03-02-2023, 01:59 PM
CHAPITRE 149 : « De nos jours ». » « Mission scientifique en antarctique » « suite »
« Plusieurs jours plus tard, au campement provisoire de recherche glaciaire. »
Patrick sort de son igloo comme il le fait chaque matin en faisant des étirements pour détendre son corps, son regard fait alors un tour d’horizon rapide tandis que ses traits marquent l’étonnement.
Bruno l’ayant vu sortir, il vient à sa rencontre avec le sourire.
- Tu dois te demander quoi, pas vrai ?
- En effet, pourquoi tout ce raffut ?
- L’enquête est, soit terminée, soit elle passe à un nouveau stade, toujours est-il que depuis le milieu de la nuit ils remballent tous leurs affaires.
- Qu’en sera-t-il pour nous du coup ?
- Apparemment notre tâche est terminée, l’engin aurait descendu trop profondément pour qu’il soit question d’envisager de le sortir de la glace. De plus nous avons terminé d’analyser la dangerosité des derniers prélèvements et le reste ne pourra se traiter qu’en laboratoire, donc on ne devrait plus tarder à recevoir l’ordre de rentrer.
- Il était temps, j’ai eu peur à un moment qu’ils nous emprisonnent tous.
- Evitons de parler de ça tu veux bien, ce serait mauvais pour nous que quelqu’un nous entende à ce stade.
- Ok, je comprends, tu as prévu quoi du coup ?
- Déjà en premier lieu, rentrer à la maison et prendre quelques vacances bien méritées, ensuite reprendre mes recherches, je présume que c’est pareil pour toi, non ?
- Hum oui ! Je serais heureux d’avoir mon fils un peu pour moi. Ensuite je reprendrais également mes recherches, mais avant cela j’essayerais de visiter quelques amis que j’ai trop longtemps perdus de vue.
En disant cela, Patrick fait un clin d’œil entendu à son ami, qui lui renvoi une grimace montrant bien sa désapprobation sans qu’il n’ait besoin de paroles pour le lui faire comprendre.
***/***
« Manoir des De-Laitre, quelques semaines plus tard. »
Sarah termine de se pomponner pour la soirée qu’a organisé son mari pour revoir ses camarades d’université, la dernière du genre commençant réellement à dater.
Elle n’est donc pas étonnée plus que ça de revoir tous ses garçons, qui pour la plupart sont devenus également pour elle de véritables amis, heureuse de pouvoir montrer au grand jour son petit Charles bientôt âgé de deux mois.
Ancienne star du cinéma ayant pris sa retraite pour suivre son époux, elle en a gardé sa silhouette élancée et son sourire ensorceleur, fierté de Marcel qui l’aime comme aux premiers jours.
C’est donc toute resplendissante et pimpante, qu’elle apparait devant leurs invités depuis le haut des marches de marbres menant à l’étage depuis la grande salle de réception.
Son regard fait un tour rapide, reconnaissant quelques épouses d’amis de son mari, mais cherchant une personne en particulier qui quand elle la trouve lui amène un sourire épanoui.
Sa seule véritable amie de toujours, connue sur les bancs de l’école, puis ceux de l’université, jusqu’à leur mariage à toutes les deux avec deux jeunes hommes également inséparables, qui leur ont ainsi permis de pouvoir rester en contact après toutes ces années.
Sarah lève la main en l’appelant par son prénom pour qu’elle s’aperçoive à son tour de sa présence.
- Carole !! par ici ma chérie !!
Le sourire resplendissant qu’elle reçoit en retour montre bien le degré d’intimité des deux femmes, encore plus quand elles se rejoignent pour s’étreindre avec une joie impossible à feindre.
Les deux amies papotent ensuite un long moment, avant d’en venir au sujet chère à leur cœur de leur rejeton respectif.
- Merci d’avoir prévu une nounou pour mon petit Marc, j’ai longuement hésité à l’emmener avec moi, mais je n’avais pas le cœur à le laisser à la maison avec ma mère.
- Tu as eu raison de l’amener avec toi, la nounou de Charles s’occupera bien de lui, veux tu que nous allions voir comment il se porte, j’avoue que je suis curieuse de le connaitre et comme ça je pourrais te présenter mon fils.
