06-12-2023, 11:19 PM
Troisième saint Nicolas,
NDA Je précise que le collège mentionné dans ce récit s’appellerait un lycée en Macronie ou ailleurs, les personnages ont donc 18 ans.
En ce temps-là, j’étudiais au Collège Saint-Michel à Fribourg. Je venais d’un autre canton mais, comme mon père avait été autrefois élève de ce collège et que c’était, selon lui, le meilleur du monde, il m’avait proposé de faire mes études dans cette ville. Il m’avait même déniché un petit appartement en vielle ville, chez un de ses anciens condisciples, ce qui me donnait une indépendance que j’appréciais.
Ce jour-là, c’était un autre saint qu’on fêtait : Saint-Nicolas. Selon la tradition, un élève du collège jouait le rôle, traversant la ville, juché sur un âne et s’adressant à la population en français et en allemand du haut de la tour de la cathédrale. C’était évidemment Sébastien qui avait été élu.
Évidemment, car c’était le meilleur élève du collège, surdoué qui pouvait aussi bien disserter des « Métamorphoses d’Ovide » en latin ou de la « fermentation du yoghourt » en patois. De plus, ce qui ne gâtait rien, il était beau comme un ange. Je n’étais pas dans sa classe et je ne l’avais jamais vu nu sous la douche, mais si son bitage se rapportait à son plumage… On disait qu’il avait dépucelé la moitié des filles de l’établissement, cependant, comme aucune n’avait jamais confirmé et donné des détails sur ses mensurations intimes, des mauvaises langues rapportaient qu’il était pédé. La jalousie…
J’avais été choisi pour jouer un Père fouettard, ma carrure de lutteur étant idéale ce rôle. Ce fut pour cela que je pus côtoyer Sébastien. La fête se déroula comme prévu, Saint-Nicolas fit un brillant discours que la foule écouta distraitement, quant à moi je menaçais les bambins récalcitrants avec ma verge (n’y voyez aucun sous-entendu scabreux, du moins pour le moment).
Après les festivités, nous nous retrouvâmes avec le comité d’organisation pour déguster une fondue moitié-moitié dans un café typique et le saint s’assit en face de moi, hasard ou nécessité ? Il n’était pas très bavard, plutôt timide, d’autres se chargeaient d’animer la soirée à sa place. Je lui demandai quelques précisions sur sa vie, il m’apprit qu’il était le fils de paysans dans un petit village de la région, le benjamin de huit enfants. Les grandes familles, autrefois courantes, étaient devenues très rares.
Vers 22 heures, il nous dit qu’il voulait partir pour ne pas rater le dernier bus. Mon voisin, déjà passablement éméché, lui proposa de la ramener en voiture, ce qui ne l’enchanta pas. Tenant ma chance, je lui proposai de dormir chez moi et, à mon grand étonnement, il accepta après m’avoir demandé si je vivais toujours chez mes parents. Nous restâmes encore une heure au café avant de nous éclipser discrètement. Nous avions toujours nos costumes, quelqu’un nous demanda même des autographes dans la rue.
Une fois arrivés chez moi, j’ôtai ma tenue noire et je me retrouvai en boxer et tee-shirt. Je dis à Sébastien :
— Fais comme chez toi, je vais enlever mon maquillage.
J’avais le visage noirci. Il y avait eu de longues discussions pour savoir si c’était encore possible de le faire au vingt-et-unième siècle, la tradition l’avait finalement emporté. Lorsque je ressortis de la salle de bain, Sébastien était aussi en sous-vêtements : un débardeur et un slip blancs. La bosse sur le devant laissait entrevoir de belles perspectives.
— Tu n’as pas froid ? demandai-je. Je pourrais te prêter un survêtement deux tailles en dessus de la tienne.
— Non, ça ira, j’ai l’habitude, la ferme était très mal isolée avant les travaux.
— Moi, je vais en mettre un.
Il passa aussi à la salle de bain puis je lui proposai de boire quelque chose. Il me demanda une infusion, je sortis une bouteille d’eau-de-vie pour l’aromatiser. Sébastien préféra la boire dans un verre. Nous nous assîmes l’un en face de l’autre, à une table près de la cuisinette. Il avisa la reproduction d’une statue que je cachais d’habitude lorsque j’avais des visites, c’était celle d’un homme nu.
— Saint-Sébastien ? Mon homonyme ? fit-il en riant.
— Non, il manque les flèches, ni Saint-Nicolas, ni Saint-Michel. C’est une sculpture de l’artiste Charles Ray.
— Je ne le connaissais pas. Dis-moi, Patrick, je peux te demander quelque chose de… comment dire, très intime ?
— Bien sûr, si c’est trop indiscret je te fouetterai avec ma verge.
