20-10-2023, 02:00 AM
Premier tram/inondation
Le Pantographe amoureux
Il était tramwaytomane, Florimond, aussi jugerez-vous de son plaisir quand pour terminer ses études, il débarqua à Montpellier, où il y en avait dans tous les sens !
Mais ce jour-là, cette ville pourtant ensoleillée, d'ordinaire, se trouva prise sous des trombes d'eau, à tel point que le wattman [vieux mot pour dire : traminot] reçut l'ordre de s'arrêter, et qu'il vira tout le monde.Florimond ne descendit pas et s'approcha du machiniste.
— Vous ne partez pas, Monsieur ?
— Ah non ! Contrairement à la navigation, le capitaine ne quitte pas son tramway, même s'il coule !
On rigola, et comme le mec n'avait rien d'autre à faire, et que Florimond se souciait peu d'aller patauger dans les torrents avoisinants, on engagea une fort intéressante conversation, sur les tramways, justement. Le temps passa ainsi plaisamment, jusqu'à ce que le traminot reçût l'ordre de rentrer au dépôt à petite vitesse.
— Ça te dirait de visiter le dépôt ? (On se tutoyait depuis un moment déjà) demanda enfin Ludovic, le wattman.
Florimond accepta avec joie, et l'on y alla précautionneusement, compte tenu des flots ambiants.
Sur place, Florimond fut présenté comme un usager passionné de tramways, et les collègues de Ludovic le saluèrent en rigolant :
— Il a choisi son jour : y va prendre le dépôt pour une base de sous-marins !
Ludovic prit alors des douzaines de photos, avant que Ludovic s'avisât de la suite :
— Mais comment tu vas rentrer chez toi ?
— À la nage ! Il est que cinq heures, après tout.
— Mais t'es fou ! Y a au moins dix centimètres de flotte partout !
— C'était l'occasion où jamais de visiter le dépôt... alors j'assume !
— Non ! Si tu veux... tu dors chez moi, ici !
— Ici ?
— La compagnie a acheté une baraque jouxtant le dépôt pour y loger ses employés célibataires. J'y vis depuis un an... Vieillot, mais confortable, et ambiance sympa. Zéro nana ! Ce serait possible, mais elles ne restent jamais qu'une quinzaine ! Bref, on est entre potes... qui se barrent dès qu'ils en ont l'occasion ! J'ai tout ce qu'y faut pour bouffer... et picoler, si t'es preneur !
Florimond resta coi. À vingt-deux ans, il était seul, et se cherchait un peu, perdu entre ses passions artistiques, architecture, musique... et les tramways. Les filles... c'était un peu loin.
Ludovic avait trois ans de plus, et semblait si bien dans sa peau, lui ! Ce brunet était mignon comme tout, et la frange brune qui sur son front passait juste au-dessus de son regard bleu vif lui donnaient un air craquant au dernier degré !
— Allez ! Reste ! Tu repartiras à marée basse !
Un adorable sourire du traminot convainquit le naufragé.
— Super ! Je propose une douche... Je sais, on sort de la flotte ! Alors ici, c'est rustique : douches communes. mais c'est aussi l'endroit où l'on cause. On est quatre habitants par étage, soit huit en tout. Mais on se douche où on veut, en fonction des affinités... Et quand y a pas de meuf, tout le monde à poil !
Florimond sourit : charmant endroit !
Ludovic se déloqua donc, imité par un Florimond nettement intimidé... En réalité, ces garçons se découvrirent assez semblables, physiquement. Moyennement musclés, le châtain Florimond s'avéra cependant un peu plus velu que le traminot.
— Joli ! dit celui-ci. je crois qu'on se ressemble, non ? Enfin... Je dis ça, mais j'ai pas tout vu !
Florimond dut sourire, gêné cependant un peu. On sortit vers la douche, et l'on croisa un mec noir et assez foncé que Florimond tint pour un Africain.
— Oh, ciao ! Hep ! C'est un nouveau ?
— Non, juste un ami fanatique de tramways !
— Youpi ! Bougez pas, les mecs, j'arrive !
— Eh ben ! fit alors Ludovic, tu vas voir là la plus belle queue de l'Empire français !
— Mais pourquoi ?
— Il bande dès qu'il voit un centimètre de peau blanche... mais il est adorable, Mathurin !
Florimond frissonna, et Ludovic poursuivit :
— T'en fais pas, va ! Il a jamais violé personne... même ceux qu'attendaient que ça !
Une minute plus tard, Mathurin faisait irruption dans les douches du bas. Florimond refrissonna devant cette incroyable académie : grand, musclé mais sec, parfaitement découplé et pourvu d'un soutire de combat, ce mec était du dernier impressionnant. Sans parler du long serpent bellement prépucé qui lui servait de bite !
Jovial comme tout, il éclatait de rire à tout moment et, comme annoncé, il se mit à bander vitement. Oh, le bel engin ! Même sur les pornos qu'il matait régulièrement, Florimond ne se souvenait pas avoir vu si parfait objet.
