23-09-2023, 08:27 AM
Premier défi phrase de départ:
Il serait temps qu'ils entretiennent un peu mieux leurs routes..
Gîte rural et fantaisies
Le but de l'opération était d'y passer cinq nuits autour de l'Ascension, fin mai, avec pour seul programme de s'y envoyer en l'air.
On y rejoindrait quatre autres loupiots tout aussi dévergondés... Deux autres couples composés pour l'occasion, parmi ces jeunes gens de deuxième année de fac.
On n'avait jamais forniqué ensemble, ni de concert, avec les quatre autres, mais Xavier, qui était l'âme de cette expédition, était certain que ses recrues mettraient au moins le feu à la campagne avoisinante...
Or donc on arriva les premiers dans cette vaste bicoque, où Xavier avait trouvé l'introuvable : deux chambres avec deux grands lits chacune, encadrant une vaste salle de bains avec douche italienne, et grand salon plein de canapés...
Ayant pris langue avec le fils du propriétaire, un mec apparemment à peine plus âgé que lui — il avait vingt-deux ans, comme ses potes —, il s'était entendu répondre que la tranquillité était garantie, si ce garçon vivait de l'autre côté de la maison.
De fait, une partie plus petite de cette ancienne ferme était séparée par une porte marquée « Privé », et à l'extérieur par un mur. Ce que Xavier n'avait pas dit à ses potes, c'est que moyennant un supplément, on aurait pu utiliser la piscine des propriétaires... Mais il avait estimé que cela aurait alourdi exagérément les frais de ces étudiants peu fortunés... et qu'on était là pour baiser, uniquement !
On fut donc reçu par un jeune mec, sans doute vingt-quatre ans, apparemment joliment fait... puisqu'il était en salopette avec manifestement rien en-dessous... suggérèrent immédiatement les filles. Il en dépassait une fine poilure châtain, en-dessous d'un regard bleu pâle, et d'un sourire...
Il expliqua ce qu'il fallait savoir. Une porte avec interphone joignait les deux parties de la maison, en bas. Dans l'un ou l'autre sens, on devait prévenir pour la faire ouvrir. Xavier seul avait le numéro du garçon, nommé Antoine.
Les quatre autres ne tardèrent pas, et tout le monde fut immédiatement à poil. Deux douches étaient sur la terrasse, et l'on ne se priva pas d'en jouir. Les polissonneries commencèrent dans la foulée. Mais il ne fallut pas deux heures avant que Xavier dût appeler le proprio : un appareil de la cuisine ne fonctionnait pas.
Il alla donc recevoir le mec à la porte mitoyenne, en boxer et prévint tout de suite :
— Je dois vous dire qu'on est tous à poil, ici... En fait, c'est une réunion... un peu chaude, et...
— Et rien ! fit le mec avec un grand sourire. En fait, on s'est vite rendu compte, avec mon p'tit frangin, qui vit à côté aussi, que la configuration de la baraque favorisait les séjours... disons... chauds, justement, et par le bouche à oreille, on a eu du monde... Alors on a l'habitude !
— Ah, je savais pas ça, en vous contactant !
— Il doit y avoir un certain magnétisme... Bref, pas de problème ! Sauf celui qui m'amène ici : voyons !
Le garçon, Antoine, fit marcher le matériel récalcitrant. Et dut bien voir entrer quelques beautés nues venant quérir de quoi boire au frigo... Filles et garçons qui le saluèrent gaîment.
— Ils sont jolis, vos amis ! dit Antoine. On a eu ici des seniors, alors...
On pouffa gentiment. Et Xavier osa :
— Vous viendriez prendre l'apéro, avec votre frère, avec nous ?
— En fait, on n'accepte que la veille du départ des locataires... pour gêner personne. Mais... si vous, vous voulez... tout seul... vous pourriez venir chez nous, quand vous voulez.
— Oh ! Je... fit Xavier, surpris. Je...