— Laquelle ?
— Celle du Père fouettard. Tu pensais à une autre ?
— Non, enfin oui. Serais-tu gay ?
— Pourquoi le crois-tu ?
— Comme tu m’as dit de faire comme chez moi, j’ai regardé les livres de ta bibliothèque, et certains…
— Petit curieux, ça mérite une fessée ! Oui, je suis gay, et toi ?
— Non, je n’aurai jamais de relations sexuelles dans ma vie.
Cette révélation me surprit.
— Pourquoi ? fis-je. Tu as un problème avec ton zizi ? On dit pourtant que tu as dépucelé la moitié des filles du collège.
— La moitié ? Je pensais toutes… Je ne sais pas d’où vient cette stupide rumeur. Aucun problème avec mon zizi, je t’assure. Non, je veux entrer au séminaire.
— Devenir prêtre, tu veux dire ?
— Oui. Célibat, chasteté, tu comprends.
— Si c’est ta vocation, je me garderais bien de te juger. Est-ce définitif ?
— Pas encore, je dois vérifier quelque chose, mais je ne désire pas t’en parler pour le moment. Ça reste entre nous, d’accord ?
— D’accord, tout comme mon orientation sexuelle.
Nous terminâmes nos tisanes. Je ne comprenais pas pourquoi il m’avait parlé de ma gaytitude alors qu’il aurait plutôt dû éviter ce genre de sujet. Après quelques hésitations, il me demanda :
— Pourrais-tu me fouetter ? Je l’ai mérité.
— Te fouetter ? Tu n’as pas été sage ?
— Péché d’orgueil. Cette célébrité d’un jour me monte à la tête. Je me vois déjà le vrai évêque de la ville.
Je me dis qu’il devait être masochiste, ou alors qu’il se préparait aux mortifications du cilice. Nous nous levâmes, je pris ma verge de Père fouettard et lui assénai quelques coups sur les fesses en riant, des caresses plutôt que des coups, je craignais trop de blesser son magnifique corps.
— Plus fort, me dit-il, je ne sens rien.
— Enlève ton slip, cela te fera mal sur la peau.
Il m’obéit, je jetai un coup d’œil sur sa bite qui était bien à la hauteur de son ramage, elle avait en effet déjà grossi. J’assénai encore quelques doux coups, sans même faire rosir la peau.
— C’est pas bien de bander pour un futur séminariste ! m’exclamai-je.
— Je suis désolé, c’est plus fort que moi.
— Tu as une belle et grosse bite pour un saint, tu dois te branler souvent, tu ne connais pas l’abstinence ?
— J’en suis assez fier, un autre péché d’orgueil m’a dit mon confesseur, en plus du péché de se toucher.
— Tu parles de la taille de ton pénis avec lui ?
— Il semblait intéressé par ce détail.
— Heureusement que j’ai arrêté de me confesser depuis longtemps, dis-je.
— Pourquoi, ta verge est trop petite ?
Ce qui ne devait pas arriver arriva, le futur séminariste eut ses premières relations sexuelles avec moi, toutes empreintes de tendresse et de douceur, nous n’allâmes pas au-delà de masturbations mutuelles. Je ne comprenais toujours pas pourquoi, même après la nuit qu’il passa blotti contre moi. Le lendemain matin, en prenant le petit déjeuner, je désirai en avoir le cœur net et lui dit :
— J’ai eu beaucoup de plaisir à faire l’amour avec toi, mais pourquoi as-tu voulu cette fessée ?
— Ma vocation, ce que je voulais encore vérifier avant de m’engager définitivement.
— Que voulais-tu vérifier ?
— Si je pouvais résister à la tentation. Au séminaire il y aura d’autres hommes. Et tu connais les cas d’abus sexuels dans l’Église. Comment aurais-je réagi si on m’avait fait des avances ? Aurais-je pu résister à la tentation ?
— Et ta conclusion ?
— Je ne pourrais pas résister, j’abandonne.
— Tu renonces à l’appel de Dieu ? m’étonnai-je.
— L’appel de la chair est plus fort. Je trouverai bien un plan B, un autre moyen de Le servir, ou alors servir les êtres humains, soigner les corps plutôt que les âmes.
— Je ne peux pas te donner de conseils, fais ce que ta conscience te dictera.
— Merci de m’avoir accepté tel que je suis. J’aimerais bien te revoir, même si je sais que je n’ai été qu’un « plan cul » pour toi.
Je le détrompai :
— Tu n’as pas été un « plan cul » pour moi, si tu as eu cette impression, c’est que nous avons encore beaucoup de choses à nous dire et je suis d’accord de te revoir pour en parler, et pour te fouetter… le cul, avec ma verge, l’autre.
