25-11-2022, 04:55 AM
Un petit retardataire
Troisième tribu,
Ça y est le grand jour de notre initiation est arrivé. Nous, c'est les quatre garçons, à gauche de la photo, au deuxième rang. Je suis le deuxième en partant de la droite.
Mais laissez-moi vous présenter tout ce petit monde. L'homme avec une lance et un bouclier c'est notre chef. À côté de lui c'est notre chamane qui a de grandes plumes sur la tête. À côté de lui c'est son assistant, un garçon un peu plus âgé que nous qu'il est en train de former.
Le premier garçon s'appelle Len. Dans votre langue ça signifie Flute. Puis il y a Simmi qui signifie ''la vallée du vent'' parce qu'il est né dans une vallée ventée. Puis il y a moi, Yuma. Ça veut dire ce que je suis ''le fils du chef'‘. Puis il y a, en dernier, Tauri qui signifie ''jeune aigle'' .
Les trois hommes accroupis devant nous, vont aussi participer à notre initiation. Le premier en partant de la gauche est ce qui s'apparenterait le plus chez vous à un cueilleur. Il connait toutes les plantes et racines comestibles de la forêt. Le deuxième est un chasseur qui n'est jamais rentré bredouille. Et le troisième est un pécheur qui sort autant de poissons qu'il veut - alors que vous, vous, n'en avez pas pris un.
Vous devez bien vous demander comment ça se fait qu'on soit là en photo. Il y a quelques jours, un blanc est arrivé du ciel. Il est sorti d'un gros oiseau qui faisait un bruit de tonnerre et une grosse fleur toute blanche a ralenti sa descente. Il a demandé au chef de rester quelques temps, avec nous. Celui-ci a accepté contre une jolie hache en fer, très coupante. Il est même autorisé à assister à nos festivités et aussi à ''nous prendre en photo'', comme il dit.
Heureusement que le sorcier parle un peu espagnol parce que nous, nous ne parlons que le dialecte de notre tribu et quelques mots de quichua. Et je dois vous avouer que c'est le premier homme blanc que je vois. Il a les cheveux jaune comme les rayons du soleil, les yeux de la couleur du ciel et il est très grand. Il doit faire une tête de plus que le plus grand de la tribu.
Vous devez bien vous demander où nous vivons. Je fais partie de la tribu des Shiwiar. Mais pour vous, nous sommes ce que vous appelez des Jivaros mais qui est une insulte pour nous, car c'est les Espagnols qui nous ont appelé comme ça et si je crois ce qu'on m'en a dit, ça signifie sauvage ou barbare. Ce que nous ne sommes pas du tout quoique, les Shuars ont l'habitude de réduire les têtes de leurs ennemis. Il y en a quelques-unes aussi chez nous et ça s'appelle des Tsantzas.
Nous vivons près de la rivière Pastaza dans le bassin amazonien. On ne voit pas souvent des étrangers parce que la seule façon de venir est à pied, ce qui est pratiquement impossible ou en bateau mais la rivière est dangereuse et souvent réclame son dû en vies humaines.
Jusqu'à l'âge de 15 ans nous vivons et ne restons pratiquement qu'avec les femmes et c'est quand nous commençons à avoir des poils qui poussent sur notre visage qu'on est initié. Mon frère aîné, avec qui je suis pourtant très proche, n'a pas voulu me dire ce qu'il s'y passait. Je crois que c'est le secret le mieux gardé de la tribu.
Après la photo, on nous conduisit à l'écart du village, loin dans la forêt, dans une hutte que les hommes avaient construite spécialement. Elle était grande, presque aussi grande que la hutte du village où tout le monde se rassemble pour les fêtes. Le chamane y entra le premier en faisant des incantations. Il alluma un feu. Son assistant prit un brandon et alluma des torches pendant que le sorcier était en train de psalmodier des incantations. Quand ils eurent fini, on entra tous. À part, il y avait quatre hamacs du côté gauche et en face ceux du reste du groupe. On nous fit aligner et le sorcier, en maitre de cérémonie, nous demanda de nous mettre nus et de poser nos pagnes sur un des hamacs derrière nous.
