07-02-2023, 01:46 AM
(Modification du message : 07-02-2023, 05:41 AM par fablelionsilencieux.)
Hansel et Gretel
– On ne se ferait un week-end de camping sauvage, juste toi et moi ?’’ a susurré Lucie. Une tente, on se baigne dans les ruisseaux, tu chasseras un gibier, on le cuira au feu de bois…
Ça, c’est ce qui arrive quand une fille de la ville regarde trop de séries.
– Je ne suis pas le Witcher, même un lapin, je ne sais pas comment l’attraper, et je ne te parle pas de le tuer et le vider.
– Au temps pour l’aventure et le romanesque, pour un garçon de la campagne…’’ a-t-elle soupiré.
– Quatre-vingt pourcent de surface au sol gazonné et quelques arbustes, ça s’appelle juste une banlieue verte, c’est pas la campagne… D’ailleurs, on n’y trouve pas ce genre d’installation-ci’’ ai-je murmuré à son oreille, avant de reprendre l’invasion de son corps agrippé au mien, au milieu de notre piscine.
Au moins, je suis plutôt fier d’avoir eu l’endurance de me retenir jusqu’à ce que les contractions de son vagin me fassent éjaculer. Et là, Lucie flotte gentiment sur le dos, ses jambes s’ouvrent et se ferment, libérant les filaments de ma semence, spectacle fascinant où j’imagine mes spermatozoïdes agoniser dans l’eau chlorée… Puis un peu le garçon chargé de l’entretien et de nettoyer le filtre de la pâte translucide dont je l’encrasse. Mignon, lui… Enfin, surtout sa façon de me regarder, moi en tongs et en maillot, lui à genoux devant la trappe de la chambre de visite.
Brillant ! Non, mais vraiment l’idée du siècle, merci, Lucie ! Parce qu’évidemment, j’ai cédé à son caprice, pour me retrouver à porter les deux sacs à dos, et à la trainer, elle, sous une pluie battante, dans cette forêt à la con, au sol soit détrempé quand il était ouvert au ciel, soit blindé de racines à l’abri des arbres.
– We prepared badly’’ ai-je grogné, en référence à la réplique de Ralph Fiennes dans Le Patient Anglais, qu’elle n’a bien sûr jamais vu, pauvre conne…
– On va peut-être trouver une chaumière dans une clairière ?
– Tu as trop regardé Il Était Une Fois sur Netflix, ça n’existe p… Oh ! De la lumière’’ ai-je dit, en apercevant celles d’une villa moderne, entourée d’un immense jardin parfaitement entretenu. ‘’Allons demander si on peut poser notre tente proprement dans leur jardin’’ ai-je ajouté en passant les grilles ouvertes de la propriété.
– Comment êtes-vous entrés ?’’ a demandé un grand jeune homme, méfiant, en ouvrant la porte de la maison.
–J’ai pointé le doigt vers l’entrée béante du domaine, et il s’est tourné pour crier ‘’Mère, vous avez encore oublié de fermer les grilles !’’ avant d’ajouter, radouci, avec un clin d’œil à mon intention ‘’Enfin, soit, vous êtes là, je suppose que je dois vous demander en quoi nous pouvons vous aider.’’
– Quatre mètres carrés de votre gazon pour y poser notre tente, que je m’engage à remettre en état demain matin… S’il vous plait, monsieur.
– Arrête de me vouvoyer, on a le même âge, moi, je suis Charles-Antoine, et vous ?
– Voici Lucie, et moi, c’est Lucas.
– Oh ! Lucie et Lucas, vous avez déjà pas mal de lettres de vos prénoms en commun, quel beau couple’’ a coassé la vieille, soudain apparue derrière le beau mec.
– Nous sommes juste amis’’ ai-je menti, en partie pour soutenir l’étrange réticence de Lucie à admettre publiquement la… profondeur de notre relation, et un peu parce que je ressentais le possible jugement de la vioque.
– Bien, trèèès bien’’ a-t-elle admis. ‘’C’est une maison respectable, ici… Charles-Antoine, nous ne pouvons pas laisser ces enfants sous cet orage, ne pensez-vous pas ?’’
– Tout à fait, Grand-Mère, mais entrez, je vous en prie ! Je ne dois pas vous demander de… Oh, merci’’ a-t-il dit en nous voyant nous déchausser sur le large paillasson de l’entrée. ‘’Vous êtes des invités tout à fait charmants’’ a-t-il ajouté, avec le même regard que le garçon de piscine a pour moi.
