17-05-2023, 11:43 AM
(Modification du message : 20-05-2023, 12:32 PM par fablelionsilencieux.)
Une première jambe dans le plâtre
Tien, la ligne a coupé ! Bon, on s'est dit le principal. Après s'être retrouvés sur Copains d'avant, ce serait sympa d'aller le voir. Mais comme il est à l'autre bout du pays, mieux vaudra attendre qu'on m'enlève le plâtre pour faire le trajet.
Il faudra bientôt me faire à manger. Mais pour ça, je devais faire des achats.
Fred regarde sa montre. 19 H 15. Il est encore temps de passer une commande sur le Drive.
Il va quand même jeter un coup d'œil dans le réfrigérateur et les placards. Mais comme prévu, il n'y a plus rien à manger. Il revient sur son ordinateur, sélectionne le site du supermarché, mais le navigateur affiche de suite « Adresse introuvable » et sur plusieurs autres sites, même les moteurs de recherche, c'est pareil. Plus d'internet !
Bon, il ne reste plus qu'à téléphoner au livreur de pizza.
« Bonjour, votre ligne téléphonique est actuellement indisponible. Veuillez vérifier que vos câbles sont correctement branchés. Pour cela ... ».
Bon, ça explique pourquoi ma conversation avec Éric a été coupée. Avec le téléphone relié à la box, lorsqu'on n'a plus d'internet, plus de téléphone fixe non plus ...
Petit essai avec le téléphone portable, mais comme il est chez le même opérateur, il est en rade également !
Fred prend un sac à dos, ses béquilles et sort de l'appartement. Évidemment, l'ascenseur n'est toujours pas réparé. Il n'y a plus qu'à descendre les escaliers en sautillant.
Au fur et à mesure qu'il descend les étages, un bruit devient de plus en plus perceptible. Quelqu'un est en train de pleurer.
C'est au troisième étage qu'il voit un petit gars bien frisé, probablement permanenté, adossé à une porte qui, en l'entendant arriver jette un coup d'œil dans sa direction avec de beaux yeux bleus baignés de larmes.
La descente des étages a été éprouvante et Fred s'assoit à côté de lui. Sans réfléchir, il passe sa main sur l'épaule du petit gars. Ce dernier appuie sa tête contre celle de Fred.
Bon, j'ai suivi mon instinct sans réfléchir, mais le petit gars n'a pas eu de réaction de rejet. D'autres m'auraient traité de sale PD. Mais lui, doit surtout avoir besoin de réconfort.
- Ça a pas l'air d'aller mon gars.
- Non !
- C'est quoi qui va pas ?
- Ma copine, viré de son appartement et elle est partie en week-end. Je suis bloqué ici jusqu'à lundi. Et toi, pourquoi descendais-tu les escaliers ?
- Pour m'acheter à manger. Je suis à sec et internet ne marche plus pour passer une commande. Mais comme c'est déjà 19 H 35, je doute d'arriver à temps avant qu'ils ferment l'entrée du magasin.
- Avec ton plâtre, ça risque d'être dur en effet. Il y aurait de quoi se servir derrière cette porte mais elle n'a pas voulu que je garde des clés. Mais si ça te dit, je peux filer faire des achats, si tu me passes ton sac à dos.
- Pourquoi pas ! Tien ! Tu veux des sous ?
- Pas la peine, j'ai ma carte bancaire. Par contre, je pourrai manger avec toi aussi ?
- Pas de problème, si tu arrives à ramener ce qu'il faut.
- Super ! tu me sauves ... provisoirement au moins ! À plus !
Il se met à dévaler les escalier tout en me criant :
- Pour gagner du temps tu n'as qu'à remonter à ton étage et m'attendre sur ton palier.
Bon, il est arrivé en bas et il quitte l'immeuble. À la vitesse à laquelle il est descendu, il aurait pu dégringoler et se casser une jambe. On aurait été dans le même état et du coup, on se serait retrouvés au régime forcé. Il a quand même prit le temps de me faire un bisou sur les deux joues avant de détaler. Le temps qu'il revienne, il y en a pour une bonne demi-heure. Je vais remonter tranquillement comme il m'a proposé.