Ludovic lui sourit, l'air entendu, et l'on se doucha comme si de rien n'était... ou presque, car Ludovic ne tarda guère à roidir, lui aussi. Florimond restait mol, lui, impressionné qu'il était. Mathurin lui saisit soudain la quéquette :
— Alors ? Qu'est-ce que t'attends pour nous montrer ton joli p'tit pantographe ?
Ludovic éclata de rire, et Florimond frémit quand Mathurin se mit à le branler doucement.
— T'embête pas, il est gentil, lui souffla Ludovic à l'oreille.
— Eh ben voilà ! Comme je dis toujours : c'est beau quand c'est grand, un p'tit blanc ! lâcha le bel Africain quand Florimond durcit, peu après.
Un peu coincé quand même, Florimond ne moufta pas, mais Ludovic ne tarda pas à abréger l'instant. Et alors qu'on s'essuyait, le grand Mathurin lança :
— Il est vraiment beau, ton p'tit pote, Ludo ! Si y sait pas où dormir, ce soir...
— Si, si, y sait ! s'écria Ludovic en riant.
On se replia chez Ludovic, qui déclara :
— Première fois que je le vois toucher un mec inconnu, lui ! Faut croire que tu lui plais vraiment ! Au fait... je t'ai pas demandé : t'es gay, hétéro, ou bi ?
Florimond eut alors un grand frisson, assorti d'une mine bien défaite, qui n'échappèrent point à Ludovic, lequel se saisit alors du garçon, pour lui souffler :
— Chut ! Ça ne regarde que toi... et je te jure que Mathurin ne te voulait pas de mal ! Moi non plus, tu le sais déjà. Viens, on picole !
Il y avait ce qu'il fallait chez l'wattman ! Qui ne marchait pas qu'à l'électricité... Et le jeune Florimond, qui lui n'avait pas trop l'habitude du kérosène raffiné, se trouva vite en un bel état...
On était resté nu — il faisait si chaud, en cette orageuse soirée d'été ! — et il se retrouva bientôt dans les bras d'un Ludovic de toute douceur. Où il rebanda... comme son nouvel ami.
— Il avait raison, tout d'même, le Mathurin : t'es joliment beau, tu sais, Florimond ?
— Est-ce que... t'as un avis sur les garçons, toi ?
— Quand ils sont beaux, un peu, oui ! Pas toi ?
— Oh... Je sais pas vraiment. Pas facile de savoir, non ?
— Oh, Florimond, c'est plus facile que tu ne le crois, ça ! En fait, tu ne suis pas ta raison, mais ton cœur... et c'est tout.
— Mon cœur... j'ai un peu l'impression qu'il va n'importe où... ou qu'il ne va nulle part !
— Alors oublie-le... et suis ton corps. Il t'a choqué, Mathurin, en te prenant la bite ?
— Un peu, mais... non, non !
— Moi, je t'ai pris dans mes bras... Choqué ?
— Mais non, non !... J'aime bien.
La suite fut délicate, et tendre. Combien il avait espéré tels moments, le jeune Florimond ! Ludovic lui donna sans tarder toutes raisons d'oublier ses hésitations, et il gémit comme une jeune épousée sous les caresses du traminot... qui déclara :
— Il avait raison, le sauvage maison : il est vraiment joli, ton p'tit pantographe ! Enfin... pas si p'tit qu'ça, en fait !
Florimond sourit, le plus niaisement du monde. avant de s'abandonner pour de bon aux œuvres lubriques du gars Ludovic. S'il n'apprit pas tout ce soir-là, il fit de grands progrès sur le chemin de la vie... et donc, comme prévu, il dormit avec Ludovic.
Au mitan de la nuit, on s'éveilla et... pour la première fois, on s'entresuça... avec ardeur... pour s'avaler entièrement l'un l'autre.
Et le matin ne fut pas moins tendre, qui vit de nouvelles folies... Cependant, il pleuvait toujours, et Ludovic déclara devoir aller, au boulot ; mais il voulait garder Florimond au chaud. Après avoir giclé comme des grands, on alla donc se doucher... pour tomber sur l'inévitable Mathurin... qui savonnait avec ardeur le vit roide comme tout d'un nommé Denis, un grand et pâle rouquin, et qui souriait tant qu'on devait penser qu'il aimait ça...
Florimond dut admirer la tige magnifique du rouquin, en plus de sa touffe : beau spectacle, en vérité !
On se doucha vite fait, car Ludovic déclara être de service.
— On tient compagnie à ton ami, si tu veux ? proposa Mathurin, l'air innocent.
— Florimond ? demanda Ludovic.
— Je peux t'attendre tout seul, mais... oui, vous êtes gentils.
— Viens chez moi, dit Mathurin en souriant largement, y a du café... et tout le reste !
Le reste, il l'avait déjà sous les yeux, songea Florimond, mais... le moyen de faire autrement ?
