Dernier jour - 30 juin 2020 (6)
Le pénis de Patrice retrouva une dimension bienséante à la suite d’une douche froide. Les trois filles et les deux garçons prirent ensuite un bain de vapeur, la lumière tamisée ne permettait pas de voir les corps nus dans la brume, au grand soulagement de Patrice. Puis ils rejoignirent les autres après avoir remis leurs peignoirs. Raphaël n’avait pas envie d’aller au sauna, il discutait avec Olivier, assis dans un fauteuil.
Le temps passait, il était bientôt 18h30. Patrice demanda à Adelin :
— Tu ne pourrais pas dire à Raphaël que nous aimerions voir sa bite ?
— Je t’ai déjà dit que ce n’est pas moi qui invite. Attends, suis-moi, j’ai une idée.
Ils allèrent vers Jeremy qui attendait derrière le bar, Adelin lui demanda :
— Ne pourrait-on pas baisser un peu l’éclairage ?
— Certainement. Dois-je sortir ?
— Non, je pense que vous en avez vu d’autres.
— Le personnel d’un hôtel ne regarde jamais ce que font les clients, ou alors, il oublie…
Le masseur diminua l’intensité des parois translucides blanches et éteignit les autres lampes. La pièce était encore éclairée par les bougies posées sur les tables. Les conversations cessèrent. Patrice prit son courage à deux mains :
— Raphaël, c’est à toi.
L’infirmier n’hésita pas, il se leva et ôta rapidement son peignoir, dévoilant un long pénis noueux, le plus long de toute l’assemblée. Patrice se demanda s’il bandait un peu car le prépuce ne recouvrait le gland qu’à moitié. Celui de Djibril était cependant plus élégant et harmonieux, Patrice aurait bien aimé le revoir une dernière fois.
— Voilà, fit l’infirmier, vous êtes satisfaits ?
— Pas tout à fait, dit Adelin, nous aimerions te voir bander.
— Vous êtes des petits cochons, il y a des dames ce soir. On n’est pas dans une caserne.
— Les dames aiment aussi voir des pénis, fit Malia.
Elle écarta les pans du peignoir de son ami Djibril et prit son membre dans sa main. Ils se levèrent et se déshabillèrent entièrement avant d’échanger des caresses. Patrice était stupéfait, il remarqua à peine qu’Adelin s’était placé derrière lui et dénouait aussi la ceinture de son peignoir. Raphaël se rassit et dit à Jibran :
— Ils sont assez chauds ce soir, je ne sais pas ce que le barman a mis dans nos verres. Je te laisse faire.
Jibran commença à branler Raphaël.
— Je suis sûr qu’ils se connaissaient, chuchota Patrice à Adelin.
— C’est possible, ne cause pas tout le temps.
Adelin titilla les tétons de Patrice afin d’éviter de lui manipuler le pénis. Jade et Ambre enlevèrent leurs peignoirs. Olivier demanda à Cosme :
— On pourrait répéter la scène de Angels in America, celle avec le prostitué.
— Excellente idée, tu as des capotes ?
— Toujours.
— Vous pouvez nous en passer une ? demanda Jibran qui avait entendu.
— Ce ne sont pas des XXL.
— C’est pour moi, pas pour Raph. On ne veut pas choquer les puceaux.
Heureusement que Patrice n’avait pas entendu, il se serait senti visé. Adelin était toujours derrière lui, son phallus érigé dans la raie des fesses.
— Regarde Djibril et son amie ! s’exclama Patrice, il a mis son pénis dans son vagin !
Patrice les voyait en ombres chinoises devant la paroi translucide. Il pouvait admirer les amples mouvements de bassin du Noir.
— Oui, c’est ainsi que font les hommes et les femmes ensemble. Tu veux que je te dépucèle ? fit Adelin.
— Plus tard, lorsque nous serons seuls. Sais-tu au moins comment on fait ?
— Comme tu voudras. Je lirai le livre que je t’ai offert avant…
Sacha était indécis, il commença à caresser son pénis sur l’étoffe du peignoir, mais le cœur n’y était pas. Chloé était aussi mal à l’aise, un peu gênée d’être à côté de sa sœur qui faisait l’amour. Celle-ci vint à sa rescousse.
— Tu ne vois pas que le coiffeur est seul ?
— Oui. Tu penses que je devrais…
— Demande-lui.
Chloé se leva et alla vers Sacha.
— Euh… dit-elle. Tu aimerais que je te…
— Si tu veux, dit Sacha en riant. Je suis célibataire en ce moment.
— Je… je n’ai jamais touché le pénis d’un homme.
— T’inquiète pas, cela ne sera pas pire que mon ancienne copine, elle ne savait ni branler, ni sucer. Et elle ne m’a jamais mis le doigt dans le cul comme ton frère.
— Mon frère ? Il t’a mis son doigt dans le…
— C’était pour un examen médical… ou pour me refiler le virus.
Chloé défit la ceinture du peignoir et l’ôta. Sacha la déshabilla aussi.
— Ça alors, fit Patrice, étonné, ma sœur avec le coiffeur.
