28-01-2024, 01:32 PM
Sixième défi phrasette.
Merde ! Qui est l'andouille qui m'a piqué mes affaires ? s'exclama Dominique en sortant de la douche de l'internat... Oh merde, comment je vais faire dit-elle en revenant dans la douche en pleur.
Il faut dire que dans cet internat, les douches sont séparées de simples cloisons sans porte et c'est dans un vestiaire commun qu'on se déshabille pour y aller, puis qu'on se rhabille après. Mais comme Dominique est très pudique, elle choisit d'aller à la douche avant ou après les autres.
Un quart d'heure plus tard, Corine entre dans le vestiaire et entend les pleurs.
— C'est toi Dominique ?
— Ouiiiiii
— Pourquoi tu pleures, tu t'es fait mal ?
— Non, on m'a fauché mes affaires !
— Oh merde ! Mais tu ne vas pas rester toute la nuit ici ! Je pourrai t'emmener une serviette pour que tu rejoignes notre chambre. Tien il y a peut-être une blouse ou quelque-chose pour se couvrir dans ce placard.
Corine ouvre la porte du placard.
— Hé ! Qu'est-ce que tu fais dedans toi ?
— J'étais venu voir Dominique...
Pif ! Paf !
— Ici !
— Ben ... oui, j'avais trop ...
— Arnaud, c'est toi ?
— Oui, Domi, j'avais envie de te voir.
Dominique sort de la douche en colère.
— Alors, c'est toi le salaud qui m'a fauché mes affaires !
— Je te les aurai rendues ...
— Et tu voulais me voir ici dans la douche !
Pif !
— Et bien puisque j'en suis sortie, tu les voies mes nichons ?
Paf !
— Et tu vois aussi ce qu'il y a un peu plus bas ? Maintenant dégage, espèce de voyeur !
Arnaud se met à pleurer.
— Domi, te fâche pas, je t'aime.
Une surveillante arrive.
— Hé bien, qu'est-ce que c'est que ce raffut ? Tien, un revenant ! Monsieur Deloric, peut-on savoir ce que vous faites ici ?
— Ben, j'étais venu voir ma copine Dominique ...
— Ici ?
— Ben ... oui.
— Et vous n'avez pas relu les affiches à l'entrée du bâtiment et en bas de l'escalier ?
— Quelles affiches ?
— Celles qui concernent la présence des garçons dans ce bâtiment. Monsieur Deloric dois-je vous rappeler qu'un conseil de discipline a déjà prononcé à votre encontre une retenue d'un week-end dans le lycée parce que vous étiez venu dans un dortoir des filles.
— Mais cette fois-ci, je ne suis pas allé au dortoir.
— En effet, monsieur Deloric, il faudra peut-être préciser juste pour vous que l'interdiction concerne la totalité des étages d'hébergement des filles, y compris les douches. Seul le rez de chaussée reste accessible à tous et toutes.
— Justement, c'est pas juste. Dans notre bâtiment, il n'y a pas d'affiche pour empêcher les filles de monter nous voir. C'est de la discrimination, ça !
— Et elle viennent vous voir ?
— Non, en fait, elles n'osent pas.
— Peut-être aussi qu'elle respectent votre intimité et qu'elles ne cherchent pas à vous déranger lorsque vous êtes entre garçons ni à venir vous observer lorsque vous vous déshabillez pour prendre une douche.
— Peut-être mais si on n'était pas obligés de rester entre garçons ...
— Certes, mais vous êtes ici pour étudier. Garçon et filles, vous vous voyez dans la journée. En plus, monsieur Deloric vous êtes dans la même classe que mademoiselle Letrangé si ne me trompe pas.
— Oui, on est même en binôme et on doit préparer un exposé ensemble.
— Hé bien, ce sera une occasion pour vous revoir. En attendant, veuillez retourner à votre bâtiment, mais laissez moi votre téléphone, je dois vérifier si vous n'avez pas fait de prise de vue indiscrète et faire un rapport au sujet de votre passage ici.
— Hé, c'est mon téléphone, vous n'avez pas le droit, c'est du vol !
— Juste un emprunt. Vous pourrez passer au bureau du CPE à partir de demain après-midi pour le récupérer.
— Je peux faire un bisou à Dominique avant de partir ?
Plaf !
— Oh Arnaud, pour un bisou, il n'y a pas besoin de main baladeuse sur la poitrine !
— Dominique, je t'aime.