Effectivement, à 20 H 10 j'entends quelqu'un monter, beaucoup plus lentement qu'il était descendu. Ça semble être lui. Oui, le voilà. Et je ne sais pas ce qu'il a acheté, mais au volume du sac, il y a des provisions pour 2 semaines.
- Ouah ! Tu en a acheté des truc ! Il faudra que tu me dises combien je te dois.
- Laisse. De toute façon je vais en manger aussi et puis comme il faudra que je me trouve un logement, je pourrai reprendre ce que tu n'aimes pas.
Un mec craquant comme lui, je veux bien l'héberger un bon bout de temps, moi.
- Alors, qu'est-ce que tu as emmené de bon ?
- Un peu de tout. Viandes, poisson, riz, pâtes, légumes, œufs. Je n'y ai pensé qu'au retour, je ne t'ai pas demandé si tu as un réfrigérateur et un congélateur. Les légumes sont surgelés et j'ai acheté aussi des bâtonnets de glace au chocolat à sucer pour le dessert.
- Super ! Et pour conserver tout ça, je suis équipé.
Pour ce qui est de sucer, je penserai bien à sucer autre-chose, mais on verra bien.
On sort tout du sac et on range ce qui doit être réfrigéré.
- Au fait, on ne s'est pas présenté. Moi c'est Frédéric, mais on m'appelle Fred.
- Moi, c'est Philippe et on m'appelle Phil.
- Bienvenue dans mon appart Phil et merci pour les achats. Sans toi, j'aurai gardé le ventre vide jusqu'à demain.
- Merci de m'accueillir Fred. J'avais trop les boules de m'être fait plaquer et ta gentillesse quand tu t'es arrêté pour me parler m'a remonté le moral.
Pendant ces échanges verbaux, on s'est rapproché et on s'est finalement pris dans les bras et on a terminé par un petit bisou sur les lèvres. Je n'ai pas cherché à aller plus loin. Mais lorsqu'on a été l'un contre l'autre, j'ai ressenti quelques raideurs à mi-hauteur. Un mouvement discret de la main confirme que je bande, mais un regard en face à la même hauteur montre que je ne suis pas le seul. Sinon, ses vêtements sont humides.
- Tu as l'air d'avoir transpiré.
- C'est sûr ! J'ai préféré courir pour éviter d'arriver trop tard au magasin, d'ailleurs une douche me ferait du bien.
- À moi aussi en fait. Descendre puis remonter plusieurs étages presque à bout de bras, ça m'a fait faire du sport !
- Tu m’étonne ! T'as qu'à y aller et je passe après.
- Autant y aller ensemble, je te laverai le dos et toi aussi.
- Pas bête ! mais comment vas-tu faire avec ton plâtre ?
- Il faut juste mettre un sac étanche autour.
je commence à me déshabiller. Phil fait de même d'abord en gardant son boxer. Comme j'enlève le mien, il l'enlève aussi. En partant vers la douche, j'emmène un sac poubelle et une sangle élastique.
- Voilà, tu vois, j'ai mis le plâtre dans le sac et la sangle est pour empêcher l'eau d'y couler depuis le dessus.
J'ouvre le robinet. L'eau asperge nos corps.
- Tu peux en profiter pour faire pipi si tu en as besoin.
- D'accord, je ne te l'aurais peut-être pas demandé.
Phil se met à pisser et je m'y mets aussi 2 secondes après. Quand on a fini, je ferme le robinet.
- Voilà le gel douche, je t'en passes et tu m'en passes.
- D'accord !
C'est très agréable d'être caressé par d'autres mains savonneuses pendant qu'on passe les siennes sur la peau de celui d'en face. Pour laver le dos, finalement, on reste face à face et donc le passage des mains à cet endroit-là se fait sans voir l'endroit précis où elle aboutissent. Le faire de cette manière nous emmène à être presque poitrine contre poitrine.
On descend petit à petit. Arrivé au niveau de l'entrejambe, je passe ma main sur la partie interne du haut de la cuisse de Phil. Lui copie un peu mes mouvements. On descend vers les pieds (un peu moins bas pour ma jambe droite à cause du plâtre) puis on remonte avec un nouveau passage à l'entrejambe.
