17-02-2023, 11:53 AM
(Modification du message : 19-02-2023, 02:17 PM par fablelionsilencieux.)
Le Capitaine de l'épave
__________________________________________________________________________________________________________
En vacances chez ses amis Frédéric et Marlène, dans la maisonnette fraîchement héritée des grands-parents, Théophane était ravi de voir la mer, le bon air et les horizons lointains... Il était de la ville, ce garçon-là.
Se promenant seul sur la grève, loin des endroits où sont les estivants, il tomba sur un étrange spectacle : un garçon en maillot de bain assis devant une épave en bois, et semblant plongé en une profonde réflexion en la fixant.
L'image était jolie, aussi ne résista-t-il pas à l'envie de la photographier... en douce. Le jeune homme avait des cheveux châtain mi-longs qui bouclaient légèrement, et un joli profil.
Puis Théophane passa au large et fit le tour du bateau, qu'il photographia sous toutes les coutures, trouvant cette épave du dernier romantique.
Revenu du côté du garçon, il en eut un regard, puis un sourire. Il hésita un instant, puis s'approcha.
— Comment tu trouves mon bateau ? demanda le garçon.
— Il... Il est à toi ?
— Il aurait dû l'être.
Théophane haussa les épaules, en signe d'incompréhension.
— Viens, je te raconte.
Théophane se posa près du fin garçon, qui commença :
— C'était le bateau de mon grand-père, qui était pêcheur. Quand il a su qu'il ne pourrait plus partir en mer, à cause de son âge, il l'a échoué volontairement. Alors, il était encore en bon état, mais... il ne voulait pas qu'on s'en serve sans lui. Et voilà. Moi, je l'aime, ce bateau... et je suis content que tu l'aies photographié. Comme mon grand-père était respecté de tout le monde, ici, personne n'a jamais touché à son bateau... Mon bateau !
Quand le garçon se tut, Théophane ne sut qu'ajouter. Il eut enfin une idée :
— On t'a déjà photographié devant ?
L'autre tourna la tête, ouvrant de grand yeux — et qu'ils étaient bleus, ces yeux-là !
— Non... Non... Personne. Personne n'y a pensé... et même pas moi !
— Tu voudrais ? Moi, je suis Théophane.
— Oh... oui ! Moi, c'est Gwendal. Tu sais faire des photos ?
— Disons que j'aime ça, et que j'ai quelques notions...
— Youpi ! fit le garçon, tout sourire.
Sourire magnifique qui impressionna Théophane... comme la fine musculature du jeune homme, délicatement décorée de poils fins. Théophane n'avait pas d'avis sur les garçons, en général, mais là... il dut se reconnaître étonné.
Il avait photographié moult nanas... mais jamais de garçon. Il espéra ne pas se tromper... Il commença à donner des ordres, et l'autre s'y plia aussitôt avec vivacité, et espièglerie, même.
Bientôt, Gwendal prit des initiatives, et il monta sur le bateau, posant comme un vrai cabot... Il entra dans le poste de pilotage et s'y fit prendre à chacune des quatre fenêtres... depuis longtemps dépourvues de carreaux.
Puis il revint à la porte... et s'y montra nu. Où il exécuta force figures, que Théophane capta sérieusement. Et puis... il vit que le garçon se touchait la quéquette, et qu'icelle ne tarda pas à roidir de la belle façon.
Il continua à photographier, sans moufter. Enfin, le garçon se branla carrément, non sans poser encore, et il finit par gicler sur le pont avant du bateau... ayant demandé à Théophane de le filmer.
Revenu sur le sable, le mecton continua de prendre des poses languissantes... et Théophane de le photographier.
— Merci, Théophane ! T'en as fait combien ?
— Ben... trois cent-douze.
— Ouaouh ! Si t'es libre ce soir, je t'invite à dîner !
Rentré chez ses amis, Théophane ne leur conta qu'une partie de son aventure, comme bien vous pensez.
