30-09-2023, 12:28 AM
Un retardataire,
Avec la phrase de départ et les 10 mots à caser.
____________________________________________
Il serait temps qu'ils entretiennent un peu mieux leurs routes ! se met à crier Pascal après une bonne glissade. Il se relève sans penser à faire un check-up, mais à priori, tout fonctionne, rien de cassé.
Il ne reste plus qu'à relever la moto. Un bout de guidon râpé, une extrémité de poignée cassée, carénage bien esquinté d'un coté, mais aucun problème gênant la conduite. Il peut repartir.
Voila, je suis arrivé devant l'entrée de la résidence universitaire de mon pote. Tous les deux on termine notre scolarité par un Master. J'approche ma main de l'écran tactile et met mon doigt sur Visiteur.
Je dois indiquer son nom de famille. 24 lettres classées par ordre alphabétique sont visibles. Première lettre : F.
Il ne reste plus que 6 lettres visibles : 5 voyelles et le R. J'appuie sur le A.
Maintenant, il faut choisir parmi 8 noms de famille : Fasol, c'est celui de mon pote.
J'entends une sonnerie puis :
- C'est toi Pascal ?
- Ouais !
- Entre vite, je t'attendais.
Le portail coulisse. Je peux rentrer la moto, puis je prend un escalier. Il m'attend sur la palier.
- Putain, Pascal, qu'est-ce qui t'es arrivé ? Tu t'es pris une bagnole ?
- Quand même pas. Je me suis juste vautré dans un virage à cause de gravillons non signalés par des panneaux.
On rentre dans son appartement.
- Tu dois avoir chaud avec ce blouson. Tu veux un verre ? Je ne te propose rien d'alcoolisé, mais j'ai acheté d'autres boissons. Jus de fruit ? orange ? pamplemousse ? ananas ? framboise ? mangue ? multifruit ? ou juste de l'eau bien fraîche ?
- De l'ananas, ce sera pas mal !
Il va chercher un pack d'ananas en carton et sert deux verres.
- Et ta moto ?
- Rien qui empêche de la piloter, mais un coté du carénage est bien râpé et partiellement cassé. Ça risque de coûter quelques milliers d'euros pour le remplacer. Si je choisis de le faire, l'argent de mes 2 mois de travail d'été risque d'y passer. Et le jean tout neuf acheté hier en prévision de la rentrée universitaire est déjà déchiré. Ils pourraient les entretenir leurs routes !
- Mais il y a un truc que je ne comprends pas. Il n'y a pas de virage sur la nationale durant une bonne vingtaine de kilomètres.
- Je n'ai pas prise, la nationale, j'ai pris la D 722.
- Cette petite route ?
- Oui, cette petite route viroleuse.
- Et pourquoi tu n'est pas venu par la nationale ?
- Aucun intérêt. Justement, comme tu l'as dit elle est bien droite et de plus, elle est limitée à 80, lorsqu'il n'y a pas de bagnole ou de camion devant qui plafonne à 70.
- Mais la départementale est aussi limitée à 80.
- Oui, mais il n'y a pas de radar.
Il a un petit sourire.
- Les gravillons sur la route viroleuse, comme tu dis, c'est peut-être un bizutage. Fait-il en me faisant un clin d'œil.
- Comment ça un bizutage ?
- Ils évitent de trop dépenser pour l'entretien de centaines de milliers de kilomètres de petites routes peu fréquentées. Comme ça, ça fait une série des défis à relever par les motards qui les empruntent, pas toujours avec une vitesse adaptée.
- Hé, l'utilisateur de transports en commun et du covoiturage pour les randonnées à pied, ce n'est pas la peine d'avoir un grosse moto si c'est pour plafonner à 80 km/h !
- D'un autre coté, ce n'est peut être pas la peine de choisir une grosse moto lorsqu'on sait que 80 est la limite de vitesse autorisée.
- C'est pas faux, mais si tu faisais de la moto, tu n'aurais pas cet avis.
- Possible. Mais maintenant que tu t'est pris une gamelle, comme vous dites, même si ça doit faire partie des événements de la vie de tous motard, il serait bon de te soigner ...