- Avec joie, j’ai été très heureuse d’apprendre sa venue au monde à quelques semaines du mien, j’espère qu’ils seront aussi soudés en amitié que nous et nos époux le somment.
La conversation intarissable continue jusqu’à l’approche de la nurserie, elles y entrent alors en silence pour ne pas réveiller les deux bébés qui y dorment.
Ils sont couchés l’un contre l’autre dans le même lit, dormant avec leurs visages souriant tourner l’un vers l’autre, ce qui fait sourire les deux mamans en s’en faisant la remarque.
- Je pense que cela devrait aller pour eux, apparemment ils se sentent assez en confiance pour dormir sereinement aussi près l’un de l’autre.
- Ton fils est magnifique, je ne pense pas avoir déjà vu un nourrisson avec un visage aussi parfait, il va te falloir le surveiller de près celui-là ! Hi ! Hi !
Sarah accentue son sourire comme pour toute mère recevant ce genre d’éloge sur sa progéniture, plusieurs personnes lui ont déjà fait cette remarque et du coup elle ne s’en retrouve pas surprise de l’entendre de la bouche de son amie, lui faisant les mêmes éloges sur son fils sans avoir à forcer le trait, car elle doit bien reconnaitre que le petit Marc a vraiment une bouille mignonne à regarder.
- Alors nous devrons les surveillés tous les deux, j’ai hâte de les voir jouer ensemble.
***/***
« Pendant ce temps-là, salle de réception du manoir. »
Marcel vérifie que toutes les personnes présentes soient bien connues de lui, ayant eu mainte occasion depuis son retour de remarquer quelques personnes cherchant à s’introduire dans ses bonnes grâces.
Il n’est pas dupe d’en connaitre la raison et en accepte le fait sans sembler le remarquer, heureusement ce n’est pas le cas actuellement car il aurait été difficile pour n’importe lequel de ses opportuns de se faire passer pour un proche.
Du coup il s’avance vers Patrick pour le serrer dans ses bras, heureux de pouvoir le faire dans de meilleures conditions que la dernière fois qu’ils se sont vus.
Ils discutent de tout et de rien, aussi bien revisitant leurs souvenirs de jeunesses que des sujets plus d’actualité, Marcel entrainant mine de rien son ami vers une salle plus intime en refermant la porte derrière eux.
Un tour de verrou et il entraine Patrick vers un cané sur lequel ils s’assoient tous les deux.
- Cette salle est insonorisée, ont peut donc discuter sans risque de notre affaire.
- N’est-ce pas trop tôt ? j’ai l’impression d’être suivit depuis que j’ai quitté la banquise.
- Rassure-toi ce n’est pas qu’une impression, tu croyais peut-être qu’ils allaient lâcher le morceau aussi vite ? les preuves qu’ils ont réussies à avoir vont les laisser éveillés encore durant de nombreuses années.
- J’ai entendu parler de l’examen médicale des nourrissons nés de cette année, le mien l’a déjà passé et je me demandais pour le tien.
- Pas de soucis, rappelle-toi que je suis de lignée royale, ils m’ont donc laissé le choix du médecin pour se faire.
Marcel voit bien la curiosité d’en savoir plus qui marque le visage de son ami, aussi il a pitié de lui et décide de ne pas s’amuser plus longtemps à ses dépens.
- Nous avons fait tous les examens possibles et nous en sommes encore à chercher à comprendre.
- Comment ça, explique-toi !
- Physiquement tout semble normal, mais c’est à l’intérieur que les choses deviennent intéressantes, l’analyse ADN révèle une chaine environ trente pour cent supérieur à celle d’un humain lambda et bien sur il faudra des années pour tenter d’en déchiffrer le code pour en connaitre les répercussions, si elles sont néfastes pour nous autres humains ou au contraire bénéfiques.
- Tu penses à quoi en particulier ? des super pouvoirs de guérisons, pour la pratique du sport, intellectuels ou autre chose ?
Marcel reconnait bien là le scientifique dans ses questions, aussi ouvre-t-il un tiroir pour en sortir quelques feuillets qu’il tend à son ami, ce dernier y jette un œil avant de revenir vers lui les yeux ronds d’étonnement.
