19-12-2022, 02:14 AM
Deuxième maillot mouillé
Il rougit soudain, Denis, quand il vit le regard de Christophe posé sur son maillot de bain dégoulinant... Il sortait de l'eau, la cloche de fin d'entraînement ayant sonné à huit heures, comme tous les jeudis soir.
Bien que du même lycée, ces garçons ne se connaissaient guère, n'étant pas de la même terminale. Mais ils appartenaient au club omnisports du bahut, où l'on faisait à peu près ce qu'on voulait... sous le regard bienveillant d'un ou deux profs de gym.
Denis, gentil p'tit brun bien dessiné... mais sans musculature vraiment apparente... tout comme le nommé Christophe, eut alors le réflexe de mettre son jean, qu'il venait de saisir, devant lui. Tandis que Christophe tendait le pouce avec un mignon sourire...
Car le maillot dégoulinant de Denis mettait en valeur un petit objet pointu... car raidi par le froid.
Confus, Denis alla se poser plus loin. Ici, on se douchait évidemment à poil... mais d'aucuns réussissaient à celer leur virilité grâce à des contorsions... qui mettaient évidemment en valeur leur petits culs !
Mais Christophe vint le rejoindre... nu et avec sa serviette sur le devant. Il s'assit à côté de lui et déclara, doucement :
— T'embête pas, mon pote ! C'est pas un crime d'avoir la bite qui pointe en sortant de l'eau ! J'étais pareil juste avant toi... sauf que maintenant...
Alors le garçon ôta doucement sa serviette, pour découvrir un joli membre rose et fin... et bien raide, surtout !
— Voilà... T'es rassuré, maintenant ? Je me moquais pas de toi... On est pareils, non ? Enfin... t'es peut-être plus beau que moi, là !
Denis frémit, archigêné, et il rougit aussi... d'autant que son propre maillot se mit soudain à gonfler.
— On va se doucher ? proposa Christophe, avec un gentil sourire... et se levant, mettant en évidence sa jolie érection. Allez, pas de manières, y a plus que nous, ici !
Incapable de réagir, Denis se leva... et ce fut Christophe qui lui baissa promptement la culotte.
— Oh ! T'es super beau, toi ! lâcha vivement le garçon. À l'eau !
Dépassé, Denis suivit donc. Ces deux quéquettes-là se ressemblaient grandement : longues et fines, droites et pâles, et entières... deux jolies épées, en vérité.
Christophe fit comme si de rien n'était... et ce furent deux minets bien raides qui furent alors surpris par deux mecs balancés et velus... et à poil : les deux profs de gym de service, ce soir-là, et dont l'un, Didier, était justement le prof des deux garçons.
— Ben qu'est-ce que vous faites encore là, les mecs ? s'écria Bruno. Ah ! Je vois... besoin de solitude... à deux !
— Faites comme si on n'était pas là, les garçons ! ajouta Didier, on sait ce que c'est !
Et les deux profs d'éclater de rire. Pour se doucher devant les minets tétanisés. Mais il ne fallut que quelques secondes avant que Bruno, le plus râblé et viril des deux, s'exclamât :
— Eh ben, les mecs, faites quèque chose !
Pas de réponse des garçons, figés.
— Didier, tu penses comme moi ? On leur montre, aux p'tits ?
— C'est parti !
Alors les deux mecs s'approchèrent des minets, qui n'avaient point débandé... et s'entreprirent l'un l'autre la quéquette, sous l'œil effaré des minets Et ces beaux mecs de bander sans traîner, tout en se souriant...
— Allez, les p'tits ! Un peu de nerf !
— Mais...
— Pas de mais, à l'attaque !
Sidérés, les garçons se regardèrent, indécis, et tendirent la main, pour s'entresaisir mollement.
— Et mieux que ça !
La main de l'un procura sur la bite de l'autre une agréable sensation — ce qui n'est pas un scoop — et même un mignon frisson. Christophe sourit le premier, et Denis ne fut pas en reste.
— Parfait ! dit Bruno en posant la main sur la fesse de Christophe, tandis que la main de Didier saisissait celle de Denis...qui eut un immense frisson. C'est votre première fois, les mecs ?
On hocha la tête, de part et d'autre. Et l'on se branla avec un peu plus d'attention...
— Alors on va faire ça scientifiquement, déclara alors Didier. Vous avez un peu de temps, là ?
Les minets acquiescèrent et Bruno leur suggéra d'appeler leurs parents, par sécurité... pour leur demander la permission de minuit.
Celle-ci accordée, Bruno suggéra qu'on se transportât chez Didier, qui logeait tout près. Les garçons se regardèrent, mais n'osèrent refuser et suivirent les profs.
— Tout va bien, les mecs ? s'inquiéta cependant Bruno.
— Oui, oui... firent mollement les mecs.
— On sera plus tranquilles chez moi, allez ! compléta Didier, mec un peu plus grand que son collègue, mais non moins charmant.
