18-01-2023, 01:54 PM
Troisième jacuzzi
"Le Monstre du spa"...
C'étaient deux chalets proches l'un de l'autre, et aussi d'une petite forêt. Néanmoins, ils étaient séparés par une haute haie, et l'on était chacun chez soi.
L'un venait d'être acquis par les grands-parents de Frédéric, qui y attaquaient une fringante retraite. Et dans l'autre venait de s'installer un homme dans les trente-cinq ans, d'après le grand-père. Mais on n'en savait rien de plus, car on était discret, de part et d'autre.
Arrivant donc céans après avoir eu son bac, Frédéric s'installa au premier, dans une jolie chambre tout en bois, comme le reste de la maison, évidemment, et ce pour les deux mois d'été. Muni de son ordinateur, il ne craignait pas de s'ennuyer, et avec un vélo, il serait vite fait chez ses quelques potes du village, où ses grands-parents avaient toujours vécu.
Or en ouvrant la fenêtre, il eut la surprise de découvrir une fort belle vue sur la terrasse du voisin. Et surtout un intéressant spectacle : on y terminait l'installation d'un bain à remous. Un homme, sans doute le propriétaire, parlait avec deux ouvriers. Le mec lui parut agréable, du haut...
Pourquoi ne jugea-t-il pas opportun d'en parler à ses grands-parents ? Toujours est-il qu'il se promit d'y regarder de plus près... Il se demanda si le voisin y recevrait... des nanas.
Le lendemain, il alla faire des courses à vélo, et tomba, en rentrant, sur le voisin qui revenait de son jogging. En nage dans son débardeur et son boxer bleu nuit aux décors dorés.
— Hello ! Vous habitez là ? fit le mec, souriant.
— Oui, je... suis le petit-fils des propriétaires.
— Arnaud, dit le mec en tendant la main.
— Frédéric.
— À une prochaine fois ?
Frédéric rentra, charmé : ce mec avait l'air sympa, encore qu'il eût, comme annoncé, au moins trente ans. Remonté dans sa chambre, il se mit à gamberger pour arriver à mater le voisin sans se faire repérer...
Il paraîtrait cependant bizarre de ne jamais ouvrir les fenêtres en grand, pendant l'été... Il opta d'abord pour une solution intermédiaire, entrouvrir. Où il put observer que les ouvriers procédaient à la mise en eau du spa. Ceci fait... il rata la suite, car il fut appelé par Grand-Mère pour déjeuner...
Il se priva de dessert pour remonter vite fait... et ne fut pas déçu : car le voisin était dans l'eau avec ses deux ouvriers. Il les regarda donc s'ébattre gentiment, et picoler aussi, car le patron servait des bulles... comme dans les films américains !
Coincé au bas de sa fenêtre, il regarda donc un gentil quart d'heure... avant d'avoir la surprise de sa vie : le patron sortit de l'eau. Il était nu, et en érection, et invita les deux autres à en faire autant. Ils étaient en le même équipage que lui...
Scié, le minet ! Il vit le voisin mettre la main aux fesses des ouvriers, avant de les faire entrer dans le chalet.
Il ne sut que penser... ou plutôt il le sut trop bien ! Mais cette brève scène déclencha chez lui une vive envie de se pignoler, et il tenta d'imaginer ce qui se passait à côté... lui qui n'avait jamais fantasmé que sur les nanas.
Il dut y parvenir, car il ne tarda pas à gicler fort vivement. Vite, il alla à la fenêtre, mais il dut attendre encore une petite demi-heure avant d'ouïr des éclats de voix : où il put voir les trois mecs sauter dans l'eau en riant aux éclats. Il avait eu le temps de jouir une seconde fois... vautré sous le bord de la fenêtre.
Les ouvriers s'en furent enfin, et le voisin rentra chez lui. La vie de famille reprit alors, et Grand-Mère déclara :
— On lui a pas beaucoup parlé, au voisin, mais il a l'air assez solitaire. Il a juste dit qu'il travaillait chez lui... mais on sait pas ce qu'il fait.
