27-11-2022, 01:54 AM
24 À la découverte du corps
Bois de Shorein, royaume Valnari, en Outremonde, pendant ce temps
Vaü
Je regarde autour de moi. Tien, à quelques dizaines de mètres, j'aperçois Ludvik et Cédric. Ils sont nus, mais ils ramassent leurs habits et s'habillent. Pourtant, je me souviens qu'Arbkazec et Tviktuk les avaient transformés en poussière. Étrange !
À coté d'eux, il y a un très bel oiseau aux plumes multicolores. Je cherche dans ma mémoire. D'après ce que j'avais absorbé de Karl, c'est le Phénix, celui qui donne la vie. Le Phénix aurait donc pu les ressusciter ? Tant mieux pour eux dans ce cas. Est-ce pour ça que je suis en vie moi aussi ? Je me souviens d'atroces souffrances et je crois bien que je suis mort dans ce monde étranger qui n'est pas fait pour l'état vibratoire des Skriis. Mais à présent, je suis de nouveau vivant, et je me sentirais parfaitement bien s'il n'y avait pas un problème. J'ai froid. L'étoile du jour va monter dans le ciel et réchauffer l'atmosphère. Mais en attendant, je n'ai pas d'habits à me mettre. Il doit bien exister un sort pour se protéger du froid. Je cherche dans ma mémoire ... Rien !
Bizarre, Karl aurait du savoir faire ça ! J'explore ce que j'ai emmagasiné dans ma mémoire. J'ai des connaissances sur outremonde, la manière dont les gens vivent ici, leur langage, quelques connaissances géographique. Karl vivait à Erdink qui est donc la ville où je suis allé hier. Mais je ne retrouve plus les détail spécifiques sur la vie du fermier dont j'ai absorbé l'essence, ni sur la vie de Karl.
Cédric et Ludvik ont l'air de parler, peut-être avec le Phénix. Je suis trop loin pour entendre, mais peut-être qu'il existe un sortilège pour arranger ça. Je cherche ... Rien !
J'essaie de me remémorer des choses que savait Karl au niveau de la magie ... mais tous ces souvenirs semblent effacés !
Tout à l'heure, avant de mourir, j'ai utilisé un sort de protection contre les créatures reptiliennes. Comment c'était déjà ? ...
Même ça, je ne m'en souviens plus !
Je sens de la pression au bas de mon ventre. Quelque-chose veut sortir. Ça risque bientôt d'être difficile de l'empêcher, et à quoi bon ? Je me laisse aller pour favoriser cette sortie. Du liquide jaune sort d'un tuyau que j'ai entre les jambes. C'est agréable de le laisser couler. Le liquide coule dans l'herbe et il est petit à petit absorbé par la terre. Au bout d'un certain temps, le débit du liquide jaune diminue puis s'arrête. Mais je sens qu'il m'en reste un peu. J'envoie un peu de pression et un petit jet arrose ma jambe. C'est chaud ! Si j'avais su, j'aurai pu m'en mettre sur la peau pour me réchauffer ... très provisoirement.
Mon corps est affecté de tremblements. J'ai trouvé une idée, me frictionner.
Ça marche ! Je passe mes mains à plat sur diverses parties du corps. Ça réchauffe un peu. Quand je les passe vers le haut de mes cuisses, je trouve ça agréable. Pas juste parce que ça réchauffe mais plutôt ...
Le tuyau que j'ai entre les jambes a légèrement grossi et il se redresse au lieu de pendre. En dessous du tuyau, il y a un sac avec deux boules qui peuvent se déplacer dans le sac, mais quelque-chose empêche d'intervertir leur position. C'est agréable de caresser l'entrejambe et la zone des boules.
Maintenant, le tuyau a encore grossi et il est bien raide. Il y a un bout rouge à l'extrémité que je ne voyais pas tout à l'heure. Je le prends dans une main. En faisant des mouvements vers l'avant, le bout rouge redevient caché alors que vers l'arrière, on se voit encore plus. Et ce mouvement d'aller retour est très agréable. Instinctivement, je continue à faire des aller retour en fermant les yeux pour bien m'imprégner des sensations. C'est lorsque mes doigts passent sur un zone renflée sous la peau, à l'extrémité du tuyau que j'ai le plus de plaisir.
Je continue de faire ce mouvement très agréable, alors qu'avec l'autre main, je caresse le sac avec les deux boules. sans y faire attention, j'ai accéléré le mouvement.
Je sens qu'il va y avoir de nouveau du liquide jaune prêt à couler, mais je continue mes mouvement. C'est ...
- AAaaaa !
trop bon. Et puis tout d'un coup...