– La chambre au bout du couloir pour la jeune fille, et pour ce jeune homme, celle en face de la tienne, mon enfant. Oh ! Pas qu’il faille vous surveiller, elles sont simplement les plus confortables’’ a susurré la sorcière.
– Merci, Madame, Monsieur’’ a minaudé Lucie, à fond dans le personnage d’ingénue d’une de ses séries.
– Je ne sais pas comment vous remercier’’ ai-je ajouté, avec le regard larmoyant du Chat Potté de Shrek.
– Oh, c’est joli’’ a clamé Lucie, un peu bêtement, en découvrant une chambre en camaïeu de rose digne d’une princesse Disney, avant de me jeter un bisou volant et d’en fermer la porte.
– La tienne est plus masculine, ne t’inquiète pas’’ a soufflé Charles-Antoine, en me poussant d’une main insistante le long du couloir, jusqu’à une porte qu’il a ouverte sur une chambre aussi sobre que la mienne, en nuances de gris, brun et taupe, ce que je lui ai confirmé. ‘’Même déco que la mienne, en face… Elle était donc faite pour toi’’ a-t-il ajouté avec un sourire.
Trente minutes plus tard, je ne dormais toujours pas. Je me suis mis en quête d’une salle de bain où je pourrais m’abreuver à un robinet, sans en trouver jusqu’au palier, d’où j’ai vu de la lumière par une porte entrebâillée, dont s’échappait une conversation… En boxer et pieds nus, j’ai descendu les marches.
– Ce sont des niais, ils ont dit être juste amis, la petite dinde est probablement encore vierge, et si ce n’est pas le cas, le docteur Joliet pourra lui reconstruire une virginité, elle devrait plaire à Harvey.
– Vous avez raison, Granny, elle est parfaite. Mais le garçon, je me le garde, il est pour moi, cette fois ! Quitte à le droguer, je m’en fous, je veux son corps, il me plait trop, lui !
– Eh bien soit, il sera ton jouet de plaisir, tu l’as mérité, mon garçon’’ a dit la vieille, avant d’ajouter ‘’Cette soirée agitée m’impose un somnifère, pour pouvoir dormir’’ et de trifouiller dans un meuble pour produire le bruit typique d’un blister qu’on ouvre deux fois.
Bonne nuit, Carabosse’ ai-je pensé, en remontant les marches, pour la voir, du palier, passer une porte du rez-de-chaussée.
Avant de peaufiner mon plan…
Je suis rentré dans ma chambre, dont j’ai laissé la porte entrouverte, jusqu’au retour presqu’immédiat de Charles-Antoine, qui y a forcément frappé…
– Tu ne dors pas ?
– Non’’ lui ai-je répondu, assis au pied du lit. ‘’Et je ne comprends pas, votre accueil, la chambre confortable, il ne devrait rien manquer, et pourtant…’’
– Tu as envie de Lucie ?
– Non’’ ai-je à nouveau menti ‘’Lucie n’est pas… Et comme ta grand-mère l’a dit, c’est une maison respectable, mais même sans ça…’’
– Tu préfères…’ a-t-il osé, avec un regard gourmant.
– Si je te le dis, tu vas me mettre à la porte…
– Les garçons, donc ?
– Pas les garçons, un garçon’’ ai-je gémi, le regard faussement larmoyant. ‘’Mais je comprendrais que toi, tu ne…’’
Charles-Antoine m’a embrassé et couché sur le lit. ‘’Sois délicat, s’il te plait, je n’ai jamais…’’ Il a été étonné, peut-être un peu ému, et a murmuré ‘’Je serai doux, et patient’’, avant de me retirer mon sous-vêtement et d’appliquer la caresse de sa langue le long de ma raie et de mon scrotum, avant d’engouffrer mon sexe déjà très dressé.
‘Quoi qu’il m’en coûte, je vais te fatiguer mec’ ai-je pensé, me souvenant des mécanismes d’imagination que je développais pour amener Lucie au plaisir. ‘Ce ne devrait pas être bien plus dur que…’
– Aaah ! Putain, ça fait mal !
– Au début’’ a murmuré Charles-Antoine, juste au début, le temps de repérer le point qui… Ah ! Là, je crois’’ a-t-il dit en appliquant la couronne durcie de son gland sur cette partie de mon rectum ridiculement sensible, pour faire lentement monter un plaisir insoupçonné et m’amener à agiter la main sur mon sexe, pour une éjaculation supérieure à ce que j’envoie dans Lucie.