— Informatique, traduction, conseils en tous genres... Il y a des tas de trucs qu'on peut faire de chez soi, maintenant, Grand-Mère !
— Ça ne nous regarde d'ailleurs pas. S'il est gentil...
— On pourrait lui offrir l'apéro ? suggéra Grand-Père.
— Bonne idée ! Tu irais l'inviter, mon grand ?
— Ben... Oui, évidemment, répondit un Frédéric à qui toutes les images de la journée revenaient à l'esprit.
Ce qui fut fait dès le lendemain matin... non sans que Frédéric eut encore maté le voisin évoluer à poil sur sa terrasse et s'occuper de son jardin en la même tenue.
Et il se branla derechef, ce gentil garçon. Parlons de lui : pour n'être pas puceau, il n'affichait pas un tableau de chasse à faire pâlir la R.A.F. ! Il savait ce qu'était une chatte, oui, et une nana en général, m'enfin, ça ne lui donnait guère le droit d'en parler...
Assez grand, mince mais joliment dessiné, il arborait déjà une fine poilure châtain... notamment autour de son beau chibre... dont ses rares conquêtes avaient tout ce même fait l'éloge. Bref, un fort bel enfant, auquel le sourire ne manquait pas.
Or au matin, vers dix heures et demie, quand il alla sonner chez Arnaud, celui-ci le reçut en maillot de bain moulant... Très !
Bien sûr, le mec accepta l'apéro, et il invita incontinent Frédéric à visiter le chalet :
— Bien sûr, je sais que les deux chalets sont identiques de conception, mais je me doute que vos grands-parents, ne l'ont pas aménagé comme moi !
De fait, il y avait un monde entre les deux ! Passant sur la terrasse, Arnaud déclara, en montrant le spa :
— Ma petite folie... Si vous voulez, vous pourrez en profiter aussi, quand vous voudrez.
— Merci, mais...
— Ne soyez pas timide ! Est-ce que... on se tutoierait pas ?
Frédéric sourit, et la cause sembla entendue.
— Là, je dois dire à mes grands-parents... Plus tard, peut-être ? Merci, en tout cas.
Frédéric ne se voyait pas à poil dans le bain à remous avec son beau voisin... nu. Mais il ne cessa dès lors de songer à la proposition. Et bien sûr de se branler en pensant à Arnaud.
Ce mec était superbement fait : aussi grand que Frédéric, il était fort harmonieusement musclé, et velu de sombre. Une gueule d'amour ne gênait point l'ensemble, au contraire...
Quant à son sourire... Frédéric sut tout de suite qu'il allait emballer Grand-Mère !
Il mata en douce... sa principale occupation, désormais. Et vers six heures et demie parut le beau voisin.
— J'ai fait quelques travaux, ces jours-ci... J'espère que le bruit ne vous en a pas dérangés ?
— C'est normal de faire des travaux quand on s'installe, voyons ! affirma Grand-Père.
La conversation fut des plus bourgeoises ; on parla du pays, dont Arnaud n'était pas, au contraire des grands-parents, et de cent autres choses, car cet homme semblait avoir voyagé, et en savoir, des trucs !
On lui fit visiter le chalet, et il promit d'ouvrir sa porte, lui aussi. Et au moment de quitter la maison, raccompagné par Frédéric, il lui glissa sa carte dans la main.
— Tu m'écris ? J'ai cru comprendre que tu logeais en haut... Fais-moi signe ! Au propre comme au figuré...
Bon ! Il était repéré... mais impossible de faire autrement.
Comme imaginé, le sourire d'Arnaud avait séduit Grand-Mère, et sa simplicité comme sa culture avaient plu à Grand-Père.