— La pandémie a changé la vie de beaucoup de monde, parfois de manière positive. Tais-toi maintenant et jouis !
Patrice ne savait plus où regarder : Olivier qui enculait Cosme, debout ; Jibran qui faisait de même avec Raphaël, à quatre pattes sur un fauteuil ; Ambre qui faisait un cunnilingus à Jade ; Djibril qui déposait sa semence dans le vase de Malia, les seuls à respecter la loi divine ; Chloé qui suivait des cours accélérés, elle en était déjà à la fellation ; enfin Jeremy qui regardait les cours de la bourse sur son smartphone. Patrice remarqua à peine lorsqu’il éjacula, ensuite son piercing lui fit mal.
Tout ce petit monde jouit aussi puis se rhabilla pour le dîner. Après celui-ci, vers 23 heures, certains rentèrent chez eux, d’autres décidèrent de passer la nuit à l’hôtel, le père de Patrice ayant entretemps informé son fils qu’il paierait la chambre à ceux qui le désiraient. Chloé dit à son frère :
— Euh, tu n’aurais pas les capotes qu’on t’a offertes ?
— Bien sûr. Tu en veux combien ?
— Deux… ou trois, c’est mieux d’avoir une réserve.
— La prochaine fois c’est moi qui t’en offrirai. Il te plaît l’apprenti coiffeur ?
— On verra…
Raphaël allait se retirer dans sa chambre avec Jibran, lorsque Patrice le retint :
— Toi, tu restes avec moi pour un dernier verre. Tu ne vas pas te défiler.
— Raté, j’ai cru que tu avais oublié.
Les deux couples s’assirent dans le lobby de l’hôtel. Ils commandèrent des cafés avec du cognac.
— Je t’écoute, dit Patrice à Raphaël.
— Je reconnais que j’ai été un peu trop familier avec toi, il faut me comprendre, je sortais d’une longue période d’abstinence. Après j’ai compris qu’une amitié était née entre Adelin et toi.
— Et tu avais Jibran, fit Adelin.
— On se connaissait déjà, on avait déjà eu des plans cul ensemble avant l’épidémie. On a décidé d’essayer autre chose, une relation plus durable.
— Vous avez baisé à l’hôpital ? demanda Patrice.
— Non, le risque était trop grand avec le virus.
Le serveur les interrompit en apportant les cafés.
— Et pourquoi suis-je tombé malade ? questionna Patrice.
— Je ne devrais pas te le dire, mais tu dois le savoir, j’aurais des remords de te le cacher. On ne t’a pas injecté de vaccin, on t’a infecté avec le virus. Cela s’appelle un challenge infectieux.
Le pénis de Patrice retrouva une dimension bienséante à la suite d’une douche froide. Les trois filles et les deux garçons prirent ensuite un bain de vapeur, la lumière tamisée ne permettait pas de voir les corps nus dans la brume, au grand soulagement de Patrice. Puis ils rejoignirent les autres après avoir remis leurs peignoirs. Raphaël n’avait pas envie d’aller au sauna, il discutait avec Olivier, assis dans un fauteuil.
Le temps passait, il était bientôt 18h30. Patrice demanda à Adelin :
— Tu ne pourrais pas dire à Raphaël que nous aimerions voir sa bite ?
— Je t’ai déjà dit que ce n’est pas moi qui invite. Attends, suis-moi, j’ai une idée.
Ils allèrent vers Jeremy qui attendait derrière le bar, Adelin lui demanda :
— Ne pourrait-on pas baisser un peu l’éclairage ?
— Certainement. Dois-je sortir ?
— Non, je pense que vous en avez vu d’autres.
— Le personnel d’un hôtel ne regarde jamais ce que font les clients, ou alors, il oublie…
Le masseur diminua l’intensité des parois translucides blanches et éteignit les autres lampes. La pièce était encore éclairée par les bougies posées sur les tables. Les conversations cessèrent. Patrice prit son courage à deux mains :
— Raphaël, c’est à toi.
L’infirmier n’hésita pas, il se leva et ôta rapidement son peignoir, dévoilant un long pénis noueux, le plus long de toute l’assemblée. Patrice se demanda s’il bandait un peu car le prépuce ne recouvrait le gland qu’à moitié. Celui de Djibril était cependant plus élégant et harmonieux, Patrice aurait bien aimé le revoir une dernière fois.
— Voilà, fit l’infirmier, vous êtes satisfaits ?
— Pas tout à fait, dit Adelin, nous aimerions te voir bander.
— Vous êtes des petits cochons, il y a des dames ce soir. On n’est pas dans une caserne.
— Les dames aiment aussi voir des pénis, fit Malia.
Elle écarta les pans du peignoir de son ami Djibril et prit son membre dans sa main. Ils se levèrent et se déshabillèrent entièrement avant d’échanger des caresses. Patrice était stupéfait, il remarqua à peine qu’Adelin s’était placé derrière lui et dénouait aussi la ceinture de son peignoir. Raphaël se rassit et dit à Jibran :
— Ils sont assez chauds ce soir, je ne sais pas ce que le barman a mis dans nos verres. Je te laisse faire.
Jibran commença à branler Raphaël.
