13-06-2023, 11:37 PM
Troisième "feu de camp"
Des feux de joies !
C'est sur un spectacle bien inattendu que tomba Christophe, alors qu'à la fin du jour il rentrait au camping !
Il avait prétexté un besoin d'air et son désir de faire des photos de nature, et si possible d'animaux, pour échapper à la garde vigilante de Marie-Paulette, sa copine depuis un an.
Il avait zoné dans l'arrière-pays toute la journée, et commençait à en avoir plein les pattes, vraiment ! Il avait pris de jolies plantes, et quelques oiseaux aussi, mais rien de bien convaincant. Et là... Là, il tenait son sujet !
Car sous ses yeux ébahis, il avait là une fameuse scène de genre : un couple en plein soixante-neuf, sous les yeux d'un mec nu qui se paluchait en les regardant, aux lueurs changeantes d'un feu de camp.
Il eut un petit regain d'énergie, et mitrailla à tout va... avant de voir les amants se séparer... et de constater que c'étaient deux mecs ! Un peu interloqué, il ne décarra cependant pas, et continua de photographier, et même de filmer... d'autant que ces Messieurs en étaient maintenant à se bouffer le p'tit trou.
Jusqu'à ce qu'un bruit derrière lui le fît sursauter, provoquant un autre bruit dans la végétation de l'endroit. En l'espace de quelques secondes, il se retrouva alpagué par des bras puissants... ceux du branleur.
— Ho, les mecs ! On a un spectateur, là !
Promptement amené près du feu de camp, il se retrouva entouré par trois mecs de son âge... et en érection.
— Bon ! Tu nous dis tout ! Moi, c'est Rodolphe, lui, Bertrand, et celui qui t'a repéré, Gwenaël. Toi ?
— Euh... Christophe.
— Mignon, ça ! Donc t'es voyeur.
— Non !
— Mais si, voyons ! Mais écoute : tu tombes bien, car c'est l'anniversaire de Gwenaël, et on savait pas quoi lui offrir ! dit le brun en relevant le p'tit haut de Christophe. Oh ! Mais c'est que c'est très gentil, tout ça !
Christophe était effectivement bien dessiné, et naturellement musclé, sans excès. Et très délicatement velu.
— Gwenaël va être content, y a de la fourrure dans l'pays ! déclara lors Bertrand. Voyons le reste !
— Nooon !
— Ne nous dis pas que t'es hétéro, quand même ?
— Mais si, si ! gémit Christophe, affolé.
— Eh ben ! Ça te passera avant que ça nous reprenne ! Attention, le clou de la soirée !
Et le mec de baisser les chausses d'un Christophe terrorisé.
— Bingo ! La touffe idéale pour notre Gwenn préféré ! C'est joli, ça, non ?
De fait, Christophe disposait d'une fort jolie touffe châtain, fournie au centre, et largement étalée sur ses aines, avant de rejoindre la fine poilure de ses cuisses.
Gwenaël sourit et approcha timidement la main :
— Je peux ?
— Oooh !... susurra un Christophe bien incapable de dire autre chose.
S'ensuivit alors une séquence proprement incroyable pour ce garçon bien élevé dans les meilleurs principes, et qui ne connaissait aucun gay... Juré !
Gwenaël lui caressa la bite et les couilles, et l'entrejambe aussi avec douceur, tandis que les autres s'étaient mis en retrait... et mitraillaient la scène avec leurs portables, aux éclats facétieux du feu, le tout alors que la nuit s'apprêtait à tomber.
Enfin, Gwenaël se leva et enlaça délicatement Christophe, qui eut alors un long et perceptible frisson. Gwenaël lui souffla à l'oreille :
— Pas peur, gentil garçon... Je veux pas te manger ! T'es beau comme un cœur, tu sais ?
— Oh, moi...? susurra un Christophe que se sentait commencer à bander, sous la douce main de son violeur — car il en était encore à cette vision des choses, à ce moment de l'histoire.
— Je vais te faire plaisir, grand garçon, fit Gwenaël. T'aimes un peu ça, quand même ?
— Ben... oui, évidemment.
— T'as une copine ?
— Oui.
— Mais ce soir, c'est moi qui te ferai jouir... Tu veux ?
— Je sais pas...
— Ferme les yeux, et n'aie pas peur. : t'es si beau Christophe ! Tu penses bien que je vais pas te faire de mal !
Christophe soupira profondément. Puis il frissonna longuement quand il sentit la bouche de Gwenaël se refermer sur son gland. Et ce garçon y alla de la plus gracieuse façon... et si efficace !
L'instant dura... jusqu'à ce que, rouvrant les yeux, il vît que les deux autres avaient installé une sorte de matelas de plage non loin du feu, où Gwenaël le pria de le suivre. On s'y étendit et Gwenaël souffla :
— T'as d'jà sucé un mec ?
