03-09-2023, 01:21 PM
(Modification du message : 03-09-2023, 01:26 PM par fablelionsilencieux.)
deuxième : défi des dix mots;
Celui-ci a même intégré la phase "titre" dans son texte
Pendant toute ma scolarité, j’avais été l’élève sage et raisonnable que tout le monde espérait, terminant mes révisions et devoirs à la satisfaction de mes parents, avant d’être enfin autorisé à explorer le monde sur le net.
Au cas où mes parents auraient eu l'idée de contrôler mon historique de recherche, je prenais bien soin de le remplir de sujets sérieux toutes les dix minutes, alors que ma curiosité se satisfaisait en parallèle – en navigation privée [Ctrl+Maj+n] - sur d’autres, infiniment plus douteux… Ce qui a provoqué les évènements qui ont tracé la voie de ma sexualité.
Une simple recherche des lieux de rencontre m’avait indiqué une île du fleuve, dont le parc était le lieu de rencontres anonymes, en gros ce que je pensais rechercher.
Méfiant, je m’étais pourtant pourvu du masque de Batman de mon costume d’enfant, fendu à l’arrière pour accommoder mon crane de désormais ado, qui libérait ma bouche, pour l’offrir à qui en voudrait… Les candidats avaient été étonnamment nombreux, des mecs dans leurs 30-40, trop sûrs d’eux, assurés à la limite d’être menaçants, auxquels ce que j’était prêt à offrir ne suffirait pas ! Je m’en étais écarté pour rencontrer derrière un buisson un homme à la soixantaine modeste qui ne m’avait donc pas paru trop dangereux.
S’il a été étonné que je m’agenouille pour m’attaquer à sa braguette, sans rien en montrer dans un premier temps, il a rapidement repoussé mes lèvres à la limite de son gland, pour entamer des mouvements de ses doigts sur sa hampe, avant de poser la main sous ma mâchoire… et d’interrompre ses gestes.
- Je ne vois que ta bouche et ton menton, où je sens de très jeunes poils … Quel âge as-tu, mon garçon ?
- La majorité sexuelle, Monsieur.
- Et poli avec ça ! Mais probablement pas la majorité civile… Il y a d’autres endroits où les garçons de ton âge trouvent mieux leur complice.
Paradoxalement, alors que j’avais témérairement arpenté de nuit un parc peuplé d’hommes qui auraient eu moins de scrupules que lui à dépasser de quinze centimètres de chair raide les limites de ma curiosité et de mon sphincter, j’ai longtemps repoussé le moment de visiter le Gaypard, vraiment trop proche des bars foncièrement hétéros où mes potes zonaient.
C’est donc vierge que j’ai entamé mon master, pour y découvrir une faune incroyable, de filles, de timides à exubérantes, et - à ma préférence - de garçons sur le même spectre.
Le miracle a eu lieu lors de la soirée d’intégration, libéré par les boissons dont je n’avais jamais fait trop usage, mais surtout de l’immédiate sympathie que m’a inspiré Alexis, un Congolais en cursus d’économie, dont j’ai touché l’épiderme aussi soyeux que sombre - par accident, je le jure – ce qui a clairement semblé provoquer le même intérêt curieux en nous…
L’inévitable bizutage nous a imposé comme défi de choisir un.e partenaire de jeu pour le spectacle, et mon choix a rejoint celui d’Alexis, qui m’a jeté un clin d’œil. Derrière un pan de tissu qui nous cachait jusqu’aux épaules, nous devions simuler un acte sexuel.
Tout à notre rôle, nous avons ostensiblement (mais réellement) baissé nos jeans, avant que je libère mon sexe et qu’il m’invite à l’enfoncer sans grande difficulté entre ses fesses. Où j’ai joui très vite, trop vite…
- Je ne me suis pas protégé, c’était stupide, je regrette… ai-je murmuré après l’avoir ramené chez moi, dans le quartier du Carré, alors que nous ne portions plus que nos boxers, au pied de mon lit, prétendant tous les deux vouloir y dormir sagement.