— Ah, tu dis l'aimer. Mais ça ne t'as pas empêché de planquer ses affaires. Et lorsqu'elle s'est retrouvée désemparée, tu n'as même pas eu le courage de venir la réconforter. Il a fallu qu'après plus d'un quart d'heure sans la voir revenir je vienne ici pour m'apercevoir qu'elle pleurait dans la douche. Et toi, pendant ce temps là, tu restais bien caché dans le placard.
— De toutes façon, vous les filles, vous chialez tout le temps ...
— Et toi, petit con ? C'est pas ce que tu as commencé à faire après avoir reçu 2 paires de gifles ? Et ce qui coule de tes yeux en ce moment pendant que je te regarde, c'est parce que tu as épluché des oignons avant de venir ou parce que malgré tout, les reproches que tu entends ne te laissent pas indifférent, ce qui au passage est une preuve d'humanité ?
— Eh bien, monsieur Deloric, ce que vient de dire mademoiselle Chamberle apporte des informations qui ne sont pas en votre faveur. Il faudra entendre la version de chacun et chacune demain, mais pour l'instant, il est temps pour vous de rejoindre votre dortoir.
— (en pleurant) Oh merde, vous faites chier !
— Eh bien pour cela monsieur Deloric, vous savez que l'internat des garçons dispose de toilettes à tous les étages et en cas d'extrême urgence, vous avez aussi le droit d'utiliser celle du rez de chaussée de ce bâtiment puisque vous y êtes.
— Je m'en vais. Bonne nuit les filles, au revoir madame.
— Bonne nuit Arnaud, même si je ne suis pas sure de très bien dormir après ce qui s'est passé.
— Bon, mademoiselle Chamberle, je compte sur vous pour réconforter mademoiselle Letrangé après ce qui s'est passé. Je sais que vous vous entendez bien toutes les deux. On reparlera de cette histoire demain. Bonne nuit, surtout pour toi Dominique.
La surveillante partie Dominique se blottit contre Corine, la tête contre son épaule. Elle pleure un peu, mais les caresses dans le dos et à la nuque de Corine l'apaisent. Elle aussi se met à caresser le dos de Corine et y prend plaisir.
les deux filles finissent par se regarder et finalement se sourient mutuellement.
— Ça va mieux ?
— Oui, heureusement que tu es là.
Pendant qu'elle se sourient, les 2 bouches se rapprochent. Contact.
Finalement, ce sont les langues qui s'emmêlent et semblent trouver du plaisir à danser un petit slow improvisé.
Enfin, les bouches se séparent, le deux filles affichent un sourire rayonnant.
— Bon, il est temps de rejoindre le dortoir.
— Oui, allons y.
— Hé, n'oublies pas tes vêtements !
— C'est vrai, je n'y pensais plus. Lorsque j'ai entendu la voix d'Arnaud, j'étais tellement en colère que le plus important pour moi a été de sortir de la douche pour filer 2 gifles à ce connard. Et ensuite, je n'ai plus fait attention au fait d'être nue.
— C'est naturel de l'être. Tu n'as pas à avoir honte que d'autres fille voient ton corps, on est toutes pareilles.
— C'est vrai. C'est le problème du poids de l'éducation, puis des habitudes.
Finalement, Dominique rejoint le dortoir avec Corine en tenant ses vêtements à la main. De toutes façon, il y a peu de risque de rencontrer du monde dans la couloir. Elles arrivent à la porte de leur dortoir.
— Tu vas arriver à bien dormir après ce qui est arrivé ?
— Je ne sais pas. C'est vrai que quand j'étais dans tes bras, je me sentais bien.
— Tu veux qu'on dorme ensemble ?
— Oh oui, si tu veux bien.
Et cette nuit là, le lit de Dominique est resté vide pendant que dans celui de Corine, deux filles tendrement enlacées se partageaient les 90 cm de large du matelas.
Finalement, Dominique a très bien dormi cette nuit là et par la suite, ça ne l'a plus gênée d'aller prendre la douche avec les autres filles.
La vie à reprit son cours dans ce lycée. Arnaud qui n'est pas un mauvais gars et Dominique ont juste conservé des relations de camarades de classes sans plus. De toutes façon, à 16 ou 17 ans, Arnaud a encore du temps pour trouver la femme de sa vie.
Quant aux relations entre Dominique et Corine, la mésaventure de la première les aura rapprochées et elles n'en resteront pas là. Comme en plus elles partagent le même dortoir, certaines choses sont plus faciles. Cependant, en temps que narrateur masculin, je ne pourrai pas vous en parler en détail, vu que c'est interdit d'aller voir.
