27-12-2022, 01:06 AM
Maintenant que les votes sont théoriquement terminés, je donne un avis sur les deux récits.
Rencontre plus classique. Deux jeunes du même âge à quelques mois près dans un train, tous les deux gays. Ils sympathisent et celui qui vient d'avoir 18 ans invite l'autre chez lui.
Un point commun avec l'autre récit, le narrateur a le même prénom que l'auteur du texte.
L'originalité, finalement concerne les voies ferrées suisses. Et comme il y a une allusion au changement de largeur de rail entre la France et l'Espagne, un petit point actuel.
Depuis près de 10 ans, il y a une ligne grande vitesse (LGV) Madrid, Barcelone, Perpignan. En France, pour un grand quart sud-ouest du pays, entre les projets de constructions de LGV et leur réalisation effective, il y a souvent 20 ans qui s'écoulent avant qu'ils se décident à commencer des travaux. Dans ces circonstances, la LGV la plus au sud dans le pays est un tronçon de presque 25 km entre Perpignan et la frontière espagnole. Mais pour le prolongement de cette ligne sur 160 km jusqu'à l'ouest de Montpellier, ce qui permettrait de faire Madrid - Bruxelles entièrement en grande vitesse, il faudra attendre au mieux 10 ans, peut être 20. Déjà, par rapport au reste vers Avignon et Lyon, le prolongement entre l'est de Nimes et Montpellier (moins de 60 kilomètres) aura mis une quinzaine d'années pour être construit, avec de surcroît une gare Montpellier TGV très mal placée qui incite le montpelliérains à passer par la ligne classique jusqu'à l'est de Nimes.
Actuellement, sur la ligne historique en Perpignan et l'Espagne, il n'y a plus que des trains régionaux (TER).
Il y a quelques années, les dépliants horaires de la ligne Méditerranée indiquaient dans le sens France-Espagne un TER sur deux avec terminus Cerbère (France) et un TER sur deux avec terminus Port-Bou (Espagne), alors que pour le trajet retour, les horaires de départ commençaient à Cerbère. Donc les trains français revenaient à vide de Port-Bou à Cerbère et les trains espagnols faisaient Cerbère-Port-Bou à vide également ! Ça ne semble plus le cas depuis seulement un ou 2 ans.
Pour l'écartement des voies, s'il n'y a un changement de train dans le première ou la dernière gare d'un pays, par besoin de changer d'écartement. Entre Cerbère et Port-Bou, il peut très bien y avoir une voie à l'écartement européen et une autre à l'écartement espagnol. C'est très probablement ce qui se passe à Latour de Carol (France). Des trains espagnols en provenance de Barcelone y arrivent et on change de train pour continuer vers Foix et Toulouse.
Rencontre plus classique. Deux jeunes du même âge à quelques mois près dans un train, tous les deux gays. Ils sympathisent et celui qui vient d'avoir 18 ans invite l'autre chez lui.
Un point commun avec l'autre récit, le narrateur a le même prénom que l'auteur du texte.
L'originalité, finalement concerne les voies ferrées suisses. Et comme il y a une allusion au changement de largeur de rail entre la France et l'Espagne, un petit point actuel.
Depuis près de 10 ans, il y a une ligne grande vitesse (LGV) Madrid, Barcelone, Perpignan. En France, pour un grand quart sud-ouest du pays, entre les projets de constructions de LGV et leur réalisation effective, il y a souvent 20 ans qui s'écoulent avant qu'ils se décident à commencer des travaux. Dans ces circonstances, la LGV la plus au sud dans le pays est un tronçon de presque 25 km entre Perpignan et la frontière espagnole. Mais pour le prolongement de cette ligne sur 160 km jusqu'à l'ouest de Montpellier, ce qui permettrait de faire Madrid - Bruxelles entièrement en grande vitesse, il faudra attendre au mieux 10 ans, peut être 20. Déjà, par rapport au reste vers Avignon et Lyon, le prolongement entre l'est de Nimes et Montpellier (moins de 60 kilomètres) aura mis une quinzaine d'années pour être construit, avec de surcroît une gare Montpellier TGV très mal placée qui incite le montpelliérains à passer par la ligne classique jusqu'à l'est de Nimes.
Actuellement, sur la ligne historique en Perpignan et l'Espagne, il n'y a plus que des trains régionaux (TER).
Il y a quelques années, les dépliants horaires de la ligne Méditerranée indiquaient dans le sens France-Espagne un TER sur deux avec terminus Cerbère (France) et un TER sur deux avec terminus Port-Bou (Espagne), alors que pour le trajet retour, les horaires de départ commençaient à Cerbère. Donc les trains français revenaient à vide de Port-Bou à Cerbère et les trains espagnols faisaient Cerbère-Port-Bou à vide également ! Ça ne semble plus le cas depuis seulement un ou 2 ans.
Pour l'écartement des voies, s'il n'y a un changement de train dans le première ou la dernière gare d'un pays, par besoin de changer d'écartement. Entre Cerbère et Port-Bou, il peut très bien y avoir une voie à l'écartement européen et une autre à l'écartement espagnol. C'est très probablement ce qui se passe à Latour de Carol (France). Des trains espagnols en provenance de Barcelone y arrivent et on change de train pour continuer vers Foix et Toulouse.