NDA Un épisode plus court, toujours pour l’interrompre au bon moment.
10
La présidente tendit une carte à Florian en lui disant :
— Tu es notre ange, voici donc la clef du paradis, la suite princière numéro 128.
— Une suite princière ? s’étonna-t-il. Dans cet hôtel ?
— Puisqu’un prince y habite. Je serai dans la suite royale avec mon mari. Tu peux rester seul ou choisir quelqu’un pour te tenir compagnie.
— Je peux aussi choisir une femme ?
— Seulement si elle est consentante, ce doit être clair entre vous si vous désirez avoir une relation sexuelle, tu connais les nouvelles règles.
— Aucun risque, l’homme n’a pas de charme pour moi, non, et la femme non plus, bien que votre sourire semble insinuer le contraire.
— C’est ta vie privée.
Il se tourna vers Anaïs et Nadège :
— L’une d’entre vous désire-t-elle se pâmer dans la couche du prince ténébreux ?
— Ce n’est pas l’envie qui me manque, fit Nadège en riant, tu es un charmant prince, je serais même prête à signer un contrat de consentement avant, mais mon mari pourrait l’apprendre et en être jaloux.
— Et toi, Ophélie ?
— Tu m’a envoyée au couvent, prince Hamlet, j’ai suivi tes ordres et fait vœu de chasteté. Je dormirai donc avec Nadège.
Cela m’indiquait qu’il n’avait jamais eu de liaison avec Anaïs, comme je le supposais, ils n’auraient pas eu de raison de le cacher pendant des mois. J’étais rassuré et je devais saisir ma chance, je dis :
— Comme tu es mon ennemi préféré et que l’homme n’a pas de charme pour toi, je partagerais volontiers ta chambre et ta couche.
— À la bonne heure, fit Lucie, j’espère que vous ne vous battrez pas.
— Les épées sont dans le camion, dis-je.
— On peut se battre au sabre, fit Tiago, décidément très en verve.
Je suivis Florian dans la chambre 128 et je lui demandai :
— C’était sérieux cette proposition de coucher avec une fille ?
— Pourquoi pas ? Je ne l’ai jamais fait, mais c’était surtout un petit test pour voir quels sentiments a Anaïs pour moi.
— Elle n’a pas eu l’air enthousiaste.
— C’est le moins qu’on puisse dire, ma mère pense pourtant que nous sommes faits l’un pour l’autre et que nous sommes trop timides pour nous le dire. J’en doute.
— Il me semble que tu as pris beaucoup d’assurance ces derniers mois.
— Depuis que je suis à poil sur toutes les scènes d’Europe ?
— Entre autres. Tu n’as donc toujours pas rencontré l’amour de ta vie ?
— Déduction élémentaire, mon cher Laërte, mais je compte bien y remédier pendant les vacances.
— Avec qui, si ce n’est pas indiscret ?
— C’est la question…
La suite princière était exigüe, nous dûmes laisser nos valises sur le sol et nous renonçâmes à les vider. Florian dit :
— Nous avons le temps de nous doucher jusqu’à 18 heures, l’un après l’autre…
— Oui, vas-y le premier.
Florian se déshabilla, hésita à enlever son slip blanc, puis le fit en riant :
— Je ne vais pas te choquer, tu as déjà vu ma bite, il me semble.
Il se tourna vers moi afin que je la visse bien après l’avoir étirée — elle me parut plus grosse — et disparut ensuite dans la salle de bain, en fermant la porte. Je me couchai sur le lit pour relier mon smartphone au wifi et lire mes messages. Il ressortit un quart d’heure plus tard :
— À toi, excuse-moi si le sol est mouillé.
— Pas de souci, j’en ai vu d’autres à l’armée.
— Tu as fait l’armée ? Quel grade ?
— Soldat, je n’avais pas de grandes ambitions.
Je me déshabillai aussi entièrement. J’eus l’impression qu’il regarda ma bite avec beaucoup plus d’attention qu’à Vidy, je restai quelques instants face à lui, sans rien dire, alors que je durcissais et que mon gland se découvrait. Je finis de me décalotter, puis j’entrai dans la salle de bain et me douchai. En me séchant, je sentis mon pénis grossir à nouveau. Comme je n’avais pas pris de boxer, je laissai ma serviette autour de la taille pour ressortir.