— Vous êtes invité : appelez-moi si vous voulez.
Ce Antoine-là était charmant, et Xavier eut bien envie d'accepter l'invitation, dès le lendemain. Il n'en dit mot à ses amis... qui lui fournirent une occasion en or : il fut décidé d'aller au supermarché le plus proche... qui compte tenu de l'isolement de l'endroit, n'était pas à côté. Au reste, le corps expéditionnaire déjeunerait sur place.
Il appela donc Antoine... qui lui en dit une bien bonne :
— Si vous pouviez amener votre ami brun, qu'est baraqué et plein de poils ? J'en ai parlé à mon p'tit frère... qui aimerait le rencontrer... pour parler de gym... C'est possible ?
Antoine pria donc Godefroy de le suivre à côté, dès que les autres seraient partis le lendemain matin... mais sans lui préciser la raison de la demande, qui le turlupinait un peu !
Dès neuf heures, donc, on sonna à côté : où l'on fut reçu nu. Antoine était un grand garçon fin et finement velu de châtain, tandis que que son frère, qui devait avoir l'âge des garçons, était carrément maigre... mais si bien monté, sous sa belle touffe brune !
On fut donc prié de se déloquer, invité pour le petit déjeuner. Où l'on parla de tout et de rien... avant d'aller au bain : dans la piscine des propriétaires... dont Godefroy ignorait l'existence, évidemment. Où l'on comprit des choses : car si Godefroy était l'objet de toutes les attentions de Valentin, le petit frère, Xavier comprit intéresser Antoine...
Mais tout cela restait bon enfant, et pour tout dire, bien adolescent... Et pourtant Antoine, fils du propriétaire, semblait mener les choses avec autorité et clairvoyance ; quant à son petit frère, il paraissait tenir des discours si intéressants que le rude Godefroy semblait fasciné...
Chose qui épata grandement Xavier, car Godefroy était une superbe bestiole magnifiquement dessinée, et connue pour sa passion des filles...
Il vit d'ailleurs ces garçons sortir de l'eau... et jugea que le minet l'avait à demi-dure... avant qu'il allât s'étendre pour que Godefroy lui massât le dos.
— Bon ! Ça marche entre ces deux-là, constata Antoine. Et entre nous ?
— Nous ? sursauta Xavier.
— Ben oui : c'est pas parce que t'es mon client qu'on doit pas avoir du bon temps aussi !
— Mais...
— Je sais pas masser mais... ça te ferait plaisir que je te suce ?
— Hein ?
— Vous avez fait l'amour, ce matin, avec tes potes ?
— Euh... non, non... avoua mollement Xavier.
— Eh ben tu vois ! Le temps qu'ils rentrent du supermarché, t'auras rechargé tes batteries, et hop !
— Mais... fit un Xavier totalement déconcerté. T'es toujours... aussi direct, toi ?
— Ça fait six ans que Papa m'a donné la direction de la boîte, et j'en ai tellement raté, des occasions ! Maintenant, c'est fini ! Et tu vas voir comment ton beau copain va gueuler quand Valentin lui bouffera la rondelle : c'est sa spécialité !
— Aaaah ! fit Xavier... alors que Antoine venait de lui prendre la quéquette, sous l'eau.
— Viens, grand garçon : je vais te pomper le jus, mais ça sera moins pire qu'une prise de sang !
Et le mec de prendre la main de Xavier pour le faire sortir de l'eau et le mener à un matelas de plage du côté opposé à celui où opérait Godefroy.
Le pire, pour Xavier, était que la main de Antoine sur sa bite l'avait fait bander aussitôt, et que sortant de la piscine, il ne l'avait point molle du tout !
— T'es vraiment beau de partout, toi ! affirma Antoine.
Xavier était à peine vautré sur le matelas qu'Antoine se jeta goulûment sur son bel objet, qui atteignit instantanément sa beauté optimale... Et il faisait ça bien, ce suceur-là !
