28-10-2023, 11:36 PM
Cinquième tram/inondation
Une fois de plus, la météo nous annonce un épisode cévenol, sur Montpellier ! Y'en a ras le bol de ces prévisions, le plus souvent, fausses et alarmistes. Ça fait trois fois qu'ils nous font le coup en deux semaines. Et chaque fois il ne tombe que quelques gouttes qui ne mouillent même pas le dessous des arbres !
Bon, après, je m'en moque un peu parce qu'avant que l'eau monte jusqu'au premier où mes parents m'ont loué un studio pour trois ans, le temps de faire ma licence, il peut pleuvoir fort et longtemps. Mais aujourd'hui, pour une fois, leur grenouille a eu raison.
C'est en courant, pour ne pas être trempés, que quelques étudiants, dont moi, ont courus jusqu'au tram. On a réussi à éviter le gros de l’orage qui s'approche. Il n'est que 16 heures mais on se croirait au crépuscule, tant le ciel s’assombrit. Il y a peu de monde dans ce tram, alors que d'habitude il est bondé. Les gens ont dû préféré attendre que l'orage passe ou ne sont pas sorti de chez eux.
Je ne suis pas très loin de Florian, un mec de ma promo, qui s'est assis au fond. Je suis en crush complet sur lui mais il ne le sait pas, tout comme personne ne sait à la fac que je suis gay. On n'a rien de commun ensemble, à part notre cursus.
On se dit bonjour mais on ne se parle que rarement, parce que Florian est la star de la promo et qu'il se la pète grave. Il a tout pour lui, la taille, le physique et les muscles d'un nageur de compétition, une gueule d'ange avec des yeux verts qui passent leur temps à déshabiller les filles - surement pour savoir laquelle il mettra dans son lit - et une queue qui doit être énorme en érection, vu ce que j'ai aperçu moulé dans un mini slip blanc, alors qu'il sortait des douches après le sport.
Oh ! Je vous ai dit un mensonge. On a une chose en commun tous les deux. C'est notre surnom : Flo.
Je m'appelle Florentin et mes potes, tout comme les siens nous appellent Flo.
Enfin, quand je dis mes potes… Du haut de mes 1,63 m et de mes 55 kg tout mouillés, de ma peau laiteuse de blondin aux yeux bleus délavé et muni d'une timidité maladive, j'ai du mal à me faire des copains. Lui en a plein. En fait, des potes je n'en ai pas tant que ça, à part Dorian. Mais bon, lui c'est différent parce qu'on est voisin au village et qu'on se connait depuis... toujours. Si je suis en crush sur Florian, c'est surement parce qu'il lui ressemble un peu. Dorian et lui ont le même gabarit. C'est Dorian le premier à qui j'ai dit que j'étais gay quand on avait 15 ans. Il m'a simplement répondu :
– Je m'en doutais ''la crevette'' !
Eh oui, quand il me parlait ou qu'il m'envoyait un sms c'était du genre : ‘‘tu fais quoi, la crevette’’ ou ‘’on va se faire un MacDo, la crevette ?’’ De sa part ce n'était pas méchant ni péjoratif. C'était juste un petit nom affectueux de sa part. Mais assez de mièvrerie, je m’égare, revenons à ce jour.
Plus qu'un arrêt et ça sera à mon tour de descendre. Je vais être trempé en rentrant. L'eau qui ruisselait simplement quand on est parti de la fac, au cours du trajet, à beaucoup monté et maintenant, on s’imaginerait en pleine nuit, nuit juste éclairée par les nombreux éclairs qui claquent un peu de partout et souvent. les rares passants qui affrontent le déluge ont de la flotte jusqu'à mi mollet et encore, ils sont sur les trottoirs. Enfin, on arrive à mon arrêt. Le tram stoppe une annonce retentit.
'' Mesdames et Messieurs, par mesure de précaution, le tram restera à l'arrêt jusqu'à la fin des inondations. Veuillez nous excuser du désagrément''.
Les gens encore à bord râle en se levant. Je vais pour sortir quand je vois que Florian est complètement tétanisé sur son fauteuil. Je m'approche de lui.
– Florian, il faut descendre.
Complètement paniqué il tourne la tête vers moi.
– NON, NON je ne peux pas, je ne veux pas descendre.
– Mais enfin Florian, le gars n'attend plus que nous pour fermer le tram et partir.
– Tu ne peux pas comprendre.
– Je ne peux pas comprendre, quoi ?
