10-11-2022, 06:25 PM
Première tribu,
Je m'appelle Tigistu et depuis tout petit, je suis copain avec Markeni. En fait, nous sommes deux amis inséparables. Markeni a toujours été plus grand et plus costaud que moi, mais c'est normal, il est né avant. Mais on a presque le même âge.
Avec notre tribu, nous vivons dans la savane en bordure du fleuve Omo. Il paraît que c'est en Éthiopie, mais comme on se déplace à pied, ça ne sert à rien de connaître le nom de tous les endroits de la terre.
Vu la température dans la journée, nous vivons nus, mais nous aimons nous décorer le corps. Il y a ce qu'il faut sur place. On trouve de la terre presque blanche, de la jaune et de la rouge. Une pierre friable à ramasser dans le fleuve permet d'obtenir du vert. La cendre mélangée à la terre blanche ou utilisée seule permet d'avoir du gris. On n'a pas de bleu, mais peu importe.
Quand je serai plus grand, je serai chasseur comme mon grand frère Yitbarek et comme mon père. Avec ma lance, je protégerai nos troupeaux contre les lions et autres bêtes sauvages. Ouais, enfin, je pensais ça il y a quelques années, mais peut être que ce sera moins facile que ce que je croyais. Enfin, je ferai ce que je pourrai.
Avec Markeni, on a justement l'idée de jouer à ça. Markeni sera un lion sauvage et affamé, et moi, je l'empêcherai d'avancer avec ma lance. Pour commencer, il faut se déguiser. On va à l'endroit où on trouve de la terre ocre jaune, et j'en met sur le corps de Markeni. Pas partout bien sûr. Je trace des traits assez grossiers sur sa peau. Le résultat est joli. La terre lui fait un pelage jaune brun sur lequel ressortent des rayures marron foncé de la couleur de sa peau. En fait de lion, Markeni ressemble plutôt à un tigre mais, en tout cas, il a vraiment l'air d'un bête féroce. Je suis content de mon travail.
C'est au tour de Markeni de me peindre en chasseur. Il commence par me recouvrir les pieds et le bas des jambes d'un mélange de terre jaune et rouge. Ça me fait comme des chaussures. Pour le reste de mon corps, je ne sais pas pourquoi, il veut utiliser du miel comme support. On le fait généralement pour coller des pétales de fleur sur la peau ou des morceaux d'herbe (une autre façon d'avoir du vert), mais, là, je ne voie pas pourquoi il ne se contente pas de terre. Enfin, il me dessine des peintures de guerre de plusieurs couleurs sur le visage, me dessine au milieu du ventre une sacoche pour porter le gibier ou des poissons, car on pêche aussi dans le fleuve, il rajoute une pochette de chaque côté sur la poitrine. Enfin, il remet de la couleur au bout de mon papayou.
Je ne l'ai pas encore dit, mais il y a quelque temps, je me suis aperçu que si je retrousse l'enveloppe du papayou, il y a un bout bien rouge qui apparaît. Ça m'a donné l'idée de peindre le bout de mon papayou de cette couleur et justement Markeni qui le sait, étale du rouge à cet endroit.
Bon, il est temps de jouer au chasseur et au lion. On se sépare. Je prends un morceau de bois assez droit pour me faire une lance et je me promène un peu quelques minutes.
‒ Grrrroouuu !
Tiens, Markeni est arrivé à quatre pattes, il me regarde.
‒ Va-t’en lion !
et je prends une allure menaçante en brandissant ma lance.
‒ Grrrroouuurrrrrrrrrrr !
Je m'avance vers le lion pour le chasser de mon territoire, la lance en avant, mais le lion avance aussi.
‒ GRRRROOOOOoooouuuuuurrrrr !
Je donne des coups sur la crinière du lion pour le faire reculer.
‒ GRRRROOOOOOOOUUUUUUURRRRRrrrrr !
Le lion s'est dressé sur ses pattes arrière et m'a sauté dessus. Je me retrouve sur le dos avec le visage de Markeni à quelques centimètres de ma tête qui montre ses dents blanches. Comme bête féroce, il est impressionnant.
‒ GRRRRRRRROOOOOOOOOOOOUUUUUUUUUUUURRRRRRRRRRRRRRRRrr !