Toutefois, cet artiste prenait son temps, et allait visiter aussi les cantons adjacents, les jolies boules finement velues puis la sombre vallée... où Xavier dut réprimer un fort gémissement quand Antoine lui plaqua la langue sur la rondelle... Relevant le museau, celui-ci souffla :
— Regarde là-bas !
De l'autre côté de l'eau, le grand Godefroy était sur le dos, la pine — qu'il avait grande — dans le gosier du fin Valentin... qui y allait avec ardeur. Antoine reprit son ouvrage.
Soudain, on ouït un énorme barrissement, venu d'en face : Godefroy avait les quatre fers en l'air, et le museau de Valentin bien enfoncé entre ses fesses musclées et velues...
— Tu vois, je t'avais dit ! Il est vraiment doué pour ça, mon p'tit frère ! Tu l'essayeras, hein ?
Le spectacle de son viril pote se faisant brouter la chatte en geignant comme une meuf laissa Xavier sans voix !
— Tu voudrais pas me la mettre ? murmura alors Antoine.
— Oh, mais... je fais pas ça, moi ! gémit Xavier.
— C'est ton devoir de vacances ! Hop !
Xavier n'osa pas résister plus, et se mit en devoir de pénétrer le garçon le plus doucement possible. Jetant un œil en face, il vit les mecs le regarder...
Une minute plus tard, un grand Han ! accompagné d'un grand Ouiii ! résonna dans l'air : et il put voir Godefroy s'embourber le frêle Valentin. Et il savait que quand il niquait, il n'y avait plus rien au monde, pour Godefroy !
Du coup, ça lui donna du cœur à l'ouvrage, et il bourra fort joyeusement un Antoine qui l'encourageait, d'ailleurs...
In fine, les deux baiseurs improvisés jouirent presque en même temps... mais Godefroy beugla comme un bison des plaines en pleine extase amoureuse !
Avant de gicler, Xavier avait accepter de branler Antoine, et il vit que Godefroy en faisait autant de son enculé...
Or donc on accepta des bulles, et même une genre de buffet, puis qu'on savait que les autres ne rentreraient pas avant deux heures, au moins !
Xavier échangea avec Godefroy des tas de regards étonnés, et à la fois complices... Enfin, on entendit des coups de klaxon, et l'on se sépara... non sans imaginer des suites à ces folies...
Enfin, après qu'on se fut occupé de l'intendance, Godefroy et Xavier purent se poser, et causer :
— P'tain, attaqua le premier, jamais j'aurais cru ça ! Il a eu l'air de déguster, quand je l'ai mise, mais il était parfaitement alésé ! Oh putain, qu'c'était bon ! Et ce p'tit con qui me disait des cochonneries ! J'ai pas souvent été excité comme ça ! Sans compter le bouffage de cul, avant !
Xavier sourit et conta à peu près la même chose, ajoutant :
— T'es repreneur ?
— Et comment, mon pote !
Restait qu'il n'était pas facile de prendre sa liberté, ici. Mais comment l'esprit vient aux enfants ! Godefroy lâcha :
— Et si on leur proposait une aide informatique ?
— Yesss ! T'es un génie !
— De l'informatique, je sais pas, mais pour le reste...
Contacté, le proprio lâcha, sur un ton naïf :
— On n'avait pas pensé à ça, avec mon frangin !
Dès le début d'après-midi, on passa à côté. Où l'on ne s'ennuya pas... Et où, sous l'œil étonné de Godefroy, Xavier s'essaya à sucer les deux frères... avec succès. Godefroy s'y refusa, mais il pina avec ardeur. Et maintenant qu'on avait un prétexte... On ne fit pas de vieux os, jusqu'au lendemain.
Ce fut seulement avant de passer à côté, le samedi et sous le même prétexte, que Godefroy souffla :
— Ça fait quoi, de sucer une bite ?