- AAAAAAAaaaaaaaaa ! AAAAAaaaaa ! AAAaaaa ! AAaaa ! Aaaa
Finalement, cette fois-ci, ce n'est pas du liquide jaune qui est sorti mais un liquide blanchâtre qui a giclé par saccades. Cette fois-ci, je n'ai pas eu besoin d'envoyer un peu de pression pour que le liquide blanc parte. Il est sorti de manière incontrôlée. Et quand ça c'est produit, j'ai ressenti une grande bouffée de plaisir.
Intéressant ! Il faudra que je refasse ça de temps en temps, c'est trop bon.
Le liquide blanc est allé un peu partout. J'en ai sur le ventre et la poitrine, sur une cuisse, et il y en a aussi dans l'herbe. C'est en essuyant celui qui est sur ma peau que je m'aperçois qu'il est assez épais et visqueux.
Petit coup d'œil aux alentours. Cédric et Ludvic sont toujours avec l'oiseau. Ils ont l'air de discuter.
Peu après, je sens de la pression de nouveau, mais plus à l'arrière. Autre-chose veut aussi sortir. Je ne vais pas rester allongé, il vaut mieux m'accroupir. Il faut forcer un peu plus que pour le liquide jaune. A priori c'est plus gros. Oui, ça sort. Bon, c'est fini. Il y a trois sortes de cylindres recourbés et arrondis aux deux bouts. C'est marron, et ... ça ne sent pas très bon. Comment font les gens d'ici ? ... Ah oui, l'enterrer.
Je tente de creuser avec ma main, mais le sol est dur. Je m'aide d'une pierre. En profondeur, la terre est plus molle. Voilà, j'ai fait un trou. Le tas de terre est d'un coté, près de moi, et les trucs malodorants de l'autre coté du trou. C'est pas terrible pour utiliser la terre afin de pousser ces trucs dans le trou. Je n'ai plus qu'à déplacer le tas de terre.
Voila, c'est fait, avec mes deux mains, je tire la terre vers moi, elle entraîne les trucs malodorants dans le trou puis le rebouche. Je m'essuie ensuite un peu les mains sur l'herbe.
Bon, ce serait bien de me promener pour découvrir ce monde. Je me lève.
Tien, le bel oiseau aux plumes multicolores, le Phénix, vient de s'envoler. À présent, Ludvik et Cédric viennent vers moi. Avec mon nouveau corps, ils auront du mal à me reconnaitre. Enfin, j'espère ! J'avais deviné de grands pouvoirs magiques chez Cédric, et s'il est capable de deviner qui je suis, vu ce que j'ai fait, ça risque de très mal se passer.
Bois de Shorein, royaume Valnari, en Outremonde, pendant ce temps
Vaü
Je regarde autour de moi. Tien, à quelques dizaines de mètres, j'aperçois Ludvik et Cédric. Ils sont nus, mais ils ramassent leurs habits et s'habillent. Pourtant, je me souviens qu'Arbkazec et Tviktuk les avaient transformés en poussière. Étrange !
À coté d'eux, il y a un très bel oiseau aux plumes multicolores. Je cherche dans ma mémoire. D'après ce que j'avais absorbé de Karl, c'est le Phénix, celui qui donne la vie. Le Phénix aurait donc pu les ressusciter ? Tant mieux pour eux dans ce cas. Est-ce pour ça que je suis en vie moi aussi ? Je me souviens d'atroces souffrances et je crois bien que je suis mort dans ce monde étranger qui n'est pas fait pour l'état vibratoire des Skriis. Mais à présent, je suis de nouveau vivant, et je me sentirais parfaitement bien s'il n'y avait pas un problème. J'ai froid. L'étoile du jour va monter dans le ciel et réchauffer l'atmosphère. Mais en attendant, je n'ai pas d'habits à me mettre. Il doit bien exister un sort pour se protéger du froid. Je cherche dans ma mémoire ... Rien !
Bizarre, Karl aurait du savoir faire ça ! J'explore ce que j'ai emmagasiné dans ma mémoire. J'ai des connaissances sur outremonde, la manière dont les gens vivent ici, leur langage, quelques connaissances géographique. Karl vivait à Erdink qui est donc la ville où je suis allé hier. Mais je ne retrouve plus les détail spécifiques sur la vie du fermier dont j'ai absorbé l'essence, ni sur la vie de Karl.
Cédric et Ludvik ont l'air de parler, peut-être avec le Phénix. Je suis trop loin pour entendre, mais peut-être qu'il existe un sortilège pour arranger ça. Je cherche ... Rien !
J'essaie de me remémorer des choses que savait Karl au niveau de la magie ... mais tous ces souvenirs semblent effacés !
Tout à l'heure, avant de mourir, j'ai utilisé un sort de protection contre les créatures reptiliennes. Comment c'était déjà ? ...
Même ça, je ne m'en souviens plus !
