21-10-2023, 12:46 PM
Second tram/inondation
Pierre-Charles est entré en silence dans mon bureau et s’est dirigé comme un ninja jusqu’à la fenêtre, pour y murmurer ‘’Quel temps ! On aurait dû rentrer en même temps que les autres’’.
J’ai levé les yeux sur sa silhouette frêle, avec l’idée furtive de le rejoindre, le coller à la vitre, déboutonner son pantalon puis le descendre, avec son boxer, d’un seul mouvement sur ses chevilles. J’ai secoué la tête, muselé mon fantasme et avalé ma salive, pour arriver à murmurer ‘’Nous sommes les derniers dans le bâtiment ? Et dehors, c’est vraiment si grave ?’’
— À part le vigile, oui. Et là, il doit y avoir vingt centimètres d’eau dehors, et avec ce déluge, j’arriverai trempé comme une soupe à l’arrêt de bus.
— Je peux te reconduire, j’ai ma voiture.
— La Peugeot noire, non ? a-t-il demandé d’un ton qu’il voulait innocent. ‘’Elle est garée à cent mètres, c’est toi qui le seras.’’
Tiens, tiens… Il a repéré ma caisse, observateur. Ou intéressé ? On peut rêver…
Après, je ne peux pas le lui reprocher, depuis mon premier jour dans la boîte, moi-même…
— Voici Pierre-Charles, son prénom a été judicieusement choisi, avait dit le DRH en nous présentant. ‘’Il est notre petit magicien de l’informatique… PC, vous voyez ? Hahaha. Il fait des miracles de ses petits doigts.’’
Qu’il a tellement délicats que j’avais directement imaginé que ses deux poings superposés sur mon sexe en laisseraient toujours émerger mon gland. Sans savoir plus à ce moment, mais que j’ai découvert ensuite, en le stalkant à un niveau probablement réprimé par la morale, sinon par le Code Civil.
C’était assez facile, au final. Si Mark Zuckerberg ne le comptait pas parmi ses abonnés – mais qui est sur Meta en 2023 ? - ce garçon joli, sensible, attaché aux belles choses devait forcément avoir un compte Instagram ! J’avais juste passé une petite vingtaine de minutes à lancer des recherches sur l’appli, avec tous les mots-clés auxquels je pouvais penser, ‘Montpellier’, ‘IT’, ‘Pierre-Charles’… puis l’essai décisif du nom de la ville associé à ‘PC’, et un profil prometteur : Laptop Boy, soit le garçon à l’ordi portable.
L’idée m’avait amusé, et j’avais déroulé son feed de photos, toutes sobres et anonymes, jusqu’à celle de cuisses couvertes d’un laptop fermé, et au fond, un ridicule chihuahua posant entre deux pieds nus.
‘’Hey ! Mais c’est cette saloperie hyperactive de Gonzague, P-C n’a pas peur de perdre un orteil’’ avais-je soufflé pour moi-même, reconnaissant l’horrible rat mutant dont il a la photo encadrée sur son bureau.
C’était donc bien son compte Insta ! Les liens vers ses autres réseaux sociaux m’ont amené à un Twitter désertique, à une liste de vêtements qu’il revendait, mais aussi à un site intitulé ‘Sneakers Sniffers’…
Les renifleurs de baskets, sérieux ? PC serait un fétichiste du pied ? Pourquoi pas, à chacun son trip un peu bizarre, les petits mecs en déficit musculaire comme lui me mettent bien une érection douloureuse…
Ceci dit, à part pour les mecs virils qui poussent le nez dans les escarpins de filles, c’est surtout un gros fantasme de gays, ce qui confirmerait que P-C… Hmmm.
Tout mon raisonnement m’est revenu à l’esprit, dans mon bureau, et a motivé l’élaboration de mon plan.
— Écoute, vous êtes bien sympas, toi et le vigile…
— Il s’appelle Virgile, c’est amusant, non ?
Comment sait-il ça, lui ? Bon, le mec n’est pas moche, et comme disait Coluche, assez beau pour ce qu’il est probablement intelligent, mais de là à avoir gratté son prénom… P-C calerait sur les grands mecs ? Bon pour moi, ça !
