20-09-2023, 12:01 AM
«Ah...Monsieur mérite qu'on le baise...pour l'amour du grec» ("Les femmes savantes" de notre cher Molière). J'ai un peu hésité pour "bise" au lieu de "baise" mais je crois bien qu'à l'époque de Jean-Baptiste (Poquelin), "baiser" dans le sens sexuel était déjà bien connu. Nous en avons un autre exemple dans" Le malade imaginaire" où le jeune médecin Thomas Diafoirus accompagné de son père exerçant la même profession, demande à ce dernier avant de rencontrer la fille du "malade" :«Père, faudra-t-il que je baise?» Et cette réplique déclenche le rire des spectateurs qui interprètent bien l'autre sens du mot...
Une petite chose m'étonne dans cette histoire mignonnette : Quentin, aussi bien que son jeune frère Vincent utilisent la formule "chez moi" pour qualifier leur chambre ...chez leurs parents. Apparemment, ils ne sont pas encore propriétaires de la maison à moins que papa et maman leur en aient fait donation, cas plutôt rare.
Ceci écrit, je pense, une fois encore, à un amateur bien connu de bulles comme auteur.
Bonsoir à tous et..."bises" pour ceux qui en voudront,
KLO.
Une petite chose m'étonne dans cette histoire mignonnette : Quentin, aussi bien que son jeune frère Vincent utilisent la formule "chez moi" pour qualifier leur chambre ...chez leurs parents. Apparemment, ils ne sont pas encore propriétaires de la maison à moins que papa et maman leur en aient fait donation, cas plutôt rare.
Ceci écrit, je pense, une fois encore, à un amateur bien connu de bulles comme auteur.
Bonsoir à tous et..."bises" pour ceux qui en voudront,
KLO.