10-11-2023, 01:46 PM
Un micro égaré !
Le texte était prêt mais l'auteur a oublié de me l'envoyer
voilà la chose rectifiée :
Le texte était prêt mais l'auteur a oublié de me l'envoyer
voilà la chose rectifiée :
Vianney quitte la scène
Il était à moitié bourré quand il avisa le micro, sur la scène vide de la non moins vide salle du Mouton suisse...
C'était soir de relâche, et Vianney avait été dragué, chez la concurrence, par un mec de deux fois son âge (soit quarante ans... très très bien conservés !), un Romain qui tenait les manettes de cette boîte à titre de directeur artistique.
Il sursauta, le jeune Vianney, quand soudain sa voix résonna tout fort dans la carrée ! Il stoppa un instant, sidéré, mais l'autre lui ordonna :
— Eh ben allez, continue ! Vas-y, vas-y !
Où Vianney se lâcha soudain, tout en se déhanchant comme un vrai pro ! Et cet instant dura, voyez-vous. Car Romain filmait, tout simplement...
— Et si tu virais tout, pendant que tu chantes ? suggéra-t-il.
Et Vianney, excité comme tout, de se déloquer en cadence — Romain ne connaissait pas le répertoire qu'il entendait là... et il en vint à se dire que le mecton inventait au fur et à mesure... mais c'était marrant.
Et de fait, quand le minet fut à poil, et exténué de s'être démené près une demi-heure sur cette scène virtuelle parce que vide, Romain lui proposa un verre... des verres, plutôt !
Il était dégrisé, ayant tant donné de sa personne, m'enfin, le jus d'orange glacé lui fit du bien ! Ce qui fit du bien à son séducteur, comme bien vous l'imaginez, c'est la vodka qu'il avait habilement insérée en ce breuvage...
Et le jeune Vianney de se laisser, tout sourire, mener vers une des loges de l'établissement, en réalité le bureau de Romain, pourvu de tout le confort moderne : un studio, quoi.
Romain mena un Vianney hilare vers sa douche, et là commença ce que l'un et l'autre avait désiré... L'un ni l'autre d'ailleurs ne fut déçu, car si la finesse de Vianney excitait Romain, la fine et musclée robustesse de Romain rendit Vianney quasi fou...
Belle séance qu'icelle, donc. Ce fut un Vianney béat que Romain découvrit à son côté au matin... Il l'avait oublié, çui-là ! Mais il n'oublia pas de le défoncer de la belle manière, avant de le renvoyer dans ses foyers... affirmant qu'on se reverrait... et vite !
Il était donc aux anges, le jeune et naïf Vianney, en rentrant chez lui. Toutefois, finalement dégrisé, au propre et au figuré, il se demanda s'il n'avait pas rêvé, finalement...
Mais il retrouva sur son téléphone les coordonnée de Romain, et se reprit à rêver... sans savoir à quoi du tout !
Quoi ! Il chanterait en play-back au Mouton suisse ? C'était possible, ça ? Il se rappelait bien que Romain l'avait filmé... et lui avait dit qu'on se reverrait bientôt... Oh, que tout ça était excitant !
Il eut alors, ce samedi matin, un appel de Florent, son meilleur pote, et peut-être son seul véritable ami. Qui avait refusé de le suivre en boîte, la veille. Il avait ses principes, Florent ! Et son exquise timidité, surtout.
Bref, un fin et adorable garçon, çui-là ! Fidèle depuis tout le temps, et qui était toujours là en cas de coup dur. On se disait tout... sachant qu'on n'avait généralement rien à se raconter... Mais là, Florent resta baba devant le flot de nouvelles que lui déballa son ami !
Florent était puceau, mais il savait que ce n'était pas le cas de Vianney. Sauf que là, ce garçon lui en disait beaucoup !
— Oh ! Tu crois pas que tu t'emballes un peu, là ? osa-t-il enfin.
— Ben... je sais pas, mais ce mec est... est... trop !
— Fais gaffe quand même ! Des mecs comme toi, il doit en tirer des douzaines par semaine, non ?
— Oh, ta gueule ! Fais pas ton jaloux, alors que je vais réussir !
— Réussir quoi ?
— Eh ben... percer dans le monde de la nuit, tiens !
— En montrant ton cul, et ta bite ?
— Oh ! Mais t'es vraiment jaloux, toi !
— Non... car je te rappelle que je n'ai jamais vu ni ton cul, ni ta bite... toi qui vas les montrer au grand public !
— Euh... fit Vianney, ramené à plus de réalité. Excuse-moi, Florent... Si... si je suis embauché... eh ben...
Il était emmerdé, Vianney : car il ne savait trop rien de la sexualité de son pote... tout en imaginant que ce fin jeune homme en pinçait plus ou moins pour lui. Oui, bien gêné !
— Si t'es embauché, oui ?...
— Eh ben... je te montrerai d'abord mon numéro.
— Alors j'espère bien que tu seras embauché !
