02-08-2023, 05:52 PM
Second "viking"
Le Beau Viking
On était au Musée de la Marine... qui avait été choisi pour sa proximité avec le logement étudiant où la classe passerait trois jours, en guise de voyage de fin d'année : c'était la tradition de cette boîte chic.
— C'est une vision romantique, mais qui me semble assez réaliste d'un drakkar, dit le prof d'histoire, qui drivait cette jeune troupe.
— Pff ! Il sait même pas que les drakkars, ça n'existe pas ! entendit souffler derrière lui Kévin.
Qui se retourna sur Quentin, le premier de la classe, mais aussi un insupportable prétentieux.
— Tu dirais quoi, toi qui sais tout ?
— Ça s'appelle un knörr. Drakkar est une invention idiote du XIXème.
Une tête à claques, mais qu'il était beau, nom de dieu ! songea Kévin. Grand et fin mais musclé, blond cendré à l'œil bleu, il ressemblait d'assez près à un dieu scandinave. Et si Kévin ne l'avait regardé que de loin pendant l'année, ce n'était pas le cas de toutes les filles, dont il se disait que cette beauté faisait grande consommation...
— Et comment tu sais ça ?
— J'ai lu tout Régis Boyer, moi ! Sûrement pas lui !
— C'est qui, çui-là ?
— J'te dirai. [Régis Boyer, 1932-2017 : grand spécialiste de la chose scandinave]
Kévin laissa tomber, et une fois la visite terminée, on regagna les chambres, qui n'avaient pas encore été attribuées, car on était arrivé tôt le matin, en car. Et là, surprise ! Car ce fut avec Quentin que Kévin dut partager sa carrée...
— Bon ! J'espérais qu'on pourrait se caser avec une meuf, ronchonna Quentin, mais bof... j'ai toujours pensé que t'étais moins con que les autres, mon pote, alors banco !
Il avait débité ça dans un sourire... à tomber par terre. Disons ici que Kévin était un genre de puceau qui se demandait bien par où commencer... vu qu'il fantasmait un peu à droite et à gauche... mais fuyait soigneusement toutes les avances que lui offrait son joli minois.
— Bon, j'me douche ! déclara Quentin en se déloquant.
Kévin dut avaler sa salive, car s'il avait aperçu mainte fois Quentin sous la douche à la piscine, il l'avait là... en vrai !
— Eh ben ! Fais pas cette tête-là ! Tu viens ?
Kévin se désapa donc, et suivit Quentin à la petite douche italienne. Où il ne tarda pas à bander...
— Ouaouh ! Il est chaud, le Kévin ! C'est moi, ou t'as pas baisé depuis trois jours ? s'exclama Quentin.
— Si on te le demande...
— Oh, excuse-moi, je voulais pas te gêner ! Juste un mot : elle est super belle, ta queue et... Oui, super belle ! P'tain... j'vais avoir du mal à assurer, moi !
— Rassure-toi, je te demande rien !
— T'es gentil... et beau, Kévin. Content d'être avec toi dans la chambre, tiens !
On se sécha vite fait, car le temps était compté, et l'on enchaîna les visites de la grand ville. Mais maintenant, Quentin était toujours près de Kévin, même quand iceluy se rapprochait de ses potes...
Et il ne manquait pas de lui sourire, voire de lui toucher la main. Kévin se demanda ce qu'il avait dans le citron, ce mec-là. On ne lui savait pas de copinages, dans la classe, et apparemment, nul ne le connaissait vraiment. Et là... il paraissait que cette beauté locale — les nanas n'en pouvaient plus ! — s'intéressait à lui...
Où il se laissa faire, rendant à Quentin ses sourires, et restant toujours près de lui. Étrange sensation, que celle de croire plaire ! Il en était là, le timide Kévin.
Le dîner était prévu dans une brasserire « typiquement parisienne » et bien sûr, ces garçons y furent l'un contre l'autre... Où Kévin sentit plus d'une fois la main de Quentin se poser sur sa cuisse, tandis que ce garçon lui offrait un sublime sourire !
On réintégra la chambre... où Quentin sortit de son sac une bouteille de vodka.
— Hein ? Mais t'as trouvé ça où ? demanda Kévin.
— En douce, chez l'Arabe du coin, pendant que tout le monde écoutait le prof !
Kévin éclata de rire : trop, ce mec ! On picola donc gentiment... et comme Quentin avait ordonné la douche, autant vous dire que la quéquette à Kévin s'y montra sous son meilleur profil !
Quentin, lui, l'avait à demi dure, et il prit la main de Kévin pour se l'y apposer :
— Aide-moi, garçon, il faut comparer ! susurra-t-il.
Kévin branla donc doucement le bel objet... qui crût aussitôt de la belle manière ! Et Quentin constata que sa bite était moins longue que celle de Kévin... mais aussi belle. Kévin confirma le jugement.
— Content de t'avoir rencontré, mec ! J'ai toujours pensé que tu étais différent des autres... Et boum ! On se retrouve ensemble !