– Ta jouissance, c’était… merci, Lucas… je suis fatigué, mais ça valait le coup.
– Pourquoi ‘merci’ ? C’est toi qui…
– Ce n’est pas tellement moi, c’est ton corps parfait qui m’a donné la motivation, mais je suis plutôt…
– Je n’y connais rien, mais tu veux dire… passif ? ai-je murmuré, tentateur.
– Je pensais plutôt… fatigué, mais si tu as l’énergie…
J’ai jeté un regard vers la fenêtre pour y voir, et lui montrer, une pleine lune…
– J’ai la vigueur d’un loup-garou’’ ai-je clamé pour l’exciter en ouvrant la fenêtre, pour l’y pousser, les mains sur l’appui, pour appliquer ma langue entre ses fesses, avant de me redresser et de poigner ses cuisses, pour le pousser par l’ouverture, pour le voir s’étaler sur la terrasse, le crane explosé.
– Lucie, on doit y aller, on les a assez ennuyés’’ ai-je murmuré dès le matin, la pressant de s’habiller. ‘’Ils sont allés à l’église, se faire pardonner je ne sais quoi, allons-y.’’
Sauvés !
Après une énième séance de piscine où, cette fois, nous nous somme évités, Lucie est rentrée chez ses parents, me laissant seul avec le garçon de piscine.
– Tu as un prénom ? Moi, c’est Lucas.
– Je le sais déjà, et ta copine, c’est Lucie’’ a-t-il dit d’un air désolé. ‘’Moi, c’est Joao’’
– Joâ… ?
– Ça se prononce Jou-ong.
– Oh ! Comme ‘jouissons’ ?
– Je n’osais pas te le proposer’’ a-t-il dit, en virant son pantalon de sweat pour plonger et m’inviter à le rejoindre.
Excusez-moi, je vous abandonne, comme je l’ai fait pour Lucie hier, mais j’ai les mains agrippées au bord de notre piscine, et le sexe de Joao m’envahit le rectum, amenant lentement un plaisir déjà infiniment plus grand que celui que Charles-Antoine m’a donné.
– On ne se ferait un week-end de camping sauvage, juste toi et moi ?’’ a susurré Lucie. Une tente, on se baigne dans les ruisseaux, tu chasseras un gibier, on le cuira au feu de bois…
Ça, c’est ce qui arrive quand une fille de la ville regarde trop de séries.
– Je ne suis pas le Witcher, même un lapin, je ne sais pas comment l’attraper, et je ne te parle pas de le tuer et le vider.
– Au temps pour l’aventure et le romanesque, pour un garçon de la campagne…’’ a-t-elle soupiré.
– Quatre-vingt pourcent de surface au sol gazonné et quelques arbustes, ça s’appelle juste une banlieue verte, c’est pas la campagne… D’ailleurs, on n’y trouve pas ce genre d’installation-ci’’ ai-je murmuré à son oreille, avant de reprendre l’invasion de son corps agrippé au mien, au milieu de notre piscine.
Au moins, je suis plutôt fier d’avoir eu l’endurance de me retenir jusqu’à ce que les contractions de son vagin me fassent éjaculer. Et là, Lucie flotte gentiment sur le dos, ses jambes s’ouvrent et se ferment, libérant les filaments de ma semence, spectacle fascinant où j’imagine mes spermatozoïdes agoniser dans l’eau chlorée… Puis un peu le garçon chargé de l’entretien et de nettoyer le filtre de la pâte translucide dont je l’encrasse. Mignon, lui… Enfin, surtout sa façon de me regarder, moi en tongs et en maillot, lui à genoux devant la trappe de la chambre de visite.
Brillant ! Non, mais vraiment l’idée du siècle, merci, Lucie ! Parce qu’évidemment, j’ai cédé à son caprice, pour me retrouver à porter les deux sacs à dos, et à la trainer, elle, sous une pluie battante, dans cette forêt à la con, au sol soit détrempé quand il était ouvert au ciel, soit blindé de racines à l’abri des arbres.
– We prepared badly’’ ai-je grogné, en référence à la réplique de Ralph Fiennes dans Le Patient Anglais, qu’elle n’a bien sûr jamais vu, pauvre conne…
– On va peut-être trouver une chaumière dans une clairière ?