– J'ai peur, j'ai toujours eu peur des orages. Et puis, c'est encore loin chez moi, je ne me sens pas d'y aller à pied.
– Tu peux venir chez moi, le temps que ça passe.
– Tu habites où ?
– Tu vois le gars en bleu, là-bas, sur le trottoir ?
– Oui, je le vois.
– On prend la rue d'où il arrive et c'est la deuxième porte. Tu te sens d'aller jusque-là ?
– Je crois, je vais essayer.
– Alors, lève-toi !
On sort du tram. On se presse mais on n'essaie même pas de courir. Ça ne servirait à rien, tellement il pleut. Un éclair claque si près qu'on voit l'éclair et que le grondement nous assourdit en même temps. Florian reste droit, tétanisé, au milieu de la rue. Je le prends par la main. Il tremble de tous ses membres. D'une voix douce je l'encourage et au bout de quelques instants, on est à l'abri dans le hall de mon immeuble, trempés comme une soupe. Il reprend un peu de couleurs. On grimpe à l’étage, on entre et la première chose qu'on fait c'est qu'on quitte tout ce qu'on porte vu qu’on dégouline. Il a de l'avance sur moi. Il porte le mini slip blanc qu'il avait à la piscine mais, tout aussi mouillé que le reste, il est devenu transparent. Je suis à essayer de me dépêtrer de mon pantalon - qui colle et que je n'arrive pas à enlever. Il quitte son mini slip et il est là, nu, devant moi.
– Laisse moi t’aider.
Je dois être tout rouge mais avec son aide je réussis à le quitter et comme lui, je tombe mon boxer. Il me suit jusqu'à la salle de bain où je lui donne une serviette. Et une fois secs, on ressort.
– Je te prêterai bien des fringues mais je ne pense pas que tu rentres dedans.
– Ce n’est pas grave je vais garder la serviette. Tu peux m'aider à essorer mes affaires ?
Je prends une bassine, je vais récupérer les affaires qu'on a laissé à l'entrée et on va à la salle de bain où chacun prend les siennes.
– Merde, mon téléphone a pris l’eau. Tu peux me passer le tien ? Je voudrais prévenir chez moi, pour qu’ils ne s'inquiètent pas.
– Pas de souci, j'espère qu'il n'a pas pris l’eau… Merde, y'a plus de réseau. Le papy et la mamy d'en face ont un fixe. Tu veux que j'aille voir si ça fonctionne et comme ça, tu pourras avertir chez toi ?
– Je veux bien, s'il te plait.
– Le temps d'enfiler un truc et j'y vais.
Je sonne, ils m’ouvrent et j'explique pourquoi je viens. Les braves vieux donnent aussitôt leur accord et Florian traverse le couloir, juste avec la serviette qui couvre sa nudité. Il fait le numéro. Ça sonne.
– Allo Mamy, … oui je vais bien. Ne t'en fait pas. … Non Mamy je suis chez un ami … Non, il habite au premier. On ne craint rien … Oui, je serai prudent. Je pense que je vais y rester jusqu'à tard. Le tram est arrêté ... Oui, je te tiens au courant mais ne m’attends pas pour te coucher. Bisous, je vous embrasse.
Il remercie le papy et la mamy et on rentre. À nouveau, la pluie et l'orage redoublent d’ardeur. Le tonnerre gronde, coups après coups. Florian, prostré sur le canapé, tremble de nouveau. J'arrive à grand peine à le faire se lever, j'ouvre le canapé et l'allonge dessus. Il est en panique complète. Je vais récupérer une couverture, je passe par-dessus lui et m'allonge à son côté, nous couvrant au passage. J'ai juste le temps de finir mon geste qu'il s'accroche à moi, tout tremblant. Il se colle à moi, comme une pieuvre à sa proie. Nos jambes se croisent. J'en bande de plaisir mais je crains qu’il s’en rende compte. Petit à petit, ses tremblements cessent. Il respire de plus en plus calmement… épuisé, Il dort. Chaque fois que j'essaie de me dégager pour sortir du lit il resserre son étreinte.
Au bout d'un long moment j'y arrive enfin et, le plus silencieusement que je peux, je nettoie l'entrée et la salle de bain. Dehors il pleut toujours comme vache qui pisse et l'eau continue de monter dans la rue. De temps en temps un coup de tonnerre claque au loin et Florian sursaute, heureusement, sans se réveiller. Il est 20 heures et j'ai faim. Toujours sans bruit, je prépare un repas pour nous deux.