Je sens de la pression au bas de mon ventre. Quelque-chose veut sortir. Ça risque bientôt d'être difficile de l'empêcher, et à quoi bon ? Je me laisse aller pour favoriser cette sortie. Du liquide jaune sort d'un tuyau que j'ai entre les jambes. C'est agréable de le laisser couler. Le liquide coule dans l'herbe et il est petit à petit absorbé par la terre. Au bout d'un certain temps, le débit du liquide jaune diminue puis s'arrête. Mais je sens qu'il m'en reste un peu. J'envoie un peu de pression et un petit jet arrose ma jambe. C'est chaud ! Si j'avais su, j'aurai pu m'en mettre sur la peau pour me réchauffer ... très provisoirement.
Mon corps est affecté de tremblements. J'ai trouvé une idée, me frictionner.
Ça marche ! Je passe mes mains à plat sur diverses parties du corps. Ça réchauffe un peu. Quand je les passe vers le haut de mes cuisses, je trouve ça agréable. Pas juste parce que ça réchauffe mais plutôt ...
Le tuyau que j'ai entre les jambes a légèrement grossi et il se redresse au lieu de pendre. En dessous du tuyau, il y a un sac avec deux boules qui peuvent se déplacer dans le sac, mais quelque-chose empêche d'intervertir leur position. C'est agréable de caresser l'entrejambe et la zone des boules.
Maintenant, le tuyau a encore grossi et il est bien raide. Il y a un bout rouge à l'extrémité que je ne voyais pas tout à l'heure. Je le prends dans une main. En faisant des mouvements vers l'avant, le bout rouge redevient caché alors que vers l'arrière, on se voit encore plus. Et ce mouvement d'aller retour est très agréable. Instinctivement, je continue à faire des aller retour en fermant les yeux pour bien m'imprégner des sensations. C'est lorsque mes doigts passent sur un zone renflée sous la peau, à l'extrémité du tuyau que j'ai le plus de plaisir.
Je continue de faire ce mouvement très agréable, alors qu'avec l'autre main, je caresse le sac avec les deux boules. sans y faire attention, j'ai accéléré le mouvement.
Je sens qu'il va y avoir de nouveau du liquide jaune prêt à couler, mais je continue mes mouvement. C'est ...
- AAaaaa !
trop bon. Et puis tout d'un coup...
- AAAAAAAaaaaaaaaa ! AAAAAaaaaa ! AAAaaaa ! AAaaa ! Aaaa
Finalement, cette fois-ci, ce n'est pas du liquide jaune qui est sorti mais un liquide blanchâtre qui a giclé par saccades. Cette fois-ci, je n'ai pas eu besoin d'envoyer un peu de pression pour que le liquide blanc parte. Il est sorti de manière incontrôlée. Et quand ça c'est produit, j'ai ressenti une grande bouffée de plaisir.
Intéressant ! Il faudra que je refasse ça de temps en temps, c'est trop bon.
Le liquide blanc est allé un peu partout. J'en ai sur le ventre et la poitrine, sur une cuisse, et il y en a aussi dans l'herbe. C'est en essuyant celui qui est sur ma peau que je m'aperçois qu'il est assez épais et visqueux.
Petit coup d'œil aux alentours. Cédric et Ludvic sont toujours avec l'oiseau. Ils ont l'air de discuter.
Peu après, je sens de la pression de nouveau, mais plus à l'arrière. Autre-chose veut aussi sortir. Je ne vais pas rester allongé, il vaut mieux m'accroupir. Il faut forcer un peu plus que pour le liquide jaune. A priori c'est plus gros. Oui, ça sort. Bon, c'est fini. Il y a trois sortes de cylindres recourbés et arrondis aux deux bouts. C'est marron, et ... ça ne sent pas très bon. Comment font les gens d'ici ? ... Ah oui, l'enterrer.
Je tente de creuser avec ma main, mais le sol est dur. Je m'aide d'une pierre. En profondeur, la terre est plus molle. Voilà, j'ai fait un trou. Le tas de terre est d'un coté, près de moi, et les trucs malodorants de l'autre coté du trou. C'est pas terrible pour utiliser la terre afin de pousser ces trucs dans le trou. Je n'ai plus qu'à déplacer le tas de terre.
Voila, c'est fait, avec mes deux mains, je tire la terre vers moi, elle entraîne les trucs malodorants dans le trou puis le rebouche. Je m'essuie ensuite un peu les mains sur l'herbe.
Bon, ce serait bien de me promener pour découvrir ce monde. Je me lève.
Tien, le bel oiseau aux plumes multicolores, le Phénix, vient de s'envoler. À présent, Ludvik et Cédric viennent vers moi. Avec mon nouveau corps, ils auront du mal à me reconnaitre. Enfin, j'espère ! J'avais deviné de grands pouvoirs magiques chez Cédric, et s'il est capable de deviner qui je suis, vu ce que j'ai fait, ça risque de très mal se passer.
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