Dans sa chambrette, il visionna les photos... et ne fut pas déçu du résultat. Quel cabot que ce Gwendal ! Mais aussi, quel sens de la mise en scène... obscène !
Car les photos de nu étaient d'un professionnel... et là, Théophane n'avait rien demandé.
Il alla donc à la fermette du garçon... où celui-ci le reçut en boxer moulant.
— Vu le temps, tu te mets à ton aise, hein ?
Le garçon offrit un apéritif local et voulut les photos aussitôt. Il disposait d'un grand écran, et de tous les fils qu'il faut pour que ça marche. Vite, il laissa paraître son admiration pour les prises de Théophane, et avant d'en arriver aux images de nu, il demanda :
— Tu me les donnes ?
— Évidemment ! Mais je les garderai aussi, du moins les plus belles, si tu m'y autorises.
Enfin, on arriva à la partie... réaliste. Et le garçon se mit discrètement à se palucher, à travers le tissu... avant d'y aller plus carrément, au fur et à mesure que les images devenaient plus chaudes. Enfin, Gwendal vira carrément son boxer et s'empoigna vivement.
Derechef, Théophane eut sous les yeux un superbe braquemart, que le garçon activait en soupirant.
— C'est vraiment sympa, de m'avoir photographié, tu sais ? J'espère que je t'ai pas choqué... En fait, j'ai eu confiance en toi tout de suite et... je me suis lâché.
— Pas de problème ! Je suis aussi un garçon, tu sais ? Et un photographe doit savoir s'effacer derrière son modèle... surtout s'il est aussi beau et aussi doué que toi !
— Oh, c'est gentil, ça ! s'écria Gwendal en se lâchant la bite pour prendre Théophane par le cou et lui poser là plusieurs bisous.
Théophane avait fait six petits films de Gwendal, avant et après qu'il giclât, et le garçon les trouvait du dernier excitant. Et soudain, il demanda à Théophane de recommencer.
Théophane ayant son appareil, où étaient les photos de la journée, il ne put refuser... et l'effronté Gwendal le convia à le photographier sur son lit, où il lui proposa mille facéties dignes d'un acteur porno de haute volée...
Et Théophane prit tout sans moufter. Enfin, Gwendal déclara, avec un sourire éclatant :
— Là, on arrête, et je te remercie.
— Mais... pas besoin !
— Il faut que je te remercie. Je vais te sucer.
— Hein ? Mais non, non ! fit Théophane, sidéré.
— Et pourquoi non ? C'est agréable, il me semble ?
— Mais je suis pas...
— Un garçon ? Alors montre moi ça !
Et Théophane stupéfait de se laisser dégrafer le bermuda... sous lequel il n'avait d'ailleurs rien mis... mais sans penser à rien. Et il faut avouer que les postures lascives du joli Gwendal lui avaient donné un début de demi-dure... Bref, il ne fit pas de façons pour bander tout à fait, et bien, encore !
Vite, le garçon lui parut être un artiste de la pipe... et il s'abandonna sans autre réflexion. Jamais il n'avait touché un mec, ce garçon-là. Mais le moyen de résister ?
— Oh, bébé ! Tu veux me prendre, maintenant ? demanda Gwendal au bout d'un moment. On est chauds, là, non ?
Théophane ne répondit pas, ce qui pour le garçon valait accord... tacite, donc. Et de se mettre en position de se faire pénétrer par un Théophane qui se croyait sur une autre planète. Gwendal multiplia les positions, et ce fut vautré sur lui que Théophane prit son pied... non sans que Gwendal lui eût pris la nuque pour l'attirer à lui, et s'en faire embrasser fort bavouilleusement.
— Tu me fais jouir, bébé ? demanda Gwendal en mettant la main de Théophane sur sa bite.
La suite fut gracieuse, qui étonna Théophane. Car il eut du plaisir à donner du plaisir à ce gentil garçon.