Heureusement que la veille je suis allé faire des courses.
Je touille le contenu de la casserole, en songeant aux circonstances qui ont amenées Flo chez moi, quand retentit :
– Ça sent bon.
– T'es fou toi ! Tu m'as fait peur.
– Ça s’est calmé, dehors ?
– Un peu. Il pleut toujours mais on dirait que le gros de l'orage s'éloigne doucement.
– J'espère, parce que tu as dû t'en rendre compte, j'ai horreur de ça. Encore merci de m'avoir recueilli chez toi. Je ne sais pas ce que j’aurais fait si j'avais dû partir tout seul, à l’aventure.
– Et je crois bien que tu vas devoir passer la nuit ici aussi parce que c'est inondé de partout.
– T'es sérieux ?
– Regarde par la fenêtre et tu verras.
Prestement, il enlève la couverture qui le couvre, sort du lit et la serviette qui est autour de sa taille, tombe au sol. Il bande !
– Oups, désolé du spectacle.
– Ça va y'a pas mort d’homme. Si tu bandes, c'est que tu as repris du poil de la bête.
Ça le fait sourire. En fait du poil y'en a pas la trace d’un. Il est aussi lisse qu'un bébé qui vient de naitre. Et son sexe, bien que de belle taille, n'est pas aussi volumineux que je l'avais pensé. Il doit faire 17 cm sur 5 de diamètre. À vue d’œil, il est juste un peu plus petit que le gode que j'utilise habituellement. De penser à ça me fait rougir.
Heureusement qu'il me tourne le dos, la tête à la fenêtre.
– Flo, t'as pas faim ?
– Si, un peu.
– Alors, on passe à table.
On a vite fait d'avaler la boite de pâté, celle de ravioli (ma spécialisé), la crème dessert et une banane. J'allume la télé où, les chaines d'information ne parlent que des inondations, ici à Montpellier. Puis on zappe un peu et on trouve une série qui nous plait. Pour la regarder, on est allongé côte à côte sur le canapé. On décide de se coucher.
– Ça t'ennuie si je dors à poil, Flo ?
– J'allais te poser la même question. Donc, la réponse est non, je suppose.
– Tout à fait. Je vais éteindre.
Quand je reviens dans le noir il est couché en chien de fusil, tourné vers le mur. Je m'installe dans l'autre sens. Petit à petit le sommeil me gagne. J'entends Flo respirer calmement.
…
Je crève de chaud. Ça me réveille.
Florian est à moitié couché sur moi, collé dans mon dos, son bras par-dessus mon corps et sa main à quelques centimètres de ma bite. La sienne est au beau fixe. Je la sens pulser contre ma cuisse.
Je bouge juste assez pour que sa queue se colle contre mes fesses et que sa main touche ma bite. Je suis bien, comme ça. Je me rendors. Dans un demi-sommeil, je sens que Flo, de temps en temps, donne quelques coups de reins, comme s'il voulait me baiser et que sa main caresse ma bite et mes couilles. S'il continue comme ça, je vais jouir.
L'orage est de nouveau sur nous. Un terrible coup de tonnerre nous fait bondir tous les deux et nous réveille complétement.
Une fois de plus Florian est tétanisé et tremble des pieds à la tête. Je m'allonge tout contre lui, le recouvrant à moitié de mon corps et je le réconforte en lui parlant doucement à l’oreille. Je lui fais un bisou, comme pour rassurer un enfant. Il resserre encore plus l'étreinte de ses bras, ses tremblements cessent progressivement. Il ouvre les yeux, me voit et me sourit. Je vais pour me dégager mais il me murmure :
– Non, reste s'il te plait, je suis bien comme ça. Tu me rassures.
– Je ne t'écrase pas trop ?
– Non, ça va. J'aime te sentir sur moi comme ça. T'es pas plus épais qu'un un sandwich SNCF pourtant j'ai l'impression que c'est une armure indestructible qui me protège.
Je pose ma tête sur son épaule. Je suis au paradis ! Je le sens bouger. Il tourne la tête et me fait un bisou à la commissure des lèvres. Surpris je tourne un peu plus la tête vers lui et, là, c’est sa langue qui cherche un passage, entre mes lèvres. Je réponds timidement à son baisé. Il resserre encore son étreinte et, d'un coup de rein, c'est lui qui maintenant est complétement sur moi. Il frotte sa queue contre la mienne tout en continuant à m’embrasser. Un autre coup de rein de sa part et c'est moi qui le chevauche. Sa queue raide est coincée entre mes fesses. J'abandonne ses lèvres et, tout en embrassant chaque partie de son corps en chemin, descends vers l'objet de toutes mes convoitises.
