11-09-2023, 07:45 PM
(Modification du message : 12-09-2023, 12:53 AM par fablelionsilencieux.)
Deuxième défi photo
Les Dessous des cartes
On jouait mollement, ce soir-là. Non qu'on fût vraiment gris, malgré la belle collection de cadavres de bière belge qui gisaient là, mais le cœur n'y était pas... allez savoir pourquoi !
Trois étudiants de deuxième année tapaient le carton chez Philibert, joli garçon bien foutu, qui recevait ses potes François et Nicolas.
— Oh ! Chais pas ce que j'ai, mais j'ai pas la frite, ce soir, les mecs ! soupira soudain François..
— T'avais p't'êt' envie de tirer, plutôt que de jouer aux cartes ? suggéra Philibert, le plus dégourdi de la bande.
— Sûr que ça m'aurait pas fait de mal aux burettes !
— Eh ben ! Et si on se faisait un strip-poker ? Après tout, on les a jamais vues, tes burettes !
— Ah ! Ah ! éclata Nicolas, ouais, pourquoi pas ? Ah ! Ah !
— Oh... fit François, l'air réticent. Je... J'vais quand même appeler la Marie-Claudette, pour être sûr qu'elle peut pas...
— T'as la pétoche, oui !
Les deux autres pouffèrent et la gueule que fit François prouva assez bien que sa copine du jour n'en voulait pas.
— Et pis t'es pas assez bourré, mon gars ! Heureusement que j'ai prévu large ! Moitié Flandre, et moitié Wallonie, j'te garantis qu'avec tout ça dans le gosier, tu les montreras, tes burettes... même si tu gagnes !
François haussa les épaules, tandis que Nicolas explosait de rire. Ainsi cette morne soirée évolua-t-elle vers des horizons nettement plus mondains...
On était début juillet, et il faisait très bon. Or donc, on était légèrement vêtu, et les effets de ces jeunes gens valsèrent assez vite : on se retrouva bientôt en petite culotte ; il y avait là slip, boxer et caleçon, ce dont on pouffa.
Et le premier à devoir ôter ce dernier rempart fut Nicolas, qui montra là un bien bel objet richement entouré de poils châtains. Qu'il avait aussi sur le torse et le ventre.
— Super, tes poils ! affirma Philibert. J'en ai moins que toi ! Mais ça plaît pas à toutes les meufs !
— Moi, j'ai décidé de les raser que pour la femme de ma vie ! Les autres auront qu'à prendre ce qui dépasse !
— J'en suis là aussi ! pouffa Philibert. Et toi, François ?
François était également finement velu de sombre, qui ne répondit point. La partie reprit, et Philibert dut virer le bas. Le spectacle valait le précédent, et il fut félicité par Nicolas.
Enfin, ce fut au tour de François d'avoir à quitter ses derniers voiles : ce qui provoqua un silence.
Car le gars François était titulaire d'une bite de compète, pour ce qu'on pouvait en deviner... avant la compétition.
Le majestueux serpent rose, bellement entouré de poils sombres, coupa la chique aux deux autres.
— P'tain... lâcha enfin Philibert, t'es... magnifique, François !
— Ouais... super beau, renchérit Nicolas.
— Vous êtes contents ? souffla François, l'œil bas.
— On n'a jamais voulu te gêner, François. On pensait pas qu'au dessus de tes burettes y avait une queue aussi belle, vraiment ! T'es... étonnant et...
— ...et on t'admire, vraiment !
On prit une, puis deux longues gorgées, en silence. Enfin Philibert osa :
— Bon on continue avec des gages, ou... on range les cartes... et on se fait une bonne petite branlette-party ?
— Ouais, ce serait mignon, ça... approuva Nicolas. Qu't'en penses, François ?
— Oh, moi...
— T'avais besoin de te libérer les burettes, t't à l'heure... Ce serait fait... en famille... et la Marie-Claudette le verra pas dans le journal !
François dut sourire. Il prit une rasade de bière, et se saisit mollement la bite, et soupirant :
— Ouais... Ce que vous voulez, les mecs...
Là Philibert eut bien conscience qu'il fallait assurer l'animation, et il entama une longue litanie de conneries de collégien destinées à faire rire... et qui atteignirent leur but. Au point que Nicolas déclara :
— Arrête tes conneries ! Si je ris trop, je bande pas !
— Pff ! Pour ce qu'aurais à montrer !
— Tu vas voir, puceau ! rétorqua Nicolas en fermant les yeux et en se branlant d'arrache-pied... ce qui eut son effet.
— Ouaouh ! s'exclama Philibert, mate ça, François ! C'est qu'il est armé, le p'tit ! Heureusement qu'on n'a pas continué avec des gages d'enculade, sinon y m'aurait explosé le pont arrière, çui-là !
François rigola et souffla :
— Vous êtes vraiment cons, les mecs !