Dès le lendemain, il ouvrit sa fenêtre en grand, et aperçut Arnaud, qui ne le vit pas tout de suite, étant de dos dans son spa. Où il commença à se palucher, le Frédéric ! À genoux, on ne pouvait le voir du bas.
Arnaud se retourna soudain pour regarder vers lui, comme s'il le savait là, et il lui fit un grand sourire avec un large geste du bras. Puis signe de venir... Par geste, Frédéric demanda un petit délai.
Il descendit déjeuner, et déclara avoir envie de faire un tour à vélo. Une bonne demi-heure, plus tard, songez s'il avait le cœur battant quand il sonna chez le beau voisin !
Car là, il savait où il allait. Non qu'il craignît que ce mec fût un violeur en série, m'enfin, il le savait gay, bi au minimum...
Arnaud lui ouvrit en boxer moulant, ouf ! Et il demanda à entrer son vélo, au cas où les grands-parents sortiraient...
— T'as p't'êt' remarqué que je suis à poil chez moi... attaqua l'homme. J'espère que ça ne te choque pas ?
— Non, bien sûr, mentit Frédéric, déjà rougissant.
— Toi, tu fais ce que tu veux, évidemment, continua Arnaud en virant son boxer. Mais dans le bain, c'est mille fois plus agréable d'être à poil ! On y va ?
Frédéric ôta donc ses voiles : t-shirt et bermuda... sous lequel il n'avait cependant rien passé d'autre...
— Qu'est-ce que tu me dis de ça ?
— Ben... génial ! répondit Frédéric, assis exactement en face d'Arnaud.
— Surtout quand il ne fait pas trop chaud, le matin, ou le soir... Je suis très content de ça... Ça a ébréché mes économies, mais je crois que ça en valait le coup ! Surtout si on peut aussi faire plaisir à ses amis ! Tu sais quoi ? J'y ai même invité les ouvriers, quand ils ont eu fini ! T'as peut-être vu ?
— Euh... non, mentit Frédéric.
— Deux mecs sympas. Que je reverrai évidemment pas. Mais toi... si ce truc te plaît... je te propose d'y venir quand tu veux. Je suis seul la plupart du temps. Mes amis sont en ville, et un peu trop intellos pour venir se perdre à la campagne ! Mais moi, je me sens bien ici, et le peux travailler parfaitement bien. Ce qui ne t'empêche pas de venir te baigner, même si je tapote sur mon clavier !
— C'est gentil.
Tout en causant, Arnaud avait tendu les jambes et Frédéric sentit qu'il cherchait les siennes... Il laissa faire, faute de savoir comment y parer. Mais surtout, il se sentit une émotion venir dans le bas ventre. Il ne s'était pas branlé le matin... sans doute en prévision d'il ne savait quelle aventure... et voilà qu'elle se présentait, l'aventure ! Et de fait...
— T'as quelqu'un dans ta vie, toi ?
— Euh... Ben non, pas vraiment.
— Timidité, exigence, désintérêt ?...
— Timidité, surtout, je crois.
— T'es pas complexé par ton physique, tout de même ? Parce que t'es bien réussi, tu sais ? fit Arnaud en riant.
Frédéric dut sourire aussi, ne serait-ce que parce qu'à ce moment, Arnaud était vraiment craquant.
Arnaud alors respira un grand coup et plongea dans les remous et saisit les jambes de Frédéric pour les relever hors de l'eau, ce qui fit plonger le museau d'iceluy.
Mais il prit alors le garçon sous les bras pour le hisser hors de l'eau.
— Ouf ! fit Arnaud, ils m'avaient pas dit que leur spa était livré avec un monstre du Loch Ness ! J'ai bien cru qu'on allait y passer, tous les deux ! Ça va ?
Frédéric regarda une seconde Arnaud dans les yeux, et éclata de rire. Le culot de ce mec !
Mec qui était désormais contre lui, évidemment.
