous les soirs ensemble, mais finalement ce n’était pas vrai, on s’est contentés de se branler.
— On a beaucoup progressé dans ce domaine et je suis devenu un champion du contrôle de l’éjaculation grâce à tes conseils, fit Dominique, mais tu aurais pu me proposer… autre chose.
— Il fallait nous concentrer d’abord sur nos études, c’était le plus important. Je ne voulais pas te donner un mauvais exemple comme mentor.
Dominique regretta le temps perdu, mais Dorian avait eu raison. Ils marchèrent jusqu’à l’orée du jardin, où se trouvaient quelques buissons.
— Tu fais quoi cet été ? demanda Dorian.
— J’ai acheté un pass Interrail et je vais parcourir l’Europe : Paris, Rome, Vienne, Berlin, Berne.
— Tu seras à l’hôtel ou l’auberge de jeunesse ?
— À l’hôtel, j’ai tout réservé, pas des cinq étoiles, mais toujours avec un grand lit. Et toi, quel est ton programme ?
— Ce sera plus sportif : des randonnées en Écosse, nous avons eu un bon entrainement dans cette école. Ma tente a deux places, en se serrant un peu. Tu viens avec moi ?
— Merci de l’invitation. Et toi, tu es partant pour la découverte de l’Europe ?
Dorian ne répondit pas, il entraina Dominique derrière les buissons sans dire un mot et le prit dans ses bras pour échanger un long baiser.
Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
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