— Oh !
— Prépare ton numéro, mon pote ! rigola Florent.
On s'en tint là pour les promesses, et Vianney jura de conter l'entièreté de ses exploits à son ami...
Seulement, ayant raccroché, Vianney se demanda bien quel serait son avenir proche... Il eut alors un prompt début de réponse : un appel de Romain :
— Mon adjoint est libre là, pour te faire faire un bout d'essai, en plus sérieux qu'hier soir. Il a vu mes prises et pense que t'as de l'avenir, p'tit gars !
Vianney fila vers l'adresse dite, où il se retrouva en slip en moins de temps qu'il ne faut pour l'imaginer... et devant un parterre de mecs dans la trentaine, quatre types en string et super bien foutus... présentés par le mec qui l'avait convoqué, Denis, comme les étoiles du cabaret.
— Ils vont te montrer deux trois, trucs, à toi d'essayer d'en faire autant !
Vianney frissonna de haut en bas : jamais sa fine plastique ne lui permettrait d'imiter ces splendeurs, même de loin !
Et les mecs, de venir sur la scène, et en musique, se démener de façon... lubrique. Enfin, l'un des mecs lui fit signe de se joindre à eux... et de virer sa culotte.
Ce fut donc à poil que Vianney alla se déhancher sur la scène, tandis que Denis filmait tout. Enfin, celui-ci siffla la fin de la séance.
— Bon, les filles ! À la douche tout le monde !
Et l'on se transporta vers la salle de douches, avec Denis, joli mec finement velu. Les autres étaient rasés soigneusement de partout, mais précisément de la touffe, selon des dessins particuliers à chacun.
Ce joli monde ne tarda pas à bander, tout en rigolant... et Vianney dut bien en faire autant. Rigoler... et bander, surtout !
Et la suite fut ce que vous en pensez déjà : il se fit niquer par tout le monde... oh, sans brutalité, mais avec application !
Lorsque on eut débordé dans ses jeunes entrailles [alexandrin], il se trouva pourtant un des mecs qui, à la fin de la douche lui souffla :
— T'as pas joui, toi... Tu voudrais ?
— Oh, je... je... balbutia Vianney, dépassé.
— Chez moi... Je suis à côté, tu veux ?
— Oh... Oui, oui !
Ainsi fut fait. Le garçon se nommait Benoît ; parfaitement dessiné, comme ses collègues danseurs, il était de plus fort bellement monté... Vianney l'avait d'ailleurs sucé, comme les autres, avant de s'en faire enculer.
— T'es joli, Vianney, mais je dois te dire que tu ne seras sûrement pas pris dans la troupe...
— Ah ! Mais...
— T'es pas un danseur, en fait. Mais t'es super mignon, et c'est pour ça que...
Vianney eut alors un immense frisson, et se sentit les larmes venir aux yeux.
— J'ai été convoqué que pour...
Benoît le prit en ses bras, où Vianney pleura franchement.
— Bon ! fit enfin ce garçon après un moment, ici t'es chez toi, loin de ces requins de pacotille. On va manger et boire un coup, et on parlera, surtout. Ta vie s'arrête pas ce soir, tu sais ?
— Pourquoi tu...?
— Tu me ressembles, lorsque j'ai commencé. Mais j'étais danseur, moi, et je me suis accroché... Ça a marché. Mais je comprends ta déception. Et puis... t'es un gentil garçon, non ?
La suite fut tendre, où, après avoir un peu picolé, Vianney s'abandonna sans réserve aux caresses d'un Benoît de toute douceur. Qui le pria de le pénétrer.
Un peu rasséréné, Vianney s'entendit proposer :
— On se voit demain ? Ce soir, je bosse à la boîte.
Rentré chez lui, Vianney hésita longtemps avant d'appeler Florent... Lui dire le fiasco de la veille ? Lui parler de cette immense humiliation ? Il ne se sentait pas prêt à ça...
Mais Florent l'appela, qui voulait savoir !
— Raté, rien d'autre à dire. Je suis pas un danseur, comme on m'a dit, mais y avait un mec sympa... qui m'a cassé le morceau. Bon... plus envie de parler de ça : j'me suis fait baiser — rigole pas ! — et c'est fini.
— On se voit tout à l'heure ?
— Oh, je... Oui, oui, si !
Là, Vianney eut la surprise d'avoir un message de Benoît... qui espérait le revoir... dès le lendemain.
Chez lui, Vianney eut alors sous les yeux l'émotion de Florent, quand il lui conta, de façon très édulcorée, sa séance chez les danseurs...
— Pourquoi tu vas faire des trucs pareils, toi ? demanda enfin le minet, apparemment touché par la détresse de Vianney. T'es super beau, oui...
— Tu dis ça, toi ?
— Et je le pense. Mais aller vendre ça...
— Florent ! J'ai rien vendu du tout !
Où Vianney s'effondra en larmes en les bras de son ami. L'instant dura un peu, et Florent souffla enfin :
— T'irais pas te doucher, toi ? Ça te ferait du bien.