- Comment ça me soigner ? Dis-je en donnant un bon coup de poing sur la table. Bordel ! J'aurai mieux fait de rester chez moi au lieu d'entendre des inepties pareilles ! Ma moto serait toujours en bon état, tout comme mon jean, sans rien avoir à dépenser !
Devant mon accès de colère, il s'est levé et s'approche de moi et me regarde d'un air très sérieux.
- Mon petit Pascalou.
Du haut de ses 1,75 m environ, il me toise. Je me lève à mon tour pour rééquilibrer les choses. Même sur la pointe des pieds, il aura du mal à me dominer. À présent, c'est lui qui doit lever les yeux pour regarder les miens et moi qui les baisse.
- 1 mètre 83 !
- Peu importe. Pascal, tu sais que nous sommes de très bons amis depuis qu'on ce connaît, depuis 4 ans. Il serait dommage que cela change pour un malentendu. Tu m'as coupé la parole pendant que je te disais qu'après ta gamelle à moto, il serait bon de te soigner la jambe. Mais comme en plus, cette chute t'as pas mal énervé, je crois qu'un massage relaxant te ferait du bien et j'ai l'habitude d'en faire.
Pendant que Rémi me parlait, tout en me regardant dans les yeux, il a ouvert mon jean et l'a entièrement baissé, dévoilant ainsi la carnation de ma peau bien bronzée durant l'été, mais aussi des zones bien rouge, bien plus rouges qu'un coup de soleil en début de bronzage, aux endroits où j'ai laissé quelques morceaux d'épiderme sur le bitume, alors que d'autres zones ont déjà noircies. Je l'écoutais et je l'ai laissé faire sans réagir.
On voit tous les deux le résultat de mes égratignures. Il me demande d'enlever les chaussures, les chaussettes et le jean pendant qu'il va chercher ce qu'il faut dans sa pharmacie. Il me dit que je peux même tout enlever en prévision des massages. J'enlève le bas et me retrouve pieds-nus quand il revient.
À la plupart des endroits, les soins se limitent à un peu d'alcool. Mais à deux endroits la désinfection réactive les saignements. Rémi y met un peu de coton puis un pansement par dessus en posant le carré des pansements, l'endroit sans colle, sur les morceaux de coton.
- Voila. Pour les soins à ta jambe, c'est fait. Maintenant, pour les massages, il faudrait finir de te déshabiller. Je n'aime pas masser du tissu et c'est d'ailleurs moins agréable pour celui qui se fait masser.
- Je dois vraiment enlever tout ?
- Si tu es trop pudique, enlèves au moins le tee-shirt, à moins que tu aies une religion qui t'oblige à garder la poitrine couverte.
Je me retrouve donc torse nu et il m'accompagne à une table et m'y fait allonger sur le ventre, les avant-bras et mes mains posées au delà de la tête.
Il commence les massages. Ses mains parcourent divers endroits de mon corps en faisant de temps en temps rouler les muscles. Il étire aussi doucement les extrémités des membres, les doigts, les jambes, les pieds. Mes membres sont de plus en plus détendus. J'apprécie ses mains, des mains de maître, qui s'occupent de diverses parties de mon corps.
- Voila, j'ai fini ce coté.
- Pas tout à fait, tu n'a pas fait mes fesses.
- Je t'avais dit que je m'aime pas masser du tissu.
- Enlève mon boxer alors, c'est trop bon.
Je soulève un peu le ventre pour qu'il puisse saisir plus facilement mon boxer No Publik et l'enlever, dévoilant la face arrière de mon anatomie encore cachée. Il passe ses mains sur les parties qu'il avait évitées, le haut des cuisses, le bas du dos qui était près de l'élastique et bien sur les fesses qu'il fait rouler dans ses mains. Après une vingtaines de secondes d'arrêt, il me dit :
- Voila, maintenant, tu peux te retourner et mettre les bras le long du corps.