– Tu as trop regardé Il Était Une Fois sur Netflix, ça n’existe p… Oh ! De la lumière’’ ai-je dit, en apercevant celles d’une villa moderne, entourée d’un immense jardin parfaitement entretenu. ‘’Allons demander si on peut poser notre tente proprement dans leur jardin’’ ai-je ajouté en passant les grilles ouvertes de la propriété.
– Comment êtes-vous entrés ?’’ a demandé un grand jeune homme, méfiant, en ouvrant la porte de la maison.
–J’ai pointé le doigt vers l’entrée béante du domaine, et il s’est tourné pour crier ‘’Mère, vous avez encore oublié de fermer les grilles !’’ avant d’ajouter, radouci, avec un clin d’œil à mon intention ‘’Enfin, soit, vous êtes là, je suppose que je dois vous demander en quoi nous pouvons vous aider.’’
– Quatre mètres carrés de votre gazon pour y poser notre tente, que je m’engage à remettre en état demain matin… S’il vous plait, monsieur.
– Arrête de me vouvoyer, on a le même âge, moi, je suis Charles-Antoine, et vous ?
– Voici Lucie, et moi, c’est Lucas.
– Oh ! Lucie et Lucas, vous avez déjà pas mal de lettres de vos prénoms en commun, quel beau couple’’ a coassé la vieille, soudain apparue derrière le beau mec.
– Nous sommes juste amis’’ ai-je menti, en partie pour soutenir l’étrange réticence de Lucie à admettre publiquement la… profondeur de notre relation, et un peu parce que je ressentais le possible jugement de la vioque.
– Bien, trèèès bien’’ a-t-elle admis. ‘’C’est une maison respectable, ici… Charles-Antoine, nous ne pouvons pas laisser ces enfants sous cet orage, ne pensez-vous pas ?’’
– Tout à fait, Grand-Mère, mais entrez, je vous en prie ! Je ne dois pas vous demander de… Oh, merci’’ a-t-il dit en nous voyant nous déchausser sur le large paillasson de l’entrée. ‘’Vous êtes des invités tout à fait charmants’’ a-t-il ajouté, avec le même regard que le garçon de piscine a pour moi.
– La chambre au bout du couloir pour la jeune fille, et pour ce jeune homme, celle en face de la tienne, mon enfant. Oh ! Pas qu’il faille vous surveiller, elles sont simplement les plus confortables’’ a susurré la sorcière.
– Merci, Madame, Monsieur’’ a minaudé Lucie, à fond dans le personnage d’ingénue d’une de ses séries.
– Je ne sais pas comment vous remercier’’ ai-je ajouté, avec le regard larmoyant du Chat Potté de Shrek.
– Oh, c’est joli’’ a clamé Lucie, un peu bêtement, en découvrant une chambre en camaïeu de rose digne d’une princesse Disney, avant de me jeter un bisou volant et d’en fermer la porte.
– La tienne est plus masculine, ne t’inquiète pas’’ a soufflé Charles-Antoine, en me poussant d’une main insistante le long du couloir, jusqu’à une porte qu’il a ouverte sur une chambre aussi sobre que la mienne, en nuances de gris, brun et taupe, ce que je lui ai confirmé. ‘’Même déco que la mienne, en face… Elle était donc faite pour toi’’ a-t-il ajouté avec un sourire.
Trente minutes plus tard, je ne dormais toujours pas. Je me suis mis en quête d’une salle de bain où je pourrais m’abreuver à un robinet, sans en trouver jusqu’au palier, d’où j’ai vu de la lumière par une porte entrebâillée, dont s’échappait une conversation… En boxer et pieds nus, j’ai descendu les marches.
– Ce sont des niais, ils ont dit être juste amis, la petite dinde est probablement encore vierge, et si ce n’est pas le cas, le docteur Joliet pourra lui reconstruire une virginité, elle devrait plaire à Harvey.
– Vous avez raison, Granny, elle est parfaite. Mais le garçon, je me le garde, il est pour moi, cette fois ! Quitte à le droguer, je m’en fous, je veux son corps, il me plait trop, lui !
– Eh bien soit, il sera ton jouet de plaisir, tu l’as mérité, mon garçon’’ a dit la vieille, avant d’ajouter ‘’Cette soirée agitée m’impose un somnifère, pour pouvoir dormir’’ et de trifouiller dans un meuble pour produire le bruit typique d’un blister qu’on ouvre deux fois.
Bonne nuit, Carabosse’ ai-je pensé, en remontant les marches, pour la voir, du palier, passer une porte du rez-de-chaussée.