— On a eu chaud, en tout cas ! Mais... oh, p'tain ! Les émotions violentes, moi, ça me fout la trique... Pas toi ?
Et de poser la main sur le roide vit d'un Frédéric qui ferma les yeux, en ronronnant fortement.
— Oh... toi aussi...
Le seul glouglou du spa demeura alors. Et Arnaud branla doucement son jeune voisin un joli temps, avant de le faire lever. Il l'essuya soigneusement, avant de le mener au salon, où il le posa sur le canapé, venant se poser entre ses jambes.
Assurément, Frédéric n'avait aucune idée de ce qu'était une vraie pipe ! Les longs raffinements d'Arnaud l'édifièrent pour le compte, vraiment !
Et il jouit avec une vigueur inaccoutumée, après un bon moment. Où Arnaud lui proposa de revenir en fin d'après-midi... sans rien évoquer d'autre.
Bien sûr, Frédéric revint. Comme il revint matin et soir, les jours suivants. Jamais Arnaud ne lui demanda rien, et il se laissait faire, béat.
— Tu pourrais amener ici des copains, si t'en as dans le pays, comme tu m'as dit...
— Oh... je suis pas sûr qu'ils... apprécieraient l'ambiance !
— Tu ne t'es jamais amusé avec eux ?
— C'est que... on aime plutôt les nanas...
— Mais ils ont peut-être pas tout essayé ?...
Là, Frédéric se sentit visé : il n'avait pas touché Arnaud depuis le premier instant, en une semaine. Il y pensait, le soir dans son petit lit, mais... de là à oser ! Il était pourtant drôlement beau et excitant, Arnaud, quand il bandait !
Le lendemain matin, il s'était presque décidé à agir, quand il eut une surprise : ce ne fut pas Arnaud qui lui ouvrit, mais un garçon de son âge... en string fluo.
— Bonjour ! fit le mec, superbe blond musclé. Je suis le neveu d'Arnaud, Stéphane, entre !
Sidéré, Frédéric entra donc, et tomba sur l'oncle, nu et en érection...
— On allait se baigner, tu viens ? Stéphane est arrivé ce matin tôt, pour une semaine : j'espère que vous allez bien vous entendre... mais le contraire m'étonnerait.
De fait, le garçon était charmant, et assez dans les idées de Frédéric. Et non moins bien équipé que son oncle... car il banda sans tarder. Dans le bain, on s'amusa comme des ados, Arnaud reprenant le prétexte du monstre pour faire des facéties qui jetèrent les minets dans les bras l'un de l'autre...
Avant de les laisser seuls, pour aller bosser... Là, les choses devinrent plus tendres. Sans plus de mots que ça, ces jeunes gens s'entredécouvrirent délicatement, et là, Frédéric n'eut plus peur d'oser...
On passa au salon, où le tonton tapotait gravement, et l'on s'enlaça comme si l'on n'avait attendu que ça toute sa vie... Ce fut alors qu'on était bien serrés l'un contre l'autre que Frédéric sentit des mains... autres... sur ses petites fesses.
Rien à objecter, évidemment. Et là, il apprit bien des choses, dans un océan de douceur. L'étroit mélange où il sombra lui parut être ce qu'il avait attendu depuis... toujours.
Il osa donc toucher et l'un et l'autre, et il dut appeler les grands-parents pour raconter qu'il avait rencontré Arnaud par hasard, et qu'il était invité à déjeuner...
La séance fut de première grandeur... car après avoir défoncé gentiment le beau blond, il s'attaqua, à sa suite, aux beautés intimes d'Arnaud... et le baisa aussi. Ces Messieurs lui promirent que son tour viendrait... En attendant, il eut bien l'impression qu'avec Stéphane, quelque chose pouvait...
Le séjour de Stéphane se prolongea, et il fallut donc le présenter aux grands-parents... qui ne furent pas dupes. Et tout le monde, enfin, semble content de ces derniers développements...
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