Avec ce genre de soins, nos pénis se sont bien redressés et Philippe me fait une proposition :
- Dis Fred, je ne sais pas toi si tu fais ça, mais heu... j'aurai envie ... de me branler.
- Bonne idée, la douche est un bon lieu pour ça.
Mais alors que Phil porte la main à son pénis, je la prends pour la diriger ailleurs.
- Non Phil, occupes-toi de la mienne.
Et je saisis la bite de Philippe. Je commence par palper ses testicules puis passe aux va-et-vient.
On a commencé doucement, mais petit à petit on accélère en poussant des AAAAAAaaaaaaaa ! de plus en plus sonores. Je sens que ça monte.
Tout d'un coup, Phil éjacule en poussant un AAAAAAAAAAAAaaaaaaaaaaaaaaaa très long. Je fais de même dans les secondes qui suivent, mais je constate que l'éjaculation de Philippe est plus longue et abondante que la mienne.
- Eh bien, Phil, tu as de la ressource !
- J'en avais besoin. Comme ça ne marchait plus avec ma copine, la fois précédente datait de plusieurs jours.
Du coup, il faut recommencer à nettoyer le devant. Déjà un coup de douche pour enlever le plus gros de la crème blanche, puis de nouveau, nettoyage au gel douche en insistant plus particulièrement sur les poils frisés de la zone pubienne.
La douche est finie. On se sèche, j'enlève les protections de mon plâtre et je dis :
- Phil, comme c'est tard et qu'il y a peu de risque que quelqu'un passe, je n'ai pas trop envie d'enfiler un jean avec mon plâtre.
- Tu as raison. Et moi, je m'ai pas trop envie de remettre mon tee-shirt plein de sueur.
- Tu peux le rincer à l'eau chaude, l'essorer, et le mettre à sécher.
- Bonne idée.
Finalement, on ne s'est pas rhabillé. La température le permet. C'est le moment de choisir ce qu'on va manger. J'opte pour de la saucisse aux petits pois.
Par contre, si tout à l'heure, je n'avais plus rien à manger, il me reste des bouteilles. Pendant qu'on fait cuire la saucisse et les petits pois, on trinque avec un verre de muscat. Et finalement, on boit le reste de la bouteille pendant le repas.
Jusqu'à présent, Phil a mangé en face de moi. Il reste une seule saucisse assez longue. Plutôt que de la couper, Je me mets à côté de lui pour que chacun puisse mordre un bout. Au fur et à mesure qu'on mange la saucisse, nos bouches se rapprochent pour finir par se rejoindre. Phil se met à rigoler, mais ne réagit pas trop à ma tentative d'emmêlage de langues.
Après le plat principal, Phil propose de manger du fromage. Il en a acheté de plusieurs sortes et on prend un petit morceau de plusieurs d'entre eux. La bouteille de muscat étant finie, on continue avec une petite bouteille de Champagne de trois huitièmes de litres. Ce n'est pas tous les jours que j'ai un invité.
C'est maintenant le dessert. Chacun a pris un bâtonnet de glace au chocolat. Phil mange le sien de manière classique tandis que je m'amuse à faire coulisser le mien par des mouvements en avant et en arrière dans ma bouche. Phil est captivé et amusé par mes mouvements. Il finit d'ailleurs par éclater de rire alors que je surveille discrètement son entrejambe qui prend du volume sans être le seul.
Nos glaces finies, Phil m'interpelle.
- Hé Fred !
- Oui ?
- Amusante ta façon de manger la glace. Mais du coup, j'ai encore envie d'une bonne branlette.
- Viens ! on va faire encore mieux dans ma chambre.
Et je prends mes béquilles pour changer de pièce suivi de Phil. Je lui dis où mettre ses pieds et sa tête. Moi, je me positionne normalement sur le lit, ce qui fait qu'on est tête-bêche. Mais quand j'approche ma tête de son organe, Phil semble apeuré.
- Heu non, pas ça !
- Pourquoi ?
- Ça fait mal !
- Ça fait mal de sucer une bite ou de se la faire sucer ?
- J'aime pas me faire mordre, ça fait mal !
- Mais on n'a pas à mordre ! C'est délicat une bite ! Il faut juste mettre les lèvres et la langue et on peut saliver pour donner davantage de plaisir. D'où vient cette idée de mordre ?