Je le fais sans hésiter et me retrouve couché sur le dos. Ma bite a pris de l'ampleur et est légèrement surélevée, mais il ne s'en occupe pas de suite. Il masse d'abord le haut du corps, les bras et la poitrine, puis descend vers le ventre. Je suis crispé n'aimant pas les chatouilles. Il n'insiste pas trop et passe directement aux pieds, puis remonte par le jambes et le devant des cuisses qu'il n'avait pas fait tout à l'heure.
Il reste la partie du milieu avec ma bite qui se redresse pour ne pas être oubliée. Ses mains passent à proximité. Elles caressent mon scrotum et massent les testicules. Puis il me dit :
- Pour le bout de tuyau qui reste là, tu veux que je fasse quelque-chose ?
- Oh oui, branle-le ou suce-le. C'est trop bon !
Il commence par approcher son nez pour humer les senteurs de mon gland. Il m'y fait un petit bisou dessus puis descend me lécher l'entrejambe autour du scrotum. Il prend mes testicules en bouche et les fait rouler sous sa langue. Puis, c'est au tour de la tige qu'il prend entre les lèvres qu'il fait coulisser. Il atteint enfin le gland qu'il enfourne dans sa bouche, passe la langue dessus et entreprend les mouvements de va et vient.
C'est vraiment trop bon et j'émets des soupirs de plaisir. Je sens une montée de liquide et je finis par inonder la bouche de Rémi, d'abord un grand jet prolongé, puis 4 jets plus courts. Ça faisait longtemps que je n'avais pas joui comme ça. Rémi a la bouche pleine et a du mal à en garder le contenu. Je viens lécher ses lèvres puis nos bouches se rejoignent et on partage mon liquide.
Lorsque je me suis retourné, j'ai vu que Rémi bandait un peu, mais là, après la fellation qu'il vient de me faire, il bande au maximum et semble se trouver à l'étroit avec son short.
- Rémi, il faut que tu en profites aussi.
Et sans lui demander, comme il avait fait avec moi, je baisse son short et son boxer Freegun. Effectivement, il bande bien. C'est à mon tour de lécher l'entrejambe, les testicules et la hampe de mon meilleur ami avant que ma bouche rejoigne son gland. C'est à son tour d'émettre des cris de plaisir et de jouir dans ma bouche. Nos bouches se rejoignent, mais j'ai envie de plus. Il a toujours son tee-shirt. Je le lui enlève et prend plaisir à humer et lécher sa poitrine, notamment les tétons. Je n'ai pas appris les massages, mais je prends plaisir à le caresser.
- Merci Rémi pour tes massages et le reste qui a suivi.
- Content que ça t'ai redonné le sourire mon pote.
- À l'occasion, ça pourrait être bien de recommencer et d'en faire un petit peu plus.
- Quand tu voudras, et aussi dès que tu voudras.
- Dès que je voudrais, ça pourrait vouloir dire que je reste ici ce soir...
- Aucun problème, tu pourras dormir ici et rester tout le week-end si tu veux, ou plus, si c'est ton choix. Profites-en.
- Je ne voudrais pas te déranger.
- En quoi ça me dérangerait si je te le propose ? Et bien que et tu me l'ai déjà dit, peux-tu me rappeler ce que je représente pour toi ?
- Tu es mon meilleur ami. Depuis qu'on se connaît, tu as toujours été un ami fidèle ... et ... pardonne-moi pour tout à l'heure de m'être emporté lorsque tu as cherché à me dire qu'il fallait me soigner ... la jambe.
- Pour l'incident de tout à l'heure, il a été réglé. Et pour mon invitation, tu sais que dans cet appartement, il y a de la place avec aussi un grand lit où on peut être à l'aise à deux.
- Oui. D'ailleurs, lors de notre première année de fac, on est plusieurs à ne pas avoir compris pourquoi au bout de quelques mois, tu as déménagé dans ce grand appartement qui coûte près de 2 loyers d'étudiants avec un grand lit où tu dors tout seul depuis plus de 3 ans.