La suite de la soirée lui fut pleine d'étonnements. Et il apprécia hautement la fantaisie du garçon... comme cette proximité senseuelle avec le joli Gwendal .Qu'il dut baiser encore avant de dormir...
Il envoya un message à Frédéric... lui expliquant qu'il ne rentrait pas dormir... et dès le lendemain matin, il rebaisait un Gwendal tout aussi chaud.
Rentré, il accompagna Frédéric au village pour les courses... et il lui raconta tout. Stupéfait, le beau Frédéric — car c'était un genre de play-boy que ce grand blond musclé, qui avait ravagé des tas de petites culottes avant de se ranger avec la Marlène.
— Mais... t'as aimé le baiser ?
— Ben... figure-toi que oui. Il est super chaud, et il t'encourage, et... finalement, ça te rend chaud aussi ! T'as pas envie d'essayer ?
— Oh ! Non, non !...
— Même seulement pour voir du pays ?
— Enfin... Marlène était pas bien ces derniers jours,et donc : que dalle ! Et là, elle a ses affaires... alors tu vois le tableau !
— Bref, t'as envie de tirer !
Frédéric regarda Théophane d'un œil louche. Ces deux-là se connaissaient bien, mais ils n'avaient jamais baisé de compagnie. Théophane osa :
— Si ça te dérange pas de me voir niquer, ou que je te voie niquer aussi... je suis sûr que c'est possible avec ce mec... qu'est adorable, par ailleurs.
— Sauf que baiser un mec est pas totalement dans mes vues !
— Permets-moi de penser que tu t'y feras aussi vite que moi... d'autant que ce mec suce comme un dieu ! Sinon, tu restes ici à te branler comme un ado frustré !
Frédéric haussa les épaules, un brin vexé. Il avait raison, Théophane : il avait envie de tirer... mais de là à sauter le pas... et un mec par la même occasion !...
Théophane ne ménagea pas ses efforts pour le convaincre :
— Tu viens, on picole, et tu nous regardes commencer. Si tu te sens pas de rester, tu pars en courant... mais si tu crois pouvoir... alors l'avenir nous appartient !
Frédéric finit par se rendre, et l'on alla « prendre le café » chez le nouvel ami de Théophane, qui l'avait prévenu.
Aussi les mecs ne furent pas étonnés de se voir ouvrir par le minet à poil... qui les invita à en faire autant ; mais seul Théophane suivit, Frédéric n'acceptant d'ôter que le haut.
Bulles donc. La conversation enjouée et primesautière de Gwendal détendit vite un Frédéric qui ne tarda pas à rire aux éclats. Il retrouva son sérieux quand le garçon se pencha sur la bite de son ami... qui le regarda en souriant. Avant de lui faire une grimace de satisfaction. Il banda vite, et Gwendal annonça :
— Et maintenant, c'est la promotion du jour : la pipe au champagne ! C'est parti !
Il s'enfila une belle gorgée de bulles glacées avant de reprendre la bite de Théophane qui cria. Mais pas longtemps.
— P'tain, c'est génial, ça !
Gwendal reprit une gorgée, et resuça avec vigueur, avant de demander à Frédéric :
— T'en profites aussi ?
— Euh...
— Si, Frédéric, j'te jure que c'est géant ! s'écria Théophane.
Gwendal vint dégrafer un Frédéric qui n'osa évidemment pas faire sa mijaurée... et qui l'avait en réalité déjà demi-dure.
Et qui apprécia hautement le traitement, tandis que Théophane appréciait son beau braquemart, à première vue un peu plus long que le sien...
Comme on sait, il n'avait jamais vu son ami dans le plaisir, mais il le savait aimer ça... et là, Frédéric ne cacha point son plaisir, qui ne tarda pas à gémir tout haut. Au pointy que Gwendal lui demanda :
— Hep ! Tu voudrais essayer aussi ?
— Ben... Ouais, pourquoi pas ?
