05-09-2023, 05:15 PM
(Modification du message : 05-09-2023, 11:30 PM par fablelionsilencieux.)
Troisième : défi des dix mots;
Sur celui-ci, je vous invite à découvrir où sont disséminés les mots.
scolarité
évènements
master
épiderme
boissons
bizutage
carré
maitre
défis
carnation
évènements
master
épiderme
boissons
bizutage
carré
maitre
défis
carnation
Début octobre, Frédéric s'y attendait... Il aurait, dans sa nouvelle école, boîte chic et privée, à subir un bizutage... Tels événements ne lui avaient pas trop été infligés, dans la longue suite de pensionnats qu'avait été sa scolarité, mais il ne comptait plus les défis qu'il avait dû relever, ni la variété des boissons qu'il avait dû ingurgiter, ce faisant !
Là, il était, après le bac, dans l'optique d'obtenir un master, ce qui ne l'effrayait pas : il avait toujours été bon élève.
Mais ce qui lui hérissa un peu l'épiderme, dès l'abord, fut que ses nouveaux condisciples étaient un peu rudes... voire vulgaires. Car Frédéric était un garçon raffiné, rien de moins. Certes, les séjours en internat lui avaient appris que la vie des autres, et la vie tout court, ne valait pas un thé entre vieilles marquises, m'enfin, là, ils étaient un peu rustiques !
Ou plus précisément... très portés sur le cul. Or si ce jeune homme avait pour habitude de se branler très régulièrement, mais seul, il n'était jamais tombé amoureux, mais ne désespérait pas de la vie, quant à ça...
À en entendre parler, le bizutage annoncé semblait devoir être un combat contre tous les monstres de l'univers, et même les dinosaures les moins connus... et les plus éteints !
Trois semaines plus tard, donc, grande soirée. Par exception, la direction acceptait que les bizutages se fissent par sexe, aussi n'y avait-il là que des garçons... et des quantités pharaoniques de zythum... pardon : de bière !
La nouvelle promotion de mecs se composait d'une douzaine de garçons à qui l'on ordonna de se déloquer tout de suite, évidemment. Sous les rires et les sifflets, aussi.
Sans être exhib, Frédéric n'était pas plus pudique que ça... et surtout, il n'avait point à rougir de son p'tit matériel, il s'en fallait de beaucoup.
On ne suivait pas trop la mode, céans, car aucun des autres mecs ne s'était rasé le corps, la touffe ni les aisselles...
Frédéric était châtain, et déjà finement velu sur la poitrine, et sous le nombril. Sans se vanter, et ayant jeté un bref coup d'œil aux autres, il jugea être le mieux monté de tous... à ce stade de la compétition.
Laquelle lui parut un peu folklorique, pour tout dire... Car le programme des réjouissances ne semblait pas être clairement établi... et les ordres contradictoires fusaient. M'enfin, la première chose à faire fut de sucer tous les mecs de la promo... Bien qu'ils s'y attendissent, certains firent grise mine au moment d'ouvrir la bouche... Frédéric, lui, avait déjà pompé par -ci, par-là, soit en d'autres bizutages, soit par suite de paris idiots, et perdus... Et il y alla franchement... notant dans sa tête qui avait une belle bite, et qui suçait bien... Renseignements qui peuvent toujours servir, en société !
Les épreuves suivantes furent plus nulles les unes que les autres mais firent rigoler grassement alentour... Du moins Frédéric put-il admirer quelques minets déjà connus en cours : le rouquin Anatole, le fin Corentin, deux mecs grands et maigres, et aussi un Noir de toute beauté, svelte mais musclé parfaitement, et monté...
Le but de l'opération étant d'humilier les nouveaux en les mettant à poil, mais aussi de se soûler la gueule, la fin de la soirée vit bien des choses étranges... à commencer par de fieffés hétéros montrant leur quéquette à tout le monde. Il s'organisa même, parmi les bizuteurs, un concours de longueur de bite, rien de moins !
Compte tenu de l'alcoolisation ambiante, ça bandait comme ça pouvait, évidemment... Mais ça rigolait, c'était le principal. Enfin, un grand et bel abruti — genre sportif pas futé, mais beau quand même — hurla :
— Dernière épreuve : la moitié des bizuts suce l'autre un quart d'heure, puis on change. Le premier qui fait jouir l'autre, montre en main, est déclaré Major de la promo des bizuts pour l'année.
— Et celui qui avale ? demanda le grand noir repéré par Frédéric, Céleste.
— Eh ben... ce sera le Roi de la promo des bizuts !
On hurla évidemment de tous côtés, à cette annonce, et l'on dut se trouver un sucé. Frédéric opta tout de suite pour Céleste, qui lui sourit, l'air pourtant étonné.
Le morceau d'iceluy n'était pas une vaine espérance... Non ! Une belle gaule droite, lisse et longue, et pas trop épaisse. Une beauté, selon les critères d'un Frédéric qui n'avait pourtant pas plus de références que ça. Mais qui pompa dès le top départ avec une avidité qui eut son effet : la tige que Frédéric avait un peu sucée en début de soirée retrouva immédiatement des couleurs — façon de parler de ce sombre sceptre-là... qui était de la carnation de son maître — dans la bouche du garçon.
