22-07-2023, 12:51 AM
To texte est un bon départ. pour les rimes, je ne fais pas mieux. Pour le rythme, c'est à dire le nombre de syllabes, quelque corrections améliorent 'ensemble sans gros changement. Toutefois, une rime disparaît en ne se retrouvant plus en fin de ligne.
Une particularité de la Brabançonne est que les 2 moitiés de chaque version linguistique ne se chantent pas pareil. Au début, j'ai pensé que tu avais écrit tout avec l'air de la première moitié. Il fallait de toutes façon qu'il y ait un nombre pair de groupes de 4 phrases.
En
______________________________________
Je me souviens d’une époqu' pas si lointain',
Mon p'tit cul é-tait encore virginal,
J’ai souhaité que la soirée ne soit pas vain',
Dragouillé un fort et bel animal.
Dans les toi-lett's, sans trop de prépara-tion,
M’enfonça sa bite magistral',
Heureus'ment fine, jusqu’au coud' du côlon,
Bien trop vit', il envoya sa rafal'.
J’étais déçu, et j’ai poussé ma recherch',
Pour en conclur' qu' les fines ne m’allaient pas,
Que ma prostate voulait u-un plus gros derche,
Et me trouver un mec dans ce cas.
Un gros nou-nours, à la queue fort é-paisse,
A pris son temps pour occuper
Mon corps, puis pi-lonner, douc'ment mais sans cesse,
Mon rectum devenu très avide, alors.
Ma joui-ssance a précédé la sienne,
Répliques incluses, car il y mettait du cœur,
Il a fallu qu’il me baise pour que j’apprenne
Qu' l’épaisseur vaut bien mieux qu' la longueur.
C'est ainsi, qu'après avoir testé,
Des pines de deux dimensions,
J'en conclue qu'il n'y a pas à hésiter,
Les plus gross's sont fait's pour mon fion.
Une particularité de la Brabançonne est que les 2 moitiés de chaque version linguistique ne se chantent pas pareil. Au début, j'ai pensé que tu avais écrit tout avec l'air de la première moitié. Il fallait de toutes façon qu'il y ait un nombre pair de groupes de 4 phrases.
En
- mettant une apostrophe pour les e à ne pas prononcer
- mettant un - lorsqu'on doit faire une pose sur une syllabe
- rajoutant 4 phrases pour compléter la fin
______________________________________
Je me souviens d’une époqu' pas si lointain',
Mon p'tit cul é-tait encore virginal,
J’ai souhaité que la soirée ne soit pas vain',
Dragouillé un fort et bel animal.
Dans les toi-lett's, sans trop de prépara-tion,
M’enfonça sa bite magistral',
Heureus'ment fine, jusqu’au coud' du côlon,
Bien trop vit', il envoya sa rafal'.
J’étais déçu, et j’ai poussé ma recherch',
Pour en conclur' qu' les fines ne m’allaient pas,
Que ma prostate voulait u-un plus gros derche,
Et me trouver un mec dans ce cas.
Un gros nou-nours, à la queue fort é-paisse,
A pris son temps pour occuper
Mon corps, puis pi-lonner, douc'ment mais sans cesse,
Mon rectum devenu très avide, alors.
Ma joui-ssance a précédé la sienne,
Répliques incluses, car il y mettait du cœur,
Il a fallu qu’il me baise pour que j’apprenne
Qu' l’épaisseur vaut bien mieux qu' la longueur.
C'est ainsi, qu'après avoir testé,
Des pines de deux dimensions,
J'en conclue qu'il n'y a pas à hésiter,
Les plus gross's sont fait's pour mon fion.