15-11-2022, 05:54 PM
Finalement, très peu de monde pour produire un texte à partir de la photo de la tribu.
Le photographe Hans Silvester a réalisé une série de 2 livres de photos (quelques 450 images de presque 20 x 30 cm) édités en français fin 2006 sous le titre "Les peuples de l'Omo" qui montrent les gens de ce coin du monde qui décorent leur corps de motifs colorés. Il y a des visages, des portion de corps et des corps entiers parmi les photos.
Sur les photos des livres de Hans Silvester, adultes comme enfants sont presque toujours nus. Si à présent, on cherche des photos de ces gens sur internet, on les voit avec un morceau de tissu à l'entrejambe. Je ne sais pas si cette évolution provient d'une plus grande sélectivité dans les photos ou si les tribus de l'Omo ont choisi de s'adapter au développement du tourisme ethnologique dans leur région.
(11-11-2022, 11:59 AM)lelivredejeremie a écrit : La narration est adorable de candeur, et l'histoire, finalement, est empreinte d'un fond d'innocence jusqu'à son terme, où ils ont bien conscience de ce que leur groupe social attendra d'eux, mais c'est pour plus tard, leurs jeux d'enfants viennent slmt de devenir ceux d'ados, il faut laisser le temps au temps :-) Pour l'instant, Markeni a dit à Tigitsu les mots qu'il rêvait d'entendre sans lui-mm oser les prononcer, tout va bien ;-)En fin de compte, les deux textes se complètent très bien.
- La découverte,
- le choix du partenaire.
(11-11-2022, 11:59 AM)lelivredejeremie a écrit : Mention spéciale sur le localisation du récit, *en bordure de l'Omo*... Ils ont même mis un pied dedans, là ¬‿¬Le nom du fleuve est évocateur, mais réel.
Le photographe Hans Silvester a réalisé une série de 2 livres de photos (quelques 450 images de presque 20 x 30 cm) édités en français fin 2006 sous le titre "Les peuples de l'Omo" qui montrent les gens de ce coin du monde qui décorent leur corps de motifs colorés. Il y a des visages, des portion de corps et des corps entiers parmi les photos.
Sur les photos des livres de Hans Silvester, adultes comme enfants sont presque toujours nus. Si à présent, on cherche des photos de ces gens sur internet, on les voit avec un morceau de tissu à l'entrejambe. Je ne sais pas si cette évolution provient d'une plus grande sélectivité dans les photos ou si les tribus de l'Omo ont choisi de s'adapter au développement du tourisme ethnologique dans leur région.