En sorte que cinq minutes plus tard, Céleste se penchait pour lui souffler :
— J'vais jouir, là...
Frédéric redoubla d'ardeur, et Céleste gicla en beuglant comme un élan en mal d'amour, tandis que Frédéric avait soin de laisser couler de sa bouche un filet de foutre... sous les prises des photographes de l'instant, avant de tout avaler, ostensiblement.
Triomphe, évidemment. L'épreuve n'était pas terminée, cependant.
— T'embête, si je te suce pas... là ? demanda Céleste.
Frédéric haussa les épaules en signe d'assentiment, et se retourna pour voir le grand rouquin déjà repéré en classe comme un mec sympa : Anatole.
— Je peux ?
— Avec plaisir ! fit Frédéric, qui vit un peu plus loin le superbe Céleste s'agenouiller devant le brun et longiligne Corentin.
Ainsi, ses préférés de la soirée étaient réunis ! Comme on l'a dit, l'ivresse qui régnait céans ne favorisa pas les exploits sportifs, et Frédéric fut donc proclamé à la fois Major et Roi de la promo des bizuts... une nouveauté dans la maison !
Il avait été formellement interdit à ceux qui ne vivaient pas dans l'école — des chambres d'étudiants, pas un internat — de prendre la route pour rentrer chez eux, aussi chacun avait-il trouvé ici une piaule de fortune.
Céleste vivait ici, et il aborda Frédéric :
— Si je file ma chambre à deux autres, tu m'accepterais chez toi ?
— Évidemment !
Frédéric rentra et se doucha avant que reparût l'étincelant Céleste — il portait bien son nom, çui-là, tiens ! songea Frédéric quand il lui ouvrit, en boxer moulant, et torse nu.
Céleste était porteur — au-delà de moult espérances qui commençaient à poindre en l'esprit de Frédéric — d'une bouteille de planteur.
— J'ai fait attention de pas trop picoler, souffla-t-il en entrant
— Ouais, moi aussi...
— C'est pour ça que t'as gagné, alors !
On rigola, un peu gêné quand même. Céleste se mit aussi en slip, et comme il avait aussi apporté deux jolis petits verres de sa province, on trinqua gentiment. Céleste demanda aussitôt :
— Tu devines que j'ai quelques questions à te poser ?
— Oui. Et je peux même y répondre sans que tu les poses ! En fait, je sais pas... Je t'avais déjà repéré dans la classe, pour ton physique, évidemment ! Et parce que t'avais l'air sympa, c'est tout. Et là... ces connards de bizuteurs m'ont donné l'occasion d'oser te connaître, voilà.
— Est-ce que... t'es gay ?
— Oh, ça, je sais pas... Pas facile quand on est d'un milieu... conventionnel. Ça te choquerait ?
— Oh, ça devrait ! Car aux Antilles, on fait carrément l'impasse là-dessus... et tous les gays Antillais sont en métropole !
— Toi ?
— Ben... comme toi... pas encore sûr.
On retrinqua, et Céleste reprit, tout bas :
— Peut-être que leur putain de bizutage m'aura aidé à y voir plus clair...
— Et Corentin ?
— Ben... Miam !
On rigola, et Frédéric demanda alors :
— Qu'est-ce que tu veux de moi... pour te remercier de m'avoir fait sacrer Major et Roi de la promo ?
— J'peux tout te demander ? pouffa Céleste.
— Ah ben non ! Tout, tu l'as déjà.
— Frédéric ?
— Tu crois que j'aurais avalé ton p'tit jus si j'avais pas eu l'intention de recevoir de toi tout le reste... et de t'en donner autant ? Donc... tout, tu l'as déjà. Autre chose ?
— Tu m'apprendras à te suivre ? Car... tu vas vite, là !
— On commence quand tu veux.
— Là, dit gravement Céleste. Mais... Oh, Frédéric... j'aimerais tant...
— On n'est que tous les deux, là... Alors tu me dis ?...
— ...t'embrasser.
À sa propre surprise, Frédéric eut soudain de vives larmes aux yeux, et sur les joues. Vite léchées, ces larmes ! Avant qu'un sublime baiser unît ces jeunes beautés.
Car pas question de reculer, encore qu'il fût surpris ! Premier baiser avec un garçon... de part et d'autre. Qui dura... M'enfin, Céleste souffla :
— Je dormirais bien, moi, j'en peux plus !
On se déloqua … et ce fut en se regardant gravement dans les yeux qu'on se saisit la quéquette un instant.
— Demain est est un autre jour ! murmura Frédéric.
Un dernier baiser, et l'on se pieuta ensemble, dans le lit d'un mètre. Sauf qu'à ce stade, nul ne savait où le mènerait ces affaires-là... Mais on s'endormit d'un coup.
Il était légèrement vaseux, Frédéric, en s'éveillant vers dix heures... mais la vue près de lui du grand Céleste, sur le ventre, lui rafraîchit immédiatement la mémoire !
