Rapide résumé des épisodes précédents :
Les deux cousins Daniel et Frédéric, Dominique (l’amie trans de Daniel), Koen (l’ami de Frédéric), Urbain le chauffeur et Séverin le photographe, l’ami d’icelui, sont arrivés à New York pour le premier jour de leur voyage en Amérique. Ils logent dans une auberge YMCA où ils ont fait la connaissance d’Alexis et de Robert, deux cheminots québécois qui logent dans la même chambre. Par un heureux hasard, ils sont aussi gays donc faits pour s’entendre.
Dominique, Daniel et Frédéric sont allés visiter le MoMA, le musée d’art moderne.
Urbain et les deux Québécois sont allés dans des bains, lieu de rencontre pour homosexuels.
Koen et Séverin sont allés à la piscine de l’hôtel, piscine naturiste où ils ont fait la connaissance de deux jeunes new-yorkais, Gary et Dennis, qui avaient très envie de comparer leurs bites en érection, ce qui n’était cependant pas autorisé dans un lieu public. Koen leur a alors proposé l’hospitalité, faisant sa B.A. d’ancien scout.
Je rappelle également que ce récit est basé presque uniquement sur le sexe de groupe, donc pas dans l’intimité d’un couple, même pas pour des novices comme Gary et Dennis.
J’ai fait quelques modifications dans l’épisode précédent après la publication initiale, ce qui explique que le commentaire ne correspond plus exactement à ce que j’ai écrit. Je vous propose de le relire. Au moment où je reprends le récit, tout le monde est encore habillé.
Chapitre 3 - La Grosse Pomme (6)
Vendredi 16 juillet 1965, New York, NY
Afin de ne pas déranger Gary et Dennis, Koen s’était couché sur son lit afin de relire ses notes concernant les bites états-uniennes, Severin avait fait de même pour documenter le film qu’il avait exposé à la piscine. Les deux Européens regardaient discrètement du côté de la fenêtre où se tenaient les jeunes Américains, à contre-jour.
Gary n’avait pas la peau très foncée, il avait des cheveux noirs et crépus. Dennis était blond, ses cheveux longs reposaient sur ses épaules, il avait la peau claire. Ils étaient les deux maigres, n’ayant pas été séduits par le clown Ronald. Ils enlevèrent leurs tee-shirts, leurs chaussures et leurs jeans, ils avaient mis des slips blancs, de taille haute, ce n’était pas encore la mode des mini slips.
Koen délaissa ses notes et observa les bosses sur le devant des sous-vêtements, il était impatient de voir leurs bites mais les deux Américains n’étaient pas pressés, Gary tira l’élastique du slip de son ami et en examina le contenu.
— Comme l’infirmière à la visite médicale au début du camp, dit-il.
— Tu as bandé devant elle ?
— Bander devant une femme, ça m’étonnerait. Et toi ?
Dennis regarda à son tour l’intérieur du slip de Gary.
— Qui a la plus grosse ? demanda Koen.
— Difficile de dire, répondit Gary.
— Je pourrais vous aider à comparer, j’ai une réglette, mais c’est seulement si vous le désirez, je ne voudrais pas vous déranger.
— Tu nous as déjà dérangés, fit Dennis, ce n’est pas grave, un expert impartial évitera tout litige ultérieur.
— Dennis veut devenir avocat, dit Gary, il gagnera très bien sa vie, mieux que moi avec mes gribouillages.
— Qu’en sais-tu ? Tu pourrais devenir célèbre.
Ils baissèrent leurs slips, leurs pénis circoncis pointèrent vers le haut, celui de Gary un peu plus. Koen les mesura avec sa réglette.
— Gary 15,6 cm, Dennis 15,8. Cela fait mentir la légende qui dit que les Noirs ont une plus longue.
— Je suis métis, expliqua Gary, ma mère d’origine haïtienne et mon père d’origine portoricaine. La mienne est plus épaisse. Ça fait combien en pouces ?
— 6,141132 et 6,220472.
— Bon, ça fait tous les deux 6, on est à égalité. Elles vont encore grandir ?
— Je ne sais pas, dit Koen, la mienne a cessé de grandir à votre âge. Je vous laisse.
Ils restèrent debout, l’un en face de l’autre, Gary demanda quelque chose à Dennis qui acquiesça et dit à Séverin :
— On a changé d’idée, c’est OK pour les photos avec le Polaroïd, cela nous fera un souvenir.
— Oui, mais vous enlevez d’abord vos slips sur vos genoux et surtout vos chaussettes, ce n’est pas très photogénique.
Séverin prit deux photos en pied, puis deux photos de chaque membre dressé en gros plan. Koen regarda l’image qui apparaissait lentement, songeant qu’on pourrait trouver quelque chose de plus rapide et plus pratique.
