17-08-2020, 12:12 AM
(Modification du message : 18-10-2022, 03:29 PM par fablelionsilencieux.)
Cinquième participation,
Priape
C'est après midi, c'est la gay pride.
Dans la foule, je voie un couple hétéroclite. Non, ce n'est pas une nouvelle orientation sexuelle des LGBTQIA+ (je ne sais pas combien de lettres ils vont encore rajouter). Simplement, l'un des deux gars est quelconque, pas spécialement beau. L'autre l'est beaucoup plus. Déjà de dos, il est pas mal. Voyons de face.
Wouaouuu ! super le mec. Il est torse nu et vêtu juste d'un slip blanc. Beau visage. Il a juste les yeux cachés derrière des lunettes miroir. Des Rayban. Par moyen de voir quelque-chose à travers.
Bon, il mérite une photo. Il se laisse faire le portait avec le sourire. Voila, c'est dans la boite.
Un truc quand même m'intrigue. Son pote a juste un physique quelconque. Un peu grassouillet, la bouche qui avance, pas franchement beau. Il a l'air un peu pochtron et semble déjà bourré alors qu'on n'est qu'au début du défilé. Pas certain qu'il arrive au bout. Au contraire, le mec en slip blanc tout mignon ne semble présenter aucun défaut. Il y a juste ses lunettes miroir qui cachent une partie de son visage.
Sur son pote, on voit directement les imperfections qui en font un mec quelconque. Lui, il parait super canon. J'en suis à me demander si ses lunettes ne serviraient pas justement à cacher ce qui n'est pas beau à voir chez lui. Un oeil de verre ? un gros trou à la place d'un oeil ? une zone de peau toute rouge ou noire ? Du coup, chacun dans ce couple aurait ses défauts. Il faudrait en savoir plus.
Justement, le mec quelconque qui est son pote et qui a présent suit un ou deux mètre derrière me dit : "Va draguer mon pote !". Merci mec ! à te voir, je comprends un peu pourquoi tu me proposes ça. Allons y.
Sauf qu'à peine j'ai rejoint le mec super canon en slip blanc que celui-ci se retourne et s'aperçoit que celui qui m'a fait la proposition et qui à présent tient à peine debout, essaie de s'éloigner. Du coup, il va le rejoindre.
Bon, je ne t'en veux pas petit ange. Ton copain a eu une chouette idée. Nous aurions pu faire une partie du défilé ensemble puisqu'il n'est plus en mesure de suivre. Tu en aurais profité. Mais bon, tu es fidèle. Je n'ai pas à te le reprocher. Du coup, en t'occupant de ton copain, ta gay pride est peut être presque finie alors qu'elle ne fait que commencer. Si on se revoie un jour, j'essaierai de connaitre le secret que tu caches derrière ces lunettes.
L'itinéraire est simple. On se dirige vers la place principale de la ville via la rue piétonnière avec des commerces des 2 coté. A un endroit, ils ont accroché toute une série de ballons à quelques mètres de hauteur. Ils n'y sont pas d'habitude. Une déco spéciale gay pride. Sympa !
C'est une journée ensoleillée de juillet. Beaucoup de torses nus masculins sont exposés au soleil et au plaisir des yeux. Certains, des deux sexes sont marqué ou portent une pancarte Free Hugs. Garçons ou filles, je ne les délaisse pas. On n'est pas encore en 2020 et des échanges de bisous, ça ne peut faire que du bien.
Mais bon, même s'il n'y a pas marqué free hugs, prendre un autre mec dans ses bras, ce n'est pas interdit. Celui là est pas mal. Assez costaud, bronzé, et il a des décalcomanies arc en ciel aux avants bras. Après s'être serrés l'un dans les bras de l'autre, il me dit qu'on s'est déjà vu à la gay pride de l'année dernière. Il s'appelle Ronan et à 26 ans. On cause un peu.
Après un arrêt sur la place principale de la ville, le défilé continue par de petites rues vers la mairie où un apéro est annoncé. Maintenant, je suis derrière un char qui diffuse de la musique et projette de la mousse qui fait comme des flocons de neige en plein été. On est nombreux à danser. Un gars a une gourde d'une boisson pas mauvaise qu'il me fait boire. Il dit être hétéro (d'ailleurs sa copine est quelque part), mais ça ne l'empêche pas de venir faire la fête avec nous.
On arrive à présent devant la place de la mairie. Ce gars qui s'appelle Jules et qu'on est quelques uns à avoir suivi préfère rester sur le trottoir. Comme il lui reste des trucs à boire, il nous incite à faire pareil. Pour moi, c'est d'accord.