- Ne t’inquiète pas, petit maitre, je suis sous PrEP.
- Pourquoi ce terme ? Ma famille n’a jamais mis un pied au Congo, et en Afrique, pas plus loin que la Tunisie, je ne suis pas ce que tu dis !
- Je le sais bien, tout ça date de nos arrière-grands-parents, je m’en moque, mais juste pour le jeu, peut-on retourner le cliché ?
- Retourner le… ?
- Eh bien, je ne suis pas vraiment passif, et toi, je ne veux pas te vexer, mais…
- C’était ma première fois.
- Tu te cherches, peut-être dois-tu découvrir que tu l’es, en fait.
Sans un mot de plus, il a sorti de son sous-vêtement un sexe imposant dont, sans réfléchir, j’ai engouffré la moitié, avant que, très doucement, il n’en enfonce guère plus dans un autre orifice de mon corps, pour me porter à un plaisir encore inconnu.
- Encore, ai-je gémi, en agitant ma main sur mon membre désormais tari.
- Tu es… si serré, je v… vais jouir, a-t-il dit, un peu désolé.
À genoux entre mes jambes repliées, devant mon corps encore agité des répliques de l’orgasme, Alexis a regardé avec un sourire entre enfantin et satisfait sa trace s’échapper de mon corps sur le drap.
Depuis cette soirée, malgré le plaisir annoncé et à chaque fois assuré, je ne peux m’offrir entièrement à lui que tous les trois jours au mieux, je consacre les deux autres à satisfaire sa libido insatiable de ma langue et de mes lèvres, jusqu’à avaler désormais sa semence avec gourmandise, les bonne choses ont une faim, je ne me lasse pas d’admirer la carnation de son gland, étrangement mauve, un effet de la mélanine, en accord heureux avec la peau sombre de sa hampe, un plaisir pour mes yeux autant que pour ma bouche…
La PrEP a du bon.
Celui-ci a même intégré la phase "titre" dans son texte
Pendant toute ma scolarité, j’avais été l’élève sage et raisonnable que tout le monde espérait, terminant mes révisions et devoirs à la satisfaction de mes parents, avant d’être enfin autorisé à explorer le monde sur le net.
Au cas où mes parents auraient eu l'idée de contrôler mon historique de recherche, je prenais bien soin de le remplir de sujets sérieux toutes les dix minutes, alors que ma curiosité se satisfaisait en parallèle – en navigation privée [Ctrl+Maj+n] - sur d’autres, infiniment plus douteux… Ce qui a provoqué les évènements qui ont tracé la voie de ma sexualité.
Une simple recherche des lieux de rencontre m’avait indiqué une île du fleuve, dont le parc était le lieu de rencontres anonymes, en gros ce que je pensais rechercher.
Méfiant, je m’étais pourtant pourvu du masque de Batman de mon costume d’enfant, fendu à l’arrière pour accommoder mon crane de désormais ado, qui libérait ma bouche, pour l’offrir à qui en voudrait… Les candidats avaient été étonnamment nombreux, des mecs dans leurs 30-40, trop sûrs d’eux, assurés à la limite d’être menaçants, auxquels ce que j’était prêt à offrir ne suffirait pas ! Je m’en étais écarté pour rencontrer derrière un buisson un homme à la soixantaine modeste qui ne m’avait donc pas paru trop dangereux.
S’il a été étonné que je m’agenouille pour m’attaquer à sa braguette, sans rien en montrer dans un premier temps, il a rapidement repoussé mes lèvres à la limite de son gland, pour entamer des mouvements de ses doigts sur sa hampe, avant de poser la main sous ma mâchoire… et d’interrompre ses gestes.
- Je ne vois que ta bouche et ton menton, où je sens de très jeunes poils … Quel âge as-tu, mon garçon ?
- La majorité sexuelle, Monsieur.
- Et poli avec ça ! Mais probablement pas la majorité civile… Il y a d’autres endroits où les garçons de ton âge trouvent mieux leur complice.