Même si notre habillement est minimaliste, et que le pagne ne cache que notre virilité, laissant nos fesses nues, la nudité n'est pas chose courante dans notre culture, quoique, lorsqu'on va à la rivière, on se baigne nus entre garçons. Et quand on se sèche au soleil, souvent nos sexes deviennent durs et très vite on s'éloigne du groupe pour aller se soulager derrière un buisson. Mais parfois il arrive que si on est plusieurs à l'avoir dur, on fasse un concours pour savoir celui qui crachera le plus de semence, ou celui qui l'enverra le plus loin ou encore celui qui a la plus grosse. Et chose encore plus rare - mais fantastique - c'est quand un autre que vous vous fait sortir votre lait. Len adore me le faire, parce que la mienne est très grosse comparée à la sienne.
il y a quelques jours j'ai cru qu'il voulait me la manger. Il a su me convaincre de le laisser faire et c'est avec sa bouche qu'il a fait sortir mon lait. Je n'avais jamais connu un tel bonheur et un tel plaisir.
Le sorcier se dirigea vers une natte posée par terre que je n'avais pas remarquée en entrant et sur laquelle il y avait plusieurs choses. Il y prit une gourde et une coupelle en bois, qu'il remplit et qu'il nous fit boire à tour de rôle. Aussitôt mon esprit commença à s'embrumer et mon sexe à devenir si dur qu'il était collé à mon ventre. Il alla reposer le tout sur la natte et pris un sachet et une autre coupelle mais en pierre cette fois dans laquelle il posa un gros morceau de braise bien rouge et il versa le contenu du sachet dessus. Une épaisse fumée suave s'éleva aussitôt et il vint nous encenser avec à tour de rôle en psalmodiant une litanie envoutante.
Je n'avais plus qu'une envie à ce moment-là c'était de jouir. Du liquide séminal coulait abondamment de mon sexe, qui n'avait jamais était aussi gros et dur. Je jetais un œil sur ceux de mes amis et ils étaient dans le même état que moi. Même celui de Len me semblait plus gros que d’habitude.
– Il est temps maintenant de faire ressortir par votre virilité tout le lait que vous avez bu étant enfant. Et tant que vous n'aurez pas rempli les coupelles que je vais vous donner il faudra continuer à le faire sortir. Commencez.
Et c'est sur cet ordre que chacun d'entre nous commença à se masturber. Très vite la première jouissance nous terrassa...
Combien de fois j'ai joui ? Je n'en sais rien.
On se réveilla en même temps, allongés sur nos hamacs. C'est la douleur de mon sexe en érection qui m'avait fait ouvrir les yeux et, voyant les tiges raides de mes compagnons, je su ne pas être le seul. Les hommes étaient là, assis entre eux avec l'homme blanc, en train de manger. Nous, on n'avait pas faim. On avait juste une envie bestiale de nous vider les couilles.
Le sorcier voyant qu'on était tous réveillé nous fit boire une autre coupelle tirée de la gourde. Son assistant s'approcha de chacun de nous et mit, sur nos glands découverts, une espèce d'onguent gras qui chauffait et facilitait le coulissement du prépuce. Et chacun recommença à se masturber…
J'allais jouir. Je m'approchais de ma coupelle et je vis qu'elle était presque pleine. Celles de mes copains de branle l'étaient presque, aussi. Je me demandais combien de fois j'avais dû jouir pour en arriver là. Mais qu'importe la coupelle. Je n'avais qu'une envie, c'était de me faire jouir, tellement mon sexe me faisait mal.
Au bout de la quatrième ou cinquième fois de la matinée, ma coupelle déborda. Mais j'avais encore envie de ma branler. De continuer à jouir pour expulser tout le lait maternel que j'avais en moi. Certains de mes amis étaient à la traine, soit parce que quand ils jouissaient ils éjaculaient à côté de la coupelle, soit parce que la quantité de sperme qu'ils émettaient devenait de moins en moins importante. Il ne manquait pas grand-chose à Tauri et à Len pour remplir leurs coupelles mais ils étaient épuisés, vidés de toute force. Le sorcier intervint, une nouvelle fois.