Merde ! Qui est l'andouille qui m'a piqué mes affaires ? s'exclama Dominique en sortant de la douche de l'internat... Oh merde, comment je vais faire dit-elle en revenant dans la douche en pleur.
Il faut dire que dans cet internat, les douches sont séparées de simples cloisons sans porte et c'est dans un vestiaire commun qu'on se déshabille pour y aller, puis qu'on se rhabille après. Mais comme Dominique est très pudique, elle choisit d'aller à la douche avant ou après les autres.
Un quart d'heure plus tard, Corine entre dans le vestiaire et entend les pleurs.
— C'est toi Dominique ?
— Ouiiiiii
— Pourquoi tu pleures, tu t'es fait mal ?
— Non, on m'a fauché mes affaires !
— Oh merde ! Mais tu ne vas pas rester toute la nuit ici ! Je pourrai t'emmener une serviette pour que tu rejoignes notre chambre. Tien il y a peut-être une blouse ou quelque-chose pour se couvrir dans ce placard.
Corine ouvre la porte du placard.
— Hé ! Qu'est-ce que tu fais dedans toi ?
— J'étais venu voir Dominique...
Pif ! Paf !
— Ici !
— Ben ... oui, j'avais trop ...
— Arnaud, c'est toi ?
— Oui, Domi, j'avais envie de te voir.
Dominique sort de la douche en colère.
— Alors, c'est toi le salaud qui m'a fauché mes affaires !
— Je te les aurai rendues ...
— Et tu voulais me voir ici dans la douche !
Pif !
— Et bien puisque j'en suis sortie, tu les voies mes nichons ?
Paf !
— Et tu vois aussi ce qu'il y a un peu plus bas ? Maintenant dégage, espèce de voyeur !
Arnaud se met à pleurer.
— Domi, te fâche pas, je t'aime.
Une surveillante arrive.
— Hé bien, qu'est-ce que c'est que ce raffut ? Tien, un revenant ! Monsieur Deloric, peut-on savoir ce que vous faites ici ?
— Ben, j'étais venu voir ma copine Dominique ...
— Ici ?
— Ben ... oui.
— Et vous n'avez pas relu les affiches à l'entrée du bâtiment et en bas de l'escalier ?
— Quelles affiches ?
— Celles qui concernent la présence des garçons dans ce bâtiment. Monsieur Deloric dois-je vous rappeler qu'un conseil de discipline a déjà prononcé à votre encontre une retenue d'un week-end dans le lycée parce que vous étiez venu dans un dortoir des filles.
— Mais cette fois-ci, je ne suis pas allé au dortoir.
— En effet, monsieur Deloric, il faudra peut-être préciser juste pour vous que l'interdiction concerne la totalité des étages d'hébergement des filles, y compris les douches. Seul le rez de chaussée reste accessible à tous et toutes.
— Justement, c'est pas juste. Dans notre bâtiment, il n'y a pas d'affiche pour empêcher les filles de monter nous voir. C'est de la discrimination, ça !
— Et elle viennent vous voir ?
— Non, en fait, elles n'osent pas.
— Peut-être aussi qu'elle respectent votre intimité et qu'elles ne cherchent pas à vous déranger lorsque vous êtes entre garçons ni à venir vous observer lorsque vous vous déshabillez pour prendre une douche.
— Peut-être mais si on n'était pas obligés de rester entre garçons ...
— Certes, mais vous êtes ici pour étudier. Garçon et filles, vous vous voyez dans la journée. En plus, monsieur Deloric vous êtes dans la même classe que mademoiselle Letrangé si ne me trompe pas.
— Oui, on est même en binôme et on doit préparer un exposé ensemble.
— Hé bien, ce sera une occasion pour vous revoir. En attendant, veuillez retourner à votre bâtiment, mais laissez moi votre téléphone, je dois vérifier si vous n'avez pas fait de prise de vue indiscrète et faire un rapport au sujet de votre passage ici.
— Hé, c'est mon téléphone, vous n'avez pas le droit, c'est du vol !
— Juste un emprunt. Vous pourrez passer au bureau du CPE à partir de demain après-midi pour le récupérer.
— Je peux faire un bisou à Dominique avant de partir ?
Plaf !
— Oh Arnaud, pour un bisou, il n'y a pas besoin de main baladeuse sur la poitrine !
— Dominique, je t'aime.