- Mais enfin… cela n’est pas possible, que signifie…
« Plusieurs jours plus tard, au campement provisoire de recherche glaciaire. »
Patrick sort de son igloo comme il le fait chaque matin en faisant des étirements pour détendre son corps, son regard fait alors un tour d’horizon rapide tandis que ses traits marquent l’étonnement.
Bruno l’ayant vu sortir, il vient à sa rencontre avec le sourire.
- Tu dois te demander quoi, pas vrai ?
- En effet, pourquoi tout ce raffut ?
- L’enquête est, soit terminée, soit elle passe à un nouveau stade, toujours est-il que depuis le milieu de la nuit ils remballent tous leurs affaires.
- Qu’en sera-t-il pour nous du coup ?
- Apparemment notre tâche est terminée, l’engin aurait descendu trop profondément pour qu’il soit question d’envisager de le sortir de la glace. De plus nous avons terminé d’analyser la dangerosité des derniers prélèvements et le reste ne pourra se traiter qu’en laboratoire, donc on ne devrait plus tarder à recevoir l’ordre de rentrer.
- Il était temps, j’ai eu peur à un moment qu’ils nous emprisonnent tous.
- Evitons de parler de ça tu veux bien, ce serait mauvais pour nous que quelqu’un nous entende à ce stade.
- Ok, je comprends, tu as prévu quoi du coup ?
- Déjà en premier lieu, rentrer à la maison et prendre quelques vacances bien méritées, ensuite reprendre mes recherches, je présume que c’est pareil pour toi, non ?
- Hum oui ! Je serais heureux d’avoir mon fils un peu pour moi. Ensuite je reprendrais également mes recherches, mais avant cela j’essayerais de visiter quelques amis que j’ai trop longtemps perdus de vue.
En disant cela, Patrick fait un clin d’œil entendu à son ami, qui lui renvoi une grimace montrant bien sa désapprobation sans qu’il n’ait besoin de paroles pour le lui faire comprendre.
***/***
« Manoir des De-Laitre, quelques semaines plus tard. »
Sarah termine de se pomponner pour la soirée qu’a organisé son mari pour revoir ses camarades d’université, la dernière du genre commençant réellement à dater.
Elle n’est donc pas étonnée plus que ça de revoir tous ses garçons, qui pour la plupart sont devenus également pour elle de véritables amis, heureuse de pouvoir montrer au grand jour son petit Charles bientôt âgé de deux mois.
Ancienne star du cinéma ayant pris sa retraite pour suivre son époux, elle en a gardé sa silhouette élancée et son sourire ensorceleur, fierté de Marcel qui l’aime comme aux premiers jours.
C’est donc toute resplendissante et pimpante, qu’elle apparait devant leurs invités depuis le haut des marches de marbres menant à l’étage depuis la grande salle de réception.
Son regard fait un tour rapide, reconnaissant quelques épouses d’amis de son mari, mais cherchant une personne en particulier qui quand elle la trouve lui amène un sourire épanoui.
Sa seule véritable amie de toujours, connue sur les bancs de l’école, puis ceux de l’université, jusqu’à leur mariage à toutes les deux avec deux jeunes hommes également inséparables, qui leur ont ainsi permis de pouvoir rester en contact après toutes ces années.
Sarah lève la main en l’appelant par son prénom pour qu’elle s’aperçoive à son tour de sa présence.
- Carole !! par ici ma chérie !!
Le sourire resplendissant qu’elle reçoit en retour montre bien le degré d’intimité des deux femmes, encore plus quand elles se rejoignent pour s’étreindre avec une joie impossible à feindre.
Les deux amies papotent ensuite un long moment, avant d’en venir au sujet chère à leur cœur de leur rejeton respectif.
- Merci d’avoir prévu une nounou pour mon petit Marc, j’ai longuement hésité à l’emmener avec moi, mais je n’avais pas le cœur à le laisser à la maison avec ma mère.
- Tu as eu raison de l’amener avec toi, la nounou de Charles s’occupera bien de lui, veux tu que nous allions voir comment il se porte, j’avoue que je suis curieuse de le connaitre et comme ça je pourrais te présenter mon fils.
