28-01-2023, 09:49 PM
Je vous met en premier un mélange de deux titre :
1/ Aladin et Hans & Gretel
Contrairement à la légende, sa lampe magique n'avait vraiment rien de spécial. Il fallait régulièrement remettre de l'huile dans son petit réservoir, il fallait non moins régulièrement moucher la mèche qui, de toutes façons, fumait et donc empestait la pièce en terre battue d'une odeur qui s'était imprégnée dans le sol. Sa masure était petite, un peu sordide mais elle avait l'avantage que c'était la sienne, à lui seul puisque son père la lui avait léguée et qu'il était le seul fils. Il tenait néanmoins beaucoup à cette lampe car malgré ses défauts elle avait un avantage : elle éclairait suffisamment la petite pièce, c'était la seule, pour qu'il puisse lire.
Oui ! Aladin savait lire même s'il n’était jamais allé à l'école, ce n'était pas pour des gens de leur milieu, mais le fait est qu'il avait un jour découvert qu'il savait lire. Oh, il ne comprenait pas tout mais son imagination comblait les trous de sorte que finalement il connaissait le fin mot de ces histoires, quitte à ce que la vérité du texte original en prenne parfois un méchant coup.
Il lisait tout ce qui lui tombait sous la main, y-compris les journaux qu'il trouvait dans la rue lorsqu'il se rendait chez l'écrivain public qui l'avait engagé pour nettoyer et ranger son office où il recevait ses clients et la petite pièce qui lui servait pour tout ce qui n'était pas nécessaire dans l'exercice de son métier : il y dormait, y mangeait, y rêvait.
Parfois, selon les courriers qu'ils devaient rédiger pour ses clients, cela lui procurait des envies qu'il n'osait pas trop exposer mais qui provoquaient immanquablement des images nocturnes qui se terminaient pas l'éruption d'une sécrétion qui envahissait sa culotte mais qui, surtout, lui procurait un indicible plaisir.
À sa grande honte, il arrivait que l'image du petit Aladin vienne s'insinuer dans son rêve ce qui ne faisait qu'augmenter sa jouissance et… sa honte, même s'il n'y pouvait rien.
Une fin d'après-midi, alors qu'il rangeait les livres qui avaient inspiré son Maître, il remarqua un ouvrage dont la couverture en peau était tout-à-fait inhabituelle, par sa couleur et les reflets qu'elle irradiait, au point qu'on aurait presque pu croire qu'il s'agissait d'une lampe dotée d'une forme extravagante.
Le Maître vouait une attention toute particulière à ce livre, le maniant avec une grande délicatesse comme s'il s'agissait d'un objet précieux ce qui pouvait expliquer qu'Aladin avait l'interdiction formelle d'y toucher. Le jeune garçon avait tenté à plusieurs reprises d'obtenir des explications mais les seules réponses qu'il obtenu fut un sourire énigmatique, légèrement coquin ce qui, évidemment, ne fit qu'attiser la curiosité du jeune garçon. Un beau matin, le livre n'était plus sur l'écritoire au grand dam d'Aladin qui avait espéré avoir une fois l'occasion de découvrir ce que cachait ces mystérieuses pages.
Aladin avait oublié depuis longtemps cet incident lorsqu'un soir le Maître demanda à Aladin de travailler plus tard que d'habitude car il souhaitait que l'on enlevât la poussière qui s'était déposée sur le dernier rayon : il pourrait partir lorsqu'il en aurait terminé, sans oublier bien sûr de tirer le double loquet à moins qu'il souhaite dormir sur la paillasse de la petite pièce car, cette nuit, le Maître ne serait pas là.
La soirée était déjà bien avancée lorsque Aladin aperçu, au bout de la planche qui servait de rayon, comme une vague lueur. Intrigué, il déplaça son escabeau brinquebalant et il vit ce qu'il avait oublié, le fameux livre…
Il fut saisi d'un tremblement qu'il ne pouvait contenir, il avait réalisé qu'il ne pourrait résister à la tentation de saisir le livre, de le descendre et le placer sur l'écritoire. Incontestablement, ce livre dégageait quelque chose de mystérieux, d'ineffable, presque magique. Il fallait qu'il découvre ce que cachait ses pages si envoutantes.