– Aidez vos amis à finir. Yuma, tu aideras Len et toi Simi, tu aideras Tauri.
Je me plaçais derrière lui et je le masturbais à sa place. Mon sexe dur me gênait. Je sentis la main de Len se glisser entre nos corps et il positionna mon sexe entre ses fesses. C'est vrai que comme ça c'était plus pratique pour le branler. Très vite son sexe reprit du volume et il se mit à durcir entre mes doigts. Mais bien vite aussi Len commença à donner des coups de rein qui ne firent qu'empirer mon érection. De temps en temps je sentais mon sexe qui forçait son trou secret. Et petit à petit, Len se débrouilla pour que mon sexe s'enfonce de plus en plus en lui. Simi c'était positionné comme moi et, comme moi, il avait glissé son sexe entre les fesses de Tauri qui lui aussi donnait de discrets coups de rein.
Mon sexe pénétrait maintenant complètement l'antre de Len qui semblait y prendre un plaisir immense. Tauri lui semblait avoir plus de mal à accepter l'invasion de Simi mais malgré sa grimace son sexe était dur et c'est avec vigueur qu'on les branlait. Tauri commença à gémir de plus en plus fort et bientôt une énorme giclée fini de remplir sa coupelle. Simi se retira de Tauri et à son tour envoya les dernières gouttes de son lait infantile dans la sienne.
Je sentais Len trembler contre moi. Son sexe devenait de plus en plus dur entre mes doigts. Il se mit à gémir sans discontinuer et la giclée qu'il envoya fit déborder sa coupelle. Je ne sais pas comment il s'y prit mais il serra tellement mon sexe qui était profondément enfoui en lui que ma dernière giclée alla dans son ventre. Je me retirais de ce fourreau accueillant.
Le sorcier envoya son assistant chercher une très grosse gourde, posée elle aussi sur la natte, dans laquelle il versa le contenu de nos coupelles.
– Dans cette gourde il y a le lait de tous les enfants mâles de la tribu depuis qu'elle existe. Votre lait a été ajouté au notre. Vous êtes des hommes maintenant. Il va falloir agir en tant que tel à partir d’aujourd’hui. Vos pères vous ont déjà choisi une femme à qui vous devrez faire des enfants pour continuer la lignée de vos noms et agrandir la tribu. Dès demain, ces hommes vont tout vous apprendre sur l'art de vivre dans la forêt comme nous le faisons depuis la naissance du monde. Écoutez et apprenez d’eux. Il en va de votre survie et de celle de la tribu.
– Maintenant que vous êtes dignes du nom d’homme, pour nous prouver votre bravoure, vous allez mettre une de vos main dans ce pot et la laisser, le temps de compter jusqu'à deux fois dix.
Chacun plongea sa main dans le pot devant lui. La douleur fut aussitôt atroce. La morsure d'une fourmi balle de fusil est horrible mais là il devait y en avoir des dizaines. On réussit tous la dernière étape de notre initiation. Dans les jours qui suivirent notre initiation chacun des hommes présents nous enseigna son art de la collecte d'aliments, tirés des plantes, de la chasse et de la pêche.
Une lune plus tard on rentra au village où on fut accueilli en hommes et plus en enfants. Nos pères nous présentèrent nos promises. La mienne était la sœur cadette de Len et la sienne était ma sœur. Notre retour et nos mariages qui suivirent, furent l'occasion de faire une grande fête. Ce fut aussi l'occasion pour moi d'avoir des relations sexuelles avec une femme.
Je trouvais ça agréable mais pas autant que le trou caché de Len, avec qui, quelques jours plus tard, je partis à la chasse. On eut de la chance et très vite le gibier abonda. En l'aidant à charger un singe sur ses épaules je ne sais pas comment mais mon sexe se retrouva collé contre ses fesses fermes et devint aussitôt dur. Il tourna la tête vers moi, pressa ses fesses contre mon sexe et me sourit.
– Tu sais, j'ai adoré sentir ton sexe en moi pendant notre initiation, plus que quand je fais l'amour avec ta sœur. Tu veux bien me le remettre dedans ?