- Avec joie, j’ai été très heureuse d’apprendre sa venue au monde à quelques semaines du mien, j’espère qu’ils seront aussi soudés en amitié que nous et nos époux le somment.
La conversation intarissable continue jusqu’à l’approche de la nurserie, elles y entrent alors en silence pour ne pas réveiller les deux bébés qui y dorment.
Ils sont couchés l’un contre l’autre dans le même lit, dormant avec leurs visages souriant tourner l’un vers l’autre, ce qui fait sourire les deux mamans en s’en faisant la remarque.
- Je pense que cela devrait aller pour eux, apparemment ils se sentent assez en confiance pour dormir sereinement aussi près l’un de l’autre.
- Ton fils est magnifique, je ne pense pas avoir déjà vu un nourrisson avec un visage aussi parfait, il va te falloir le surveiller de près celui-là ! Hi ! Hi !
Sarah accentue son sourire comme pour toute mère recevant ce genre d’éloge sur sa progéniture, plusieurs personnes lui ont déjà fait cette remarque et du coup elle ne s’en retrouve pas surprise de l’entendre de la bouche de son amie, lui faisant les mêmes éloges sur son fils sans avoir à forcer le trait, car elle doit bien reconnaitre que le petit Marc a vraiment une bouille mignonne à regarder.
- Alors nous devrons les surveillés tous les deux, j’ai hâte de les voir jouer ensemble.
***/***
« Pendant ce temps-là, salle de réception du manoir. »
Marcel vérifie que toutes les personnes présentes soient bien connues de lui, ayant eu mainte occasion depuis son retour de remarquer quelques personnes cherchant à s’introduire dans ses bonnes grâces.
Il n’est pas dupe d’en connaitre la raison et en accepte le fait sans sembler le remarquer, heureusement ce n’est pas le cas actuellement car il aurait été difficile pour n’importe lequel de ses opportuns de se faire passer pour un proche.
Du coup il s’avance vers Patrick pour le serrer dans ses bras, heureux de pouvoir le faire dans de meilleures conditions que la dernière fois qu’ils se sont vus.
Ils discutent de tout et de rien, aussi bien revisitant leurs souvenirs de jeunesses que des sujets plus d’actualité, Marcel entrainant mine de rien son ami vers une salle plus intime en refermant la porte derrière eux.
Un tour de verrou et il entraine Patrick vers un cané sur lequel ils s’assoient tous les deux.
- Cette salle est insonorisée, ont peut donc discuter sans risque de notre affaire.
- N’est-ce pas trop tôt ? j’ai l’impression d’être suivit depuis que j’ai quitté la banquise.
- Rassure-toi ce n’est pas qu’une impression, tu croyais peut-être qu’ils allaient lâcher le morceau aussi vite ? les preuves qu’ils ont réussies à avoir vont les laisser éveillés encore durant de nombreuses années.
- J’ai entendu parler de l’examen médicale des nourrissons nés de cette année, le mien l’a déjà passé et je me demandais pour le tien.
- Pas de soucis, rappelle-toi que je suis de lignée royale, ils m’ont donc laissé le choix du médecin pour se faire.
Marcel voit bien la curiosité d’en savoir plus qui marque le visage de son ami, aussi il a pitié de lui et décide de ne pas s’amuser plus longtemps à ses dépens.
- Nous avons fait tous les examens possibles et nous en sommes encore à chercher à comprendre.
- Comment ça, explique-toi !
- Physiquement tout semble normal, mais c’est à l’intérieur que les choses deviennent intéressantes, l’analyse ADN révèle une chaine environ trente pour cent supérieur à celle d’un humain lambda et bien sur il faudra des années pour tenter d’en déchiffrer le code pour en connaitre les répercussions, si elles sont néfastes pour nous autres humains ou au contraire bénéfiques.
- Tu penses à quoi en particulier ? des super pouvoirs de guérisons, pour la pratique du sport, intellectuels ou autre chose ?
Marcel reconnait bien là le scientifique dans ses questions, aussi ouvre-t-il un tiroir pour en sortir quelques feuillets qu’il tend à son ami, ce dernier y jette un œil avant de revenir vers lui les yeux ronds d’étonnement.
- Mais enfin… cela n’est pas possible, que signifie…
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