Avec une extrême prudence il tourna la première page sur laquelle il déchiffra ces mots "Hans & Gretel" mais ce dernier mot avait été pratiquement effacé et remplacé par "Moritz" ce qui donnait finalement "Hans & Moritz". Sur la deuxième page on trouvait une image montrant un jeune garçon qui passait son bras autour des épaules d'un personnage qui avait été soigneusement effacé mais dont on pouvait deviner, tout en bas, l'ourlet d'une robe. Et de nouveau, la phrase "Hans & Moritz", Moritz ayant clairement été rajouté. À la cinquième ou sixième page, Deux personnages, toujours le même garçon mais qui avait ses lèvres sur la bouche d'une charmante fillette dont on ne voyait plus que la tête, le reste du corps ayant été soigneusement effacé. Mais la tête était déjà en phase de modification, les lèvres étaient clairement celles d'un garçon.
Aladin était comme envouté, jamais il n'avait envisagé que deux garçons puissent s'embrasser et pourtant l'image quoique encore inachevée montrait un plaisir évident dans le regard des deux très jeunes hommes. Aladin sentit un tressaillement dans sa culotte lui procurant une sorte d'extase qu'il n'avait jamais ressentie. Une main s'était introduite dans sa culotte et lui procurait une délicieuse sensation dont il souhaitait qu'elle se prolongeât indéfiniment. L'intensité de ce sentiment allait en augmentant jusqu'à en devenir presque insupportable.
C'est à ce moment qu'il sentit pour la première fois un liquide crémeux et tiède qui s'échappait de son corps alors que son Maître continuait ses caresses et qu'Aladin n'avait qu'une envie...
Que tout cela ne soit pas qu'un rêve.
1/ Aladin et Hans & Gretel
Contrairement à la légende, sa lampe magique n'avait vraiment rien de spécial. Il fallait régulièrement remettre de l'huile dans son petit réservoir, il fallait non moins régulièrement moucher la mèche qui, de toutes façons, fumait et donc empestait la pièce en terre battue d'une odeur qui s'était imprégnée dans le sol. Sa masure était petite, un peu sordide mais elle avait l'avantage que c'était la sienne, à lui seul puisque son père la lui avait léguée et qu'il était le seul fils. Il tenait néanmoins beaucoup à cette lampe car malgré ses défauts elle avait un avantage : elle éclairait suffisamment la petite pièce, c'était la seule, pour qu'il puisse lire.
Oui ! Aladin savait lire même s'il n’était jamais allé à l'école, ce n'était pas pour des gens de leur milieu, mais le fait est qu'il avait un jour découvert qu'il savait lire. Oh, il ne comprenait pas tout mais son imagination comblait les trous de sorte que finalement il connaissait le fin mot de ces histoires, quitte à ce que la vérité du texte original en prenne parfois un méchant coup.
Il lisait tout ce qui lui tombait sous la main, y-compris les journaux qu'il trouvait dans la rue lorsqu'il se rendait chez l'écrivain public qui l'avait engagé pour nettoyer et ranger son office où il recevait ses clients et la petite pièce qui lui servait pour tout ce qui n'était pas nécessaire dans l'exercice de son métier : il y dormait, y mangeait, y rêvait.
Parfois, selon les courriers qu'ils devaient rédiger pour ses clients, cela lui procurait des envies qu'il n'osait pas trop exposer mais qui provoquaient immanquablement des images nocturnes qui se terminaient pas l'éruption d'une sécrétion qui envahissait sa culotte mais qui, surtout, lui procurait un indicible plaisir.
À sa grande honte, il arrivait que l'image du petit Aladin vienne s'insinuer dans son rêve ce qui ne faisait qu'augmenter sa jouissance et… sa honte, même s'il n'y pouvait rien.