Florian était couché nu sur le lit, il se caressait et bandait.
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La présidente tendit une carte à Florian en lui disant :
— Tu es notre ange, voici donc la clef du paradis, la suite princière numéro 128.
— Une suite princière ? s’étonna-t-il. Dans cet hôtel ?
— Puisqu’un prince y habite. Je serai dans la suite royale avec mon mari. Tu peux rester seul ou choisir quelqu’un pour te tenir compagnie.
— Je peux aussi choisir une femme ?
— Seulement si elle est consentante, ce doit être clair entre vous si vous désirez avoir une relation sexuelle, tu connais les nouvelles règles.
— Aucun risque, l’homme n’a pas de charme pour moi, non, et la femme non plus, bien que votre sourire semble insinuer le contraire.
— C’est ta vie privée.
Il se tourna vers Anaïs et Nadège :
— L’une d’entre vous désire-t-elle se pâmer dans la couche du prince ténébreux ?
— Ce n’est pas l’envie qui me manque, fit Nadège en riant, tu es un charmant prince, je serais même prête à signer un contrat de consentement avant, mais mon mari pourrait l’apprendre et en être jaloux.
— Et toi, Ophélie ?
— Tu m’a envoyée au couvent, prince Hamlet, j’ai suivi tes ordres et fait vœu de chasteté. Je dormirai donc avec Nadège.
Cela m’indiquait qu’il n’avait jamais eu de liaison avec Anaïs, comme je le supposais, ils n’auraient pas eu de raison de le cacher pendant des mois. J’étais rassuré et je devais saisir ma chance, je dis :
— Comme tu es mon ennemi préféré et que l’homme n’a pas de charme pour toi, je partagerais volontiers ta chambre et ta couche.
— À la bonne heure, fit Lucie, j’espère que vous ne vous battrez pas.
— Les épées sont dans le camion, dis-je.
— On peut se battre au sabre, fit Tiago, décidément très en verve.
Je suivis Florian dans la chambre 128 et je lui demandai :
— C’était sérieux cette proposition de coucher avec une fille ?
— Pourquoi pas ? Je ne l’ai jamais fait, mais c’était surtout un petit test pour voir quels sentiments a Anaïs pour moi.
— Elle n’a pas eu l’air enthousiaste.
— C’est le moins qu’on puisse dire, ma mère pense pourtant que nous sommes faits l’un pour l’autre et que nous sommes trop timides pour nous le dire. J’en doute.
— Il me semble que tu as pris beaucoup d’assurance ces derniers mois.
— Depuis que je suis à poil sur toutes les scènes d’Europe ?
— Entre autres. Tu n’as donc toujours pas rencontré l’amour de ta vie ?
— Déduction élémentaire, mon cher Laërte, mais je compte bien y remédier pendant les vacances.
— Avec qui, si ce n’est pas indiscret ?
— C’est la question…
La suite princière était exigüe, nous dûmes laisser nos valises sur le sol et nous renonçâmes à les vider. Florian dit :
— Nous avons le temps de nous doucher jusqu’à 18 heures, l’un après l’autre…
— Oui, vas-y le premier.
Florian se déshabilla, hésita à enlever son slip blanc, puis le fit en riant :
— Je ne vais pas te choquer, tu as déjà vu ma bite, il me semble.
Il se tourna vers moi afin que je la visse bien après l’avoir étirée — elle me parut plus grosse — et disparut ensuite dans la salle de bain, en fermant la porte. Je me couchai sur le lit pour relier mon smartphone au wifi et lire mes messages. Il ressortit un quart d’heure plus tard :
— À toi, excuse-moi si le sol est mouillé.
— Pas de souci, j’en ai vu d’autres à l’armée.
— Tu as fait l’armée ? Quel grade ?
— Soldat, je n’avais pas de grandes ambitions.
Je me déshabillai aussi entièrement. J’eus l’impression qu’il regarda ma bite avec beaucoup plus d’attention qu’à Vidy, je restai quelques instants face à lui, sans rien dire, alors que je durcissais et que mon gland se découvrait. Je finis de me décalotter, puis j’entrai dans la salle de bain et me douchai. En me séchant, je sentis mon pénis grossir à nouveau. Comme je n’avais pas pris de boxer, je laissai ma serviette autour de la taille pour ressortir.
Florian était couché nu sur le lit, il se caressait et bandait.
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