- Ma copine la mordait.
- Quelle conne !
- Oui, c'est vrai ... Si tu fais comme tu dis, un peu comme quand tu suçais ta glace, je veux bien essayer.
- Et tu n'as qu'à faire pareil que moi pour que j'en profite aussi.
Je commence par saliver avant de lécher le pénis de Philippe au niveau du frein. Il a l'air d'aimer. Puis j'introduis mes lèvres humidifiés en faisant bien attention de laisser les dents en arrière. Phil imite mes mouvements. Au début, ses dents sont un peu proéminentes, mais il corrige ça. Pendant la fellation réciproque chacun émet des bruits de plaisir. J'alterne le léchage et les aller-retour On finit chacun par éjaculer. Phil fait alors demi-tour pour que sa bouche pleine et baveuse rejoigne la mienne et on échange les contenus en faisant tourner nos langues.
- Heu Fred !
- Oui ?
- Dis, je pourrai dormir avec toi ?
- J'espère bien, arrête de poser des questions stupides !
Phil ne répond pas, mais tente de se coller contre moi.
- Attends, on n'a qu'à se mettre dans le lit.
Après les mouvements nécessaires pour avoir le drap et la couverture qui nous recouvre on se repositionne face à face. On émet alors chacun un long bâillement dans un synchronisme parfait qui nous fait éclater de rire. D'un geste, j'éteins la lumière grâce à l'interrupteur situé 20 cm en dessus du milieu du lit.
Nous enserrons nos corps respectifs alors que nos bouches se rejoignent. Cette fois-ci, Phil introduit sans hésiter sa langue dans ma bouche. Je suis le mouvement et nos langues s'emmêlent puis rapidement restent immobiles dans cette position. Pendant plusieurs heures, les seuls mouvement dans la chambre concerneront la respiration profonde de deux garçons tendrement enlacés et une partie de bras de fer entre 2 bites cherchant chacune à prendre pour elle seule le maximum de place. Pendant la nuit, elles se bagarreront à coup de liquide visqueux, mais leurs propriétaires ne découvriront le résultat que quelques heures plus tard.
Tien, la ligne a coupé ! Bon, on s'est dit le principal. Après s'être retrouvés sur Copains d'avant, ce serait sympa d'aller le voir. Mais comme il est à l'autre bout du pays, mieux vaudra attendre qu'on m'enlève le plâtre pour faire le trajet.
Il faudra bientôt me faire à manger. Mais pour ça, je devais faire des achats.
Fred regarde sa montre. 19 H 15. Il est encore temps de passer une commande sur le Drive.
Il va quand même jeter un coup d'œil dans le réfrigérateur et les placards. Mais comme prévu, il n'y a plus rien à manger. Il revient sur son ordinateur, sélectionne le site du supermarché, mais le navigateur affiche de suite « Adresse introuvable » et sur plusieurs autres sites, même les moteurs de recherche, c'est pareil. Plus d'internet !
Bon, il ne reste plus qu'à téléphoner au livreur de pizza.
« Bonjour, votre ligne téléphonique est actuellement indisponible. Veuillez vérifier que vos câbles sont correctement branchés. Pour cela ... ».
Bon, ça explique pourquoi ma conversation avec Éric a été coupée. Avec le téléphone relié à la box, lorsqu'on n'a plus d'internet, plus de téléphone fixe non plus ...
Petit essai avec le téléphone portable, mais comme il est chez le même opérateur, il est en rade également !
Fred prend un sac à dos, ses béquilles et sort de l'appartement. Évidemment, l'ascenseur n'est toujours pas réparé. Il n'y a plus qu'à descendre les escaliers en sautillant.
Au fur et à mesure qu'il descend les étages, un bruit devient de plus en plus perceptible. Quelqu'un est en train de pleurer.
C'est au troisième étage qu'il voit un petit gars bien frisé, probablement permanenté, adossé à une porte qui, en l'entendant arriver jette un coup d'œil dans sa direction avec de beaux yeux bleus baignés de larmes.
La descente des étages a été éprouvante et Fred s'assoit à côté de lui. Sans réfléchir, il passe sa main sur l'épaule du petit gars. Ce dernier appuie sa tête contre celle de Fred.