- Pascal ! Mon petit Pascalou d'1 mètre 83. Je vais te répondre. Le grand lit, c'est pour pouvoir bien accueillir quelqu'un qui m'est très cher. Et effectivement, depuis 3 ans et demie que j'occupe cet appartement, ça me pèse certains soirs de passer la soirée, puis la nuit tout seul, dans ce grand lit. Tu me rends souvent visite, je réponds aussi à tes invitations, mais jusqu'à présent, on s'est toujours séparé dans la soirée et je me retrouve tout seul dans ce grand lit à penser souvent à toi. Mais je n'ai jamais cherché à te forcer. Tu as droit à ta liberté.
Pendant que nous parlons, nos corps se sont rapproché. Tes mains me caressent le dos et semblent apprécier ce contact. Les miennes te caressent aussi et j'apprécie d'avoir l'occasion le faire vu que tu comptes beaucoup pour moi. Nos poitrines sont très proches et pour ma part, j'apprécie le contact. Nos pénis se sont bien redressés.
- Tu bandes dur Pascal et je bande tout autant. Il serait dommage de refuser à nos deux corps du plaisir juste parce que tu as peur de me déranger. Et même si tu voulais rester au delà du week-end, ça me conviendrait de partager avec toi ce grand appartement et de ne plus être seul dans le grand lit. Tu disais tout à l'heure être ennuyé par le coût estimé de réparation de ta moto. Mais si tu libères ton appartement pour habiter ici, tu pourras récupérer le montant de ton loyer. Je t'aime Pascal, et ça me ferait plaisir de t'accueillir durablement ici, mais tu as droit à ta liberté. Plus tard, tu trouveras peut-être une fille ou un garçon, peu importe, avec qui rester pour une vie commune. Si vous êtes heureux, ce sera très bien. dans ce cas, j'espère quand même rester très longtemps ton meilleur ami. Mais si celui que tu choisis est un garçon, et que ce garçon, c'est moi, j'en serai vraiment très très heureux. Je t'aime Pascal, et je souhaite avant tout ton bonheur. Mais je ne dois rien t'imposer. Tu as aussi le droit de choisir et je t'aime trop pour entraver ta liberté.
- Rémi ! Oh Rémi, je t'adore ! Tu es le plus super pote de l'univers.
Pendant quelques minutes les deux garçons sont tendrement enlacés et laissent couler des larmes de joie. Puis leur corps finit par ce séparer.
- Alors, tu restes ici ce soir ?
- Oh oui !
- Et pour les jours qui suivent ?
- Je verrai. C'est tout nouveau pour moi, je pense rester au moins jusqu'à demain, en fin d'après midi.
- Donc, tu vas coucher ici plutôt que de rependre ta moto.
- Sans problème ! On a tant de chose à découvrir tous les deux !
- Dans ce cas, on pourrait boire autre-chose que du jus de fruit.
Rémi va chercher un bouteille et deux flûtes à Champagne dans le placard.
- Cuvée 2019. C'est l'année de début de nos études, ça !
- Je l'ai achetée peu après avoir emménagé dans cet appartement, mais je commençais à désespérer de la partager un jour avec toi, vu qu'à chaque visite, tu repartais avec ta moto. Du coup, je ne l'ai pas mise au frigo. On peut se servir une flûte et mettre la bouteille au congélateur pour que les prochains verres soient plus frais.
- Ça marche !
La soirée fut très joyeuse. Le contenu de la bouteille fut absorbé avant minuit. Les deux garçons expérimentèrent de nombreuses chose relatives au plaisirs du corps avant de se coucher très tard puis de dormir enlacés jusqu'en début d'après-midi.
Pascal resta chez Rémi au delà du week-end. Avec de la colle époxy, de la résine et du papier verre, le carénage de la moto fut réparé puis repeint pour un faible coût mais quelques dizaines d'heure de travail.
L'histoire ne dit pas si après avoir brillamment réussi leur Master, les deux étudiants se marièrent et eurent beaucoup d'enfants, mais il faut bien laisser au lecteurs le soin d'imaginer la suite.
[/quote]
Avec la phrase de départ et les 10 mots à caser.
____________________________________________
Il serait temps qu'ils entretiennent un peu mieux leurs routes ! se met à crier Pascal après une bonne glissade. Il se relève sans penser à faire un check-up, mais à priori, tout fonctionne, rien de cassé.