— Sympa... et moins mou qu'une chatte ! Essaye, tiens ! S'tu veux... je suis disponible ! Tu me fais signe, hein ?
On passa à côté, où cessèrent les parlotes. Les proprios en voulaient, et ils en eurent ! À un moment, Xavier fit un signe à Godefroy, qui s'approcha :
— Mon pote voudrait essayer un truc... Permettez ?
Et Godefroy fut bien obligé de se pencher sur la jolie bite de son pote... ce qu'il fit sans dégoût, somme toute.
— Super... murmura Valentin, en venant happer lui-même le beau gourdin de Godefroy... tandis que son frère le venait emboucher, lui-même chopé par Xavier.
Joli carré qu'iceluy ! Qui ne dura pas des ères... car Valentin proposa qu'on changeât de côté... et Godefroy dut donc emboucher le joli morceau dudit. Mais il était lancé... et se faire sucer par son pote Xavier lui donna encore un peu plus d'excitation... Bref, jolie séance... avant qu'on renculât de première. Repassant chez eux, les garçons se regardèrent, et éclatèrent de rire, et allèrent se doucher à l'étage, quand tous les autres étaient dans le jardin... à faire Dieu sait quoi !
— P'tain, j'y crois pas ! susurra Godefroy.
— Qu'on s'est sucé la bite ? T'as vu que c'est pas un exploit et... moi, j'aime bien : ça change des mollasseries habituelles ! faisant rire le rude Godefroy.
— On s'est sucé la pine... J'y crois pas !
— T'es pas obligé de recommencer... Mais moi, c'est oui !
— Oooh... T'es en train de virer pédé, toi ?
— Je prends ce qui vient... et quand c'est ta queue... youpi !
On alla rejoindre les autres... qui effectivement étaient en train de s'amuser dans les deux sens — comprend qui peut !
Car c'était un mignon spectacle que celui de ces dames se gougnotant comme des furies, tandis que les mecs se paluchaient en matant...
— P'tain... on les suce ? souffla Xavier. Chiche !
Godefroy sourit, et l'on se précipita sur les deux tiges.
— Hiiii ! hurla soudain une des tribades, mais, les mecs !
— Continuez, les filles, on va vous en laisser !
Petit flottement, mais les filles s'y remirent, tandis que les sucés gémissaient... Enfin, on les laissa rejoindre les chattes, et on les accompagna même. Au barbecue du soir, une des filles demanda quand même :
— Vous sucez les mecs, vous ?
— Puisque vous étiez en train de bouffer de la chatte !...
On rigola, et l'on changea de sujet, bien sûr !
Nouvelle petite séance le dimanche matin pour les garçons à côté, tandis qu'il était prévu d'inviter les proprios pour le dernier dîner. Qui y parurent à poil, à l'enchantement de ces dames... prévenues qu'ils étaient gay. M'enfin, ils se laissèrent sucer au champagne, évidemment... Lorsqu'ils se retirèrent, l'orgie avait commencé. Et contact était pris, oui-da !
Les deux autres mecs de la compagnie exigèrent d'en savoir plus... et Godefroy et Xavier racontèrent tout. D'où vint qu'ils furent conviés quand les deux frères débarquèrent à Paris en plein hiver... et qu'ils allèrent aussi passer une semaine chez eux peu après... et l'on n'a rien dit à ces dames, qui n'ont d'ailleurs pas à se plaindre.
Il serait temps qu'ils entretiennent un peu mieux leurs routes..
Gîte rural et fantaisies
— Il serait temps qu'ils entretiennent un peu mieux leurs routes ! ronchonna le grand Godefroy, qui venait une fois de plus de se cogner le crâne sur le plafond de l'auto.
— C'est la campagne, mon pote, rigola Xavier, qui conduisait trois de ses amis vers un gîte rural bien planqué au sein d'une ruralité qu'on ne trouverait même pas sur Internet : le trou absolu.Le but de l'opération était d'y passer cinq nuits autour de l'Ascension, fin mai, avec pour seul programme de s'y envoyer en l'air.