Cependant, il ne bandait pas encore, cet enfant-là, qui se branlait d'ailleurs assez mollement, chose repérée par Philibert qui attaqua :
— C'est la Marie-Claudette qui te manque tellement, ou c'est nous qui t'excite pas ?
— Ben... Pas trop l'habitude, c'est tout...
— Tu veux quand même pas qu'on te suce ? demanda Nicolas.
— Oh, ça... fit François, fort gêné.
— Si tu veux... je me lance, dit alors gravement Philibert.
— Moi aussi, dit tout bas Nicolas.
— Mais... les mecs... qu'est-ce qui vous prend ?
— Y a pas de raison que tu t'amuses pas comme nous... et t'es beau, François, alors... expliqua Philibert.
— Alors on a envie de voir ta bite un peu raide, voilà ! asséna vivement Nicolas, et on va y arriver !
François en resta bouche bée... tandis que Philibert venait s'agenouiller devant lui, pour l'emboucher... délicatement. Avec effet immédiat !
Oh, le superbe engin que ces jeunes gens eurent alors sous les yeux ! Ils ne pensaient pas que telle merveille existât.
Nicolas approcha le museau et tendit la langue. Philibert partagea facilement : il y avait de la place ! Dès lors, on se répartit la tâche, qui les burettes, qui le gland... Car point ne fallait songer à engouffrer seul la totalité de ce sublime rondin, nenni !
François gémit tout de suite, et autant vous dire que les deux autres n'avaient pas besoin de ça. Car tout hétéros qu'ils fussent, ils ne pouvaient être indifférents à la beauté qui s'offrait à eux. Ils avaient conscience de la rareté du moment, oh oui ! et ils ne se privèrent pas d'en profiter.
Et il faut dire que les gémissements de François les y encouragèrent grandement ! Bref, la séance fut chaude, qui dura un bon quart d'heure avant que le patient déclarât déborder, ce qu'il fit sur les museaux accolés de ses amis. Bien arrosés, lesdits minois !
Après un temps d'étonnement, François souffla :
— Excusez-moi, les mecs, mais moi...
— Laisse tomber, on se débrouille ! clama Philibert en plongeant vers le vit joliment raide de Nicolas.
Qui se débrouilla vite fait pour lui attraper la bite en un mignon soixante-neuf... qui prit son temps, sous le regard étonné de François, qui se touchait encore doucement.
Enfin les suceurs s'entrarrosèrent la frimousse, en gémissant peut-être un peu exagérément... François s'en fut alors — il était onze heures, et Nicolas accepta de dormir céans.
— Vous allez vous amuser encore ? demanda François.
— On a les burettes à l'étiage, là, mais on va se faire une soirée diapos en attendant la marée haute !
On s'esclaffa, et François parti, les garçons attaquèrent vivement une nouvelle belge, d'abord un peu silencieux.
— Première fois que je pompe une queue, dit enfin Philibert.
— Deux queues ! Moi aussi, rigola Nicolas. Tu crois qu'on est en train de virer pédés ?
— Je pense surtout qu'on était en manque, qu'on est bourrés... et qu'on aime vraiment le cul ! répondit Philibert en rigolant.
On sirota encore un moment en commentant cette incroyable soirée. Mais on n'était pas au bout de ses surprises... car les garçons reçurent un message de François : « Merci de m'avoir secoué... au propre et au figuré ! Prêt à recommencer, et cette fois, je vous rends la pareille »
— Ouaouh ! s'exclama Philibert, eh ben vrai ! c'est qu'il a aimé ça, notre super coincé !
— Ho ! Tu crois que...?
— Réfléchissons. D'abord, il en reveut...
On causa donc un bon moment, ce qui obligea à varier les brasseries... et in fine, il fallut bien aller se coucher. Dans la douche, Nicolas eut envie de pisser, et Philibert s'écria :
— Pisse-moi dessus ! Ma meuf veut pas me le faire !
On échangea donc ses liquides corporels en rigolant, et l'on alla dormir, à bout de forces.
Au matin, Nicolas avait passé un bras sur la poitrine de Philibert, et un genou sur sa cuisse. Genou que tenait la main de son ami. Et l'on bandait ferme. On s'éveilla de concert.
Sourires un peu étonnés, d'abord, et Nicolas voulut ôter son bras et sa cuisse : il en fut retenu.
— Laisse tout ! J'aime bien me réveiller comme ça... P'tain ! Chuis plus bourré... mais j'ai toujours envie de cul ! T'as la belle trique, toi aussi... Envie de te sucer... susurra Philibert à l'oreille de Nicolas, qui soupira.
Et Philibert d'attaquer bravement un beau vit... qui n'attendait que ça !
— Pas obligé de suivre si t'as pas envie...
Mais Nicolas suivit, et le soixante-neuf ne fut pas expédié à la va vite, nenni-da !
— On va resucer notre beau coincé ? fit soudain Philibert, relevant le museau.
— C'est bien pour ça qu'on s'entraîne, non ?