Quand j'y arrive, je suis en extase devant ce pieux veiné au gland bien décalotté qui suinte de plaisir et que je m'empresse de lécher. Il gémit. Je donne quelques coups de langue sur cette queue qui me fait saliver d’avance. Il pose sa main derrière ma tête et me pousse vers ce saint Graal. Je lui sors le grand jeu. J'y mets tout mon savoir-faire. Il est endurant le garçon. Dans un gémissement il me dit :
– J'ai envie de toi. Tu me veux en toi ?
À tâtons, je trouve dans cette pénombre, le tube de lubrifiant dont je me sers quand je joue avec mon gode. Il m'en met sur la rondelle et joue avec. Je suis tellement excité qu'elle s'ouvre toute seule. Il bouge un peu et son gland vient s’appuyer contre mon trou. Il force peu, le lubrifiant rempli bien son office - et lui mon antre. Il commence à bouger doucement, tout en me caressant. Il ne me baise pas, non ! Il me fait l'amour avec toute la passion et l'ardeur dont il est capable.
Dehors le tonnerre gronde, la pluie qui tombe en déluge est assourdissante mais Florian reste imperturbable, complètement focalisé sur ses sensations. Il continue à me faire l'amour avec passion… Ses mouvements deviennent de plus en plus désordonnés, sa respiration est erratique… et je le sens jouir en moi.
D'un air marri il me dit :
– Je suis désolé, je n'ai pas réussi à te faire jouir avec moi. Je ne suis pas prêt pour te sucer mais, si tu veux, je peux te faire jouir en te branlant.
– Tu n'y es pas obligé, tu sais.
– Oui, mais je ne suis pas égoïste et j'en ai envie.
Ce sont d'énormes giclées qu'il me fait cracher. Je crois que je n'ai jamais autant joui de ma vie. Je m'essuie et on se recouche dans les bras l'un de l’autre. Je me demande comment ça se passera entre nous demain matin, à froid, quand il réalisera ce qu'on vient de faire.
...
C'est de le sentir bouger contre moi qui me réveille. Je le vois se lever, la bite raide, pour se rendre à la salle de bain et je l'entends pisser longuement. Je me lève aussi et je prends sa place quand il sort des toilettes. On se sourit, un peu timidement, en se croisant. Il voit bien que je bande et la sienne est encore tendue, sans bander complètement. C'est lui qui rompt le silence gênant.
– Florentin, je suis désolé pour ce que je t'ai fait subir hier soir. Je vais m'en aller. J'espère que tu réussiras à me pardonner. Je ne sais pas ce qu'il m'a pris. Excuse-moi s'il te plait.
– Non, reste ! Ce que tu m'as fait hier soir, j'en rêvais depuis que je t'ai croisé, le jour de la rentrée. Je suis gay, Florian, et ce qu'on a fait cette nuit restera à jamais gravé, très précieusement, dans ma mémoire.
– C'est vrai ? Tu ne m'en veux pas et tu as aimé ça ?
– Si je te le dis. Cependant, je suppose que c'est toi qui vas vouloir partir, maintenant que tu sais que je suis gay ?
– Pourquoi, tu comptes me violer ?
– Ce n’est pas le genre de la maison.
– Dommage, je voudrais bien reprendre l’exercice, maintenant que l’orage n’est plus là…
***
On a remis le couvert et souvent, ce jour-là. Florian est un amant doué, attentionné et infatigable. Il est revenu souvent chez moi, pendant les trois ans de nos études, au moins deux à trois fois par semaine, et chaque fois il me faisait l’amour. Il m'avait averti immédiatement qu'il aimait trop les filles pour pouvoir s'en passer. Mais je m'en fous. Je les lui laisse, tant qu'il vient me voir. Et quand il vient, c’est devenu un rituel, on va se doucher ensemble puis on a de longs préliminaires où on explore nos corps, on s’embrasse, on se câline, JE le suce et IL me travaille le cul, me prend et me féconde. Enfin, si je n’ai pas joui avec lui, il me finit en me branlant…
Mais ce soir, notre dernier soir, il m'a sucé divinement. Il s'est rhabillé en me promettant que l'on restera en contact.