— Ah ! Oui, soit, je voulais dire que je ne vais pas passer la nuit ici, je ne suis pas assez bien payé. Donc, on ferme tout, je vais chercher ma voiture, je viens à la porte de l’immeuble et je te ramène chez toi, OK ?
— Ce serait terriblement gentil de ta part, a susurré P-C, d’un ton suave qui m’a remis en tête l’idée de le prendre sur mon bureau. Mais non, du calme, ne pas le brusquer, plutôt l’amener à demander lui-même…
Nous avons pris l’ascenseur dans un silence monacal jusqu’au hall d’entrée de l’immeuble, où j’ai repéré du coin de l’œil – et sobrement salué – Virgile, le vigile, probablement Normand descendant des Vikings, une immense bête blonde musclée, crush non-avoué de mon fluet collègue… dont il détruirait probablement le rectum si le sentiment était réciproque.
— Reste au sec, ai-je crié, après avoir repéré la rigole au pied du perron de l’immeuble. Dans laquelle j’ai sauté, pour ensuite simuler une chute à plat ventre.
— Ça va ? a crié Pierre-Charles.
— Ne bouge pas, c’est bon, ai-je répondu, avant de rejoindre ma voiture en boitillant, pour simuler la pression de mon doigt sur la clé, évidemment sans résultat.
J’ai retraversé l’avenue pour rejoindre PC sur les marches.
— Merde, merde, meeeeerde ! Ma clé a pris l’eau, impossible de déverrouiller !
— Et tu es tout mouillé, ton costume…
— Crois-le ou pas, j’ai du change, lui ai-je dit, en le trainant vers l’ascenseur pour rejoindre notre service. ‘’Mes vêtements de sport, si j’ai l’occasion d’aller un jour à la salle au sous-sol.’’
Pierre-Charles a glapi ‘’Je reviens’’ avant de se diriger vers les toilettes.
J’ai retiré mes chaussures et mes chaussettes arc-en-ciel que j’ai laissées bien en vue, avant de me débarrasser de mes vêtements. En boxer, je venais de tirer mon drap de bain de mon sac de sport, lorsque P-C a surgi, armé d’une poignée de serviettes en papier.
— Oh ! Tu as…
— Ben oui, pour la douche, après les efforts que je n’ai pas encore pratiqués en deux mois, mais bon…
Il a fixé mes pieds dont j’agitais ostensiblement les orteils, pratiquement hypnotisé, avant de murmurer ‘’Tes pieds… Sécher… Tu vas prendre froid’’, et de se jeter à genoux pour les éponger.
J’ai joué le jeu, soulevant le gauche, puis le droit, qu’il a gardé en main un moment, figé, pour souffler ‘’Si beaux, délicats, soignés…’’
— Ne… Ne fait pas ça, P-C, tu ne sais pas… Je… Je suis gay, et ce contact, c’est juste trop…, ai-je bégayé, faussement gêné. ‘’Je n’aurais jamais dû te laisser le faire, je ne te respecte pas, excuse-moi.’’
— Pas du tout ! J’en avais tellement envie, tu es le plus beau mec du bureau, je n’osais pas espérer, a-t-il gémi avant de me sucer le pouce du pied gauche.
Oooo-kay, ai-je pensé, ce n’est pas si désagréable…
Je me suis un peu forcé à gémir d’un plaisir simulé, avant de relever son visage vers moi…
— Pierre-Charles, arrête, s’il te plait, c’est une torture, depuis le premier jour, j’ai envie de toi, mais voilà, nos envies ne sont peut-être pas compatibles.
— Je… dans mes rêves mes plus fous, je n’imaginais pas que tu accepterais cette simple caresse, mais je veux plus, c’était… mon idée… un peu tordue… de la tentative de séduction d’un garçon qui me plait, toi !
Il a défait son pantalon, et a baissé le simple slip de grande surface qui lui fait pourtant de jolies petites fesses, que j’ai écartées pour y apposer la caresse de ma langue.
— C’est bon ! Prends-moi…
J’ai entièrement décalotté mon membre raide pour l’apposer sur l’intimité de P-C, que j’ai lentement pénétrée.