On pouffa, et l'on finit bien par s'entregicler sur le museau... avant d'aller se compisser sous la douche en s'esclaffant comme des ados. Puis on appela François, qui était apparemment dans ses petits souliers, car il déclara tout de suite :
— Oh, les mecs ! J'ai écrit ça comme ça, un peu bourré, p'têt'...
— Ben nous, on est d'accord, bourrés ou pas ! Tu veux c't aprèm' ?
Philibert n'eut pas de mal à emporter la décision, et ce fut vers trois heures que parut le beau François, bien emprunté. On lui servit des bulles. Philibert, qui décidément était déchaîné, avait décidé qu'on le recevrait à poil, « pour le mettre tout de suite dans l'ambiance »... et lui ôter surtout tout désir de fuir.
Deux ou trois grandes lampées de Saumur finirent par rendre le sourire à ce bel enfant, et François se laissa désaper sans moufter... Si ! Il murmura :
— Vous êtes secoués, les mecs !...
Mais l'infernal processus était engagé, et les choses suivirent le cours prévu : les deux autres le pompèrent en alternance, et il se résolut, sans qu'on le lui demandât, à leur en faire autant. Mignon moment qu'iceluy ! Car il y alla du bout des lèvres d'abord, tandis que les mecs se regardaient en se retenant de rigoler... Et puis il s'y mit, ce gentil garçon... et plutôt bien, même. Nicolas suggéra du geste qu'on organisât alors un petit triangle, et zou ! Cette configuration, mainte fois changeant de sens, eut l'heur de plaire, et elle dura. Enfin, François releva le museau : il était tout rouge de s'être donné à fond et bafouilla :
— Faut arrêter, là, les mecs !... Je... Je...
— T'aimes pas ?
— Trop génial, mais... Ooooh !...
Et ce mec de fondre en larmes, à l'immense stupéfaction des autres et aussitôt récupéré par les accueillantes (bien que maigres) poitrines de ses amis. Qui se regardèrent, interloqués. Enfin, on arracha à François des bribes d'aveux... et il apparut que ce garçon était gay.
Babas, les autres eurent un moment de flottement, avant que Philibert se lançât :
— Donc on a bien fait de s'amuser tous les trois : moi, je suis pas gay, mais j'aime bien quand même. Nicolas ?
— Ouais, pareil.
— Mais toi, si tu sens que c'est ton truc, alors maintenant, tu le sais vraiment. T'embête pas pour la Marie-Claudette : on lui fera des chatouilles de ta part ! Et d'ici que tu te trouves un beau p'tit gars, on t'en fera à toi aussi, hein, Nicolas ?
— Évidemment !
— Mais... vous êtes fous, les mecs !
— C'est dit ! Allez hop, on repart !
Et l'on se remit à sucer avec entrain. In fine, on gicla dans tous les sens, avant de sourire largement. Philibert reprit :
— On va regarder c'qu'y disent dans le poste, et Nicolas et moi, on va s'occuper de te mettre à niveau, mon pote !
— Aaah ! Pas vous !
— Si, justement, nous ! Et j'te raconte pas nos prochains strip-pokers, mon p'tit gars ! On va te le repeindre, ton plafond !
Nicolas explosa de rire, et François dut suivre. Après quoi, il retrouva sa jolie figure, à commencer par son sourire.
— Je vais quand même pas me laisser cornaquer par deux hétéros ! osa-t-il, enfin souriant.
— Je sens pas la Marie-Claudette, sur ce coup-là ! Nous, on est des pros de la science moderne ! affirma Philibert.
De cet instant s'instaura une étrange relation entre ces trois garçons : François sembla prêt à tout accepter des deux autres, qui prirent leur rôle au sérieux. Certes, ils avaient leur belle du moment, mais ils furent fidèles à leur promesse et s'enquirent scrupuleusement de ce qu'un gay devait savoir pour se lancer dans le monde.
Il fallut bien en arriver au petit trou... et l'on alésa doucettement la fine et velue rondelle de François. Qui exigea que ces garçons le dépucelassent. Mais... chose inattendue... Philibert souffla un soir à Nicolas :
— P'tain ! Ça m'a trop chauffé, de doigter le François... et de le niquer. T'aurais pas envie de me le faire, aussi?
Nicolas obtempéra... non sans se lâcher de même façon. Et l'on décida de conter cette étrange affaire à un François qui, désormais bien décoincé, proposa immédiatement une séance à trois fort en joie :
— Je vous dois bien ça !
Commença alors une période où ces trois garçons s'amusèrent à trois une ou deux fois par semaine, tandis que les fillettes continuaient à s'inscrire sur le carnet de bal de Nicolas et Philibert...
Il fallut une bonne année avant qu'on dégotât le fiancé idéal pour François... Mais force m'est d'avouer que ceci fait, ces amis-là ne cessèrent pas tout de suite leur intimes orgies : il y avait de la tendresse, là-dedans. Qui scella pour longtemps cette amitié-là. Et depuis... on en reprend de temps à autre une petite resucée, comme on dit...
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