Au bout d'un certain temps, Jules dit qu'il a besoin de pisser et demande qui veut le faire aussi. Ça ne se refuse pas. Jules ne fait pas de chichi pour trouver un endroit à l'écart, la vitrine de la banque (fermée) devant laquelle on est convient très bien. Jules dispose d'un tuyau d'arrosage assez fin entièrement recouvert d'un prépuce qui se termine par une pointe effilée. Ce pipi partagé me donne une vue de choix sur son bel instrument. Finalement, j'avais moins besoin de pisser que lui, mais je ne vais pas filer comme un voleur. J'attends que Jules ait fini lui aussi.
Jules veut nous inviter chez lui. Il indique un endroit dont le nom ne me dit rien et précise qu'il faut juste franchir le pont (qui est à coté) et ensuite, on y est très rapidement. Le groupe met quand même un bout de temps pour se décider à partir. Le pont franchi, je trajet près de l'autre rive du fleuve est beaucoup plus long qu'annoncé. Jules a l'air affabulateur, il a annoncé que c'est à coté pour qu'on le suive, mais on va finir à l'autre bout de la ville. En plus, si j'ai pris un ticket journalier de transports en commun, ce n'est pas pour marcher autant. Allez salut, il doit y avoir un "after" à l'endroit d'où a commencé le défilé qui ne doit pas être terminé.
Les bouteilles en plastique dans mon sac sont vides. Donc, pas de problème pour passer les vigiles qui contrôlent l'entrée. Il y a pas mal de monde. Je vais vers la scène musicale et je suis abordé par un mec vêtu juste d'un short vert. C'est Ronan qui m'a retrouvé. Il dit que je devrai trouver l'amour. On cause un peu, pas beaucoup.
Le concert se finit et pour moi, le trajet le plus simple sera de recommencer à suivre le début du trajet de la gay pride jusqu'à la place principale où passent des tramways. Je suis toujours vêtu de mon boxer spécial gay pride Jack & Jones avec une ceinture arc en ciel en 5 couleurs allant de l'orange au bleu foncé et du rouge que j'ai rajouté au marqueur. Arrivé sur la place je me rhabille un peu et Ronan qui avait du partir un peu avant me retrouve. Il me demande ce que je compte faire à présent. Je réponds que je vais rentrer chez moi.
Un tramway de la ligne que je dois prendre passe. Mais il va dans l'autre sens. Ronan l'a pris. Moi, j'attendrai un peu plus.
Voilà. une nouvelle gay pride s'est bien déroulée. Je repense à Ronan. Si je le revoie, il faudra que je fasse davantage sa connaissance. Peut être l'année prochaine en juillet si aucun événement ne vient repousser la date comme l'année de l'attentat de Nice.
Priape
C'est après midi, c'est la gay pride.
Dans la foule, je voie un couple hétéroclite. Non, ce n'est pas une nouvelle orientation sexuelle des LGBTQIA+ (je ne sais pas combien de lettres ils vont encore rajouter). Simplement, l'un des deux gars est quelconque, pas spécialement beau. L'autre l'est beaucoup plus. Déjà de dos, il est pas mal. Voyons de face.
Wouaouuu ! super le mec. Il est torse nu et vêtu juste d'un slip blanc. Beau visage. Il a juste les yeux cachés derrière des lunettes miroir. Des Rayban. Par moyen de voir quelque-chose à travers.
Bon, il mérite une photo. Il se laisse faire le portait avec le sourire. Voila, c'est dans la boite.
Un truc quand même m'intrigue. Son pote a juste un physique quelconque. Un peu grassouillet, la bouche qui avance, pas franchement beau. Il a l'air un peu pochtron et semble déjà bourré alors qu'on n'est qu'au début du défilé. Pas certain qu'il arrive au bout. Au contraire, le mec en slip blanc tout mignon ne semble présenter aucun défaut. Il y a juste ses lunettes miroir qui cachent une partie de son visage.
Sur son pote, on voit directement les imperfections qui en font un mec quelconque. Lui, il parait super canon. J'en suis à me demander si ses lunettes ne serviraient pas justement à cacher ce qui n'est pas beau à voir chez lui. Un oeil de verre ? un gros trou à la place d'un oeil ? une zone de peau toute rouge ou noire ? Du coup, chacun dans ce couple aurait ses défauts. Il faudrait en savoir plus.
Justement, le mec quelconque qui est son pote et qui a présent suit un ou deux mètre derrière me dit : "Va draguer mon pote !". Merci mec ! à te voir, je comprends un peu pourquoi tu me proposes ça. Allons y.
Sauf qu'à peine j'ai rejoint le mec super canon en slip blanc que celui-ci se retourne et s'aperçoit que celui qui m'a fait la proposition et qui à présent tient à peine debout, essaie de s'éloigner. Du coup, il va le rejoindre.