Après quelques dizaines de mouvements, il a gémi ‘’Je viens, ohhh’’. J’ai jeté un regard par-dessus son épaule, pour voir perler un filet de pré-sperme de son sexe semi-rigide, avant de sentir les tressaillements de son sphincter sur ma bite.
— PC... Pierre-Charles… Arrête de faire ça, je vais…
— Je n’y peux rien, je ne contrôle pas, c’est trop bon !
— Mais je vais j… Aaaaaah ! ai-je éructé en jouissant en lui.
Je lui embrassais la nuque, lorsque nous avons entendu, depuis la porte, ‘’Ça va, les mecs, besoin d’aide ?’’
Virgile le vigile, la queue raide à l’air, qu’il astique tranquille…
— T’en penses quoi, PC ? J’avoue, j’ai été surpris et j’ai fini trop vite, ça n’arrivera plus, mais là, on fait quoi ?
— Je dois me finiiiiir, alors tu reviens, ou c’est Virgile, a-t-il gémi, en astiquant son membre maintenant raide.
— Lubrification ? a demandé le professionnel de la sécurité.
— J’ai joui en lui, si ça ne te gêne pas trop, ça devrait le faire.
Virgile s’est effondré en grognant sur le dos de Pierre-Charles, que j’ai découvert extatique lorsqu'il s'est redressé, après qu’il eut tiré une décharge monumentale sur la moquette de mon bureau.
Les orages diluviens sont évidemment rares à Montpellier… Désormais, chez moi, nous prenons nos douches ensemble, pour en sortir en laissant couler l’eau, pour le bruit de fond en souvenir du déluge, et parfois, nous arrivons au lit avant que je possède Pierre-Charles. Une fois sur deux, nous ne dépassons pas le meuble-évier, dans le miroir, je vois le plaisir s’afficher sur son visage alors qu’il jouit dans la vasque.
Virgile nous rejoint parfois. Il dit à sa femme travailler en black, Je le paie pour ses services. Mais il passe toujours après moi, question de dimensions, pour accorder à PC un second orgasme qui le laisse pantelant. Et parfois, juste parfois, je suçote les orteils de mon mec. Si ça lui fait plaisir…
Pierre-Charles est entré en silence dans mon bureau et s’est dirigé comme un ninja jusqu’à la fenêtre, pour y murmurer ‘’Quel temps ! On aurait dû rentrer en même temps que les autres’’.
J’ai levé les yeux sur sa silhouette frêle, avec l’idée furtive de le rejoindre, le coller à la vitre, déboutonner son pantalon puis le descendre, avec son boxer, d’un seul mouvement sur ses chevilles. J’ai secoué la tête, muselé mon fantasme et avalé ma salive, pour arriver à murmurer ‘’Nous sommes les derniers dans le bâtiment ? Et dehors, c’est vraiment si grave ?’’
— À part le vigile, oui. Et là, il doit y avoir vingt centimètres d’eau dehors, et avec ce déluge, j’arriverai trempé comme une soupe à l’arrêt de bus.
— Je peux te reconduire, j’ai ma voiture.
— La Peugeot noire, non ? a-t-il demandé d’un ton qu’il voulait innocent. ‘’Elle est garée à cent mètres, c’est toi qui le seras.’’
Tiens, tiens… Il a repéré ma caisse, observateur. Ou intéressé ? On peut rêver…
Après, je ne peux pas le lui reprocher, depuis mon premier jour dans la boîte, moi-même…
— Voici Pierre-Charles, son prénom a été judicieusement choisi, avait dit le DRH en nous présentant. ‘’Il est notre petit magicien de l’informatique… PC, vous voyez ? Hahaha. Il fait des miracles de ses petits doigts.’’
Qu’il a tellement délicats que j’avais directement imaginé que ses deux poings superposés sur mon sexe en laisseraient toujours émerger mon gland. Sans savoir plus à ce moment, mais que j’ai découvert ensuite, en le stalkant à un niveau probablement réprimé par la morale, sinon par le Code Civil.