NDA Je précise que le collège mentionné dans ce récit s’appellerait un lycée en Macronie ou ailleurs, les personnages ont donc 18 ans.
En ce temps-là, j’étudiais au Collège Saint-Michel à Fribourg. Je venais d’un autre canton mais, comme mon père avait été autrefois élève de ce collège et que c’était, selon lui, le meilleur du monde, il m’avait proposé de faire mes études dans cette ville. Il m’avait même déniché un petit appartement en vielle ville, chez un de ses anciens condisciples, ce qui me donnait une indépendance que j’appréciais.
Ce jour-là, c’était un autre saint qu’on fêtait : Saint-Nicolas. Selon la tradition, un élève du collège jouait le rôle, traversant la ville, juché sur un âne et s’adressant à la population en français et en allemand du haut de la tour de la cathédrale. C’était évidemment Sébastien qui avait été élu.
Évidemment, car c’était le meilleur élève du collège, surdoué qui pouvait aussi bien disserter des « Métamorphoses d’Ovide » en latin ou de la « fermentation du yoghourt » en patois. De plus, ce qui ne gâtait rien, il était beau comme un ange. Je n’étais pas dans sa classe et je ne l’avais jamais vu nu sous la douche, mais si son bitage se rapportait à son plumage… On disait qu’il avait dépucelé la moitié des filles de l’établissement, cependant, comme aucune n’avait jamais confirmé et donné des détails sur ses mensurations intimes, des mauvaises langues rapportaient qu’il était pédé. La jalousie…
J’avais été choisi pour jouer un Père fouettard, ma carrure de lutteur étant idéale ce rôle. Ce fut pour cela que je pus côtoyer Sébastien. La fête se déroula comme prévu, Saint-Nicolas fit un brillant discours que la foule écouta distraitement, quant à moi je menaçais les bambins récalcitrants avec ma verge (n’y voyez aucun sous-entendu scabreux, du moins pour le moment).
Après les festivités, nous nous retrouvâmes avec le comité d’organisation pour déguster une fondue moitié-moitié dans un café typique et le saint s’assit en face de moi, hasard ou nécessité ? Il n’était pas très bavard, plutôt timide, d’autres se chargeaient d’animer la soirée à sa place. Je lui demandai quelques précisions sur sa vie, il m’apprit qu’il était le fils de paysans dans un petit village de la région, le benjamin de huit enfants. Les grandes familles, autrefois courantes, étaient devenues très rares.
Vers 22 heures, il nous dit qu’il voulait partir pour ne pas rater le dernier bus. Mon voisin, déjà passablement éméché, lui proposa de la ramener en voiture, ce qui ne l’enchanta pas. Tenant ma chance, je lui proposai de dormir chez moi et, à mon grand étonnement, il accepta après m’avoir demandé si je vivais toujours chez mes parents. Nous restâmes encore une heure au café avant de nous éclipser discrètement. Nous avions toujours nos costumes, quelqu’un nous demanda même des autographes dans la rue.
Une fois arrivés chez moi, j’ôtai ma tenue noire et je me retrouvai en boxer et tee-shirt. Je dis à Sébastien :
— Fais comme chez toi, je vais enlever mon maquillage.
J’avais le visage noirci. Il y avait eu de longues discussions pour savoir si c’était encore possible de le faire au vingt-et-unième siècle, la tradition l’avait finalement emporté. Lorsque je ressortis de la salle de bain, Sébastien était aussi en sous-vêtements : un débardeur et un slip blancs. La bosse sur le devant laissait entrevoir de belles perspectives.
— Tu n’as pas froid ? demandai-je. Je pourrais te prêter un survêtement deux tailles en dessus de la tienne.
— Non, ça ira, j’ai l’habitude, la ferme était très mal isolée avant les travaux.
— Moi, je vais en mettre un.
Il passa aussi à la salle de bain puis je lui proposai de boire quelque chose. Il me demanda une infusion, je sortis une bouteille d’eau-de-vie pour l’aromatiser. Sébastien préféra la boire dans un verre. Nous nous assîmes l’un en face de l’autre, à une table près de la cuisinette. Il avisa la reproduction d’une statue que je cachais d’habitude lorsque j’avais des visites, c’était celle d’un homme nu.
— Saint-Sébastien ? Mon homonyme ? fit-il en riant.
— Non, il manque les flèches, ni Saint-Nicolas, ni Saint-Michel. C’est une sculpture de l’artiste Charles Ray.
— Je ne le connaissais pas. Dis-moi, Patrick, je peux te demander quelque chose de… comment dire, très intime ?
— Bien sûr, si c’est trop indiscret je te fouetterai avec ma verge.
