10-11-2023, 05:31 AM
Premier haut de forme,
Un jour glacial de décembre, en fin d’après-midi, Côme et Léandre, deux lycéens qui habitaient le même quartier et faisaient les trajets ensemble, avaient fait un détour pour passer au marché de Noël. Il fallait déjà songer aux cadeaux qu’ils feraient à leur famille. Ils déambulaient distraitement entre les maisonnettes de bois illuminées, un verre de vin chaud à la main, cherchant quelques babioles pas trop kitchs, lorsqu’une personne étonnante les aborda. C’était un homme jeune, petit, vêtu d’un manteau grenat, d’une écharpe multicolore et d’un haut-de-forme brun. Léandre pensa qu’il ressemblait à Timothée Chalamet.
— Bonjour Messieurs, dit l’homme, cherchez-vous un cadeau original ? J’ai une proposition à vous faire.
— Bonjour, dites-nous, fit Côme.
— Du chocolat.
— Pas très original, on en a ensuite jusqu’à Pâques.
— Il est très spécial, venez voir ma chocolaterie.
Ils étaient à côté de la maisonnette et ils découvrirent des objets en chocolat, tous différents : un cœur, un angelot, un modèle réduit de locomotive à vapeur, une rose et même une reproduction du David de Michelangelo di Lodovico Buonarroti Simoni.
— Qu’ont-ils de particulier vos chocolats ? demanda Léandre.
— Ils sont crées selon vos désirs, vous me donnez un objet, je le scanne avec un laser puis une imprimante 3D le reconstitue avec du chocolat. On peut aussi choisir des objets virtuels ou graver un texte.
— Intéressant. Cela serait pour un cadeau, mais… c’est un objet assez volumineux et je crains que cela ne soit trop cher.
— Nous avons une promotion en ce moment pour nous faire connaitre et il est toujours possible de réduire la taille. Je pourrais vous faire un devis avant l’impression.
— Entendu. Je vous suis pour le scannage.
— Tu as l’objet sur toi ? s’étonna Côme.
— Je l’ai toujours avec moi.
— Je peux aussi regarder comment cela fonctionne ?
— Désolé, ce ne sera pas possible. Tu comprendras plus tard pourquoi.
Côme fut surpris, d’habitude Léandre ne lui cachait rien et ils se faisaient même des confidences. Il supposa ensuite que son ami lui destinait ce cadeau en chocolat, il en fut touché. Il n’insista pas et ils se séparèrent.
Le lendemain, à la même heure, ils s’arrêtèrent à nouveau devant la maisonnette.
— Tu es satisfait de l’objet en chocolat ? demanda Côme.
— Visuellement c’est parfait, mais je ne l’ai pas gouté.
— J’ai bien envie d’essayer aussi.
— Tu as pris quelque chose avec toi ?
— Tu m’as fait des cachotteries hier, c’est moi qui t’en fais aujourd’hui.
— Oui, je comprends, je te laisse.
Quelques jours plus tard, Côme demanda à Léandre :
— On va au ciné samedi prochain ?
— Il y aura trop de monde le week-end avant Noël. Je te propose de venir manger chez moi, je serai seul.
— Tu sais cuisiner ?
— On se fera livrer des pizzas ou plutôt des sushis.
Côme se rendit chez Léandre le samedi suivant comme convenu, avec le cadeau qu’il lui destinait, si tout se déroulait comme il l’espérait. Le livreur apporta les sushis, ils eurent la furtive impression qu’il ressemblait au chocolatier. Après les avoir dégustés avec des baguettes, accompagnés de champagne, ils s’assirent sur le sofa.
— Il était mignon le livreur, dit Léandre, c’est pour cela que j’ai commandé des sushis.
— Le champagne les accompagnait bien, mieux qu’une pizza. Tu mates les livreurs ?
— Pas toi ?
— Euh oui, moi aussi.
— C’est étonnant, fit Léandre, cela fait des années qu’on est amis, on a parlé de nos premières branlettes, mais je n’ai jamais osé te dire que je suis gay alors que je suppose depuis longtemps que tu l’es aussi.
— Même chose pour moi. Je craignais ta réaction, même si tu n’as jamais tenu des propos homophobes.
— Et nous n’avons jamais vu nos bites.
— Non, on aurait quand même pu baisser nos boxers pour les comparer une fois, même les hétéros le font.