Depuis, on part toujours à la chasse ou à la pèche ensemble mais il faut souvent que l’on s’enfonce loin dans la forêt pour pouvoir ramener de la nourriture...
Troisième tribu,
Ça y est le grand jour de notre initiation est arrivé. Nous, c'est les quatre garçons, à gauche de la photo, au deuxième rang. Je suis le deuxième en partant de la droite.
Mais laissez-moi vous présenter tout ce petit monde. L'homme avec une lance et un bouclier c'est notre chef. À côté de lui c'est notre chamane qui a de grandes plumes sur la tête. À côté de lui c'est son assistant, un garçon un peu plus âgé que nous qu'il est en train de former.
Le premier garçon s'appelle Len. Dans votre langue ça signifie Flute. Puis il y a Simmi qui signifie ''la vallée du vent'' parce qu'il est né dans une vallée ventée. Puis il y a moi, Yuma. Ça veut dire ce que je suis ''le fils du chef'‘. Puis il y a, en dernier, Tauri qui signifie ''jeune aigle'' .
Les trois hommes accroupis devant nous, vont aussi participer à notre initiation. Le premier en partant de la gauche est ce qui s'apparenterait le plus chez vous à un cueilleur. Il connait toutes les plantes et racines comestibles de la forêt. Le deuxième est un chasseur qui n'est jamais rentré bredouille. Et le troisième est un pécheur qui sort autant de poissons qu'il veut - alors que vous, vous, n'en avez pas pris un.
Vous devez bien vous demander comment ça se fait qu'on soit là en photo. Il y a quelques jours, un blanc est arrivé du ciel. Il est sorti d'un gros oiseau qui faisait un bruit de tonnerre et une grosse fleur toute blanche a ralenti sa descente. Il a demandé au chef de rester quelques temps, avec nous. Celui-ci a accepté contre une jolie hache en fer, très coupante. Il est même autorisé à assister à nos festivités et aussi à ''nous prendre en photo'', comme il dit.
Heureusement que le sorcier parle un peu espagnol parce que nous, nous ne parlons que le dialecte de notre tribu et quelques mots de quichua. Et je dois vous avouer que c'est le premier homme blanc que je vois. Il a les cheveux jaune comme les rayons du soleil, les yeux de la couleur du ciel et il est très grand. Il doit faire une tête de plus que le plus grand de la tribu.
Vous devez bien vous demander où nous vivons. Je fais partie de la tribu des Shiwiar. Mais pour vous, nous sommes ce que vous appelez des Jivaros mais qui est une insulte pour nous, car c'est les Espagnols qui nous ont appelé comme ça et si je crois ce qu'on m'en a dit, ça signifie sauvage ou barbare. Ce que nous ne sommes pas du tout quoique, les Shuars ont l'habitude de réduire les têtes de leurs ennemis. Il y en a quelques-unes aussi chez nous et ça s'appelle des Tsantzas.
Nous vivons près de la rivière Pastaza dans le bassin amazonien. On ne voit pas souvent des étrangers parce que la seule façon de venir est à pied, ce qui est pratiquement impossible ou en bateau mais la rivière est dangereuse et souvent réclame son dû en vies humaines.
Jusqu'à l'âge de 15 ans nous vivons et ne restons pratiquement qu'avec les femmes et c'est quand nous commençons à avoir des poils qui poussent sur notre visage qu'on est initié. Mon frère aîné, avec qui je suis pourtant très proche, n'a pas voulu me dire ce qu'il s'y passait. Je crois que c'est le secret le mieux gardé de la tribu.
Après la photo, on nous conduisit à l'écart du village, loin dans la forêt, dans une hutte que les hommes avaient construite spécialement. Elle était grande, presque aussi grande que la hutte du village où tout le monde se rassemble pour les fêtes. Le chamane y entra le premier en faisant des incantations. Il alluma un feu. Son assistant prit un brandon et alluma des torches pendant que le sorcier était en train de psalmodier des incantations. Quand ils eurent fini, on entra tous. À part, il y avait quatre hamacs du côté gauche et en face ceux du reste du groupe. On nous fit aligner et le sorcier, en maitre de cérémonie, nous demanda de nous mettre nus et de poser nos pagnes sur un des hamacs derrière nous.