Depuis son départ, l’orage gronde dans mon cœur!
Une fois de plus, la météo nous annonce un épisode cévenol, sur Montpellier ! Y'en a ras le bol de ces prévisions, le plus souvent, fausses et alarmistes. Ça fait trois fois qu'ils nous font le coup en deux semaines. Et chaque fois il ne tombe que quelques gouttes qui ne mouillent même pas le dessous des arbres !
Bon, après, je m'en moque un peu parce qu'avant que l'eau monte jusqu'au premier où mes parents m'ont loué un studio pour trois ans, le temps de faire ma licence, il peut pleuvoir fort et longtemps. Mais aujourd'hui, pour une fois, leur grenouille a eu raison.
C'est en courant, pour ne pas être trempés, que quelques étudiants, dont moi, ont courus jusqu'au tram. On a réussi à éviter le gros de l’orage qui s'approche. Il n'est que 16 heures mais on se croirait au crépuscule, tant le ciel s’assombrit. Il y a peu de monde dans ce tram, alors que d'habitude il est bondé. Les gens ont dû préféré attendre que l'orage passe ou ne sont pas sorti de chez eux.
Je ne suis pas très loin de Florian, un mec de ma promo, qui s'est assis au fond. Je suis en crush complet sur lui mais il ne le sait pas, tout comme personne ne sait à la fac que je suis gay. On n'a rien de commun ensemble, à part notre cursus.
On se dit bonjour mais on ne se parle que rarement, parce que Florian est la star de la promo et qu'il se la pète grave. Il a tout pour lui, la taille, le physique et les muscles d'un nageur de compétition, une gueule d'ange avec des yeux verts qui passent leur temps à déshabiller les filles - surement pour savoir laquelle il mettra dans son lit - et une queue qui doit être énorme en érection, vu ce que j'ai aperçu moulé dans un mini slip blanc, alors qu'il sortait des douches après le sport.
Oh ! Je vous ai dit un mensonge. On a une chose en commun tous les deux. C'est notre surnom : Flo.
Je m'appelle Florentin et mes potes, tout comme les siens nous appellent Flo.
Enfin, quand je dis mes potes… Du haut de mes 1,63 m et de mes 55 kg tout mouillés, de ma peau laiteuse de blondin aux yeux bleus délavé et muni d'une timidité maladive, j'ai du mal à me faire des copains. Lui en a plein. En fait, des potes je n'en ai pas tant que ça, à part Dorian. Mais bon, lui c'est différent parce qu'on est voisin au village et qu'on se connait depuis... toujours. Si je suis en crush sur Florian, c'est surement parce qu'il lui ressemble un peu. Dorian et lui ont le même gabarit. C'est Dorian le premier à qui j'ai dit que j'étais gay quand on avait 15 ans. Il m'a simplement répondu :
– Je m'en doutais ''la crevette'' !
Eh oui, quand il me parlait ou qu'il m'envoyait un sms c'était du genre : ‘‘tu fais quoi, la crevette’’ ou ‘’on va se faire un MacDo, la crevette ?’’ De sa part ce n'était pas méchant ni péjoratif. C'était juste un petit nom affectueux de sa part. Mais assez de mièvrerie, je m’égare, revenons à ce jour.
Plus qu'un arrêt et ça sera à mon tour de descendre. Je vais être trempé en rentrant. L'eau qui ruisselait simplement quand on est parti de la fac, au cours du trajet, à beaucoup monté et maintenant, on s’imaginerait en pleine nuit, nuit juste éclairée par les nombreux éclairs qui claquent un peu de partout et souvent. les rares passants qui affrontent le déluge ont de la flotte jusqu'à mi mollet et encore, ils sont sur les trottoirs. Enfin, on arrive à mon arrêt. Le tram stoppe une annonce retentit.
'' Mesdames et Messieurs, par mesure de précaution, le tram restera à l'arrêt jusqu'à la fin des inondations. Veuillez nous excuser du désagrément''.
Les gens encore à bord râle en se levant. Je vais pour sortir quand je vois que Florian est complètement tétanisé sur son fauteuil. Je m'approche de lui.
– Florian, il faut descendre.
Complètement paniqué il tourne la tête vers moi.
– NON, NON je ne peux pas, je ne veux pas descendre.
– Mais enfin Florian, le gars n'attend plus que nous pour fermer le tram et partir.
– Tu ne peux pas comprendre.
– Je ne peux pas comprendre, quoi ?