Bon, je ne t'en veux pas petit ange. Ton copain a eu une chouette idée. Nous aurions pu faire une partie du défilé ensemble puisqu'il n'est plus en mesure de suivre. Tu en aurais profité. Mais bon, tu es fidèle. Je n'ai pas à te le reprocher. Du coup, en t'occupant de ton copain, ta gay pride est peut être presque finie alors qu'elle ne fait que commencer. Si on se revoie un jour, j'essaierai de connaitre le secret que tu caches derrière ces lunettes.
L'itinéraire est simple. On se dirige vers la place principale de la ville via la rue piétonnière avec des commerces des 2 coté. A un endroit, ils ont accroché toute une série de ballons à quelques mètres de hauteur. Ils n'y sont pas d'habitude. Une déco spéciale gay pride. Sympa !
C'est une journée ensoleillée de juillet. Beaucoup de torses nus masculins sont exposés au soleil et au plaisir des yeux. Certains, des deux sexes sont marqué ou portent une pancarte Free Hugs. Garçons ou filles, je ne les délaisse pas. On n'est pas encore en 2020 et des échanges de bisous, ça ne peut faire que du bien.
Mais bon, même s'il n'y a pas marqué free hugs, prendre un autre mec dans ses bras, ce n'est pas interdit. Celui là est pas mal. Assez costaud, bronzé, et il a des décalcomanies arc en ciel aux avants bras. Après s'être serrés l'un dans les bras de l'autre, il me dit qu'on s'est déjà vu à la gay pride de l'année dernière. Il s'appelle Ronan et à 26 ans. On cause un peu.
Après un arrêt sur la place principale de la ville, le défilé continue par de petites rues vers la mairie où un apéro est annoncé. Maintenant, je suis derrière un char qui diffuse de la musique et projette de la mousse qui fait comme des flocons de neige en plein été. On est nombreux à danser. Un gars a une gourde d'une boisson pas mauvaise qu'il me fait boire. Il dit être hétéro (d'ailleurs sa copine est quelque part), mais ça ne l'empêche pas de venir faire la fête avec nous.
On arrive à présent devant la place de la mairie. Ce gars qui s'appelle Jules et qu'on est quelques uns à avoir suivi préfère rester sur le trottoir. Comme il lui reste des trucs à boire, il nous incite à faire pareil. Pour moi, c'est d'accord.
Au bout d'un certain temps, Jules dit qu'il a besoin de pisser et demande qui veut le faire aussi. Ça ne se refuse pas. Jules ne fait pas de chichi pour trouver un endroit à l'écart, la vitrine de la banque (fermée) devant laquelle on est convient très bien. Jules dispose d'un tuyau d'arrosage assez fin entièrement recouvert d'un prépuce qui se termine par une pointe effilée. Ce pipi partagé me donne une vue de choix sur son bel instrument. Finalement, j'avais moins besoin de pisser que lui, mais je ne vais pas filer comme un voleur. J'attends que Jules ait fini lui aussi.
Jules veut nous inviter chez lui. Il indique un endroit dont le nom ne me dit rien et précise qu'il faut juste franchir le pont (qui est à coté) et ensuite, on y est très rapidement. Le groupe met quand même un bout de temps pour se décider à partir. Le pont franchi, je trajet près de l'autre rive du fleuve est beaucoup plus long qu'annoncé. Jules a l'air affabulateur, il a annoncé que c'est à coté pour qu'on le suive, mais on va finir à l'autre bout de la ville. En plus, si j'ai pris un ticket journalier de transports en commun, ce n'est pas pour marcher autant. Allez salut, il doit y avoir un "after" à l'endroit d'où a commencé le défilé qui ne doit pas être terminé.
Les bouteilles en plastique dans mon sac sont vides. Donc, pas de problème pour passer les vigiles qui contrôlent l'entrée. Il y a pas mal de monde. Je vais vers la scène musicale et je suis abordé par un mec vêtu juste d'un short vert. C'est Ronan qui m'a retrouvé. Il dit que je devrai trouver l'amour. On cause un peu, pas beaucoup.
Le concert se finit et pour moi, le trajet le plus simple sera de recommencer à suivre le début du trajet de la gay pride jusqu'à la place principale où passent des tramways. Je suis toujours vêtu de mon boxer spécial gay pride Jack & Jones avec une ceinture arc en ciel en 5 couleurs allant de l'orange au bleu foncé et du rouge que j'ai rajouté au marqueur. Arrivé sur la place je me rhabille un peu et Ronan qui avait du partir un peu avant me retrouve. Il me demande ce que je compte faire à présent. Je réponds que je vais rentrer chez moi.
Un tramway de la ligne que je dois prendre passe. Mais il va dans l'autre sens. Ronan l'a pris. Moi, j'attendrai un peu plus.
Voilà. une nouvelle gay pride s'est bien déroulée. Je repense à Ronan. Si je le revoie, il faudra que je fasse davantage sa connaissance. Peut être l'année prochaine en juillet si aucun événement ne vient repousser la date comme l'année de l'attentat de Nice.
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