On y rejoindrait quatre autres loupiots tout aussi dévergondés... Deux autres couples composés pour l'occasion, parmi ces jeunes gens de deuxième année de fac.
On n'avait jamais forniqué ensemble, ni de concert, avec les quatre autres, mais Xavier, qui était l'âme de cette expédition, était certain que ses recrues mettraient au moins le feu à la campagne avoisinante...
Or donc on arriva les premiers dans cette vaste bicoque, où Xavier avait trouvé l'introuvable : deux chambres avec deux grands lits chacune, encadrant une vaste salle de bains avec douche italienne, et grand salon plein de canapés...
Ayant pris langue avec le fils du propriétaire, un mec apparemment à peine plus âgé que lui — il avait vingt-deux ans, comme ses potes —, il s'était entendu répondre que la tranquillité était garantie, si ce garçon vivait de l'autre côté de la maison.
De fait, une partie plus petite de cette ancienne ferme était séparée par une porte marquée « Privé », et à l'extérieur par un mur. Ce que Xavier n'avait pas dit à ses potes, c'est que moyennant un supplément, on aurait pu utiliser la piscine des propriétaires... Mais il avait estimé que cela aurait alourdi exagérément les frais de ces étudiants peu fortunés... et qu'on était là pour baiser, uniquement !
On fut donc reçu par un jeune mec, sans doute vingt-quatre ans, apparemment joliment fait... puisqu'il était en salopette avec manifestement rien en-dessous... suggérèrent immédiatement les filles. Il en dépassait une fine poilure châtain, en-dessous d'un regard bleu pâle, et d'un sourire...
Il expliqua ce qu'il fallait savoir. Une porte avec interphone joignait les deux parties de la maison, en bas. Dans l'un ou l'autre sens, on devait prévenir pour la faire ouvrir. Xavier seul avait le numéro du garçon, nommé Antoine.
Les quatre autres ne tardèrent pas, et tout le monde fut immédiatement à poil. Deux douches étaient sur la terrasse, et l'on ne se priva pas d'en jouir. Les polissonneries commencèrent dans la foulée. Mais il ne fallut pas deux heures avant que Xavier dût appeler le proprio : un appareil de la cuisine ne fonctionnait pas.
Il alla donc recevoir le mec à la porte mitoyenne, en boxer et prévint tout de suite :
— Je dois vous dire qu'on est tous à poil, ici... En fait, c'est une réunion... un peu chaude, et...
— Et rien ! fit le mec avec un grand sourire. En fait, on s'est vite rendu compte, avec mon p'tit frangin, qui vit à côté aussi, que la configuration de la baraque favorisait les séjours... disons... chauds, justement, et par le bouche à oreille, on a eu du monde... Alors on a l'habitude !
— Ah, je savais pas ça, en vous contactant !
— Il doit y avoir un certain magnétisme... Bref, pas de problème ! Sauf celui qui m'amène ici : voyons !
Le garçon, Antoine, fit marcher le matériel récalcitrant. Et dut bien voir entrer quelques beautés nues venant quérir de quoi boire au frigo... Filles et garçons qui le saluèrent gaîment.
— Ils sont jolis, vos amis ! dit Antoine. On a eu ici des seniors, alors...
On pouffa gentiment. Et Xavier osa :
— Vous viendriez prendre l'apéro, avec votre frère, avec nous ?
— En fait, on n'accepte que la veille du départ des locataires... pour gêner personne. Mais... si vous, vous voulez... tout seul... vous pourriez venir chez nous, quand vous voulez.
— Oh ! Je... fit Xavier, surpris. Je...
— Vous êtes invité : appelez-moi si vous voulez.