Il suivit donc les autres mecs, au premier étage. Ces garçons n'avaient pas cessé de bander : Florimond se demanda ce qui l'attendait, entre ces deux redoutables armes de guerre ! Mathurin attaqua, en servant le café :
— Denis et moi, on aime bien être ensemble... et comme on est peinard ici, qu'y a pas de meuf et qu'on a la paix, on s'est arrangés pour avoir les mêmes horaires, alors tu comprends...
Sûr qu'il comprenait, Florimond ! Il osa :
— Une vie agréable... surtout si le boulot vous plaît...
— On adore le boulot, oui ! Surtout quand on rencontre des p'tits pantographes de passage ! Ah ! Ah ! Ah ! éclata Mathurin en saisissant la quéquétte de Florimond.
Qui fut bien obligé de sourire, d'autant que Denis appuya :
— T'es très mignon, tu sais ?
— Merci, mais... Oh, moi, je sais rien de...
— Chut ! On va pas te violer, et hors de question qu'on casse la baraque à notre adorable pote Ludo. Car il est réellement adorable, tu le sais, ça ? Mais ça nous empêche pas de t'apprendre des choses amusantes, si tu veux...
Le p'tit déj' avalé, on s'occupa effectivement des « choses amusantes »... Ayant fait parler Florimond, Mathurin décida que le mieux était d'habituer son petit trou aux manières mondaines, et Denis et lui se mirent à lui bouffer la rondelle avec acharnement, avant de le doigter avec un grand luxe de précautions :
— On veut pas t'abîmer, bébé, m'enfin quand Ludo branchera son panto sur ta p'tite centrale, ça marchera tout de suite, tu vois ?
Florimond n'avait rien à objecter, dans cette étrange atmosphère de sexe... qui lui sembla normale. Peu après, il put d'ailleurs admirer le grand noir démonter le fin rouquin de son magnifique chibre... Il lui avait été fermement recommandé de se branler, ce qu'il fit sans difficulté...
Bref, une matinée éducative... d'autant qu'après leur spectacle, les mecs se remirent à bouffer puis doigter le gars Florimond.
— Il aura plus qu'à entrer, là ! fit Mathurin avec satisfaction, j'crois qu'on a fait du bon boulot, Denis !
Les conditions météorologiques n'ayant fait qu'empirer, Ludovic prévint qu'il reviendrait plus tôt. Il frappa donc un peu plus tard chez Mathurin, sortant de la douche et la serviette sur les reins. Là, les trois mecs étaient nus, évidemment, et la queue en l'air.
— Ah, te v'là ! Tu peux y aller, mon pote, on te l'a mis à jour, ton usager des transports publics ! Tu relèves le panto, et c'est c'est bon !
— Mais... Mais... bêla Ludovic, dépassé.
— On te l'a préparé : maintenant, c'est du plug and play, comme on dit ! Vous allez chez toi, p'têt', les minets ?
— Non ! cria Florimond , à la surprise générale.
Mathurin vira la serviette de Ludovic, et lui prit la bite pour l'aller insérer dans la bouche de Florimond... Et sans tarder, le rude morceau du joli wattman prit des dimensions qui donnèrent à penser qu'il avait envie de causer !
Ludovic s'inséra donc en Florimond facilement, comme annoncé, et dans une atmosphère quasi religieuse, les deux autres se paluchant mutuellement en échangeant moult bisous...
Oh ! Combien Florimond aima la pine à Ludovic ! S'il en avait rêvé, d'un tel moment ! Ludovic lima un long temps... une demi-heure, peut-être, avant de déborder en beuglant.
Florimond jeta alors un regard aux autres, qui se branlaient frénétiquement... et il gémit :
— Venez, les mecs !
Les autres se regardèrent, et ce fut le rouquin qui premier s'y colla. Son long vit était à peu près du diamètre de celui de Ludovic. Il y alla en douceur, ce gentil mec, et fourra encore un petit quart d'heure avant de gicler, vite remplacé par le superbe engin d'un Mathurin qui élargit encore un peu plus le novice petit trou... mais sans dommage... si l'enculé gémit comme une pucelle des beaux quartiers !
Mathurin qui, pratique, mit après jouir quatre doigts dans le trou de Ludovic en expliquant :
— Tu me salopes pas mon lit, hein ! C'est dehors qu'y pleut ! Ici, ça gicle, c'est plus distingué !
Et de mener Florimond à la douche... avec ses doigts dans le cul. Au retour, on attaqua sa cave, et ses conserves. Dépassé mais ravi, Florimond oublia tout le reste. Il eut, dans l'après-midi l'occasion de baiser les trois autres, et de s'en faire niquer derechef. Puis il connut encore de chauds moment dans la soirée, chez Ludovic... mais autant faits de tendresse, et d'émotion.
D'où vint que le lendemain matin, à l'heure de la décrue, il ne savait plus trop où il en était. Il connut là une bizarre journée, avant de prendre le tram pour rejoindre Ludovic. Or c'était Mathurin qui conduisait, qui ouvrit sa cabine pour dire :
— T'aurais pas le pantographe un peu amoureux, toi ?
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