— Laquelle ?
— Celle du Père fouettard. Tu pensais à une autre ?
— Non, enfin oui. Serais-tu gay ?
— Pourquoi le crois-tu ?
— Comme tu m’as dit de faire comme chez moi, j’ai regardé les livres de ta bibliothèque, et certains…
— Petit curieux, ça mérite une fessée ! Oui, je suis gay, et toi ?
— Non, je n’aurai jamais de relations sexuelles dans ma vie.
Cette révélation me surprit.
— Pourquoi ? fis-je. Tu as un problème avec ton zizi ? On dit pourtant que tu as dépucelé la moitié des filles du collège.
— La moitié ? Je pensais toutes… Je ne sais pas d’où vient cette stupide rumeur. Aucun problème avec mon zizi, je t’assure. Non, je veux entrer au séminaire.
— Devenir prêtre, tu veux dire ?
— Oui. Célibat, chasteté, tu comprends.
— Si c’est ta vocation, je me garderais bien de te juger. Est-ce définitif ?
— Pas encore, je dois vérifier quelque chose, mais je ne désire pas t’en parler pour le moment. Ça reste entre nous, d’accord ?
— D’accord, tout comme mon orientation sexuelle.
Nous terminâmes nos tisanes. Je ne comprenais pas pourquoi il m’avait parlé de ma gaytitude alors qu’il aurait plutôt dû éviter ce genre de sujet. Après quelques hésitations, il me demanda :
— Pourrais-tu me fouetter ? Je l’ai mérité.
— Te fouetter ? Tu n’as pas été sage ?
— Péché d’orgueil. Cette célébrité d’un jour me monte à la tête. Je me vois déjà le vrai évêque de la ville.
Je me dis qu’il devait être masochiste, ou alors qu’il se préparait aux mortifications du cilice. Nous nous levâmes, je pris ma verge de Père fouettard et lui assénai quelques coups sur les fesses en riant, des caresses plutôt que des coups, je craignais trop de blesser son magnifique corps.
— Plus fort, me dit-il, je ne sens rien.
— Enlève ton slip, cela te fera mal sur la peau.
Il m’obéit, je jetai un coup d’œil sur sa bite qui était bien à la hauteur de son ramage, elle avait en effet déjà grossi. J’assénai encore quelques doux coups, sans même faire rosir la peau.
— C’est pas bien de bander pour un futur séminariste ! m’exclamai-je.
— Je suis désolé, c’est plus fort que moi.
— Tu as une belle et grosse bite pour un saint, tu dois te branler souvent, tu ne connais pas l’abstinence ?
— J’en suis assez fier, un autre péché d’orgueil m’a dit mon confesseur, en plus du péché de se toucher.
— Tu parles de la taille de ton pénis avec lui ?
— Il semblait intéressé par ce détail.
— Heureusement que j’ai arrêté de me confesser depuis longtemps, dis-je.
— Pourquoi, ta verge est trop petite ?
Ce qui ne devait pas arriver arriva, le futur séminariste eut ses premières relations sexuelles avec moi, toutes empreintes de tendresse et de douceur, nous n’allâmes pas au-delà de masturbations mutuelles. Je ne comprenais toujours pas pourquoi, même après la nuit qu’il passa blotti contre moi. Le lendemain matin, en prenant le petit déjeuner, je désirai en avoir le cœur net et lui dit :
— J’ai eu beaucoup de plaisir à faire l’amour avec toi, mais pourquoi as-tu voulu cette fessée ?
— Ma vocation, ce que je voulais encore vérifier avant de m’engager définitivement.
— Que voulais-tu vérifier ?
— Si je pouvais résister à la tentation. Au séminaire il y aura d’autres hommes. Et tu connais les cas d’abus sexuels dans l’Église. Comment aurais-je réagi si on m’avait fait des avances ? Aurais-je pu résister à la tentation ?
— Et ta conclusion ?
— Je ne pourrais pas résister, j’abandonne.
— Tu renonces à l’appel de Dieu ? m’étonnai-je.
— L’appel de la chair est plus fort. Je trouverai bien un plan B, un autre moyen de Le servir, ou alors servir les êtres humains, soigner les corps plutôt que les âmes.
— Je ne peux pas te donner de conseils, fais ce que ta conscience te dictera.
— Merci de m’avoir accepté tel que je suis. J’aimerais bien te revoir, même si je sais que je n’ai été qu’un « plan cul » pour toi.
Je le détrompai :
— Tu n’as pas été un « plan cul » pour moi, si tu as eu cette impression, c’est que nous avons encore beaucoup de choses à nous dire et je suis d’accord de te revoir pour en parler, et pour te fouetter… le cul, avec ma verge, l’autre.
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