Paradoxalement, alors que j’avais témérairement arpenté de nuit un parc peuplé d’hommes qui auraient eu moins de scrupules que lui à dépasser de quinze centimètres de chair raide les limites de ma curiosité et de mon sphincter, j’ai longtemps repoussé le moment de visiter le Gaypard, vraiment trop proche des bars foncièrement hétéros où mes potes zonaient.
C’est donc vierge que j’ai entamé mon master, pour y découvrir une faune incroyable, de filles, de timides à exubérantes, et - à ma préférence - de garçons sur le même spectre.
Le miracle a eu lieu lors de la soirée d’intégration, libéré par les boissons dont je n’avais jamais fait trop usage, mais surtout de l’immédiate sympathie que m’a inspiré Alexis, un Congolais en cursus d’économie, dont j’ai touché l’épiderme aussi soyeux que sombre - par accident, je le jure – ce qui a clairement semblé provoquer le même intérêt curieux en nous…
L’inévitable bizutage nous a imposé comme défi de choisir un.e partenaire de jeu pour le spectacle, et mon choix a rejoint celui d’Alexis, qui m’a jeté un clin d’œil. Derrière un pan de tissu qui nous cachait jusqu’aux épaules, nous devions simuler un acte sexuel.
Tout à notre rôle, nous avons ostensiblement (mais réellement) baissé nos jeans, avant que je libère mon sexe et qu’il m’invite à l’enfoncer sans grande difficulté entre ses fesses. Où j’ai joui très vite, trop vite…
- Je ne me suis pas protégé, c’était stupide, je regrette… ai-je murmuré après l’avoir ramené chez moi, dans le quartier du Carré, alors que nous ne portions plus que nos boxers, au pied de mon lit, prétendant tous les deux vouloir y dormir sagement.
- Ne t’inquiète pas, petit maitre, je suis sous PrEP.
- Pourquoi ce terme ? Ma famille n’a jamais mis un pied au Congo, et en Afrique, pas plus loin que la Tunisie, je ne suis pas ce que tu dis !
- Je le sais bien, tout ça date de nos arrière-grands-parents, je m’en moque, mais juste pour le jeu, peut-on retourner le cliché ?
- Retourner le… ?
- Eh bien, je ne suis pas vraiment passif, et toi, je ne veux pas te vexer, mais…
- C’était ma première fois.
- Tu te cherches, peut-être dois-tu découvrir que tu l’es, en fait.
Sans un mot de plus, il a sorti de son sous-vêtement un sexe imposant dont, sans réfléchir, j’ai engouffré la moitié, avant que, très doucement, il n’en enfonce guère plus dans un autre orifice de mon corps, pour me porter à un plaisir encore inconnu.
- Encore, ai-je gémi, en agitant ma main sur mon membre désormais tari.
- Tu es… si serré, je v… vais jouir, a-t-il dit, un peu désolé.
À genoux entre mes jambes repliées, devant mon corps encore agité des répliques de l’orgasme, Alexis a regardé avec un sourire entre enfantin et satisfait sa trace s’échapper de mon corps sur le drap.
Depuis cette soirée, malgré le plaisir annoncé et à chaque fois assuré, je ne peux m’offrir entièrement à lui que tous les trois jours au mieux, je consacre les deux autres à satisfaire sa libido insatiable de ma langue et de mes lèvres, jusqu’à avaler désormais sa semence avec gourmandise, les bonne choses ont une faim, je ne me lasse pas d’admirer la carnation de son gland, étrangement mauve, un effet de la mélanine, en accord heureux avec la peau sombre de sa hampe, un plaisir pour mes yeux autant que pour ma bouche…
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Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
à chacun son histoire bis (mais ici ce sont des anciennes (g@y-tous styles) ) (slygame.fr)
La "hot" du père Noël ! (GAY-ADO-OS) (slygame.fr)
Piscine...et plaisir aqueux (OS-minet-gay) (slygame.fr)
-La tête dans les étoiles (aquatique)-(fanfiction - gay - humour) (slygame.fr)
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