— J’ai un cadeau pour toi !
— Moi aussi !
Ils allèrent chercher les paquets, identiques, emballés dans du papier noir avec un ruban rouge.
— Qui l’ouvre en premier ? questionna Côme.
— Toi, puisque j’ai été le premier à accepter l’offre du chocolatier.
Côme pris son temps pour dénouer le nœud du ruban et enlever le papier sans le déchirer. Il ouvrit le carton et en sortit un phallus en chocolat noir.
— C’est du lourd, dit-il. Taille réelle ?
— Oui, quand on aime on ne compte pas.
Côme examina l’objet très réaliste, on voyait même la veine dorsale et le raphé médian, une inscription l’ornait : « Croque-moi ! ». Léandre déballa à son tour le cadeau et découvrit également un phallus presque de la même longueur.
— Taille réelle ? demanda-t-il.
— Non, réduite de moitié… Je plaisante, 100%.
— Et la même inscription.
— Oui, c’est Willy qui me la proposée.
— Willy ? Ah oui, le nom du chocolatier. Tu n’as pas eu de problème à bander devant lui ?
— Non, il m’a un peu aidé. J’ai même… j’étais gêné, j’ai même joui à la fin.
— Pareil pour moi, ce type est vraiment bizarre, un magicien. Je peux te croquer le gland ?
— Celui en chocolat ou le réel ?
— Le réel ! Je vais garder la sculpture en chocolat en souvenir de notre première fois.
Les deux amis ne prirent pas beaucoup de temps pour les préliminaires, ils se déshabillèrent rapidement, dévoilant leurs pénis érigés qui, sans surprise, ressemblaient comme deux gouttes de sperme à ceux en chocolat, y compris l’inscription « Croque-moi ! », gravée sur la peau par le laser du scanner.[/size]
Un jour glacial de décembre, en fin d’après-midi, Côme et Léandre, deux lycéens qui habitaient le même quartier et faisaient les trajets ensemble, avaient fait un détour pour passer au marché de Noël. Il fallait déjà songer aux cadeaux qu’ils feraient à leur famille. Ils déambulaient distraitement entre les maisonnettes de bois illuminées, un verre de vin chaud à la main, cherchant quelques babioles pas trop kitchs, lorsqu’une personne étonnante les aborda. C’était un homme jeune, petit, vêtu d’un manteau grenat, d’une écharpe multicolore et d’un haut-de-forme brun. Léandre pensa qu’il ressemblait à Timothée Chalamet.
— Bonjour Messieurs, dit l’homme, cherchez-vous un cadeau original ? J’ai une proposition à vous faire.
— Bonjour, dites-nous, fit Côme.
— Du chocolat.
— Pas très original, on en a ensuite jusqu’à Pâques.
— Il est très spécial, venez voir ma chocolaterie.
Ils étaient à côté de la maisonnette et ils découvrirent des objets en chocolat, tous différents : un cœur, un angelot, un modèle réduit de locomotive à vapeur, une rose et même une reproduction du David de Michelangelo di Lodovico Buonarroti Simoni.
— Qu’ont-ils de particulier vos chocolats ? demanda Léandre.
— Ils sont crées selon vos désirs, vous me donnez un objet, je le scanne avec un laser puis une imprimante 3D le reconstitue avec du chocolat. On peut aussi choisir des objets virtuels ou graver un texte.
— Intéressant. Cela serait pour un cadeau, mais… c’est un objet assez volumineux et je crains que cela ne soit trop cher.
— Nous avons une promotion en ce moment pour nous faire connaitre et il est toujours possible de réduire la taille. Je pourrais vous faire un devis avant l’impression.
— Entendu. Je vous suis pour le scannage.
— Tu as l’objet sur toi ? s’étonna Côme.
— Je l’ai toujours avec moi.
— Je peux aussi regarder comment cela fonctionne ?
— Désolé, ce ne sera pas possible. Tu comprendras plus tard pourquoi.
Côme fut surpris, d’habitude Léandre ne lui cachait rien et ils se faisaient même des confidences. Il supposa ensuite que son ami lui destinait ce cadeau en chocolat, il en fut touché. Il n’insista pas et ils se séparèrent.
Le lendemain, à la même heure, ils s’arrêtèrent à nouveau devant la maisonnette.
