23-08-2023, 02:07 AM
Deuxième maitre-nageur
Le Maître-Nageur
Il y eut ce jour-là une scène bien amusante, à la piscine de Saint-Trou-les-Boutanches, pimpante commune de Loire-et-Moselle, connue pour ses vignes, ses crus... et ses cuites !
Ce fut que deux des baigneurs, surpris sans doute par le minois du nouveau maître-nageur se rentrèrent l'un dans l'autre sous les yeux d'iceluy, qui éclata de rire.
Ah ! le beau garçon que c'était là ! Mais les deux mecs, qui ne se connaissaient pas, se confondirent en excuses, tandis que le mec, tout sourire, demandait :
— Pas de dégâts matériels ni humains ? J'appelle le carrossier, ou les pompiers ? Bon après-midi, Messieurs !
On le remercia gentiment et l'on s'en fut, ensemble :
— Il s'est offert notre cafetière, ou je me trompe ? demanda Corentin, le brun.
— Dans les grandes largeurs, oui ! répondit Stéphane, le blond.
— D'un autre côté... on n'était pas obligé de le mater !
— Si, justement ! C'est pour ça qu'il est responsable !
On se regarda... pour éclater de rire. On se présenta. Ces mecs passaient quelques semaines d'été chez leurs grands-parents respectifs, vivant aux deux extrémités de la petite ville. À vingt-trois ans, ils débutaient chacun dans des carrières voisines, liées aux nouvelles technologies... comme on dit quand on ne sait pas de quoi on cause.
Ils étaient seuls dans la vie, et la longue conversation qu'ils eurent dès ce moment les décida à se revoir : Saint-Trou n'est pas une métropole internationale !
On se baigna longuement... et les commentaires sur la gent féminine ici présente ne tardèrent pas à apparaître... D'où l'on conclut qu'on n'avait pas les mêmes goûts.
Sortant enfin de l'eau, les garçons décidèrent d'éviter le maître-nageur.
— Y m'énerve, çui-là ! fit Corentin. T'as remarqué qu'il souriait à toutes les nanas, et que toutes les nanas lui souriaient ?
— On peut pas lui enlever sa beauté...
— Non, mais elle m'énerve, sa beauté !
— Bon, du calme ! reprit Stéphane, une fois qu'elles auront compris que ce mec est pédé comme un phoque, elles te regarderont... et sauront ce que c'est, la vraie beauté !
— Oh ! T'es sérieux, là ? fit Corentin, surpris.
— Ben oui : tu sais que t'es super beau, quand même ?
— Oh, ça, je... Oh ! Mais pourquoi tu dis ça ?
— Je le pense, tout simplement.
— Mais... Mais... toi aussi, t'es beau !
— On verra à l'usage ! fit Stéphane en souriant largement.
Ces mecs décidèrent de rentrer... et en sortant, ils tombèrent sur le maître-nageur, qui demanda, sérieux :
— Bon après-midi ? J'aurai besoin de vos avis, Messieurs, si vous êtes des habitués... car c'est mon premier jour, aujourd'hui, et...
— Mais... oui, si vous voulez ! On a l'intention de venir tous les jours, pas forcément à la même heure et...
— ...et je voudrais vos critiques sur tout, ici. Vous m'aideriez grandement.
Les garçons se regardèrent en souriant :
— Avec plaisir, M'sieur !
— Je m'appelle Killian. Et vous ?
On se sépara avec le sourire. Et la piscine étant située à mi-chemin de leurs résidences respectives, ces jeunes gens décidèrent de faire une halte en un café du centre. Où l'on causa, beaucoup. La Jenlain aidant, on ne tarda pas à se conter intimement...
Ils avaient des aventures, ces garçons, mais point de vraie histoire, à ce jour. Et ils comptaient sur ces vacances pour prendre un peu de bon temps.
— En fait, déclara Corentin, il nous a autorisés à mater dans les coins, le Killian !
— Déjà que c'est ce qu'on avait prévu, alors !...
Rendez-vous fut pris pour dix heures le lendemain.
— Oh ! Déjà ? fit le beau Killian.
— On vient pas pour draguer, on est là pour inspecter !
Killian éclata de rire. Oh ! Quel rire ! Je n'ai pas dit que ce mec était une splendeur : châtain, grand, mince et musclé finement, délicatement velu de haut en bas, il disposait d'yeux bleu pâle et d'un sourire à faire tomber les cathédrales les plus récalcitrantes...
Bref, même ces Messieurs étaient sous le charme. On regarda un peu partout, histoire de faire le boulot, mais rien à signaler. Il faisait beau, et le peuple commençait à affluer... ces demoiselles aussi, donc. On se sépara, pour croiser en des eaux différentes.
Et les jolis minois de ces Messieurs firent leur effet, dans le grand bassin ! D'où vint qu'on se dégota chacun deux poupées locales qui n'avaient pas attendu le Réchauffement pour bouillir de partout !