Chez lui, on se déloqua aussitôt, et Didier servit des bulles... Bruno, fort enjoué, faisait la conversation... un peu loin des préoccupations présentes des minets.
On trinqua et Bruno engagea les mectons à se caresser... montrant l'exemple avec Didier.
Avant de demander :
— Ça vous étonne, Didier et moi ?
— Ben oui, un peu... murmura Denis.
— On pensait pas que vous... ajouta Christophe.
— Bon ! Tout ça reste entre nous, n'est-ce pas ? Didier et moi ne sommes pas ensemble, mais... on a failli ! Il en reste qu'on aime bien s'amuser, de temps à autre... vous voyez ? Et on vous conseille d'en faire autant... Allez !
Les minets durent bien imiter leurs profs... qui les incitaient du geste, et du regard. On commença donc par se branler mutuellement... ce qui ne tarda pas à faire apparaître un sourire sur les jolis minois de ces Messieurs.
Et, toujours sous les indications de Bruno ou de Didier, on dut se faire de mignons bisous, dans le cou, sur les épaules, et enfin sur la bouche...
— Allez, les mecs, avec la langue !
À quoi l'on obéit, maladroitement mais.... non sans y prendre assez vite un certain plaisir... puis un plaisir certain.
Et autant vous dire que ces jeunes gens se remirent à bander avec une ardeur accrue...
— On se suce, maintenant ? proposa Didier.
— Euh...
— On vous montre ! dit Bruno, embouchant Didier.
Les garçons étaient certes bien raides, mais pas encore prêts à tout... et ce dut Didier qui dénoua la situation :
— Allez, les garçons, on vous suce !
Et deux bouches avides de se jeter sur les jolis vits roses de ce garçons... qui émirent ensemble un immense soupir. Après quelques minutes, Bruno releva le museau :
— Bon ! Vous avez compris le principe, hein ? Allez !
Et d'indiquer aux minets comment faire leur premier soixante-neuf. Ils avaient compris le principe, apparemment !
Et se pompèrent comme des pros, tandis que les vieux en faisaient autant.
— Vous êtes excitants, les mecs ! feula enfin Bruno. J'ai bien envie de vous proposer... Allez ! Qui me défonce ?
Les minets faillirent s'étrangler, mais Didier enchaîna en salivant fortement sur ses doigts pour mouiller la quéquette à Christophe, puis la rosette qu'offrait déjà Bruno à quatre pattes... avant de guider le joli vit au bon endroit.
Puis il en fit autant à Denis, qu'il reçut sur le dos. Les minets se regardèrent, les joues rouges... et y allèrent de leur jeune coup de reins. Les deux puceaux apprécièrent hautement cette divine sensation et ne tardèrent pas à s'emballer...
— Stop, s'écria Bruno, du calme ! On prend son temps, y a pas l'feu ! Faut que vous duriez un max !
Ainsi fut fait. Et ce moment fut sans nul doute une superbe étape dans la formation de ces jeunes gens... qui prirent là un pied pas possible, et totalement inimaginable pour eux !
— Eh, les mignons, vous nous feriez pas jouir gentiment, là demanda Bruno... en mimant une pipe.
Les minets pouffèrent et s'attelèrent aussitôt à l'ouvrage... comme s'ils n'eussent fait que ça de leur jeune vie.
Là, on les laissa se déchaîner et pousser des grognements de petits cochons à la tétée... Enragés, qu'ils étaient ! Et les pompés s'en trouvèrent fort bien.
Après la douche, un bon coup de porto blanc les maintint en cette euphorie, ainsi que la dînette qui s'ensuivit. Après quoi, vu qu'on avait encore du temps, Bruno tint à leur apprendre une mignonne figure : le broutage de rondelle.
Ce furent deux fraîches rosettes qui reçurent lors leur baptême de langue... avant que ces jeunes gens fussent incités à se goûter l'un l'autre. Encore un gentil moment !
Et dans la voiture de Didier qui ramenait tout le monde, Bruno demanda :
— En fait, contrairement à ce qu'on crut en vous voyant, vous n'êtes pas ensemble... enfin, pas encore ?
— En fait... on se connaît que du club, et pas beaucoup... avoua Denis.
— Bon ! Alors vous avez fait un grand pas l'un vers l'autre ! Mais ça nous regarde pas. Vous laissez reposer tout ça et vous nous direz vos impressions, les gars, d'accord ?
— Et de toute façon, on se voit demain, hein ? fit Didier.
Les minets promirent tout ce qu'on voulut, et ce furent alors deux mignons nuages qui les menèrent à leur chambrette. S'ils eussent jamais pensé qu'une quéquette pointant dans un maillot au sortir du grand bain pouvait les mener là ! Car encore qu'il eût été le plus entreprenant, Christophe était tout aussi innocent que son condisciple...