Il ne reste plus qu'à relever la moto. Un bout de guidon râpé, une extrémité de poignée cassée, carénage bien esquinté d'un coté, mais aucun problème gênant la conduite. Il peut repartir.
Voila, je suis arrivé devant l'entrée de la résidence universitaire de mon pote. Tous les deux on termine notre scolarité par un Master. J'approche ma main de l'écran tactile et met mon doigt sur Visiteur.
Je dois indiquer son nom de famille. 24 lettres classées par ordre alphabétique sont visibles. Première lettre : F.
Il ne reste plus que 6 lettres visibles : 5 voyelles et le R. J'appuie sur le A.
Maintenant, il faut choisir parmi 8 noms de famille : Fasol, c'est celui de mon pote.
J'entends une sonnerie puis :
- C'est toi Pascal ?
- Ouais !
- Entre vite, je t'attendais.
Le portail coulisse. Je peux rentrer la moto, puis je prend un escalier. Il m'attend sur la palier.
- Putain, Pascal, qu'est-ce qui t'es arrivé ? Tu t'es pris une bagnole ?
- Quand même pas. Je me suis juste vautré dans un virage à cause de gravillons non signalés par des panneaux.
On rentre dans son appartement.
- Tu dois avoir chaud avec ce blouson. Tu veux un verre ? Je ne te propose rien d'alcoolisé, mais j'ai acheté d'autres boissons. Jus de fruit ? orange ? pamplemousse ? ananas ? framboise ? mangue ? multifruit ? ou juste de l'eau bien fraîche ?
- De l'ananas, ce sera pas mal !
Il va chercher un pack d'ananas en carton et sert deux verres.
- Et ta moto ?
- Rien qui empêche de la piloter, mais un coté du carénage est bien râpé et partiellement cassé. Ça risque de coûter quelques milliers d'euros pour le remplacer. Si je choisis de le faire, l'argent de mes 2 mois de travail d'été risque d'y passer. Et le jean tout neuf acheté hier en prévision de la rentrée universitaire est déjà déchiré. Ils pourraient les entretenir leurs routes !
- Mais il y a un truc que je ne comprends pas. Il n'y a pas de virage sur la nationale durant une bonne vingtaine de kilomètres.
- Je n'ai pas prise, la nationale, j'ai pris la D 722.
- Cette petite route ?
- Oui, cette petite route viroleuse.
- Et pourquoi tu n'est pas venu par la nationale ?
- Aucun intérêt. Justement, comme tu l'as dit elle est bien droite et de plus, elle est limitée à 80, lorsqu'il n'y a pas de bagnole ou de camion devant qui plafonne à 70.
- Mais la départementale est aussi limitée à 80.
- Oui, mais il n'y a pas de radar.
Il a un petit sourire.
- Les gravillons sur la route viroleuse, comme tu dis, c'est peut-être un bizutage. Fait-il en me faisant un clin d'œil.
- Comment ça un bizutage ?
- Ils évitent de trop dépenser pour l'entretien de centaines de milliers de kilomètres de petites routes peu fréquentées. Comme ça, ça fait une série des défis à relever par les motards qui les empruntent, pas toujours avec une vitesse adaptée.
- Hé, l'utilisateur de transports en commun et du covoiturage pour les randonnées à pied, ce n'est pas la peine d'avoir un grosse moto si c'est pour plafonner à 80 km/h !
- D'un autre coté, ce n'est peut être pas la peine de choisir une grosse moto lorsqu'on sait que 80 est la limite de vitesse autorisée.
- C'est pas faux, mais si tu faisais de la moto, tu n'aurais pas cet avis.
- Possible. Mais maintenant que tu t'est pris une gamelle, comme vous dites, même si ça doit faire partie des événements de la vie de tous motard, il serait bon de te soigner ...
- Comment ça me soigner ? Dis-je en donnant un bon coup de poing sur la table. Bordel ! J'aurai mieux fait de rester chez moi au lieu d'entendre des inepties pareilles ! Ma moto serait toujours en bon état, tout comme mon jean, sans rien avoir à dépenser !
Devant mon accès de colère, il s'est levé et s'approche de moi et me regarde d'un air très sérieux.