Avant de peaufiner mon plan…
Je suis rentré dans ma chambre, dont j’ai laissé la porte entrouverte, jusqu’au retour presqu’immédiat de Charles-Antoine, qui y a forcément frappé…
– Tu ne dors pas ?
– Non’’ lui ai-je répondu, assis au pied du lit. ‘’Et je ne comprends pas, votre accueil, la chambre confortable, il ne devrait rien manquer, et pourtant…’’
– Tu as envie de Lucie ?
– Non’’ ai-je à nouveau menti ‘’Lucie n’est pas… Et comme ta grand-mère l’a dit, c’est une maison respectable, mais même sans ça…’’
– Tu préfères…’ a-t-il osé, avec un regard gourmant.
– Si je te le dis, tu vas me mettre à la porte…
– Les garçons, donc ?
– Pas les garçons, un garçon’’ ai-je gémi, le regard faussement larmoyant. ‘’Mais je comprendrais que toi, tu ne…’’
Charles-Antoine m’a embrassé et couché sur le lit. ‘’Sois délicat, s’il te plait, je n’ai jamais…’’ Il a été étonné, peut-être un peu ému, et a murmuré ‘’Je serai doux, et patient’’, avant de me retirer mon sous-vêtement et d’appliquer la caresse de sa langue le long de ma raie et de mon scrotum, avant d’engouffrer mon sexe déjà très dressé.
‘Quoi qu’il m’en coûte, je vais te fatiguer mec’ ai-je pensé, me souvenant des mécanismes d’imagination que je développais pour amener Lucie au plaisir. ‘Ce ne devrait pas être bien plus dur que…’
– Aaah ! Putain, ça fait mal !
– Au début’’ a murmuré Charles-Antoine, juste au début, le temps de repérer le point qui… Ah ! Là, je crois’’ a-t-il dit en appliquant la couronne durcie de son gland sur cette partie de mon rectum ridiculement sensible, pour faire lentement monter un plaisir insoupçonné et m’amener à agiter la main sur mon sexe, pour une éjaculation supérieure à ce que j’envoie dans Lucie.
– Ta jouissance, c’était… merci, Lucas… je suis fatigué, mais ça valait le coup.
– Pourquoi ‘merci’ ? C’est toi qui…
– Ce n’est pas tellement moi, c’est ton corps parfait qui m’a donné la motivation, mais je suis plutôt…
– Je n’y connais rien, mais tu veux dire… passif ? ai-je murmuré, tentateur.
– Je pensais plutôt… fatigué, mais si tu as l’énergie…
J’ai jeté un regard vers la fenêtre pour y voir, et lui montrer, une pleine lune…
– J’ai la vigueur d’un loup-garou’’ ai-je clamé pour l’exciter en ouvrant la fenêtre, pour l’y pousser, les mains sur l’appui, pour appliquer ma langue entre ses fesses, avant de me redresser et de poigner ses cuisses, pour le pousser par l’ouverture, pour le voir s’étaler sur la terrasse, le crane explosé.
– Lucie, on doit y aller, on les a assez ennuyés’’ ai-je murmuré dès le matin, la pressant de s’habiller. ‘’Ils sont allés à l’église, se faire pardonner je ne sais quoi, allons-y.’’
Sauvés !
Après une énième séance de piscine où, cette fois, nous nous somme évités, Lucie est rentrée chez ses parents, me laissant seul avec le garçon de piscine.
– Tu as un prénom ? Moi, c’est Lucas.
– Je le sais déjà, et ta copine, c’est Lucie’’ a-t-il dit d’un air désolé. ‘’Moi, c’est Joao’’
– Joâ… ?
– Ça se prononce Jou-ong.
– Oh ! Comme ‘jouissons’ ?
– Je n’osais pas te le proposer’’ a-t-il dit, en virant son pantalon de sweat pour plonger et m’inviter à le rejoindre.
Excusez-moi, je vous abandonne, comme je l’ai fait pour Lucie hier, mais j’ai les mains agrippées au bord de notre piscine, et le sexe de Joao m’envahit le rectum, amenant lentement un plaisir déjà infiniment plus grand que celui que Charles-Antoine m’a donné.
Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
à chacun son histoire bis (mais ici ce sont des anciennes (g@y-tous styles) ) (slygame.fr)
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Piscine...et plaisir aqueux (OS-minet-gay) (slygame.fr)
-La tête dans les étoiles (aquatique)-(fanfiction - gay - humour) (slygame.fr)
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