On avait pris soin d'échanger ses numéros, et les garçons s'écrivirent à peine arrivés chez eux. Pour décider de se revoir, d'abord, puis pour se donner quelques avis... « — Super ! — Génial ! » Mais on n'osa pas aller plus loin ce soir-là... et ce fut bien songeur qu'on s'endormit... avec peine !
Le vendredi, pas d'entraînement. Et ces jeunes gens se cherchèrent, au lycée... et furent un peu gênés quand ils se trouvèrent. Mais dans la cohue, pas le temps de faire des mondanités, et l'on décida juste de s'attendre à quatre heures.
Ils ne se le dirent pas, mais ces minets passèrent une journée sur des charbons ardents ! Et ce fut un peu empruntés que les jeunes gens se retrouvèrent. On fit quelques pas, sans rien dire. Enfin, Christophe proposa :
— J'habite pas loin... et mes parents rentrent tard... S'tu veux...
On se transporta donc chez un Christophe qui n'en menait pas large, en vérité... mais qui proposa, tremblant, qu'on se douchât... « comme à l'entraînement ».
— Tu te choques pas si je... murmura Denis en retirant sa culotte, en un demi-sourire.
— Oh ! Plus grand chose me choque, maintenant !
D'autant qu'il commença à bander aussi, le Christophe ! On ne se regarda pas... dans les yeux. Mais ailleurs, oui, et l'on fit bien, car ces Messieurs prirent leurs dimensions des grands jours. Qui premier osa donner un petit coup de bite à celle de l'autre ? L'histoire ne le dit pas, mais elle précise que ça dégénéra vite, ces fantaisies !
Et l'on ne mit pas des ères avant de s'entresucer, puis de s'entrebouffer goulûment !
— Tu crois que... t'aimerais te faire... prendre aussi, un jour ? demanda Christophe au sortir de la douche, après qu'on eut joui d'importance.
— Ça, je sais pas mais... les reprendre, oui !
On pouffa, et l'on osa quelques petits gestes de tendresse, oh bien timides... mais réels. Enfin Denis susurra :
— Ça te plaît, toi, ces trucs-là ?
— Hein ? Tu rigoles ? J'adore, oui, pas toi ?
— Ben... si, mais je voulais être sûr. T'auras envie... de recommencer ?
— À 2000 % !
On s'enlaça délicatement, pour se faire des bisous dans le cou. Un message de Bruno vint alors : « Comment vont les sportifs ? Auraient-ils envie de bruncher chez moi demain, vers onze heures et demie ? Avec Didier. »
On accepta le rouge aux joues, pensez ! Et l'on se sépara après avoir supposé, subodoré, escompté, même...
À l'heure dite, les minets se retrouvèrent frémissants au pied de chez Bruno... où ils eurent la surprise de l'année, au moins ! Car dans le salon, nus et le verre en main, ils découvrirent leur prof de maths, et un grand d'une autre classe, super beau garçon blond bien découplé et velu... Comme le prof de maths, jeune type de l'âge des profs de gym, autour de vingt-cinq ans.
— Je ne vous présente pas... de vue au moins ! fit Bruno, à qui l'ébahissement des garçons n'avait pas échappé. Allez, en tenue, et on trinque !
Les minets allèrent se déloquer fébrilement dans la chambre, osant à peine souffler :
— P'tain, j'y crois pas ! Tu crois qu'y sont ensemble ?
La suite leur donna raison : le prof de maths, Martin, et le redoublant, Stéphane, étaient ensemble depuis peu.
On attaqua au foie gras et aux bulles, et les choses furent simples au point que les minets comprirent que les autres n'en étaient pas à leur coup d'essai.
Ils furent gênés quand Bruno leur demanda ce qu'ils avaient fait de leurs découvertes du jeudi... mais Christophe répondit avec naturel :
— On a vérifié qu'on avait bien tout compris !
Ce qui déclencha un joli rire général. Se rapprochant des garçons, Stéphane leur souffla :
— Je vous avais bien repérés, tous les deux, et je me demandais si... J'ai ma réponse... et c'est super ! J'espère qu'on va bien s'amuser... si vous voulez bien de moi ?
— Ben... oui, on va s'amuser... mais on débute, nous !
— Pas de problème : y a trois profs ici... et moi, qu'ai commencé jeune ! C'est super, les mecs !
Comme prévu par le beau Stéphane, les choses prirent un cours tranquille mais franchement orienté vers le plaisir... et ces jeunes gens de niquer tout le monde, après une longue théorie de figures amusantes.
En fin d'après-midi, les garçons épuisés déclarèrent forfait... jusqu'au lendemain matin... pour rebruncher !
Le rebrunch fut l'occasion pour ces petits d'apprendre à se doigter l'un l'autre... ouvrant la porte à d'autres plaisirs, qui suivirent, des semaines plus tard... Mais avant, on s'est mis à s'aimer... sans l'apprendre, ça.
Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
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