Même si notre habillement est minimaliste, et que le pagne ne cache que notre virilité, laissant nos fesses nues, la nudité n'est pas chose courante dans notre culture, quoique, lorsqu'on va à la rivière, on se baigne nus entre garçons. Et quand on se sèche au soleil, souvent nos sexes deviennent durs et très vite on s'éloigne du groupe pour aller se soulager derrière un buisson. Mais parfois il arrive que si on est plusieurs à l'avoir dur, on fasse un concours pour savoir celui qui crachera le plus de semence, ou celui qui l'enverra le plus loin ou encore celui qui a la plus grosse. Et chose encore plus rare - mais fantastique - c'est quand un autre que vous vous fait sortir votre lait. Len adore me le faire, parce que la mienne est très grosse comparée à la sienne.
il y a quelques jours j'ai cru qu'il voulait me la manger. Il a su me convaincre de le laisser faire et c'est avec sa bouche qu'il a fait sortir mon lait. Je n'avais jamais connu un tel bonheur et un tel plaisir.
Le sorcier se dirigea vers une natte posée par terre que je n'avais pas remarquée en entrant et sur laquelle il y avait plusieurs choses. Il y prit une gourde et une coupelle en bois, qu'il remplit et qu'il nous fit boire à tour de rôle. Aussitôt mon esprit commença à s'embrumer et mon sexe à devenir si dur qu'il était collé à mon ventre. Il alla reposer le tout sur la natte et pris un sachet et une autre coupelle mais en pierre cette fois dans laquelle il posa un gros morceau de braise bien rouge et il versa le contenu du sachet dessus. Une épaisse fumée suave s'éleva aussitôt et il vint nous encenser avec à tour de rôle en psalmodiant une litanie envoutante.
Je n'avais plus qu'une envie à ce moment-là c'était de jouir. Du liquide séminal coulait abondamment de mon sexe, qui n'avait jamais était aussi gros et dur. Je jetais un œil sur ceux de mes amis et ils étaient dans le même état que moi. Même celui de Len me semblait plus gros que d’habitude.
– Il est temps maintenant de faire ressortir par votre virilité tout le lait que vous avez bu étant enfant. Et tant que vous n'aurez pas rempli les coupelles que je vais vous donner il faudra continuer à le faire sortir. Commencez.
Et c'est sur cet ordre que chacun d'entre nous commença à se masturber. Très vite la première jouissance nous terrassa...
Combien de fois j'ai joui ? Je n'en sais rien.
On se réveilla en même temps, allongés sur nos hamacs. C'est la douleur de mon sexe en érection qui m'avait fait ouvrir les yeux et, voyant les tiges raides de mes compagnons, je su ne pas être le seul. Les hommes étaient là, assis entre eux avec l'homme blanc, en train de manger. Nous, on n'avait pas faim. On avait juste une envie bestiale de nous vider les couilles.
Le sorcier voyant qu'on était tous réveillé nous fit boire une autre coupelle tirée de la gourde. Son assistant s'approcha de chacun de nous et mit, sur nos glands découverts, une espèce d'onguent gras qui chauffait et facilitait le coulissement du prépuce. Et chacun recommença à se masturber…
J'allais jouir. Je m'approchais de ma coupelle et je vis qu'elle était presque pleine. Celles de mes copains de branle l'étaient presque, aussi. Je me demandais combien de fois j'avais dû jouir pour en arriver là. Mais qu'importe la coupelle. Je n'avais qu'une envie, c'était de me faire jouir, tellement mon sexe me faisait mal.
Au bout de la quatrième ou cinquième fois de la matinée, ma coupelle déborda. Mais j'avais encore envie de ma branler. De continuer à jouir pour expulser tout le lait maternel que j'avais en moi. Certains de mes amis étaient à la traine, soit parce que quand ils jouissaient ils éjaculaient à côté de la coupelle, soit parce que la quantité de sperme qu'ils émettaient devenait de moins en moins importante. Il ne manquait pas grand-chose à Tauri et à Len pour remplir leurs coupelles mais ils étaient épuisés, vidés de toute force. Le sorcier intervint, une nouvelle fois.