— Ah, tu dis l'aimer. Mais ça ne t'as pas empêché de planquer ses affaires. Et lorsqu'elle s'est retrouvée désemparée, tu n'as même pas eu le courage de venir la réconforter. Il a fallu qu'après plus d'un quart d'heure sans la voir revenir je vienne ici pour m'apercevoir qu'elle pleurait dans la douche. Et toi, pendant ce temps là, tu restais bien caché dans le placard.
— De toutes façon, vous les filles, vous chialez tout le temps ...
— Et toi, petit con ? C'est pas ce que tu as commencé à faire après avoir reçu 2 paires de gifles ? Et ce qui coule de tes yeux en ce moment pendant que je te regarde, c'est parce que tu as épluché des oignons avant de venir ou parce que malgré tout, les reproches que tu entends ne te laissent pas indifférent, ce qui au passage est une preuve d'humanité ?
— Eh bien, monsieur Deloric, ce que vient de dire mademoiselle Chamberle apporte des informations qui ne sont pas en votre faveur. Il faudra entendre la version de chacun et chacune demain, mais pour l'instant, il est temps pour vous de rejoindre votre dortoir.
— (en pleurant) Oh merde, vous faites chier !
— Eh bien pour cela monsieur Deloric, vous savez que l'internat des garçons dispose de toilettes à tous les étages et en cas d'extrême urgence, vous avez aussi le droit d'utiliser celle du rez de chaussée de ce bâtiment puisque vous y êtes.
— Je m'en vais. Bonne nuit les filles, au revoir madame.
— Bonne nuit Arnaud, même si je ne suis pas sure de très bien dormir après ce qui s'est passé.
— Bon, mademoiselle Chamberle, je compte sur vous pour réconforter mademoiselle Letrangé après ce qui s'est passé. Je sais que vous vous entendez bien toutes les deux. On reparlera de cette histoire demain. Bonne nuit, surtout pour toi Dominique.
La surveillante partie Dominique se blottit contre Corine, la tête contre son épaule. Elle pleure un peu, mais les caresses dans le dos et à la nuque de Corine l'apaisent. Elle aussi se met à caresser le dos de Corine et y prend plaisir.
les deux filles finissent par se regarder et finalement se sourient mutuellement.
— Ça va mieux ?
— Oui, heureusement que tu es là.
Pendant qu'elle se sourient, les 2 bouches se rapprochent. Contact.
Finalement, ce sont les langues qui s'emmêlent et semblent trouver du plaisir à danser un petit slow improvisé.
Enfin, les bouches se séparent, le deux filles affichent un sourire rayonnant.
— Bon, il est temps de rejoindre le dortoir.
— Oui, allons y.
— Hé, n'oublies pas tes vêtements !
— C'est vrai, je n'y pensais plus. Lorsque j'ai entendu la voix d'Arnaud, j'étais tellement en colère que le plus important pour moi a été de sortir de la douche pour filer 2 gifles à ce connard. Et ensuite, je n'ai plus fait attention au fait d'être nue.
— C'est naturel de l'être. Tu n'as pas à avoir honte que d'autres fille voient ton corps, on est toutes pareilles.
— C'est vrai. C'est le problème du poids de l'éducation, puis des habitudes.
Finalement, Dominique rejoint le dortoir avec Corine en tenant ses vêtements à la main. De toutes façon, il y a peu de risque de rencontrer du monde dans la couloir. Elles arrivent à la porte de leur dortoir.
— Tu vas arriver à bien dormir après ce qui est arrivé ?
— Je ne sais pas. C'est vrai que quand j'étais dans tes bras, je me sentais bien.
— Tu veux qu'on dorme ensemble ?
— Oh oui, si tu veux bien.
Et cette nuit là, le lit de Dominique est resté vide pendant que dans celui de Corine, deux filles tendrement enlacées se partageaient les 90 cm de large du matelas.
Finalement, Dominique a très bien dormi cette nuit là et par la suite, ça ne l'a plus gênée d'aller prendre la douche avec les autres filles.
La vie à reprit son cours dans ce lycée. Arnaud qui n'est pas un mauvais gars et Dominique ont juste conservé des relations de camarades de classes sans plus. De toutes façon, à 16 ou 17 ans, Arnaud a encore du temps pour trouver la femme de sa vie.
Quant aux relations entre Dominique et Corine, la mésaventure de la première les aura rapprochées et elles n'en resteront pas là. Comme en plus elles partagent le même dortoir, certaines choses sont plus faciles. Cependant, en temps que narrateur masculin, je ne pourrai pas vous en parler en détail, vu que c'est interdit d'aller voir.
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