Les deux Européens se recouchèrent sur leurs lits, laissant les jeunes gens se masturber, toujours debout. Koen sentait son propre membre qui prenait ses aises et mit sa main dans sa culotte de survêtement. Gary le vit et l’interrompit :
— Attends que nous ayons fini, on aimerait aussi te mater. En attendant, donne-nous une boîte de kleenex, on va bientôt jouir.
Gary et Dennis s’étaient caressés de manière assez rapide et ne prirent pas le temps de faire durer leur plaisir, ils éjaculèrent presque en même temps, projetant leur sperme sur l’entrejambe de l’autre. Ils effacèrent consciencieusement les traces de leur acte avec des mouchoirs, puis ils regardèrent les photos :
— On est beaux, dit Dennis, le spectacle vous a plu ?
— Oui, dit Séverin, mais vous étiez trop pressées. La prochaine fois, il vous faudra prendre plus de temps, échanger des caresses, des mots doux, toucher le sexe de l’autre.
— Vous nous faites une démonstration ?
— Avec plaisir.
Séverin s’assit sur le lit à côté de Koen et lui baissa sa culotte en disant en français :
— Ils ne sont pas si innocents que ça ces deux avec leur air candide, ils voulaient aussi profiter de la situation. Je me demande s’ils se sont vraiment branlés ensemble pour la première fois ou si ce n’était qu’un prétexte pour venir dans notre chambre.
— Bah, à leur âge la curiosité est normale. Et ils n’ont surement jamais côtoyé d’autres gays.
— À leur âge… Tu es à peine plus vieux.
— Ouais, mais moi j’ai déjà une certaine expérience.
— Alors ne jouis pas tout de suite comme eux.
Le photographe avait maintenant entièrement dégagé du slip le sexe dressé de Koen et le caressait doucement. Gary se rapprocha et dit en riant :
— Je sais aussi le français, il faudra choisir une autre langue pour vos commentaires secrets. Tu nous montres comment on suce une bite ?
— Moi ? fit Séverin, étonné. Sucer Koen, je n’oserais jamais, tu ne veux pas essayer toi-même ?
— Ce n’est pas l’envie qui me manque, mais j’ai juré à Dennis de lui rester fidèle.
— Je te permets, fit l’intéressé, ce n’est pas de l’amour, juste un cours d’éducation sexuelle. Fais attention à ne pas le mordre.
— Il n’est pas dommage, dit le photographe, il criera si tu lui fais mal.
Gary prit prudemment le gland luisant de Koen dans sa bouche. À ce moment-là, la porte de la chambre s’ouvrit.
Les deux cousins Daniel et Frédéric, Dominique (l’amie trans de Daniel), Koen (l’ami de Frédéric), Urbain le chauffeur et Séverin le photographe, l’ami d’icelui, sont arrivés à New York pour le premier jour de leur voyage en Amérique. Ils logent dans une auberge YMCA où ils ont fait la connaissance d’Alexis et de Robert, deux cheminots québécois qui logent dans la même chambre. Par un heureux hasard, ils sont aussi gays donc faits pour s’entendre.
Dominique, Daniel et Frédéric sont allés visiter le MoMA, le musée d’art moderne.
Urbain et les deux Québécois sont allés dans des bains, lieu de rencontre pour homosexuels.
Koen et Séverin sont allés à la piscine de l’hôtel, piscine naturiste où ils ont fait la connaissance de deux jeunes new-yorkais, Gary et Dennis, qui avaient très envie de comparer leurs bites en érection, ce qui n’était cependant pas autorisé dans un lieu public. Koen leur a alors proposé l’hospitalité, faisant sa B.A. d’ancien scout.
Je rappelle également que ce récit est basé presque uniquement sur le sexe de groupe, donc pas dans l’intimité d’un couple, même pas pour des novices comme Gary et Dennis.
J’ai fait quelques modifications dans l’épisode précédent après la publication initiale, ce qui explique que le commentaire ne correspond plus exactement à ce que j’ai écrit. Je vous propose de le relire. Au moment où je reprends le récit, tout le monde est encore habillé.
Chapitre 3 - La Grosse Pomme (6)
Vendredi 16 juillet 1965, New York, NY
Afin de ne pas déranger Gary et Dennis, Koen s’était couché sur son lit afin de relire ses notes concernant les bites états-uniennes, Severin avait fait de même pour documenter le film qu’il avait exposé à la piscine. Les deux Européens regardaient discrètement du côté de la fenêtre où se tenaient les jeunes Américains, à contre-jour.
Gary n’avait pas la peau très foncée, il avait des cheveux noirs et crépus. Dennis était blond, ses cheveux longs reposaient sur ses épaules, il avait la peau claire. Ils étaient les deux maigres, n’ayant pas été séduits par le clown Ronald. Ils enlevèrent leurs tee-shirts, leurs chaussures et leurs jeans, ils avaient mis des slips blancs, de taille haute, ce n’était pas encore la mode des mini slips.