— Oh non, non !
— Fais ce que tu veux, alors. Touche, lèche, suce, ou fais rien du tout : t'es chez toi... avec moi !
Et le mec de se mettre en position de pomper Christophe, à quatre pattes au-dessus de lui... et donc lui présentant sa bite à portée de bouche. En fit-il exprès ? Toujours est-il que son long prépuce vint caresser le nez d'un Christophe qui bandait au mieux, dans la bouche de son tourmenteur.
Et Christophe osa toucher, du bout des doigts, le long et doux prépuce qui était si près de ses yeux, et de sa bouche ! Il n'alla pas plus loin mais... il vit avec surprise cet élégant objet prendre de remarquables dimensions.
Bien sûr, il ne sut qu'en faire... s'il devinait ce qu'on attendait de lui. M'enfin, il était hétéro ! Un petit moment plus tard, Gwenaël ayant un peu baissé le bassin, il eut le long et roide vit du garçon posé entièrement sur le visage... Il soupira, mais la chaude douceur de l'objet de lui donna pas envie de hurler...
Et puis, Gwenaël se mit à se frotter doucement sur lui... et c'est sans le vouloir qu'il sortit une petite langue timide... Alors Gwenaël accentua la pression, non sans continuer de pomper de la plus exquise manière.
Ô le curieux moment, pour un Christophe qui débutait totalement ! Il n'était pas bégueule avec ces demoiselles, mais il put constater à ce moment qu'elles étaient nettement plus réservées que ce jeune homme qui, soudain, lui releva les cuisses pour aller mettre le nez dans sa noire vallée — il avait de jolis poils autour du petit trou, ce garçon.
Et ça, bien sûr, n'était pas une spécialité de la Marie-Paulette ! Il beugla comme un lamantin amoureux, puis gémit d'un contentement encore ignoré de lui !
Cependant, il avait commencé à lécher la rude hampe de Gwenaël... même lorsqu'il eut les parties sacrées d'iceluy sur les yeux ! Petit à petit, les façons de Gwenaël lui faisaient monter la température, et il finit par crier :
— Non, non !
Gwenaël stoppa aussitôt :
— Tu veux pas jouir ?
— Si, si ! Mais...
— ...pas tout de suite ! Oh, mon bébé, tu vas voir que ce sera la plus belle nuit de ta vie !
Gwenaël vint alors s'allonger contre Christophe, et l'enlaça doucement.
— Tu vas me niquer, tu veux ?
— Oooh...
— Fais-le, s'te plaît ! C'est mon anniversaire !...
Christophe dut sourire. Il accepta alors les bisous dans le cou, et bientôt ailleurs, d'un Gwenaël tendre comme tout... et qui n'oubliait pas d'entretenir sa belle érection du bout des doigts !
Or donc la douceur de Gwenaël conjuguée à sa propre excitation fit que le joli vit de Christophe se retrouva ès chaudes profondeurs de Gwenaël... et qu'il ne s'en plaignit pas.
Il avait dès longtemps oublié les deux autres qui pourtant n'arrêtaient pas de photographier et de filmer... et il se lâcha. Il y avait longtemps qu'on lui avait octroyé un tel échauffement, si tant est qu'il en eût le souvenir ; en tout cas, ça ne datait pas de la Marie-Paulette ! Et il était en nage quand il déborda dans Gwenaël, en beuglant.
Avachi sur le garçon, il haletait quand Bertrand ordonna :
— Maintenant, tu fais jouir notre copain, hein, mon p'tit gars ? T'oublies pas que c'est son anniversaire, quand même ?
Où Gwenaël vint s'asseoir sur le ventre de Christophe, prié de le branler, et de lui caresser les parties sacrées. Il ne le fit pas plus mal que ça, d'ailleurs, cet hétéro-là. Et sous les indications de Gwenaël, il le fit gicler de la belle manière... au point qu'il reçut sur la bouche une part du petit jus blanc... vite léché par un Gwenaël qui en profita pour y insérer la langue. Dépassé, Christophe se laissa faire... et se mit même à ronronner, ce faisant.
Donc, ce premier baiser dura. Quand enfin Gwenaël releva le museau, les yeux en ceux de Christophe, il murmura :
— T'es beau, Christophe, merci... Mon plus bel anniversaire, tu sais ?
— Tiens, Christophe, puisque Gwenaël n'ose pas t'en causer, fit Rodolphe, tu voudrais pas l'épouser ? Gentil garçon, doué en tout, bon métier, excellente éducation... et très bonne famille ! C'est l'affaire de ta vie, mon gars ! Et t'as vu comme il est beau, et fait pour l'amour ?
— Il a raison, compléta Bertrand, Gwenaël, c'est la perle du Grand ouest élargi !