- Mon petit Pascalou.
Du haut de ses 1,75 m environ, il me toise. Je me lève à mon tour pour rééquilibrer les choses. Même sur la pointe des pieds, il aura du mal à me dominer. À présent, c'est lui qui doit lever les yeux pour regarder les miens et moi qui les baisse.
- 1 mètre 83 !
- Peu importe. Pascal, tu sais que nous sommes de très bons amis depuis qu'on ce connaît, depuis 4 ans. Il serait dommage que cela change pour un malentendu. Tu m'as coupé la parole pendant que je te disais qu'après ta gamelle à moto, il serait bon de te soigner la jambe. Mais comme en plus, cette chute t'as pas mal énervé, je crois qu'un massage relaxant te ferait du bien et j'ai l'habitude d'en faire.
Pendant que Rémi me parlait, tout en me regardant dans les yeux, il a ouvert mon jean et l'a entièrement baissé, dévoilant ainsi la carnation de ma peau bien bronzée durant l'été, mais aussi des zones bien rouge, bien plus rouges qu'un coup de soleil en début de bronzage, aux endroits où j'ai laissé quelques morceaux d'épiderme sur le bitume, alors que d'autres zones ont déjà noircies. Je l'écoutais et je l'ai laissé faire sans réagir.
On voit tous les deux le résultat de mes égratignures. Il me demande d'enlever les chaussures, les chaussettes et le jean pendant qu'il va chercher ce qu'il faut dans sa pharmacie. Il me dit que je peux même tout enlever en prévision des massages. J'enlève le bas et me retrouve pieds-nus quand il revient.
À la plupart des endroits, les soins se limitent à un peu d'alcool. Mais à deux endroits la désinfection réactive les saignements. Rémi y met un peu de coton puis un pansement par dessus en posant le carré des pansements, l'endroit sans colle, sur les morceaux de coton.
- Voila. Pour les soins à ta jambe, c'est fait. Maintenant, pour les massages, il faudrait finir de te déshabiller. Je n'aime pas masser du tissu et c'est d'ailleurs moins agréable pour celui qui se fait masser.
- Je dois vraiment enlever tout ?
- Si tu es trop pudique, enlèves au moins le tee-shirt, à moins que tu aies une religion qui t'oblige à garder la poitrine couverte.
Je me retrouve donc torse nu et il m'accompagne à une table et m'y fait allonger sur le ventre, les avant-bras et mes mains posées au delà de la tête.
Il commence les massages. Ses mains parcourent divers endroits de mon corps en faisant de temps en temps rouler les muscles. Il étire aussi doucement les extrémités des membres, les doigts, les jambes, les pieds. Mes membres sont de plus en plus détendus. J'apprécie ses mains, des mains de maître, qui s'occupent de diverses parties de mon corps.
- Voila, j'ai fini ce coté.
- Pas tout à fait, tu n'a pas fait mes fesses.
- Je t'avais dit que je m'aime pas masser du tissu.
- Enlève mon boxer alors, c'est trop bon.
Je soulève un peu le ventre pour qu'il puisse saisir plus facilement mon boxer No Publik et l'enlever, dévoilant la face arrière de mon anatomie encore cachée. Il passe ses mains sur les parties qu'il avait évitées, le haut des cuisses, le bas du dos qui était près de l'élastique et bien sur les fesses qu'il fait rouler dans ses mains. Après une vingtaines de secondes d'arrêt, il me dit :
- Voila, maintenant, tu peux te retourner et mettre les bras le long du corps.
Je le fais sans hésiter et me retrouve couché sur le dos. Ma bite a pris de l'ampleur et est légèrement surélevée, mais il ne s'en occupe pas de suite. Il masse d'abord le haut du corps, les bras et la poitrine, puis descend vers le ventre. Je suis crispé n'aimant pas les chatouilles. Il n'insiste pas trop et passe directement aux pieds, puis remonte par le jambes et le devant des cuisses qu'il n'avait pas fait tout à l'heure.
Il reste la partie du milieu avec ma bite qui se redresse pour ne pas être oubliée. Ses mains passent à proximité. Elles caressent mon scrotum et massent les testicules. Puis il me dit :
- Pour le bout de tuyau qui reste là, tu veux que je fasse quelque-chose ?