— Alors pourquoi on s'est jamais parlé ?
— Ben... tu sais... je pense beaucoup aux nanas...
— T'en as besoin ?
— Ouais, j'aime le cul... et toi ?
— Oh, moi... J'y connais rien, avoua Kévin sans réfléchir.
— Tu voudrais que... je te donne des conseils, des trucs ?...
— Ben... ouais, ce serait sympa.
On sirota encore un peu avant de dormir. Mais au mitan de la nuit, Kévin s'éveilla, et il ouit un bruit... caractérisque.
— Tu dors ? souffla Quentin.
— Non... Toi ?
— J'me branle. Allume ta lampe... Tu viens avec moi ?
Le cœur battant, Kévin alla rejoindre Quentin et se colla contre lui. Dans la faible lumière, le chibre de ce mec lui semblait... magnifique. Et l'on se palucha de concert un joli temps, avant de déborder de la belle manière.
Et l'on n'alla même pas se doucher avant de se rendormir.
— Ouaouh... souffla Quentin au matin. Première fois que je dors avec un garçon !
Et de saisir la roide quéquette d'un Kévin qui se crut obligé d'en faire autant, et dieux que ce lui fut agréable !
— P'tain ! Première fois que je paluche un mec, bébé ! souffla Quentin. Ouais, c'est bon, plus fort !... Oh, tu m'excites à mort, là ! Tu veux quoi, toi ?
— Pareil, oui... Plus fort !
— Oh, bébé ! T'es bon, t'es doux, t'es parfait, va, va !
Inutile de vous conter la suite : après qu'on eût explosé ensemble, Quentin se saisit vivement de Killian et murmura :
— P'tain ! Je délire, là ! T'es génial, mec !
Kévin sourit doucement, et Quentin continua :
— Mais toi ! Dis quèque chose !
— Ben... oui, c'est super, mais... on n'est pas des mecs, tous les deux ?
— Ah ! Ah ! J't'adore, toi ! Ah ! Ah ! Oui, des mecs... et alors ? Ah ! Ah ! Ah ! Quand il s'agit de jouir, on n'a pas besoin de sortir son pédigree, ah ! ah !
— T'es cool, toi !
— Y a le feu nulle part... sauf à ma bite, ah ! ah ! Oh, Kévin, je veux pas te choquer, là : mais... j'aime le cul, et s'y a pas de chatte... on est bien obligé de s'amuser tous seuls, non ? S'tu veux, je t'en cause plus du tout !
— Oh si, si... t'as raison, oui... fit un Kévin un peu dépassé... mais finalement intéressé par cette soudaine et bizarre relation avec l'incomparable Quentin.
Où ce garçon vint lui mettre un bisou dans le cou, et même plusieurs...
— Je trouvais ça un peu ringard, ce voyage de fin d'études, mais finalement... j'vais encore apprendre des choses !
Kévin regarda le garçon : Quentin était une beauté, rien d'autre à dire. Et il eut envie de lui faire confiance.
Visites et visites, tel était le programme du jour, évidemment. Et Kévin eut plaisir à y être toujours accompagné du beau Quentin... qui ne pouvait s'empêcher de ramener sa science, mais qui désormais faisait pouffer Kévin en douce. On sortait d'un musée quand Kévin entendit :
— Jamais sucé un mec, moi... Je commence ce soir.
— Hein ? sursauta Kévin, mais...
— Chut ! J'te mettrai un gant de toilette dans la bouche, pour pas que tu gueules trop fort, bébé, tellement que tu vas jouir comme un dément !
Il en resta coi, le supposé futur sucé ! Mais ne cessa d'y penser toute la fin de l'après-midi. Après le dîner, on avait quartier libre, avec couvre feu à onze heures. Mais Quentin driva vite fait Kévin vers leur chambre... et sortit une bourteille de gin de son sac.
— Faut que j'me donne un peu de forces avant de me faire ma première queue, bébé ! Tu sais que t'es vraiment le premier, hein, p'tit gars ? Me déçois pas !
Kévin se croyait sur une autre planète, mais la beauté et le naturel de Quentin le rassuraient. Ce mec disait des énormités — pour lui, en tout cas ! — avec la grâce innocente d'un enfant de chœur. Douche prise, on se posa nu l'un contre l'autre pour siroter.
— Je vais te sucer, bébé... Ça m'étonne moi-même... mais je vais le faire. Dès que j'ai vu qu'on était ensemble ici... je me suis dit que... il se passerait des choses. J't'adore, Kévin.
On avala encore quelques gorgées, et Quentin passa à l'action. Kévin l'avait déjà à demi dure, et il n'eut point d'effort à faire pour se la sentir roidir... Quentin n'y alla pas par quatre chemins, qui pompa comme un pro dès l'abord, faisant immédiatement gémir un Kévin vite propulsé vers des horizons intersidéraux ignorés de ses services !
Ayant oublié le gant de toilette, Quentin releva le museau :
— Ho ! Ça te plaît ?
— Putain, oui... C'est génial ! feula Kévin.