Ce Antoine-là était charmant, et Xavier eut bien envie d'accepter l'invitation, dès le lendemain. Il n'en dit mot à ses amis... qui lui fournirent une occasion en or : il fut décidé d'aller au supermarché le plus proche... qui compte tenu de l'isolement de l'endroit, n'était pas à côté. Au reste, le corps expéditionnaire déjeunerait sur place.
Il appela donc Antoine... qui lui en dit une bien bonne :
— Si vous pouviez amener votre ami brun, qu'est baraqué et plein de poils ? J'en ai parlé à mon p'tit frère... qui aimerait le rencontrer... pour parler de gym... C'est possible ?
Antoine pria donc Godefroy de le suivre à côté, dès que les autres seraient partis le lendemain matin... mais sans lui préciser la raison de la demande, qui le turlupinait un peu !
Dès neuf heures, donc, on sonna à côté : où l'on fut reçu nu. Antoine était un grand garçon fin et finement velu de châtain, tandis que que son frère, qui devait avoir l'âge des garçons, était carrément maigre... mais si bien monté, sous sa belle touffe brune !
On fut donc prié de se déloquer, invité pour le petit déjeuner. Où l'on parla de tout et de rien... avant d'aller au bain : dans la piscine des propriétaires... dont Godefroy ignorait l'existence, évidemment. Où l'on comprit des choses : car si Godefroy était l'objet de toutes les attentions de Valentin, le petit frère, Xavier comprit intéresser Antoine...
Mais tout cela restait bon enfant, et pour tout dire, bien adolescent... Et pourtant Antoine, fils du propriétaire, semblait mener les choses avec autorité et clairvoyance ; quant à son petit frère, il paraissait tenir des discours si intéressants que le rude Godefroy semblait fasciné...
Chose qui épata grandement Xavier, car Godefroy était une superbe bestiole magnifiquement dessinée, et connue pour sa passion des filles...
Il vit d'ailleurs ces garçons sortir de l'eau... et jugea que le minet l'avait à demi-dure... avant qu'il allât s'étendre pour que Godefroy lui massât le dos.
— Bon ! Ça marche entre ces deux-là, constata Antoine. Et entre nous ?
— Nous ? sursauta Xavier.
— Ben oui : c'est pas parce que t'es mon client qu'on doit pas avoir du bon temps aussi !
— Mais...
— Je sais pas masser mais... ça te ferait plaisir que je te suce ?
— Hein ?
— Vous avez fait l'amour, ce matin, avec tes potes ?
— Euh... non, non... avoua mollement Xavier.
— Eh ben tu vois ! Le temps qu'ils rentrent du supermarché, t'auras rechargé tes batteries, et hop !
— Mais... fit un Xavier totalement déconcerté. T'es toujours... aussi direct, toi ?
— Ça fait six ans que Papa m'a donné la direction de la boîte, et j'en ai tellement raté, des occasions ! Maintenant, c'est fini ! Et tu vas voir comment ton beau copain va gueuler quand Valentin lui bouffera la rondelle : c'est sa spécialité !
— Aaaah ! fit Xavier... alors que Antoine venait de lui prendre la quéquette, sous l'eau.
— Viens, grand garçon : je vais te pomper le jus, mais ça sera moins pire qu'une prise de sang !
Et le mec de prendre la main de Xavier pour le faire sortir de l'eau et le mener à un matelas de plage du côté opposé à celui où opérait Godefroy.
Le pire, pour Xavier, était que la main de Antoine sur sa bite l'avait fait bander aussitôt, et que sortant de la piscine, il ne l'avait point molle du tout !
— T'es vraiment beau de partout, toi ! affirma Antoine.
Xavier était à peine vautré sur le matelas qu'Antoine se jeta goulûment sur son bel objet, qui atteignit instantanément sa beauté optimale... Et il faisait ça bien, ce suceur-là !
Toutefois, cet artiste prenait son temps, et allait visiter aussi les cantons adjacents, les jolies boules finement velues puis la sombre vallée... où Xavier dut réprimer un fort gémissement quand Antoine lui plaqua la langue sur la rondelle... Relevant le museau, celui-ci souffla :
— Regarde là-bas !