– J'ai peur, j'ai toujours eu peur des orages. Et puis, c'est encore loin chez moi, je ne me sens pas d'y aller à pied.
– Tu peux venir chez moi, le temps que ça passe.
– Tu habites où ?
– Tu vois le gars en bleu, là-bas, sur le trottoir ?
– Oui, je le vois.
– On prend la rue d'où il arrive et c'est la deuxième porte. Tu te sens d'aller jusque-là ?
– Je crois, je vais essayer.
– Alors, lève-toi !
On sort du tram. On se presse mais on n'essaie même pas de courir. Ça ne servirait à rien, tellement il pleut. Un éclair claque si près qu'on voit l'éclair et que le grondement nous assourdit en même temps. Florian reste droit, tétanisé, au milieu de la rue. Je le prends par la main. Il tremble de tous ses membres. D'une voix douce je l'encourage et au bout de quelques instants, on est à l'abri dans le hall de mon immeuble, trempés comme une soupe. Il reprend un peu de couleurs. On grimpe à l’étage, on entre et la première chose qu'on fait c'est qu'on quitte tout ce qu'on porte vu qu’on dégouline. Il a de l'avance sur moi. Il porte le mini slip blanc qu'il avait à la piscine mais, tout aussi mouillé que le reste, il est devenu transparent. Je suis à essayer de me dépêtrer de mon pantalon - qui colle et que je n'arrive pas à enlever. Il quitte son mini slip et il est là, nu, devant moi.
– Laisse moi t’aider.
Je dois être tout rouge mais avec son aide je réussis à le quitter et comme lui, je tombe mon boxer. Il me suit jusqu'à la salle de bain où je lui donne une serviette. Et une fois secs, on ressort.
– Je te prêterai bien des fringues mais je ne pense pas que tu rentres dedans.
– Ce n’est pas grave je vais garder la serviette. Tu peux m'aider à essorer mes affaires ?
Je prends une bassine, je vais récupérer les affaires qu'on a laissé à l'entrée et on va à la salle de bain où chacun prend les siennes.
– Merde, mon téléphone a pris l’eau. Tu peux me passer le tien ? Je voudrais prévenir chez moi, pour qu’ils ne s'inquiètent pas.
– Pas de souci, j'espère qu'il n'a pas pris l’eau… Merde, y'a plus de réseau. Le papy et la mamy d'en face ont un fixe. Tu veux que j'aille voir si ça fonctionne et comme ça, tu pourras avertir chez toi ?
– Je veux bien, s'il te plait.
– Le temps d'enfiler un truc et j'y vais.
Je sonne, ils m’ouvrent et j'explique pourquoi je viens. Les braves vieux donnent aussitôt leur accord et Florian traverse le couloir, juste avec la serviette qui couvre sa nudité. Il fait le numéro. Ça sonne.
– Allo Mamy, … oui je vais bien. Ne t'en fait pas. … Non Mamy je suis chez un ami … Non, il habite au premier. On ne craint rien … Oui, je serai prudent. Je pense que je vais y rester jusqu'à tard. Le tram est arrêté ... Oui, je te tiens au courant mais ne m’attends pas pour te coucher. Bisous, je vous embrasse.
Il remercie le papy et la mamy et on rentre. À nouveau, la pluie et l'orage redoublent d’ardeur. Le tonnerre gronde, coups après coups. Florian, prostré sur le canapé, tremble de nouveau. J'arrive à grand peine à le faire se lever, j'ouvre le canapé et l'allonge dessus. Il est en panique complète. Je vais récupérer une couverture, je passe par-dessus lui et m'allonge à son côté, nous couvrant au passage. J'ai juste le temps de finir mon geste qu'il s'accroche à moi, tout tremblant. Il se colle à moi, comme une pieuvre à sa proie. Nos jambes se croisent. J'en bande de plaisir mais je crains qu’il s’en rende compte. Petit à petit, ses tremblements cessent. Il respire de plus en plus calmement… épuisé, Il dort. Chaque fois que j'essaie de me dégager pour sortir du lit il resserre son étreinte.
Au bout d'un long moment j'y arrive enfin et, le plus silencieusement que je peux, je nettoie l'entrée et la salle de bain. Dehors il pleut toujours comme vache qui pisse et l'eau continue de monter dans la rue. De temps en temps un coup de tonnerre claque au loin et Florian sursaute, heureusement, sans se réveiller. Il est 20 heures et j'ai faim. Toujours sans bruit, je prépare un repas pour nous deux.
