20-11-2022, 12:35 AM
(18-11-2022, 07:45 AM)Lange128 a écrit : Cette excitation est-elle seulement due à la présence de Maël ou Ludivien aurait-il appris des techniques qui permettraient d’avoir une érection « sur demande », quelle que soit la situation ? Le sexe deviendrait alors quelque chose de mécanique, où les sentiments n’auraient pas beaucoup d’importance. Je ne vais pas répondre à cette question maintenant, je décris surtout le point de vue de Maël dans ce récit.Cela sous-entendrait une éducation au tantrisme dans la civilisation de Ludivien, parfaite au niveau des résultats, moins à celui des sentiments :/
Décrire le sexe de façon trop mécanique, ou trop clinique même, est un défaut qui est présent dans nombre de mes récits et que j’aimerais bien corriger.
Mais on écrit de la fiction, ne te reproche pas de décrire les échanges de manière trop... je préfère le terme 'technique', qui implique une idée de plaisir réussi *et* partagé, quand il n'est pas exactement synchrone... J'ai fini par me dire que le lecteur - a fortiori celui de récits gays - préfère idéaliser le truc, et oublier les côtés moins 'glamour', la douleur du début, la découverte d'une hygiène douteuse, l'orgasme flingué par manque de considération pour les besoins de l'autre, personne ne veut lire ça... Alors (je plaide coupable en premier) on décrit du sexe idéal ¯\_(ツ)_/¯
Some girls can make my day, but only boys make my hole weak.