Restait qu'on ne pouvait les amener chez les grands parents... Passa Killian, qui faisait son tour. Stéphane l'alla voir :
— On sait pas trop où aller, car aucune des meufs ne peut recevoir... Ou on va dans la campagne, ce qu'elles proposent.
— Y a chez moi, pas loin, mais... je veux pas qu'on sache que c'est chez moi. Je suis parvis Saint-Trou, un grand studio façon campagne... avec deux grands lits ! Si ça vous gêne pas de baiser de conserve, comme on dit dans la Royale...
— Euh... pas prévu, mais bon ! Nécessité fait loi. T'es un ange, Killian.
— Je sais... m'enfin, pas de partout !
On pouffa et les choses furent donc ainsi organisées. on oublia assez vite l'autre trio, dans cette mignonne séance... avant que les filles décidassent de changer de cavalier...
Enfin, la Sophie, apparemment la plus délurée de la bande, demanda :
— Vous vous feriez pas un p'tit câlin, les mecs ? On en fait autant, si vous voulez ! Mais ça nous chaufferait bien de vous voir tous les deux !
Les garçons se regardèrent, saisis.
— Vous... voulez quoi, là ? fit Stéphane, inquiet.
— Des bisous partout... des mignonnes caresses... des léchouilles aussi... et un peu de branlette, non ?
Coincés, les mecs ! Ils se regardèrent, un peu hagards, et Corentin se lança :
— Ben... ouais, pourquoi pas ? Tu suis, Stéphane ? Mais vous promettez d'en faire autant, les filles, hein ?
Tout le monde acquiesça, et voilà ces garçons qui se prirent d'abord par le cou pour y poser des bisous, puis se caressèrent doucement le torse avant de se prendre la quéquette... bien délicatement. Mais l'expérience ne leur fut pas tragique, non !
Or donc, tandis que ces dames se papouillaient de semblable façon, ils s'activèrent de plus en plus virilement... avant de constater que les filles se bouffaient gaillardement la chatte. Sans les regarder plus. Ils échangèrent un regard étonné... et reprirent leur mutuelle branlette.
M'enfin, une de ces brouteuses releva le museau et feula :
— Des bites, vite !
L'orgie reprit de plus belle, et elle alla jusqu'à des sommets rarement connus dans la commune. Puis les garçons jugèrent décent de contacter Killian pour le remercier, et celui-ci leur proposa de le rejoindre chez lui après dix heures du soir, où il terminait son service du jour : « Un p'tit réveillon : je bosse pas demain matin ! »
Les mectons avaient décidé que des bulles seraient présentement de bon aloi, et l'on s'en vint muni de tout ce qu'il fallait. [alexandrin]
Killian ouvrit nu, qui fit entrer les garçons :
— S'cusez ! Je rentre à l'instant, et je me douche ici.
Ce qu'il celait à la piscine était de première beauté, oui-da !
— Ouaouh ! Des bulles du pays ! Pas encore goûté : on y va ?
Trois petites flûtes dépareillées accueillirent la production locale et l'on trinqua joyeusement avant que Killian décidât de transporter tout le monde à la salle de bains, où il se doucherait. Sans pudibonderie aucune, le mec se savonna sous les regards amusés des deux autres. Qui se regardèrent en souriant quand le maître-nageur se nettoya longuement la bite... avant de demander :
— J'imagine que vous vous êtes un peu rincés, après votre réunion de famille ?
— On te doit un demi-savon, oui ! fit Corentin.
— Bon ! Vous m'en racontez un peu ?
On repassa au salon, alors que Killian ne s'était pas rhabillé. On picola derechef, et après un joli temps passé à conter certains aspects de l'orgie, ce garçon proposa :
— Vu la chaleur, vous pouvez bien vous doucher et rester à poil, les mecs, pas de souci : on est chez nous !
Et il se leva pour aller à la cuisine. Quand il revint, les deux autres étaient dans sa douche, où il vint leur donner des serviettes.
Puis on grignota sans autre commentaire. Mais Killian voulait des détails croustillants... et Corentin finit par croquer le morceau : il raconta ce que les filles avaient exigé...
— Ouaouh ! Sympa, ça ! Et votre avis, après coup ?
— Ben... fit Stéphane, inattendu, mais pas pire que ça !
— Ouais, pareil ! compléta Corentin. Qui eut une idée : et toi, ce genre de choses ?
— Sans grand effet : je suis gay, les mecs ! Alors autant vous dire que ce sont pas des meufs qui me le demanderont !
On se sourit, on se regarda de traviole, et l'on absorba une longue lampée de bulles...
— Est-ce que ça vous gêne, les mecs ? fit enfin Killian.
— Ça ne nous gêne pas que chacun soit lui-même, répondit Corentin, et encore moins un garçon qui nous a offert de quoi nous amuser, chez lui ! Nous, on n'espère qu'une chose : passer les meilleures vacances avec toi... et les fillettes d'ici !