Heureusement que la veille je suis allé faire des courses.
Je touille le contenu de la casserole, en songeant aux circonstances qui ont amenées Flo chez moi, quand retentit :
– Ça sent bon.
– T'es fou toi ! Tu m'as fait peur.
– Ça s’est calmé, dehors ?
– Un peu. Il pleut toujours mais on dirait que le gros de l'orage s'éloigne doucement.
– J'espère, parce que tu as dû t'en rendre compte, j'ai horreur de ça. Encore merci de m'avoir recueilli chez toi. Je ne sais pas ce que j’aurais fait si j'avais dû partir tout seul, à l’aventure.
– Et je crois bien que tu vas devoir passer la nuit ici aussi parce que c'est inondé de partout.
– T'es sérieux ?
– Regarde par la fenêtre et tu verras.
Prestement, il enlève la couverture qui le couvre, sort du lit et la serviette qui est autour de sa taille, tombe au sol. Il bande !
– Oups, désolé du spectacle.
– Ça va y'a pas mort d’homme. Si tu bandes, c'est que tu as repris du poil de la bête.
Ça le fait sourire. En fait du poil y'en a pas la trace d’un. Il est aussi lisse qu'un bébé qui vient de naitre. Et son sexe, bien que de belle taille, n'est pas aussi volumineux que je l'avais pensé. Il doit faire 17 cm sur 5 de diamètre. À vue d’œil, il est juste un peu plus petit que le gode que j'utilise habituellement. De penser à ça me fait rougir.
Heureusement qu'il me tourne le dos, la tête à la fenêtre.
– Flo, t'as pas faim ?
– Si, un peu.
– Alors, on passe à table.
On a vite fait d'avaler la boite de pâté, celle de ravioli (ma spécialisé), la crème dessert et une banane. J'allume la télé où, les chaines d'information ne parlent que des inondations, ici à Montpellier. Puis on zappe un peu et on trouve une série qui nous plait. Pour la regarder, on est allongé côte à côte sur le canapé. On décide de se coucher.
– Ça t'ennuie si je dors à poil, Flo ?
– J'allais te poser la même question. Donc, la réponse est non, je suppose.
– Tout à fait. Je vais éteindre.
Quand je reviens dans le noir il est couché en chien de fusil, tourné vers le mur. Je m'installe dans l'autre sens. Petit à petit le sommeil me gagne. J'entends Flo respirer calmement.
…
Je crève de chaud. Ça me réveille.
Florian est à moitié couché sur moi, collé dans mon dos, son bras par-dessus mon corps et sa main à quelques centimètres de ma bite. La sienne est au beau fixe. Je la sens pulser contre ma cuisse.
Je bouge juste assez pour que sa queue se colle contre mes fesses et que sa main touche ma bite. Je suis bien, comme ça. Je me rendors. Dans un demi-sommeil, je sens que Flo, de temps en temps, donne quelques coups de reins, comme s'il voulait me baiser et que sa main caresse ma bite et mes couilles. S'il continue comme ça, je vais jouir.
L'orage est de nouveau sur nous. Un terrible coup de tonnerre nous fait bondir tous les deux et nous réveille complétement.
Une fois de plus Florian est tétanisé et tremble des pieds à la tête. Je m'allonge tout contre lui, le recouvrant à moitié de mon corps et je le réconforte en lui parlant doucement à l’oreille. Je lui fais un bisou, comme pour rassurer un enfant. Il resserre encore plus l'étreinte de ses bras, ses tremblements cessent progressivement. Il ouvre les yeux, me voit et me sourit. Je vais pour me dégager mais il me murmure :
– Non, reste s'il te plait, je suis bien comme ça. Tu me rassures.
– Je ne t'écrase pas trop ?
– Non, ça va. J'aime te sentir sur moi comme ça. T'es pas plus épais qu'un un sandwich SNCF pourtant j'ai l'impression que c'est une armure indestructible qui me protège.
Je pose ma tête sur son épaule. Je suis au paradis ! Je le sens bouger. Il tourne la tête et me fait un bisou à la commissure des lèvres. Surpris je tourne un peu plus la tête vers lui et, là, c’est sa langue qui cherche un passage, entre mes lèvres. Je réponds timidement à son baisé. Il resserre encore son étreinte et, d'un coup de rein, c'est lui qui maintenant est complétement sur moi. Il frotte sa queue contre la mienne tout en continuant à m’embrasser. Un autre coup de rein de sa part et c'est moi qui le chevauche. Sa queue raide est coincée entre mes fesses. J'abandonne ses lèvres et, tout en embrassant chaque partie de son corps en chemin, descends vers l'objet de toutes mes convoitises.