Koen délaissa ses notes et observa les bosses sur le devant des sous-vêtements, il était impatient de voir leurs bites mais les deux Américains n’étaient pas pressés, Gary tira l’élastique du slip de son ami et en examina le contenu.
— Comme l’infirmière à la visite médicale au début du camp, dit-il.
— Tu as bandé devant elle ?
— Bander devant une femme, ça m’étonnerait. Et toi ?
Dennis regarda à son tour l’intérieur du slip de Gary.
— Qui a la plus grosse ? demanda Koen.
— Difficile de dire, répondit Gary.
— Je pourrais vous aider à comparer, j’ai une réglette, mais c’est seulement si vous le désirez, je ne voudrais pas vous déranger.
— Tu nous as déjà dérangés, fit Dennis, ce n’est pas grave, un expert impartial évitera tout litige ultérieur.
— Dennis veut devenir avocat, dit Gary, il gagnera très bien sa vie, mieux que moi avec mes gribouillages.
— Qu’en sais-tu ? Tu pourrais devenir célèbre.
Ils baissèrent leurs slips, leurs pénis circoncis pointèrent vers le haut, celui de Gary un peu plus. Koen les mesura avec sa réglette.
— Gary 15,6 cm, Dennis 15,8. Cela fait mentir la légende qui dit que les Noirs ont une plus longue.
— Je suis métis, expliqua Gary, ma mère d’origine haïtienne et mon père d’origine portoricaine. La mienne est plus épaisse. Ça fait combien en pouces ?
— 6,141132 et 6,220472.
— Bon, ça fait tous les deux 6, on est à égalité. Elles vont encore grandir ?
— Je ne sais pas, dit Koen, la mienne a cessé de grandir à votre âge. Je vous laisse.
Ils restèrent debout, l’un en face de l’autre, Gary demanda quelque chose à Dennis qui acquiesça et dit à Séverin :
— On a changé d’idée, c’est OK pour les photos avec le Polaroïd, cela nous fera un souvenir.
— Oui, mais vous enlevez d’abord vos slips sur vos genoux et surtout vos chaussettes, ce n’est pas très photogénique.
Séverin prit deux photos en pied, puis deux photos de chaque membre dressé en gros plan. Koen regarda l’image qui apparaissait lentement, songeant qu’on pourrait trouver quelque chose de plus rapide et plus pratique.
Les deux Européens se recouchèrent sur leurs lits, laissant les jeunes gens se masturber, toujours debout. Koen sentait son propre membre qui prenait ses aises et mit sa main dans sa culotte de survêtement. Gary le vit et l’interrompit :
— Attends que nous ayons fini, on aimerait aussi te mater. En attendant, donne-nous une boîte de kleenex, on va bientôt jouir.
Gary et Dennis s’étaient caressés de manière assez rapide et ne prirent pas le temps de faire durer leur plaisir, ils éjaculèrent presque en même temps, projetant leur sperme sur l’entrejambe de l’autre. Ils effacèrent consciencieusement les traces de leur acte avec des mouchoirs, puis ils regardèrent les photos :
— On est beaux, dit Dennis, le spectacle vous a plu ?
— Oui, dit Séverin, mais vous étiez trop pressées. La prochaine fois, il vous faudra prendre plus de temps, échanger des caresses, des mots doux, toucher le sexe de l’autre.
— Vous nous faites une démonstration ?
— Avec plaisir.
Séverin s’assit sur le lit à côté de Koen et lui baissa sa culotte en disant en français :
— Ils ne sont pas si innocents que ça ces deux avec leur air candide, ils voulaient aussi profiter de la situation. Je me demande s’ils se sont vraiment branlés ensemble pour la première fois ou si ce n’était qu’un prétexte pour venir dans notre chambre.
— Bah, à leur âge la curiosité est normale. Et ils n’ont surement jamais côtoyé d’autres gays.
— À leur âge… Tu es à peine plus vieux.
— Ouais, mais moi j’ai déjà une certaine expérience.
— Alors ne jouis pas tout de suite comme eux.
Le photographe avait maintenant entièrement dégagé du slip le sexe dressé de Koen et le caressait doucement. Gary se rapprocha et dit en riant :
— Je sais aussi le français, il faudra choisir une autre langue pour vos commentaires secrets. Tu nous montres comment on suce une bite ?
— Moi ? fit Séverin, étonné. Sucer Koen, je n’oserais jamais, tu ne veux pas essayer toi-même ?
— Ce n’est pas l’envie qui me manque, mais j’ai juré à Dennis de lui rester fidèle.
— Je te permets, fit l’intéressé, ce n’est pas de l’amour, juste un cours d’éducation sexuelle. Fais attention à ne pas le mordre.
— Il n’est pas dommage, dit le photographe, il criera si tu lui fais mal.
Gary prit prudemment le gland luisant de Koen dans sa bouche. À ce moment-là, la porte de la chambre s’ouvrit.
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