— Les écoute pas, ils sont fous ! murmura Gwenaël à l'oreille de Christophe. Moi je te dis simplement merci ; t'es... adorable. Mais si tu veux pas de moi...
Christophe ferma les yeux, mais ne refusa pas un nouveau et bavouilleux patin de Gwenaël... Il poussa enfin un immense soupir, et finit par souffler :
— Pas possible, les mecs !
— Pas possible d'aimer un Gwenaël comme ça ? s'insurgea Rodolphe, tu vas pas nous dire que ta Mémène lui arrive à la cheville, quand même ?
— Oh, ma...
Christophe soupira derechef. Sa « Mémène », oui, il fallait y songer, à celle-là... Si elle l'avait vu bourrer avec ardeur le p'tit cul serré de Gwenaël... et se laisser embrasser par ce garçon avec fureur !
— Tu dors avec nous ? demanda Rodolphe.
— Non... On m'attend au camping.
— Bon ! fit Bertrand, tu diras à Mémène que t'as mal à la tête, hein ? Et demain tu reviens voir Gwenaël, tu sais ?
— Oooh...
— Est-ce que... je pourrais te raccompagner ? murmura alors Gwenaël.
Gracieux et enjoué, Gwenaël ne perdit pas de temps et se conta vite fait... ce qui amena Christophe à en faire autant. Le trajet dura un bon quart d'heure... d'autant qu'on ne marchait pas vite... et que Gwenaël avait pris la main de Christophe. Gwenaël retint soudain Christophe et l'on s'embrassa avec fougue, un long moment, puis on s'approcha du camping à pas lent... Derechef, on s'embrassa, et longuement, encore...
Oh ! Christophe commençait à y prendre goût, à ces baisers-là ! Sauf qu'il avait prévenu Marie-Paulette de son prochain retour, et qu'elle était venue à sa rencontre... et le surprit donc en pleine embrassade.
Ayant poussé un grand cri, elle se jeta sur Christophe et lui envoya une baffe magistrale. Suivie d'une autre, qu'elle reçut de Gwenaël, qui vociféra :
— Dégage, sorcière ! Fous le camp, sale boudin ! Tu le touches plus jamais, hein, sinon ta mère te reconnaîtra pas !
Saisie, la meuf battit en retraite et, serrant Christophe doucement en ses bras, Gwenaël lui susurra :
— Allez, va voir ta Mémène, et fais-toi pardonner en lui léchant gentiment la moule !
— Non. Je dors par terre n'importe où, mais non ! Pas avec elle.
— Alors je te laisse pas tout seul au milieu des bêtes sauvages !
— Ooooh...
— On a de la place, dans la tente, et si tu veux... Laisse-la réfléchir une nuit.
— Ooooh... toute la vie, je crois.
— Christophe ?
— Enfin... si je peux réfléchir une nuit, moi...
— Viens.
On eut du mal à retourner au camp, malgré la pleine lune... car on s'arrêtait tout le temps pour s'embrasser.
Auprès du feu de camp, qui n'avait pas trop été alimenté, on trouva Rodolphe en train de baiser vivement Bertrand, qui gémissait gentiment... non sans encourager son fouteur.
Gwenaël déshabilla Christophe, et l'on s'étendit pour regarder les autres, qui ne les avaient pas vu revenir, et s'en donnaient à cœur joie.
Après les efforts précédents, les garçons s'en tinrent à une infinie tendresse, à laquelle Christophe se livra sans arrière-pensée. On causa aussi, à voix basse, non sans sourire aux gémissements des deux autres...
Et puis on s'embrassa, sans retenue. Christophe adora ça, vraiment. Il eut quelques velléités de pensées... mais toutes le ramenaient à ce gentil mec dont l'infinie douceur l'accaparait complètement...
Les autres rigolèrent quand, ayant pris leur pied, ils les découvrirent enlacés là. On fit alors la dînette, et Christophe se sentit chez lui... chez ces inconnus.
Il fut décidé qu'on irait au camping le lendemain matin, à quatre. Pour y apprendre que Marie-Paulette avait quitté les lieux dès potron-jacquet : on en sourit, et la tente étant assez grande, Christophe proposa aux garçons de s'y installer pour les trois semaines restantes.
Ainsi se terminèrent les vacances de ces jeunes gens... Il y eut ensuite quelques cris, par téléphone interposé, mais Christophe tint bon.
Et puis... il arriva qu'un soir de fête — le 14-Juilet, peut-être ? — on se mélangea à quatre. Ce fut cependant ce soir-là que Christophe décida de se faire percer par son amoureux... car Gwenaël avait ce titre, désormais.
Le moment fut solennel, qui se répéta jusqu'à la fin des vacances... et jusqu'à aujourd'hui. Bref, tout va bien. Bien sûr, Christophe pense, pense, pense... mais tout le ramène toujours au gracieux Gwenaël, allez savoir pourquoi !
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