C’était assez facile, au final. Si Mark Zuckerberg ne le comptait pas parmi ses abonnés – mais qui est sur Meta en 2023 ? - ce garçon joli, sensible, attaché aux belles choses devait forcément avoir un compte Instagram ! J’avais juste passé une petite vingtaine de minutes à lancer des recherches sur l’appli, avec tous les mots-clés auxquels je pouvais penser, ‘Montpellier’, ‘IT’, ‘Pierre-Charles’… puis l’essai décisif du nom de la ville associé à ‘PC’, et un profil prometteur : Laptop Boy, soit le garçon à l’ordi portable.
L’idée m’avait amusé, et j’avais déroulé son feed de photos, toutes sobres et anonymes, jusqu’à celle de cuisses couvertes d’un laptop fermé, et au fond, un ridicule chihuahua posant entre deux pieds nus.
‘’Hey ! Mais c’est cette saloperie hyperactive de Gonzague, P-C n’a pas peur de perdre un orteil’’ avais-je soufflé pour moi-même, reconnaissant l’horrible rat mutant dont il a la photo encadrée sur son bureau.
C’était donc bien son compte Insta ! Les liens vers ses autres réseaux sociaux m’ont amené à un Twitter désertique, à une liste de vêtements qu’il revendait, mais aussi à un site intitulé ‘Sneakers Sniffers’…
Les renifleurs de baskets, sérieux ? PC serait un fétichiste du pied ? Pourquoi pas, à chacun son trip un peu bizarre, les petits mecs en déficit musculaire comme lui me mettent bien une érection douloureuse…
Ceci dit, à part pour les mecs virils qui poussent le nez dans les escarpins de filles, c’est surtout un gros fantasme de gays, ce qui confirmerait que P-C… Hmmm.
Tout mon raisonnement m’est revenu à l’esprit, dans mon bureau, et a motivé l’élaboration de mon plan.
— Écoute, vous êtes bien sympas, toi et le vigile…
— Il s’appelle Virgile, c’est amusant, non ?
Comment sait-il ça, lui ? Bon, le mec n’est pas moche, et comme disait Coluche, assez beau pour ce qu’il est probablement intelligent, mais de là à avoir gratté son prénom… P-C calerait sur les grands mecs ? Bon pour moi, ça !
— Ah ! Oui, soit, je voulais dire que je ne vais pas passer la nuit ici, je ne suis pas assez bien payé. Donc, on ferme tout, je vais chercher ma voiture, je viens à la porte de l’immeuble et je te ramène chez toi, OK ?
— Ce serait terriblement gentil de ta part, a susurré P-C, d’un ton suave qui m’a remis en tête l’idée de le prendre sur mon bureau. Mais non, du calme, ne pas le brusquer, plutôt l’amener à demander lui-même…
Nous avons pris l’ascenseur dans un silence monacal jusqu’au hall d’entrée de l’immeuble, où j’ai repéré du coin de l’œil – et sobrement salué – Virgile, le vigile, probablement Normand descendant des Vikings, une immense bête blonde musclée, crush non-avoué de mon fluet collègue… dont il détruirait probablement le rectum si le sentiment était réciproque.
— Reste au sec, ai-je crié, après avoir repéré la rigole au pied du perron de l’immeuble. Dans laquelle j’ai sauté, pour ensuite simuler une chute à plat ventre.
— Ça va ? a crié Pierre-Charles.
— Ne bouge pas, c’est bon, ai-je répondu, avant de rejoindre ma voiture en boitillant, pour simuler la pression de mon doigt sur la clé, évidemment sans résultat.
J’ai retraversé l’avenue pour rejoindre PC sur les marches.
— Merde, merde, meeeeerde ! Ma clé a pris l’eau, impossible de déverrouiller !
— Et tu es tout mouillé, ton costume…
— Crois-le ou pas, j’ai du change, lui ai-je dit, en le trainant vers l’ascenseur pour rejoindre notre service. ‘’Mes vêtements de sport, si j’ai l’occasion d’aller un jour à la salle au sous-sol.’’
Pierre-Charles a glapi ‘’Je reviens’’ avant de se diriger vers les toilettes.
J’ai retiré mes chaussures et mes chaussettes arc-en-ciel que j’ai laissées bien en vue, avant de me débarrasser de mes vêtements. En boxer, je venais de tirer mon drap de bain de mon sac de sport, lorsque P-C a surgi, armé d’une poignée de serviettes en papier.