- Oh oui, branle-le ou suce-le. C'est trop bon !
Il commence par approcher son nez pour humer les senteurs de mon gland. Il m'y fait un petit bisou dessus puis descend me lécher l'entrejambe autour du scrotum. Il prend mes testicules en bouche et les fait rouler sous sa langue. Puis, c'est au tour de la tige qu'il prend entre les lèvres qu'il fait coulisser. Il atteint enfin le gland qu'il enfourne dans sa bouche, passe la langue dessus et entreprend les mouvements de va et vient.
C'est vraiment trop bon et j'émets des soupirs de plaisir. Je sens une montée de liquide et je finis par inonder la bouche de Rémi, d'abord un grand jet prolongé, puis 4 jets plus courts. Ça faisait longtemps que je n'avais pas joui comme ça. Rémi a la bouche pleine et a du mal à en garder le contenu. Je viens lécher ses lèvres puis nos bouches se rejoignent et on partage mon liquide.
Lorsque je me suis retourné, j'ai vu que Rémi bandait un peu, mais là, après la fellation qu'il vient de me faire, il bande au maximum et semble se trouver à l'étroit avec son short.
- Rémi, il faut que tu en profites aussi.
Et sans lui demander, comme il avait fait avec moi, je baisse son short et son boxer Freegun. Effectivement, il bande bien. C'est à mon tour de lécher l'entrejambe, les testicules et la hampe de mon meilleur ami avant que ma bouche rejoigne son gland. C'est à son tour d'émettre des cris de plaisir et de jouir dans ma bouche. Nos bouches se rejoignent, mais j'ai envie de plus. Il a toujours son tee-shirt. Je le lui enlève et prend plaisir à humer et lécher sa poitrine, notamment les tétons. Je n'ai pas appris les massages, mais je prends plaisir à le caresser.
- Merci Rémi pour tes massages et le reste qui a suivi.
- Content que ça t'ai redonné le sourire mon pote.
- À l'occasion, ça pourrait être bien de recommencer et d'en faire un petit peu plus.
- Quand tu voudras, et aussi dès que tu voudras.
- Dès que je voudrais, ça pourrait vouloir dire que je reste ici ce soir...
- Aucun problème, tu pourras dormir ici et rester tout le week-end si tu veux, ou plus, si c'est ton choix. Profites-en.
- Je ne voudrais pas te déranger.
- En quoi ça me dérangerait si je te le propose ? Et bien que et tu me l'ai déjà dit, peux-tu me rappeler ce que je représente pour toi ?
- Tu es mon meilleur ami. Depuis qu'on se connaît, tu as toujours été un ami fidèle ... et ... pardonne-moi pour tout à l'heure de m'être emporté lorsque tu as cherché à me dire qu'il fallait me soigner ... la jambe.
- Pour l'incident de tout à l'heure, il a été réglé. Et pour mon invitation, tu sais que dans cet appartement, il y a de la place avec aussi un grand lit où on peut être à l'aise à deux.
- Oui. D'ailleurs, lors de notre première année de fac, on est plusieurs à ne pas avoir compris pourquoi au bout de quelques mois, tu as déménagé dans ce grand appartement qui coûte près de 2 loyers d'étudiants avec un grand lit où tu dors tout seul depuis plus de 3 ans.
- Pascal ! Mon petit Pascalou d'1 mètre 83. Je vais te répondre. Le grand lit, c'est pour pouvoir bien accueillir quelqu'un qui m'est très cher. Et effectivement, depuis 3 ans et demie que j'occupe cet appartement, ça me pèse certains soirs de passer la soirée, puis la nuit tout seul, dans ce grand lit. Tu me rends souvent visite, je réponds aussi à tes invitations, mais jusqu'à présent, on s'est toujours séparé dans la soirée et je me retrouve tout seul dans ce grand lit à penser souvent à toi. Mais je n'ai jamais cherché à te forcer. Tu as droit à ta liberté.