— Tu es satisfait de l’objet en chocolat ? demanda Côme.
— Visuellement c’est parfait, mais je ne l’ai pas gouté.
— J’ai bien envie d’essayer aussi.
— Tu as pris quelque chose avec toi ?
— Tu m’as fait des cachotteries hier, c’est moi qui t’en fais aujourd’hui.
— Oui, je comprends, je te laisse.
Quelques jours plus tard, Côme demanda à Léandre :
— On va au ciné samedi prochain ?
— Il y aura trop de monde le week-end avant Noël. Je te propose de venir manger chez moi, je serai seul.
— Tu sais cuisiner ?
— On se fera livrer des pizzas ou plutôt des sushis.
Côme se rendit chez Léandre le samedi suivant comme convenu, avec le cadeau qu’il lui destinait, si tout se déroulait comme il l’espérait. Le livreur apporta les sushis, ils eurent la furtive impression qu’il ressemblait au chocolatier. Après les avoir dégustés avec des baguettes, accompagnés de champagne, ils s’assirent sur le sofa.
— Il était mignon le livreur, dit Léandre, c’est pour cela que j’ai commandé des sushis.
— Le champagne les accompagnait bien, mieux qu’une pizza. Tu mates les livreurs ?
— Pas toi ?
— Euh oui, moi aussi.
— C’est étonnant, fit Léandre, cela fait des années qu’on est amis, on a parlé de nos premières branlettes, mais je n’ai jamais osé te dire que je suis gay alors que je suppose depuis longtemps que tu l’es aussi.
— Même chose pour moi. Je craignais ta réaction, même si tu n’as jamais tenu des propos homophobes.
— Et nous n’avons jamais vu nos bites.
— Non, on aurait quand même pu baisser nos boxers pour les comparer une fois, même les hétéros le font.
— J’ai un cadeau pour toi !
— Moi aussi !
Ils allèrent chercher les paquets, identiques, emballés dans du papier noir avec un ruban rouge.
— Qui l’ouvre en premier ? questionna Côme.
— Toi, puisque j’ai été le premier à accepter l’offre du chocolatier.
Côme pris son temps pour dénouer le nœud du ruban et enlever le papier sans le déchirer. Il ouvrit le carton et en sortit un phallus en chocolat noir.
— C’est du lourd, dit-il. Taille réelle ?
— Oui, quand on aime on ne compte pas.
Côme examina l’objet très réaliste, on voyait même la veine dorsale et le raphé médian, une inscription l’ornait : « Croque-moi ! ». Léandre déballa à son tour le cadeau et découvrit également un phallus presque de la même longueur.
— Taille réelle ? demanda-t-il.
— Non, réduite de moitié… Je plaisante, 100%.
— Et la même inscription.
— Oui, c’est Willy qui me la proposée.
— Willy ? Ah oui, le nom du chocolatier. Tu n’as pas eu de problème à bander devant lui ?
— Non, il m’a un peu aidé. J’ai même… j’étais gêné, j’ai même joui à la fin.
— Pareil pour moi, ce type est vraiment bizarre, un magicien. Je peux te croquer le gland ?
— Celui en chocolat ou le réel ?
— Le réel ! Je vais garder la sculpture en chocolat en souvenir de notre première fois.
Les deux amis ne prirent pas beaucoup de temps pour les préliminaires, ils se déshabillèrent rapidement, dévoilant leurs pénis érigés qui, sans surprise, ressemblaient comme deux gouttes de sperme à ceux en chocolat, y compris l’inscription « Croque-moi ! », gravée sur la peau par le laser du scanner.[/size]
Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
à chacun son histoire bis (mais ici ce sont des anciennes (g@y-tous styles) ) (slygame.fr)
La "hot" du père Noël ! (GAY-ADO-OS) (slygame.fr)
Piscine...et plaisir aqueux (OS-minet-gay) (slygame.fr)
-La tête dans les étoiles (aquatique)-(fanfiction - gay - humour) (slygame.fr)
à chacun son histoire bis (mais ici ce sont des anciennes (g@y-tous styles) ) (slygame.fr)
La "hot" du père Noël ! (GAY-ADO-OS) (slygame.fr)
Piscine...et plaisir aqueux (OS-minet-gay) (slygame.fr)
-La tête dans les étoiles (aquatique)-(fanfiction - gay - humour) (slygame.fr)