— Je suis sûr qu’ils se connaissaient, chuchota Patrice à Adelin.
— C’est possible, ne cause pas tout le temps.
Adelin titilla les tétons de Patrice afin d’éviter de lui manipuler le pénis. Jade et Ambre enlevèrent leurs peignoirs. Olivier demanda à Cosme :
— On pourrait répéter la scène de Angels in America, celle avec le prostitué.
— Excellente idée, tu as des capotes ?
— Toujours.
— Vous pouvez nous en passer une ? demanda Jibran qui avait entendu.
— Ce ne sont pas des XXL.
— C’est pour moi, pas pour Raph. On ne veut pas choquer les puceaux.
Heureusement que Patrice n’avait pas entendu, il se serait senti visé. Adelin était toujours derrière lui, son phallus érigé dans la raie des fesses.
— Regarde Djibril et son amie ! s’exclama Patrice, il a mis son pénis dans son vagin !
Patrice les voyait en ombres chinoises devant la paroi translucide. Il pouvait admirer les amples mouvements de bassin du Noir.
— Oui, c’est ainsi que font les hommes et les femmes ensemble. Tu veux que je te dépucèle ? fit Adelin.
— Plus tard, lorsque nous serons seuls. Sais-tu au moins comment on fait ?
— Comme tu voudras. Je lirai le livre que je t’ai offert avant…
Sacha était indécis, il commença à caresser son pénis sur l’étoffe du peignoir, mais le cœur n’y était pas. Chloé était aussi mal à l’aise, un peu gênée d’être à côté de sa sœur qui faisait l’amour. Celle-ci vint à sa rescousse.
— Tu ne vois pas que le coiffeur est seul ?
— Oui. Tu penses que je devrais…
— Demande-lui.
Chloé se leva et alla vers Sacha.
— Euh… dit-elle. Tu aimerais que je te…
— Si tu veux, dit Sacha en riant. Je suis célibataire en ce moment.
— Je… je n’ai jamais touché le pénis d’un homme.
— T’inquiète pas, cela ne sera pas pire que mon ancienne copine, elle ne savait ni branler, ni sucer. Et elle ne m’a jamais mis le doigt dans le cul comme ton frère.
— Mon frère ? Il t’a mis son doigt dans le…
— C’était pour un examen médical… ou pour me refiler le virus.
Chloé défit la ceinture du peignoir et l’ôta. Sacha la déshabilla aussi.
— Ça alors, fit Patrice, étonné, ma sœur avec le coiffeur.
— La pandémie a changé la vie de beaucoup de monde, parfois de manière positive. Tais-toi maintenant et jouis !
Patrice ne savait plus où regarder : Olivier qui enculait Cosme, debout ; Jibran qui faisait de même avec Raphaël, à quatre pattes sur un fauteuil ; Ambre qui faisait un cunnilingus à Jade ; Djibril qui déposait sa semence dans le vase de Malia, les seuls à respecter la loi divine ; Chloé qui suivait des cours accélérés, elle en était déjà à la fellation ; enfin Jeremy qui regardait les cours de la bourse sur son smartphone. Patrice remarqua à peine lorsqu’il éjacula, ensuite son piercing lui fit mal.
Tout ce petit monde jouit aussi puis se rhabilla pour le dîner. Après celui-ci, vers 23 heures, certains rentèrent chez eux, d’autres décidèrent de passer la nuit à l’hôtel, le père de Patrice ayant entretemps informé son fils qu’il paierait la chambre à ceux qui le désiraient. Chloé dit à son frère :
— Euh, tu n’aurais pas les capotes qu’on t’a offertes ?
— Bien sûr. Tu en veux combien ?
— Deux… ou trois, c’est mieux d’avoir une réserve.
— La prochaine fois c’est moi qui t’en offrirai. Il te plaît l’apprenti coiffeur ?
— On verra…
Raphaël allait se retirer dans sa chambre avec Jibran, lorsque Patrice le retint :
— Toi, tu restes avec moi pour un dernier verre. Tu ne vas pas te défiler.
— Raté, j’ai cru que tu avais oublié.
Les deux couples s’assirent dans le lobby de l’hôtel. Ils commandèrent des cafés avec du cognac.
— Je t’écoute, dit Patrice à Raphaël.
— Je reconnais que j’ai été un peu trop familier avec toi, il faut me comprendre, je sortais d’une longue période d’abstinence. Après j’ai compris qu’une amitié était née entre Adelin et toi.
— Et tu avais Jibran, fit Adelin.
— On se connaissait déjà, on avait déjà eu des plans cul ensemble avant l’épidémie. On a décidé d’essayer autre chose, une relation plus durable.
— Vous avez baisé à l’hôpital ? demanda Patrice.
— Non, le risque était trop grand avec le virus.
Le serveur les interrompit en apportant les cafés.
— Et pourquoi suis-je tombé malade ? questionna Patrice.
— Je ne devrais pas te le dire, mais tu dois le savoir, j’aurais des remords de te le cacher. On ne t’a pas injecté de vaccin, on t’a infecté avec le virus. Cela s’appelle un challenge infectieux.
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