– Aidez vos amis à finir. Yuma, tu aideras Len et toi Simi, tu aideras Tauri.
Je me plaçais derrière lui et je le masturbais à sa place. Mon sexe dur me gênait. Je sentis la main de Len se glisser entre nos corps et il positionna mon sexe entre ses fesses. C'est vrai que comme ça c'était plus pratique pour le branler. Très vite son sexe reprit du volume et il se mit à durcir entre mes doigts. Mais bien vite aussi Len commença à donner des coups de rein qui ne firent qu'empirer mon érection. De temps en temps je sentais mon sexe qui forçait son trou secret. Et petit à petit, Len se débrouilla pour que mon sexe s'enfonce de plus en plus en lui. Simi c'était positionné comme moi et, comme moi, il avait glissé son sexe entre les fesses de Tauri qui lui aussi donnait de discrets coups de rein.
Mon sexe pénétrait maintenant complètement l'antre de Len qui semblait y prendre un plaisir immense. Tauri lui semblait avoir plus de mal à accepter l'invasion de Simi mais malgré sa grimace son sexe était dur et c'est avec vigueur qu'on les branlait. Tauri commença à gémir de plus en plus fort et bientôt une énorme giclée fini de remplir sa coupelle. Simi se retira de Tauri et à son tour envoya les dernières gouttes de son lait infantile dans la sienne.
Je sentais Len trembler contre moi. Son sexe devenait de plus en plus dur entre mes doigts. Il se mit à gémir sans discontinuer et la giclée qu'il envoya fit déborder sa coupelle. Je ne sais pas comment il s'y prit mais il serra tellement mon sexe qui était profondément enfoui en lui que ma dernière giclée alla dans son ventre. Je me retirais de ce fourreau accueillant.
Le sorcier envoya son assistant chercher une très grosse gourde, posée elle aussi sur la natte, dans laquelle il versa le contenu de nos coupelles.
– Dans cette gourde il y a le lait de tous les enfants mâles de la tribu depuis qu'elle existe. Votre lait a été ajouté au notre. Vous êtes des hommes maintenant. Il va falloir agir en tant que tel à partir d’aujourd’hui. Vos pères vous ont déjà choisi une femme à qui vous devrez faire des enfants pour continuer la lignée de vos noms et agrandir la tribu. Dès demain, ces hommes vont tout vous apprendre sur l'art de vivre dans la forêt comme nous le faisons depuis la naissance du monde. Écoutez et apprenez d’eux. Il en va de votre survie et de celle de la tribu.
– Maintenant que vous êtes dignes du nom d’homme, pour nous prouver votre bravoure, vous allez mettre une de vos main dans ce pot et la laisser, le temps de compter jusqu'à deux fois dix.
Chacun plongea sa main dans le pot devant lui. La douleur fut aussitôt atroce. La morsure d'une fourmi balle de fusil est horrible mais là il devait y en avoir des dizaines. On réussit tous la dernière étape de notre initiation. Dans les jours qui suivirent notre initiation chacun des hommes présents nous enseigna son art de la collecte d'aliments, tirés des plantes, de la chasse et de la pêche.
Une lune plus tard on rentra au village où on fut accueilli en hommes et plus en enfants. Nos pères nous présentèrent nos promises. La mienne était la sœur cadette de Len et la sienne était ma sœur. Notre retour et nos mariages qui suivirent, furent l'occasion de faire une grande fête. Ce fut aussi l'occasion pour moi d'avoir des relations sexuelles avec une femme.
Je trouvais ça agréable mais pas autant que le trou caché de Len, avec qui, quelques jours plus tard, je partis à la chasse. On eut de la chance et très vite le gibier abonda. En l'aidant à charger un singe sur ses épaules je ne sais pas comment mais mon sexe se retrouva collé contre ses fesses fermes et devint aussitôt dur. Il tourna la tête vers moi, pressa ses fesses contre mon sexe et me sourit.
– Tu sais, j'ai adoré sentir ton sexe en moi pendant notre initiation, plus que quand je fais l'amour avec ta sœur. Tu veux bien me le remettre dedans ?
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