— Oh ! Tu as…
— Ben oui, pour la douche, après les efforts que je n’ai pas encore pratiqués en deux mois, mais bon…
Il a fixé mes pieds dont j’agitais ostensiblement les orteils, pratiquement hypnotisé, avant de murmurer ‘’Tes pieds… Sécher… Tu vas prendre froid’’, et de se jeter à genoux pour les éponger.
J’ai joué le jeu, soulevant le gauche, puis le droit, qu’il a gardé en main un moment, figé, pour souffler ‘’Si beaux, délicats, soignés…’’
— Ne… Ne fait pas ça, P-C, tu ne sais pas… Je… Je suis gay, et ce contact, c’est juste trop…, ai-je bégayé, faussement gêné. ‘’Je n’aurais jamais dû te laisser le faire, je ne te respecte pas, excuse-moi.’’
— Pas du tout ! J’en avais tellement envie, tu es le plus beau mec du bureau, je n’osais pas espérer, a-t-il gémi avant de me sucer le pouce du pied gauche.
Oooo-kay, ai-je pensé, ce n’est pas si désagréable…
Je me suis un peu forcé à gémir d’un plaisir simulé, avant de relever son visage vers moi…
— Pierre-Charles, arrête, s’il te plait, c’est une torture, depuis le premier jour, j’ai envie de toi, mais voilà, nos envies ne sont peut-être pas compatibles.
— Je… dans mes rêves mes plus fous, je n’imaginais pas que tu accepterais cette simple caresse, mais je veux plus, c’était… mon idée… un peu tordue… de la tentative de séduction d’un garçon qui me plait, toi !
Il a défait son pantalon, et a baissé le simple slip de grande surface qui lui fait pourtant de jolies petites fesses, que j’ai écartées pour y apposer la caresse de ma langue.
— C’est bon ! Prends-moi…
J’ai entièrement décalotté mon membre raide pour l’apposer sur l’intimité de P-C, que j’ai lentement pénétrée.
Après quelques dizaines de mouvements, il a gémi ‘’Je viens, ohhh’’. J’ai jeté un regard par-dessus son épaule, pour voir perler un filet de pré-sperme de son sexe semi-rigide, avant de sentir les tressaillements de son sphincter sur ma bite.
— PC... Pierre-Charles… Arrête de faire ça, je vais…
— Je n’y peux rien, je ne contrôle pas, c’est trop bon !
— Mais je vais j… Aaaaaah ! ai-je éructé en jouissant en lui.
Je lui embrassais la nuque, lorsque nous avons entendu, depuis la porte, ‘’Ça va, les mecs, besoin d’aide ?’’
Virgile le vigile, la queue raide à l’air, qu’il astique tranquille…
— T’en penses quoi, PC ? J’avoue, j’ai été surpris et j’ai fini trop vite, ça n’arrivera plus, mais là, on fait quoi ?
— Je dois me finiiiiir, alors tu reviens, ou c’est Virgile, a-t-il gémi, en astiquant son membre maintenant raide.
— Lubrification ? a demandé le professionnel de la sécurité.
— J’ai joui en lui, si ça ne te gêne pas trop, ça devrait le faire.
Virgile s’est effondré en grognant sur le dos de Pierre-Charles, que j’ai découvert extatique lorsqu'il s'est redressé, après qu’il eut tiré une décharge monumentale sur la moquette de mon bureau.
Les orages diluviens sont évidemment rares à Montpellier… Désormais, chez moi, nous prenons nos douches ensemble, pour en sortir en laissant couler l’eau, pour le bruit de fond en souvenir du déluge, et parfois, nous arrivons au lit avant que je possède Pierre-Charles. Une fois sur deux, nous ne dépassons pas le meuble-évier, dans le miroir, je vois le plaisir s’afficher sur son visage alors qu’il jouit dans la vasque.
Virgile nous rejoint parfois. Il dit à sa femme travailler en black, Je le paie pour ses services. Mais il passe toujours après moi, question de dimensions, pour accorder à PC un second orgasme qui le laisse pantelant. Et parfois, juste parfois, je suçote les orteils de mon mec. Si ça lui fait plaisir…
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