De l'autre côté de l'eau, le grand Godefroy était sur le dos, la pine — qu'il avait grande — dans le gosier du fin Valentin... qui y allait avec ardeur. Antoine reprit son ouvrage.
Soudain, on ouït un énorme barrissement, venu d'en face : Godefroy avait les quatre fers en l'air, et le museau de Valentin bien enfoncé entre ses fesses musclées et velues...
— Tu vois, je t'avais dit ! Il est vraiment doué pour ça, mon p'tit frère ! Tu l'essayeras, hein ?
Le spectacle de son viril pote se faisant brouter la chatte en geignant comme une meuf laissa Xavier sans voix !
— Tu voudrais pas me la mettre ? murmura alors Antoine.
— Oh, mais... je fais pas ça, moi ! gémit Xavier.
— C'est ton devoir de vacances ! Hop !
Xavier n'osa pas résister plus, et se mit en devoir de pénétrer le garçon le plus doucement possible. Jetant un œil en face, il vit les mecs le regarder...
Une minute plus tard, un grand Han ! accompagné d'un grand Ouiii ! résonna dans l'air : et il put voir Godefroy s'embourber le frêle Valentin. Et il savait que quand il niquait, il n'y avait plus rien au monde, pour Godefroy !
Du coup, ça lui donna du cœur à l'ouvrage, et il bourra fort joyeusement un Antoine qui l'encourageait, d'ailleurs...
In fine, les deux baiseurs improvisés jouirent presque en même temps... mais Godefroy beugla comme un bison des plaines en pleine extase amoureuse !
Avant de gicler, Xavier avait accepter de branler Antoine, et il vit que Godefroy en faisait autant de son enculé...
Or donc on accepta des bulles, et même une genre de buffet, puis qu'on savait que les autres ne rentreraient pas avant deux heures, au moins !
Xavier échangea avec Godefroy des tas de regards étonnés, et à la fois complices... Enfin, on entendit des coups de klaxon, et l'on se sépara... non sans imaginer des suites à ces folies...
Enfin, après qu'on se fut occupé de l'intendance, Godefroy et Xavier purent se poser, et causer :
— P'tain, attaqua le premier, jamais j'aurais cru ça ! Il a eu l'air de déguster, quand je l'ai mise, mais il était parfaitement alésé ! Oh putain, qu'c'était bon ! Et ce p'tit con qui me disait des cochonneries ! J'ai pas souvent été excité comme ça ! Sans compter le bouffage de cul, avant !
Xavier sourit et conta à peu près la même chose, ajoutant :
— T'es repreneur ?
— Et comment, mon pote !
Restait qu'il n'était pas facile de prendre sa liberté, ici. Mais comment l'esprit vient aux enfants ! Godefroy lâcha :
— Et si on leur proposait une aide informatique ?
— Yesss ! T'es un génie !
— De l'informatique, je sais pas, mais pour le reste...
Contacté, le proprio lâcha, sur un ton naïf :
— On n'avait pas pensé à ça, avec mon frangin !
Dès le début d'après-midi, on passa à côté. Où l'on ne s'ennuya pas... Et où, sous l'œil étonné de Godefroy, Xavier s'essaya à sucer les deux frères... avec succès. Godefroy s'y refusa, mais il pina avec ardeur. Et maintenant qu'on avait un prétexte... On ne fit pas de vieux os, jusqu'au lendemain.
Ce fut seulement avant de passer à côté, le samedi et sous le même prétexte, que Godefroy souffla :
— Ça fait quoi, de sucer une bite ?
— Sympa... et moins mou qu'une chatte ! Essaye, tiens ! S'tu veux... je suis disponible ! Tu me fais signe, hein ?