Bon, j'ai suivi mon instinct sans réfléchir, mais le petit gars n'a pas eu de réaction de rejet. D'autres m'auraient traité de sale PD. Mais lui, doit surtout avoir besoin de réconfort.
- Ça a pas l'air d'aller mon gars.
- Non !
- C'est quoi qui va pas ?
- Ma copine, viré de son appartement et elle est partie en week-end. Je suis bloqué ici jusqu'à lundi. Et toi, pourquoi descendais-tu les escaliers ?
- Pour m'acheter à manger. Je suis à sec et internet ne marche plus pour passer une commande. Mais comme c'est déjà 19 H 35, je doute d'arriver à temps avant qu'ils ferment l'entrée du magasin.
- Avec ton plâtre, ça risque d'être dur en effet. Il y aurait de quoi se servir derrière cette porte mais elle n'a pas voulu que je garde des clés. Mais si ça te dit, je peux filer faire des achats, si tu me passes ton sac à dos.
- Pourquoi pas ! Tien ! Tu veux des sous ?
- Pas la peine, j'ai ma carte bancaire. Par contre, je pourrai manger avec toi aussi ?
- Pas de problème, si tu arrives à ramener ce qu'il faut.
- Super ! tu me sauves ... provisoirement au moins ! À plus !
Il se met à dévaler les escalier tout en me criant :
- Pour gagner du temps tu n'as qu'à remonter à ton étage et m'attendre sur ton palier.
Bon, il est arrivé en bas et il quitte l'immeuble. À la vitesse à laquelle il est descendu, il aurait pu dégringoler et se casser une jambe. On aurait été dans le même état et du coup, on se serait retrouvés au régime forcé. Il a quand même prit le temps de me faire un bisou sur les deux joues avant de détaler. Le temps qu'il revienne, il y en a pour une bonne demi-heure. Je vais remonter tranquillement comme il m'a proposé.
Effectivement, à 20 H 10 j'entends quelqu'un monter, beaucoup plus lentement qu'il était descendu. Ça semble être lui. Oui, le voilà. Et je ne sais pas ce qu'il a acheté, mais au volume du sac, il y a des provisions pour 2 semaines.
- Ouah ! Tu en a acheté des truc ! Il faudra que tu me dises combien je te dois.
- Laisse. De toute façon je vais en manger aussi et puis comme il faudra que je me trouve un logement, je pourrai reprendre ce que tu n'aimes pas.
Un mec craquant comme lui, je veux bien l'héberger un bon bout de temps, moi.
- Alors, qu'est-ce que tu as emmené de bon ?
- Un peu de tout. Viandes, poisson, riz, pâtes, légumes, œufs. Je n'y ai pensé qu'au retour, je ne t'ai pas demandé si tu as un réfrigérateur et un congélateur. Les légumes sont surgelés et j'ai acheté aussi des bâtonnets de glace au chocolat à sucer pour le dessert.
- Super ! Et pour conserver tout ça, je suis équipé.
Pour ce qui est de sucer, je penserai bien à sucer autre-chose, mais on verra bien.
On sort tout du sac et on range ce qui doit être réfrigéré.
- Au fait, on ne s'est pas présenté. Moi c'est Frédéric, mais on m'appelle Fred.
- Moi, c'est Philippe et on m'appelle Phil.
- Bienvenue dans mon appart Phil et merci pour les achats. Sans toi, j'aurai gardé le ventre vide jusqu'à demain.
- Merci de m'accueillir Fred. J'avais trop les boules de m'être fait plaquer et ta gentillesse quand tu t'es arrêté pour me parler m'a remonté le moral.
Pendant ces échanges verbaux, on s'est rapproché et on s'est finalement pris dans les bras et on a terminé par un petit bisou sur les lèvres. Je n'ai pas cherché à aller plus loin. Mais lorsqu'on a été l'un contre l'autre, j'ai ressenti quelques raideurs à mi-hauteur. Un mouvement discret de la main confirme que je bande, mais un regard en face à la même hauteur montre que je ne suis pas le seul. Sinon, ses vêtements sont humides.
- Tu as l'air d'avoir transpiré.