Une fin d'après-midi, alors qu'il rangeait les livres qui avaient inspiré son Maître, il remarqua un ouvrage dont la couverture en peau était tout-à-fait inhabituelle, par sa couleur et les reflets qu'elle irradiait, au point qu'on aurait presque pu croire qu'il s'agissait d'une lampe dotée d'une forme extravagante.
Le Maître vouait une attention toute particulière à ce livre, le maniant avec une grande délicatesse comme s'il s'agissait d'un objet précieux ce qui pouvait expliquer qu'Aladin avait l'interdiction formelle d'y toucher. Le jeune garçon avait tenté à plusieurs reprises d'obtenir des explications mais les seules réponses qu'il obtenu fut un sourire énigmatique, légèrement coquin ce qui, évidemment, ne fit qu'attiser la curiosité du jeune garçon. Un beau matin, le livre n'était plus sur l'écritoire au grand dam d'Aladin qui avait espéré avoir une fois l'occasion de découvrir ce que cachait ces mystérieuses pages.
Aladin avait oublié depuis longtemps cet incident lorsqu'un soir le Maître demanda à Aladin de travailler plus tard que d'habitude car il souhaitait que l'on enlevât la poussière qui s'était déposée sur le dernier rayon : il pourrait partir lorsqu'il en aurait terminé, sans oublier bien sûr de tirer le double loquet à moins qu'il souhaite dormir sur la paillasse de la petite pièce car, cette nuit, le Maître ne serait pas là.
La soirée était déjà bien avancée lorsque Aladin aperçu, au bout de la planche qui servait de rayon, comme une vague lueur. Intrigué, il déplaça son escabeau brinquebalant et il vit ce qu'il avait oublié, le fameux livre…
Il fut saisi d'un tremblement qu'il ne pouvait contenir, il avait réalisé qu'il ne pourrait résister à la tentation de saisir le livre, de le descendre et le placer sur l'écritoire. Incontestablement, ce livre dégageait quelque chose de mystérieux, d'ineffable, presque magique. Il fallait qu'il découvre ce que cachait ses pages si envoutantes.
Avec une extrême prudence il tourna la première page sur laquelle il déchiffra ces mots "Hans & Gretel" mais ce dernier mot avait été pratiquement effacé et remplacé par "Moritz" ce qui donnait finalement "Hans & Moritz". Sur la deuxième page on trouvait une image montrant un jeune garçon qui passait son bras autour des épaules d'un personnage qui avait été soigneusement effacé mais dont on pouvait deviner, tout en bas, l'ourlet d'une robe. Et de nouveau, la phrase "Hans & Moritz", Moritz ayant clairement été rajouté. À la cinquième ou sixième page, Deux personnages, toujours le même garçon mais qui avait ses lèvres sur la bouche d'une charmante fillette dont on ne voyait plus que la tête, le reste du corps ayant été soigneusement effacé. Mais la tête était déjà en phase de modification, les lèvres étaient clairement celles d'un garçon.
Aladin était comme envouté, jamais il n'avait envisagé que deux garçons puissent s'embrasser et pourtant l'image quoique encore inachevée montrait un plaisir évident dans le regard des deux très jeunes hommes. Aladin sentit un tressaillement dans sa culotte lui procurant une sorte d'extase qu'il n'avait jamais ressentie. Une main s'était introduite dans sa culotte et lui procurait une délicieuse sensation dont il souhaitait qu'elle se prolongeât indéfiniment. L'intensité de ce sentiment allait en augmentant jusqu'à en devenir presque insupportable.
C'est à ce moment qu'il sentit pour la première fois un liquide crémeux et tiède qui s'échappait de son corps alors que son Maître continuait ses caresses et qu'Aladin n'avait qu'une envie...
Que tout cela ne soit pas qu'un rêve.
Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
à chacun son histoire bis (mais ici ce sont des anciennes (g@y-tous styles) ) (slygame.fr)
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-La tête dans les étoiles (aquatique)-(fanfiction - gay - humour) (slygame.fr)
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