On passa à côté, où cessèrent les parlotes. Les proprios en voulaient, et ils en eurent ! À un moment, Xavier fit un signe à Godefroy, qui s'approcha :
— Mon pote voudrait essayer un truc... Permettez ?
Et Godefroy fut bien obligé de se pencher sur la jolie bite de son pote... ce qu'il fit sans dégoût, somme toute.
— Super... murmura Valentin, en venant happer lui-même le beau gourdin de Godefroy... tandis que son frère le venait emboucher, lui-même chopé par Xavier.
Joli carré qu'iceluy ! Qui ne dura pas des ères... car Valentin proposa qu'on changeât de côté... et Godefroy dut donc emboucher le joli morceau dudit. Mais il était lancé... et se faire sucer par son pote Xavier lui donna encore un peu plus d'excitation... Bref, jolie séance... avant qu'on renculât de première. Repassant chez eux, les garçons se regardèrent, et éclatèrent de rire, et allèrent se doucher à l'étage, quand tous les autres étaient dans le jardin... à faire Dieu sait quoi !
— P'tain, j'y crois pas ! susurra Godefroy.
— Qu'on s'est sucé la bite ? T'as vu que c'est pas un exploit et... moi, j'aime bien : ça change des mollasseries habituelles ! faisant rire le rude Godefroy.
— On s'est sucé la pine... J'y crois pas !
— T'es pas obligé de recommencer... Mais moi, c'est oui !
— Oooh... T'es en train de virer pédé, toi ?
— Je prends ce qui vient... et quand c'est ta queue... youpi !
On alla rejoindre les autres... qui effectivement étaient en train de s'amuser dans les deux sens — comprend qui peut !
Car c'était un mignon spectacle que celui de ces dames se gougnotant comme des furies, tandis que les mecs se paluchaient en matant...
— P'tain... on les suce ? souffla Xavier. Chiche !
Godefroy sourit, et l'on se précipita sur les deux tiges.
— Hiiii ! hurla soudain une des tribades, mais, les mecs !
— Continuez, les filles, on va vous en laisser !
Petit flottement, mais les filles s'y remirent, tandis que les sucés gémissaient... Enfin, on les laissa rejoindre les chattes, et on les accompagna même. Au barbecue du soir, une des filles demanda quand même :
— Vous sucez les mecs, vous ?
— Puisque vous étiez en train de bouffer de la chatte !...
On rigola, et l'on changea de sujet, bien sûr !
Nouvelle petite séance le dimanche matin pour les garçons à côté, tandis qu'il était prévu d'inviter les proprios pour le dernier dîner. Qui y parurent à poil, à l'enchantement de ces dames... prévenues qu'ils étaient gay. M'enfin, ils se laissèrent sucer au champagne, évidemment... Lorsqu'ils se retirèrent, l'orgie avait commencé. Et contact était pris, oui-da !
Les deux autres mecs de la compagnie exigèrent d'en savoir plus... et Godefroy et Xavier racontèrent tout. D'où vint qu'ils furent conviés quand les deux frères débarquèrent à Paris en plein hiver... et qu'ils allèrent aussi passer une semaine chez eux peu après... et l'on n'a rien dit à ces dames, qui n'ont d'ailleurs pas à se plaindre.
Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
à chacun son histoire bis (mais ici ce sont des anciennes (g@y-tous styles) ) (slygame.fr)
La "hot" du père Noël ! (GAY-ADO-OS) (slygame.fr)
Piscine...et plaisir aqueux (OS-minet-gay) (slygame.fr)
-La tête dans les étoiles (aquatique)-(fanfiction - gay - humour) (slygame.fr)
à chacun son histoire bis (mais ici ce sont des anciennes (g@y-tous styles) ) (slygame.fr)
La "hot" du père Noël ! (GAY-ADO-OS) (slygame.fr)
Piscine...et plaisir aqueux (OS-minet-gay) (slygame.fr)
-La tête dans les étoiles (aquatique)-(fanfiction - gay - humour) (slygame.fr)