Et Frédéric de tenter la chose sur Gwendal, sous l'œil sidéré de Théophane... Et c'est qu'il avait l'air d'aimer ça, le beau blond... qui ce faisant offrait à ses regards son cul musclé et sa mignonne rondelle finement ombrée... Théophane se palucha plus vivement encore.... et quand Frédéric se redressa pour respirer, il lâcha :
— C'est vrai que c'est marrant, c'truc-là ! Tu veux pas essayer ?
— Euh... Euh... Ben... Oui ! bégaya un Théophane bien coincé !
Il attaqua donc le belle bite de Gwendal... et quelques secondes plus tard, il eut un frisson : Frédéric venait de gober la sienne. Il faillit s'en étrangler... et quand il n'eut plus de bulles en bouche, il n'osa pas s'arrêter... parce que Frédéric continuait aussi.
Gwendal remua un peu, afin d'aller choper le chibre de Frédéric, et l'on se pompa donc en triangle de longues secondes... du moins au jugé des débutants.
Puis Gwendal proposa :
— On change de côté ?... et Théophane eut sous le nez le superbe engin de son ami... qu'il emboucha comme un b rave.
Après un temps de ce jeu-là, Gwendal déclara, d'un air si sérieux que ça paraissait normal :
— J'ai vous montrer un gentil p'tit truc... que vous pourrez essayer aussi... sans obligation, évidemment.
Et de saisir les chevilles de Théophane pour le renverser sur le dos, et de plonger promptement le museau entre les petites fesses d'iceluy... qui geignit aussitôt.
— Ça va, tu aimes ?
— Oooh ! Oui, oui, c'est bon !
Où Gwendal fit signe à Frédéric de s'y mettre... sans que Théophane l'aperçût. Il faut croire que Frédéric était doué, car Théophane regeignit avec encore plus d'ardeur...
Gwendal décida alors de se faire prendre, et pria Théophane de s'y mettre en premier... « pour montrer à Frédéric comment faire » ! Sûr qu'iceluy, qui se branlait comme un ado en surchauffe, n'eut pas de mal à comprendre !
Sous les ordres de Gwendal, il le défonça aussi, puis ces garçons eurent à se branler l'un l'autre sur le museau du garçon. Belle fin de séance, et bel après-midi, surtout !
Sur le retour, il y eut d'abord un silence, que brisa enfin Frédéric :
— Merci, c'était... super. J'ai tout apprécié... surtout ta mignonne rondelle, avec ses p'tits poils tout doux...
— Hein ? Mais... Mais tu m'as pas...
— Si, si... et miam, miam !
— Ooooh.... gémit Théophane. Alors tu veux...
— Ce que tu veux.
— Oui, oh oui, oui !
On s'en tint là, car on arrivait. Mais dès le lendemain, on alla reprendre quartier chez le capitaine de l'épave, et là, j'vous jure que le Théophane y alla de bon cœur ! Gwendal a promis de leur apprendre le reste avant la fin du mois... qui va être chaud, réchauffement ou pas ! Et déjà, on se regarde de traviole, et en douce... Moi, je dirais que ça sent la romance ! C'est d'ailleurs ce qu'a suggéré Gwendal, avant leur départ... et l'on en a rosi gentiment.
Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
à chacun son histoire bis (mais ici ce sont des anciennes (g@y-tous styles) ) (slygame.fr)
La "hot" du père Noël ! (GAY-ADO-OS) (slygame.fr)
Piscine...et plaisir aqueux (OS-minet-gay) (slygame.fr)
-La tête dans les étoiles (aquatique)-(fanfiction - gay - humour) (slygame.fr)
à chacun son histoire bis (mais ici ce sont des anciennes (g@y-tous styles) ) (slygame.fr)
La "hot" du père Noël ! (GAY-ADO-OS) (slygame.fr)
Piscine...et plaisir aqueux (OS-minet-gay) (slygame.fr)
-La tête dans les étoiles (aquatique)-(fanfiction - gay - humour) (slygame.fr)