- C'est sûr ! J'ai préféré courir pour éviter d'arriver trop tard au magasin, d'ailleurs une douche me ferait du bien.
- À moi aussi en fait. Descendre puis remonter plusieurs étages presque à bout de bras, ça m'a fait faire du sport !
- Tu m’étonne ! T'as qu'à y aller et je passe après.
- Autant y aller ensemble, je te laverai le dos et toi aussi.
- Pas bête ! mais comment vas-tu faire avec ton plâtre ?
- Il faut juste mettre un sac étanche autour.
je commence à me déshabiller. Phil fait de même d'abord en gardant son boxer. Comme j'enlève le mien, il l'enlève aussi. En partant vers la douche, j'emmène un sac poubelle et une sangle élastique.
- Voilà, tu vois, j'ai mis le plâtre dans le sac et la sangle est pour empêcher l'eau d'y couler depuis le dessus.
J'ouvre le robinet. L'eau asperge nos corps.
- Tu peux en profiter pour faire pipi si tu en as besoin.
- D'accord, je ne te l'aurais peut-être pas demandé.
Phil se met à pisser et je m'y mets aussi 2 secondes après. Quand on a fini, je ferme le robinet.
- Voilà le gel douche, je t'en passes et tu m'en passes.
- D'accord !
C'est très agréable d'être caressé par d'autres mains savonneuses pendant qu'on passe les siennes sur la peau de celui d'en face. Pour laver le dos, finalement, on reste face à face et donc le passage des mains à cet endroit-là se fait sans voir l'endroit précis où elle aboutissent. Le faire de cette manière nous emmène à être presque poitrine contre poitrine.
On descend petit à petit. Arrivé au niveau de l'entrejambe, je passe ma main sur la partie interne du haut de la cuisse de Phil. Lui copie un peu mes mouvements. On descend vers les pieds (un peu moins bas pour ma jambe droite à cause du plâtre) puis on remonte avec un nouveau passage à l'entrejambe.
Avec ce genre de soins, nos pénis se sont bien redressés et Philippe me fait une proposition :
- Dis Fred, je ne sais pas toi si tu fais ça, mais heu... j'aurai envie ... de me branler.
- Bonne idée, la douche est un bon lieu pour ça.
Mais alors que Phil porte la main à son pénis, je la prends pour la diriger ailleurs.
- Non Phil, occupes-toi de la mienne.
Et je saisis la bite de Philippe. Je commence par palper ses testicules puis passe aux va-et-vient.
On a commencé doucement, mais petit à petit on accélère en poussant des AAAAAAaaaaaaaa ! de plus en plus sonores. Je sens que ça monte.
Tout d'un coup, Phil éjacule en poussant un AAAAAAAAAAAAaaaaaaaaaaaaaaaa très long. Je fais de même dans les secondes qui suivent, mais je constate que l'éjaculation de Philippe est plus longue et abondante que la mienne.
- Eh bien, Phil, tu as de la ressource !
- J'en avais besoin. Comme ça ne marchait plus avec ma copine, la fois précédente datait de plusieurs jours.
Du coup, il faut recommencer à nettoyer le devant. Déjà un coup de douche pour enlever le plus gros de la crème blanche, puis de nouveau, nettoyage au gel douche en insistant plus particulièrement sur les poils frisés de la zone pubienne.
La douche est finie. On se sèche, j'enlève les protections de mon plâtre et je dis :
- Phil, comme c'est tard et qu'il y a peu de risque que quelqu'un passe, je n'ai pas trop envie d'enfiler un jean avec mon plâtre.
- Tu as raison. Et moi, je m'ai pas trop envie de remettre mon tee-shirt plein de sueur.
- Tu peux le rincer à l'eau chaude, l'essorer, et le mettre à sécher.
- Bonne idée.
Finalement, on ne s'est pas rhabillé. La température le permet. C'est le moment de choisir ce qu'on va manger. J'opte pour de la saucisse aux petits pois.
Par contre, si tout à l'heure, je n'avais plus rien à manger, il me reste des bouteilles. Pendant qu'on fait cuire la saucisse et les petits pois, on trinque avec un verre de muscat. Et finalement, on boit le reste de la bouteille pendant le repas.