La séance fut chaude, et longue avant que, Kévin gémissant un peu trop fort, Quentin s'en inquiétât :
— C'est pas bien ?
— Si, si, mais... je vais jouir, là... On change !
Alors Kévin se mit en devoir d'organiser un soixante-neuf, sous le regard épaté de Quentin. Qui s'y remit avec ardeur !
Ce fut enfin lui qui prit en premier le petit jus blanc de Kévin sur le museau, et en rigola. Mais Kévin continuait à le pomper avec vivacité... et lorsqu'il déborda, il eut l'incroyable surprise de voir ce mec l'avaler en entier.
— Oh ! Oh ! Mais, Kévin... Bébé !
— Miam !
— Mais, Kévin ! Y pas une meuf qui te fait ça !
— Kévin est pas une meuf. Mais... maintenant que tu m'as fait un bébé, tu vas être obligé de m'épouser !
Quentin resta un temps sidéré, et bien incapable de parler.
— Pourquoi ? murmura-t-il enfin.
— Toi aussi, t'es mon premier garçon. Et peut-être que tu seras aussi le plus beau, et le plus gentil de ma vie, voilà.
Il ne s'attendait pas à ça, le fringant Quentin, ah non ! Il resta un temps hébété, et Kévin finit par souffler :
— Il nous reste deux nuits ici, et après t'as toutes les chattes du monde à ta disposition, Quentin !
— Non ! s'écria le garçon, non ! Pas toutes les chattes !
— Est-ce que... je t'ai choqué ?
— Mais non, non, Kévin, non ! Mais c'est si... si...
— Bon ! On picole, on dit des conneries et on rigole, et voilà... tu crois pas ?
Quentin opina et l'on fit ce qu'annoncé. Mais après qu'on eut éteint, vers onze heures et demie, Quentin murmura :
— Ça t'embête si je viens dormir avec toi ?
— Ça m'embêterait que tu viennes pas, surtout !
Couvre-feu ou pas, on eut du mal à s'endormir. Le moment fut doux, tendre et plein d'une émotion qui prenait ces garçons à la gorge. Il parut qu'en ces moments de silence et de caresses, on en disait des choses !
Ce fut Quentin qui éveilla Kévin en le suçant, et qui tint à en avaler la substantifique moelle, évidemment. Kévin, lui, désira se faire arroser le museau, les yeux en ceux du Beau Viking — ainsi l'avait-il surnommé entretemps.
Nouvelles visites, et des photos par centaines... et pas seulement des monuments historiques !
— Ce soir, on se prend aussi la queue ! souffla soudain Quentin après une énième séance de selfies sur fond de Tour Eiffel.
Kévin était sur un nuage : lui qui ne savait à quel sexe se vouer, il avait là plus qu'un début de réponse !
— Je commence à gamberger sur un truc, Bébé ! déclara Quentin avant de rentrer. Tu fais quoi, en juillet ?
— Rien de prévu.... La famille, sans doute...
— Mes vieux en font autant : et si je leur disais que je reste ? Tu pourrais venir chez moi, et hop ! Y sont pas chiants, et me font confiance... Alors ?
— Et si... je finis par t'ennuyer, au bout d'une semaine ?
— Vu comme c'est parti, ça m'étonnerait, Bébé ! Et puis... je crois qu'on sait pas encore tout... de c'qu'y faut savoir !
Réplique assortie d'un sourire à faire tomber les murailles ! Ça allait un peu loin tout ça, mais... comment résister à cette beauté, et à ce charme... surnaturels ?
Les temps restant au logis fut naturellement consacrés à des pipes sans fin, et des léchouilles qui se firent de plus en plus précises... Au matin du retour, Quentin osa mettre la langue entre les petites fesses de son nouveau pote... qui gémit délicieusement...
Dans le fond du car, on était assez tranquille pour avoir la main sur le paquet de l'autre pendant tout le voyage : deux heures d'excitation garantie ! Le projet de Quentin était bouclé : les parents des deux étaient d'accord, et l'on s'arrangerait pour la pension de Kévin... encore que Quentin eût soufflé :
— Je leur ai pas dit que tu paierais ta pension en nature !
Le magnifique appartement de Quentin parut être à Kévin une sorte d'Éden... Comme annoncé par Quentin, on alla jusqu'au fond des choses... si vous me suivez. En pas plus de deux jours !
— Quand je pensais que tu valais mieux que les autres, j'imaginais pas être autant en dessous de la réalité ! affirma Quentin, après qu'il se fut fait déflorer. Kévin... Je t'aime !
— Mais, Quentin, tu... Les nanas...
— Chut ! Dis pas de bêtises : depuis qu'on s'est rencontrés, on n'a pas eu un seul point de désaccord... Oh, Bébé ! Tu vois pas qu'on va dans la même direction, ensemble ? Moi, je veux essayer, et je vais réussir, avec toi !
— Oh, Quentin... bêla Kévin, mais... moi aussi, je t'aime !
Tableau final. Ces jeunes gens furent dans la même fac, puis dans la même vie, heureux.
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