— J'approuve ! s'écria Stéphane.
— Sauf qu'il y a plus de fillettes ici que de garçons à sucer !... soupira Killian.
— Ben... Oh !... On va regarder à la piscine si on t'en trouve pas un ou deux, tiens ! affirma Corentin.
— Et si vous n'en trouvez pas ?
— Ben... tu nous invites chez toi... on apporte les bulles et... on cause gentiment entre nous, murmura Stéphane.
Nouveau silence, qui dura un peu : on songeait, on songeait ! La conversation reprit enfin, sur un autre sujet, et quand les garçons s'en furent, Corentin demanda aussitôt :
— Tu lui as suggéré de nous sucer, ou je me trompe ?
— Ouais, apparemment... Je sais pas ce qui m'a pris... J'étais d'jà un peu bourré... Mais t'affole pas : si ça te chiffonne, j'assurerai tout seul !
— Ah oui ? Et moi alors ? Pas le droit de me faire sucer ?
On éclata de rire, et l'on commença à échafauder des stratégies... à vrai dire bien inutiles.
— Comment va la chose hétérote, dans l'pays ? attaqua Killian lorsque les garçons arrivèrent à la piscine le lendemain.
— Oh, ça se maintient !
— Encore du temps à me consacrer, les mecs ?
— Tout le temps que tu voudras ! affirma Stéphane.
Rendez-vous fut encore pris pour le soir même... et Corentin demanda à Stéphane :
— T'as vraiment envie de te faire sucer par un mec, toi !
— Oui... Dis-moi que pas toi !
Corentin sourit. Et l'on alla draguer derechef à droite et à gauche. Non sans succès, d'ailleurs. Or donc l'après-midi se passa encore chez Killian, puis on alla retrouver les grands-parents... avant de se pointer, un peu ému tout de même, chez un Killian à poil.
À son invite, on se déloqua, et Killian demanda aussitôt, en trinquant, des nouvelles de la sexualité locale... qu'on lui donna sans barguigner.
— Et moi qui n'ai pas la moindre petite quéquette à lécher ! se lamenta alors Killian, l'air comique.
— Exagère pas ! fit Stéphane. C'est quoi, ça ? ajouta-t-il en se tirant le prépuce.
— Oh ! Si je peux... Youpi !
Et l'éclatant Killian de venir s'agenouiller devant Stéphane et de l'emboucher vivement... quand Stéphane croisait le regard effaré de Corentin. Qui se prit cependant le vit, notez.
Or donc commença là une bien mignonne séance, où Killian suggéra aux garçons de se caresser comme ils l'avaient fait devant les filles. Mignon moment, certes, avant que Killian engageât ces Messieurs à le défoncer... Où l'on ne fit pas de manières... Empli des joyeuses humeurs des garçons, Killian demanda à jouir, et Stéphane le suça promptement.
— Ça t'a plu, tout ça ? demanda Corentin au retour.
— Ben ouais... Il est magnifique, ce mec, et pour une expérience, c'est vraiment le top, non ?
— Je comprends pas tout, là...
— Oh, Corentin... tu voudrais venir chez moi ? Mes vieux sont à l'opposé de ma chambre et... j'ai tout ce qu'y faut pour te faire parler ! J'veux dire : de la belge !
Corentin suivit donc. Qui se déloqua, comme Stéphane venait de le faire. On s'envoya donc la bière susdite, et Stéphane proposa à son nouvel ami de dormir céans.
— Tu sais, c'est pas horrible de sucer un mec, murmura Stéphane, alors qu'on venait d'éteindre. C'est doux, un mec.
— Tu veux dire que... t'aimes ça, toi ?
— Comme tu l'aimeras aussi quand t'auras essayé. Réfléchis doucement. Killian est une merveille, non ?
On finit par dormir. Au matin, on présentait au monde deux bien fières triques... et tandis que Corentin dormait encore, Stéphane s'avisa de le sucer, provoquant chez le bel endormi un immense soupir.
La suite fut douce. Lors d'une longue discussion avec Corentin, Stéphane comprit être gay. Corentin accepta de se laisser faire, quant à lui... et Stéphane passa bien du temps avec le rayonnant Killian... avant que Corentin en eût assez. Début août, il déclara un soir à Stéphane :
— Il a de la chance, Killian.
— Et pourquoi ?
— De t'avoir.
— Oh ! Mais t'en ferais quoi, de moi ?
— Pareil, peut-être... et mieux, si je peux.
— Oh, Corentin ! Tu voudrais ?
Tableau. La vie changea dès lors, et si ces jeunes gens ne perdirent pas de vue le superbe maître-nageur, ils envisagèrent la vie d'autre façon.
Et juste avant qu'on dût quitter le pays, il arriva là un genre de beauté qui eut l'heur de plaire à Killian... Tout finit bien.
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