Jusqu'à présent, Phil a mangé en face de moi. Il reste une seule saucisse assez longue. Plutôt que de la couper, Je me mets à côté de lui pour que chacun puisse mordre un bout. Au fur et à mesure qu'on mange la saucisse, nos bouches se rapprochent pour finir par se rejoindre. Phil se met à rigoler, mais ne réagit pas trop à ma tentative d'emmêlage de langues.
Après le plat principal, Phil propose de manger du fromage. Il en a acheté de plusieurs sortes et on prend un petit morceau de plusieurs d'entre eux. La bouteille de muscat étant finie, on continue avec une petite bouteille de Champagne de trois huitièmes de litres. Ce n'est pas tous les jours que j'ai un invité.
C'est maintenant le dessert. Chacun a pris un bâtonnet de glace au chocolat. Phil mange le sien de manière classique tandis que je m'amuse à faire coulisser le mien par des mouvements en avant et en arrière dans ma bouche. Phil est captivé et amusé par mes mouvements. Il finit d'ailleurs par éclater de rire alors que je surveille discrètement son entrejambe qui prend du volume sans être le seul.
Nos glaces finies, Phil m'interpelle.
- Hé Fred !
- Oui ?
- Amusante ta façon de manger la glace. Mais du coup, j'ai encore envie d'une bonne branlette.
- Viens ! on va faire encore mieux dans ma chambre.
Et je prends mes béquilles pour changer de pièce suivi de Phil. Je lui dis où mettre ses pieds et sa tête. Moi, je me positionne normalement sur le lit, ce qui fait qu'on est tête-bêche. Mais quand j'approche ma tête de son organe, Phil semble apeuré.
- Heu non, pas ça !
- Pourquoi ?
- Ça fait mal !
- Ça fait mal de sucer une bite ou de se la faire sucer ?
- J'aime pas me faire mordre, ça fait mal !
- Mais on n'a pas à mordre ! C'est délicat une bite ! Il faut juste mettre les lèvres et la langue et on peut saliver pour donner davantage de plaisir. D'où vient cette idée de mordre ?
- Ma copine la mordait.
- Quelle conne !
- Oui, c'est vrai ... Si tu fais comme tu dis, un peu comme quand tu suçais ta glace, je veux bien essayer.
- Et tu n'as qu'à faire pareil que moi pour que j'en profite aussi.
Je commence par saliver avant de lécher le pénis de Philippe au niveau du frein. Il a l'air d'aimer. Puis j'introduis mes lèvres humidifiés en faisant bien attention de laisser les dents en arrière. Phil imite mes mouvements. Au début, ses dents sont un peu proéminentes, mais il corrige ça. Pendant la fellation réciproque chacun émet des bruits de plaisir. J'alterne le léchage et les aller-retour On finit chacun par éjaculer. Phil fait alors demi-tour pour que sa bouche pleine et baveuse rejoigne la mienne et on échange les contenus en faisant tourner nos langues.
- Heu Fred !
- Oui ?
- Dis, je pourrai dormir avec toi ?
- J'espère bien, arrête de poser des questions stupides !
Phil ne répond pas, mais tente de se coller contre moi.
- Attends, on n'a qu'à se mettre dans le lit.
Après les mouvements nécessaires pour avoir le drap et la couverture qui nous recouvre on se repositionne face à face. On émet alors chacun un long bâillement dans un synchronisme parfait qui nous fait éclater de rire. D'un geste, j'éteins la lumière grâce à l'interrupteur situé 20 cm en dessus du milieu du lit.
Nous enserrons nos corps respectifs alors que nos bouches se rejoignent. Cette fois-ci, Phil introduit sans hésiter sa langue dans ma bouche. Je suis le mouvement et nos langues s'emmêlent puis rapidement restent immobiles dans cette position. Pendant plusieurs heures, les seuls mouvement dans la chambre concerneront la respiration profonde de deux garçons tendrement enlacés et une partie de bras de fer entre 2 bites cherchant chacune à prendre pour elle seule le maximum de place. Pendant la nuit, elles se bagarreront à coup de liquide visqueux, mais leurs propriétaires ne découvriront le résultat que quelques heures plus tard.
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