Quelles épaules et quel dos ! Et quel adorable petit cul carré, tout de douceur et de muscles... Bien sûr qu'il sut tout de suite ce qu'il convenait d'en faire... mais il ne l'osa évidemment pas !
Comme il s'était redressé pour jouir de cette incomparable vue, cela éveilla Céleste, qui eut un immense sourire, dès l'œil ouvert...
— Oh ! Tu me regardais, toi ! Et... tu ne t'es pas servi ? Tu n'avais pourtant qu'à tendre la main !...
— C'est à la langue, que je pensais... murmura Frédéric.
— Ouiiii ! Quel côté...
— Euh... l'arrière, souffla Frédéric, rougissant.
— C'est parti ! fit Céleste en se remettant le nez dans l'oreiller.
Pour le coup, il était au pied du mur, le jeune Frédéric ! Il se lança donc dans de timides caresses, avant de lécher légèrement les épaules, puis le dos, puis les fesses fascinantes de ce bel enfant. Qui eut alors un long soupir et murmura :
— Je t'aide, tu veux ?
Et de se prendre les fesses pour les écarter...
— Tu sais que tout ce que tu me feras, je te le ferai... et ça, j'ai bien envie !
Frédéric avala sa salive... et plongea le nez dans la douce vallée, qui était largement ombragée de fins poils noirs et frisés... et qu'il trouva doux !
Or donc il se lança, gardant en tête l'incroyable façon dont il avait pompé et avalé Céleste la veille !... Et Céleste ne tarda pas à gémir, et fort, encore. Enfin, il se retourna, attrapa la nuque de Frédéric pour lui rouler un vif patin. Et s'empara de lui avec fougue, où Frédéric se laissa faire avec ivresse...
Bon ! On ne fit pas tout ce matin, mais de solides jalons furent néanmoins posés. Jusqu'à ce que Céleste demandât :
— Et le rouquin, et le Corentin ? On en fait quoi ?
— Ah ! Mais qu'est-ce que tu veux qu'on en fasse ?
— Ça m'a l'air recyclable à 100 %, ces p'tits-là, non ?
— Oh ! Tu...
— T'as pas tout oublié, quand même ?
Céleste enlaça Frédéric et souffla :
— C'est le moment de s'amuser, je crois. Même si nous deux, on peut faire autre chose, aussi. T'en penses quoi ?
— Je pense que... t'as des idées derrière la tête, toi.
— Oui. Peut-être qu'ils sont gays. Alors...
— Et nous ?
— Peut-être aussi.
Frédéric fut d'accord sur tout... et l'on convint d'inviter d'urgence les autres loupiots, aux fins de les remercier de leur gracieuse urbanité lors du bizutage. Les deux autres acceptèrent, non sans se dire surpris.
Frédéric était épaté : Céleste n'en savait guère plus que lui en le domaine galant, mais il en avait, des idées ! Pour l'instant, on ne se quitta pas du samedi, même pour les courses afférentes à la réception du lendemain.
Et la soirée fut d'un tendre ! Où l'on se relécha de tous côtés... avant de se r'avaler de concert. Pas encore de déclarations, mais il vous eût paru que ça leur brûlait les lèvres, à ces mectons !
Dimanche midi, chez Céleste. On avait prévu des bulles et du pâté un peu fin... en gros, ce qu'il fallait pour pique-niquer entre étudiants. Un peu gênés de se retrouver là, les autres ne tardèrent cependant pas à se détendre.
Céleste évoqua tout de suite le bizutage. Les minets sourirent d'abord, gênés... mais les bulles leur délièrent la langue, et ils ne firent pas trop de manières pour se lâcher...
Où l'on apprit vite que la soirée leur avait bien plu... en leur permettant d'assouvir des fantasmes « de base », comme dit le rouquin Anatole.
On évoqua encore la dernière épreuve, et Céleste raconta sa nuit avec Frédéric, puis le reste. Et Frédéric se lança enfin :
— Anatole... J'aimerais te rendre ce que tu m'as fait...
— Et moi, Corentin, recommencer je que je t'ai fait...
— Oh ! firent ensemble les minets en se regardant, mais...
— Ben oui, si vous voulez... fit le rouquin en un adorable sourire... et en dégrafant sa ceinture, vite imité par Corentin.
La suite fut de toute beauté, sans oublier la tendresse : on s'était compris, et Céleste avait raison : ces deux-là étaients gays. Et au bout des mélanges... il s'avéra qu'on avait bien fait de les réunir, car ces deux débutants se trouvèrent de l'agrément mutuel.
Quand on eut bien débordé de tous côtés, on évoqua l'état d'avancement de la science... pour convenir, sur un proposition de Céleste, d'une séance d'initiation collective... au « remplissage des personnes ».
Qui eut lieu dès la semaine suivante, après qu'on eut fait la synthèse des méthodes trouvées sur Internet : une réussite.
L'année s'annonça bien, donc, et les romances aussi... Et le « Major et Roi » jouit d'un prestige qui lui valut bien des propositions, tiens... dont il fait profiter les copains.
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