Pendant que nous parlons, nos corps se sont rapproché. Tes mains me caressent le dos et semblent apprécier ce contact. Les miennes te caressent aussi et j'apprécie d'avoir l'occasion le faire vu que tu comptes beaucoup pour moi. Nos poitrines sont très proches et pour ma part, j'apprécie le contact. Nos pénis se sont bien redressés.
- Tu bandes dur Pascal et je bande tout autant. Il serait dommage de refuser à nos deux corps du plaisir juste parce que tu as peur de me déranger. Et même si tu voulais rester au delà du week-end, ça me conviendrait de partager avec toi ce grand appartement et de ne plus être seul dans le grand lit. Tu disais tout à l'heure être ennuyé par le coût estimé de réparation de ta moto. Mais si tu libères ton appartement pour habiter ici, tu pourras récupérer le montant de ton loyer. Je t'aime Pascal, et ça me ferait plaisir de t'accueillir durablement ici, mais tu as droit à ta liberté. Plus tard, tu trouveras peut-être une fille ou un garçon, peu importe, avec qui rester pour une vie commune. Si vous êtes heureux, ce sera très bien. dans ce cas, j'espère quand même rester très longtemps ton meilleur ami. Mais si celui que tu choisis est un garçon, et que ce garçon, c'est moi, j'en serai vraiment très très heureux. Je t'aime Pascal, et je souhaite avant tout ton bonheur. Mais je ne dois rien t'imposer. Tu as aussi le droit de choisir et je t'aime trop pour entraver ta liberté.
- Rémi ! Oh Rémi, je t'adore ! Tu es le plus super pote de l'univers.
Pendant quelques minutes les deux garçons sont tendrement enlacés et laissent couler des larmes de joie. Puis leur corps finit par ce séparer.
- Alors, tu restes ici ce soir ?
- Oh oui !
- Et pour les jours qui suivent ?
- Je verrai. C'est tout nouveau pour moi, je pense rester au moins jusqu'à demain, en fin d'après midi.
- Donc, tu vas coucher ici plutôt que de rependre ta moto.
- Sans problème ! On a tant de chose à découvrir tous les deux !
- Dans ce cas, on pourrait boire autre-chose que du jus de fruit.
Rémi va chercher un bouteille et deux flûtes à Champagne dans le placard.
- Cuvée 2019. C'est l'année de début de nos études, ça !
- Je l'ai achetée peu après avoir emménagé dans cet appartement, mais je commençais à désespérer de la partager un jour avec toi, vu qu'à chaque visite, tu repartais avec ta moto. Du coup, je ne l'ai pas mise au frigo. On peut se servir une flûte et mettre la bouteille au congélateur pour que les prochains verres soient plus frais.
- Ça marche !
La soirée fut très joyeuse. Le contenu de la bouteille fut absorbé avant minuit. Les deux garçons expérimentèrent de nombreuses chose relatives au plaisirs du corps avant de se coucher très tard puis de dormir enlacés jusqu'en début d'après-midi.
Pascal resta chez Rémi au delà du week-end. Avec de la colle époxy, de la résine et du papier verre, le carénage de la moto fut réparé puis repeint pour un faible coût mais quelques dizaines d'heure de travail.
L'histoire ne dit pas si après avoir brillamment réussi leur Master, les deux étudiants se marièrent et eurent beaucoup d'enfants, mais il faut bien laisser au lecteurs le soin d'imaginer la suite.
[/quote]
Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
à chacun son histoire bis (mais ici ce sont des anciennes (g@y-tous styles) ) (slygame.fr)
La "hot" du père Noël ! (GAY-ADO-OS) (slygame.fr)
Piscine...et plaisir aqueux (OS-minet-gay) (slygame.fr)
-La tête dans les étoiles (aquatique)-(fanfiction - gay - humour) (slygame.fr)
à chacun son histoire bis (mais ici ce sont des anciennes (g@y-tous styles) ) (slygame.fr)
La "hot" du père Noël ! (GAY-ADO-OS) (slygame.fr)
Piscine...et plaisir aqueux (OS-minet-gay) (slygame.fr)
-La tête dans les étoiles (aquatique)-(fanfiction - gay - humour) (slygame.fr)