Quand j'y arrive, je suis en extase devant ce pieux veiné au gland bien décalotté qui suinte de plaisir et que je m'empresse de lécher. Il gémit. Je donne quelques coups de langue sur cette queue qui me fait saliver d’avance. Il pose sa main derrière ma tête et me pousse vers ce saint Graal. Je lui sors le grand jeu. J'y mets tout mon savoir-faire. Il est endurant le garçon. Dans un gémissement il me dit :
– J'ai envie de toi. Tu me veux en toi ?
À tâtons, je trouve dans cette pénombre, le tube de lubrifiant dont je me sers quand je joue avec mon gode. Il m'en met sur la rondelle et joue avec. Je suis tellement excité qu'elle s'ouvre toute seule. Il bouge un peu et son gland vient s’appuyer contre mon trou. Il force peu, le lubrifiant rempli bien son office - et lui mon antre. Il commence à bouger doucement, tout en me caressant. Il ne me baise pas, non ! Il me fait l'amour avec toute la passion et l'ardeur dont il est capable.
Dehors le tonnerre gronde, la pluie qui tombe en déluge est assourdissante mais Florian reste imperturbable, complètement focalisé sur ses sensations. Il continue à me faire l'amour avec passion… Ses mouvements deviennent de plus en plus désordonnés, sa respiration est erratique… et je le sens jouir en moi.
D'un air marri il me dit :
– Je suis désolé, je n'ai pas réussi à te faire jouir avec moi. Je ne suis pas prêt pour te sucer mais, si tu veux, je peux te faire jouir en te branlant.
– Tu n'y es pas obligé, tu sais.
– Oui, mais je ne suis pas égoïste et j'en ai envie.
Ce sont d'énormes giclées qu'il me fait cracher. Je crois que je n'ai jamais autant joui de ma vie. Je m'essuie et on se recouche dans les bras l'un de l’autre. Je me demande comment ça se passera entre nous demain matin, à froid, quand il réalisera ce qu'on vient de faire.
...
C'est de le sentir bouger contre moi qui me réveille. Je le vois se lever, la bite raide, pour se rendre à la salle de bain et je l'entends pisser longuement. Je me lève aussi et je prends sa place quand il sort des toilettes. On se sourit, un peu timidement, en se croisant. Il voit bien que je bande et la sienne est encore tendue, sans bander complètement. C'est lui qui rompt le silence gênant.
– Florentin, je suis désolé pour ce que je t'ai fait subir hier soir. Je vais m'en aller. J'espère que tu réussiras à me pardonner. Je ne sais pas ce qu'il m'a pris. Excuse-moi s'il te plait.
– Non, reste ! Ce que tu m'as fait hier soir, j'en rêvais depuis que je t'ai croisé, le jour de la rentrée. Je suis gay, Florian, et ce qu'on a fait cette nuit restera à jamais gravé, très précieusement, dans ma mémoire.
– C'est vrai ? Tu ne m'en veux pas et tu as aimé ça ?
– Si je te le dis. Cependant, je suppose que c'est toi qui vas vouloir partir, maintenant que tu sais que je suis gay ?
– Pourquoi, tu comptes me violer ?
– Ce n’est pas le genre de la maison.
– Dommage, je voudrais bien reprendre l’exercice, maintenant que l’orage n’est plus là…
***
On a remis le couvert et souvent, ce jour-là. Florian est un amant doué, attentionné et infatigable. Il est revenu souvent chez moi, pendant les trois ans de nos études, au moins deux à trois fois par semaine, et chaque fois il me faisait l’amour. Il m'avait averti immédiatement qu'il aimait trop les filles pour pouvoir s'en passer. Mais je m'en fous. Je les lui laisse, tant qu'il vient me voir. Et quand il vient, c’est devenu un rituel, on va se doucher ensemble puis on a de longs préliminaires où on explore nos corps, on s’embrasse, on se câline, JE le suce et IL me travaille le cul, me prend et me féconde. Enfin, si je n’ai pas joui avec lui, il me finit en me branlant…
Mais ce soir, notre dernier soir, il m'a sucé divinement. Il s'est rhabillé en me promettant que l'on restera en contact.
Depuis son départ, l’orage gronde dans mon cœur!
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