— Euh... Euh... Alors... tu viens avec moi !
— Oh, ça...
— Tu verras jamais mon numéro, alors tu peux bien voir les coulisses !
Florent sourit : son ami retrouvait son humour, c'était bon signe. Les minets se désapèrent sans se regarder... ce qu'ils durent bien faire dans la douche, pas gigantesque.
Florent était tout fin et très délicatement velu... et somptueusement équipé. ce que nota Vianney :
— Oh ! T'es drôlement beau, toi ! Même comme ça...
Florent sourit, ému : « comme ça », il ne me resterait pas longtemps, en présence de la beauté nue qu'il espérait depuis des années ! De fait, il se sentit bander à belle vitesse.
Et ce fut un sceptre de royale qualité qu'il offrit au regard épaté de son pote.
— Oh... Y en avait pas un comme toi, hier soir...
— Et dire que moi, je t'aurais embauché... même pas danseur !
On se regarda drôlement, et Florent tendit des bras où Vianney vint se blottir. On se doucha, certes, mais l'eau coula plus que de raison avant qu'on eût terminé...
Or donc ces jeunes gens firent enfin l'amour [alexandrin]. Ce fut tendre et mignon, sans être niais à l'excès et la fin de la soirée comme la nuit furent exquises.
Au matin, Vianney avoua qu'il devait voir Benoît.
— Mais... t'es entièrement libre, tu sais ?
— Non, pas vraiment. Alors je voudrais... que tu sois là aussi, Florent.
— Mais... tu pourra pas baiser avec lui !
— On verra : s'il te déplaît, tu te barres, et... on verra.
Florent dut bien accepter... pas convaincu cependant.
Ce fut vers midi que parut le joli Benoît, qui sourit à Florent sans paraître surpris. Vianney expliqua :
— Florent sait tout, et on peut parler devant lui.
— Bon ! fit enfin Benoît, le verre en main, je dois d'abord me faire excuser : je ne savais pas l'embrouille avec Denis et les autres : c'est régulier dans la boîte... mais ils ont dû repérer que je t'avais parlé... et ils m'ont exclu du coup. Je sais pas comment réparer ça... mais je te jure que j'y suis pour rien ! Juste un mot... si j'ose le dire... Ils t'ont trouvé au top, pour ça.
— Ah ! Ah ! Ah ! Florent, t'entends ça : le danseur est nul, mais le baiseur est bon !
— Ça pourrait être pire... souffla Florent, sinistre.
Les deux autres éclatèrent de rire, et l'on retrinqua, et ces jeunes gens se rapprochèrent doucettement mais sûrement ; jusqu'à se mélanger de fort plaisante façon.
Comment vous dire ? La présence du gent Benoît n'empêcha pas que Vianney et Florent se rapprochassent encore, et d'ailleurs, il parut que Benoît y mit sa patte...
Après qu'on se fut douché, Benoît demanda :
— Ça m'a l'air de bien se passer entre, vous ?
Les garçons se regardèrent, hésitants.
— On sait rien encore, murmura Florent.
— Moi, je crois que je sais pour vous, les mecs ! Ciao ! Vous me dites demain si j'avais raison ? Et merci pour tout !
Seuls, Florent et Vianney évitèrent de se regarder un petit temps, avant que Vianney suggérât :
— Tu dors ici ?
— Ben... Ouais... Tu veux ?
On ne se dit rien encore, cette nuit-là... mais les choses avançaient. Au matin, il fallut bien répondre à un message de Benoît : « Super soirée, et content de vous voir bien ensemble ! — Merci de ta gentillesse, Benoît ! »
Sauf que ces mectons ne savaient trop où ils en étaient, s'ils avaient des idées. On se sépara, un peu chose.
Vianney était entre deux eaux, et ne savait laquelle choisir... Florent, lui, n'osait rien dire, ni faire. Mais il ne pouvait résister aux charmes d'un Vianney qui n'en faisait pas trop, cependant.
Et puis... Benoît eut enfin Vianney au téléphone :
— T'es avec ton amoureux, là ?
— Ben... non.
— Tu l'aimes plus ?
— Mais si, si !
On causa encore un peu, et Vianney dut admettre qu'il aimait Florent. Vite convoqué, ce garçon rappliqua, et derechef on entendit Benoît :
— Les garçons ! J'ai un cadeau de mariage... super !
— Et quoi ?
— Vous choisissez chacun un mec de la troupe... et il est à vous pour une soirée complète, nuit comprise !
— C'est ça qu'on appelle le « chaud baise » ? demanda Vianney.
Les autres éclatèrent de rire. Et Benoît précisa :
— Mais moi, je ne suis pas sur le catalogue.
— Et pourquoi ? T'as un vice caché ?
— Je suis votre ami, moi.
— Et ça t'empêche de concourir ?
— Vous avez pas besoin de me choisir, puisque vous m'avez.
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