Arrête Markeni, c'est un jeu-là.
‒ GRRRRRRRRRRRROOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUURRRRRRRRRRRRRRRRrr !
Devant sa détermination, je ne pense plus que c'est mon ami Markeni qui est à côté. Je suis à quelques centimètres d'un bête féroce qui va me dévorer. Je me met à pleurer.
Le lion reste silencieux et me regarde, alors que je sanglote, puis il approche sa langue de mes yeux et vient lécher mes larmes. Après les deux yeux, il entreprend de me débarbouiller tout le visage en léchant les peintures de guerre qu'il avait dessiné. Avec du miel, ça doit être meilleur que s'il avait eu à lécher de la terre. Je retrouve le sourire.
Le visage débarbouillé, il vient me lécher la partie de ma poitrine où sont dessinées les pochettes, à proximité de mes tétons qu'il mordille doucement. J'aime. Après quoi, il descend sur le ventre et ses coups de langue sur la sacoche à gibier qu'il a dessiné me font des chatouilles. Je suis tordu de rire.
À présent, Markeni (ou le lion) approche sa bouche des noyaux de mon papayou. Il se met à les sucer en douceur, l'un après l'autre. Ensuite, il lèche mon papayou sous toute sa longueur. Ce dernier est bien raide comme un bâton de bambou. Son enveloppe est retroussée et il y a deux zones rouges, le bout du papayou qui est presque toujours caché et la partie rouge de l'enveloppe qui n'est pas encore entièrement nettoyée.
Markeni a rentré le bout de mon papayou dans la bouche et le lèche consciencieusement. Avec la peinture au miel, il doit se régaler. Mais moi aussi, j'apprécie ses coups de langue à cet endroit. Par contre, je sens du liquide monter. Il faut que je le prévienne.
‒ Attention Markeni, je vais faire pipi.
‒ grraaoouu !
Ça, c'était un rugissement gentil. Markeni a sorti mon papayou de sa bouche, mais il continue à lécher l'extrémité du dessous. Je crois que je vais l'asperger, mais je l'ai prévenu.
‒ AAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHH ! AAAAAAAAAHHHHHH ! AAAAAHHHH ! AAAAHHHH !AAAHH ! AAaahhh ! aaahhh !
Ce n'est pas du pipi qui est sorti, mais un liquide blanc comme du lait. C'est sorti en plusieurs jets et lorsque c'est sorti, j'ai crié de plaisir. Après examen, ce n'est pas du lait, c'est un liquide plus épais et visqueux. J'en ai reçu sur ma poitrine et sur mon ventre, mais Markeni en a aussi sur sa poitrine et son ventre. Alors qu'il lèche la dernière coulée qui mouille le bout rouge de mon papayou, je lui propose de lécher ce qu'il a reçu sur sa fourrure.
‒ grraaoouu !
Markeni a fait demi-tour. Il est à quatre pattes et lèche à présent les traces sur ma poitrine. J'ai sa poitrine au-dessus de ma tête et je la lèche aussi. Il s'avance en direction de mon ventre et je peux lécher son ventre à lui. C'est de nouveau l'occasion de chatouilles, mais cette fois-ci, on rit tous les deux.
À présent, il est près de mon papayou pour finir de le nettoyer et j'ai le sien à quelques centimètres de ma bouche. À mon tour de lui donner du plaisir. Mon petit lion mérite bien ça. Du coup, comme j'ai commencé à sucer son papayou, il s'est remis à sucer le mien.
‒ AAAAAAAAAAAAAAAAHHHHH ! AAAAAAAAAAHHHHH ! AAAAAAAAHH ! AAAaaaaahh ! aaaaahh !
‒ AAAaaaahhh ! AAaaahh ! aaaaahhh !
J'ai plein du liquide blanchâtre de Markeni dans la bouche, moi, cette fois-ci, j'ai pas dû en envoyer beaucoup, il doit falloir du temps pour le fabriquer.
Markeni me rejoint et colle sa bouche contre la mienne. Nos langues tournent l'une autour de l'autre. Je n'avais pas encore avalé le liquide blanchâtre et Markeni peut y goûter après avoir goûté le mien. J'aime ses pattes (ou ses mains) douces qui caressent mon dos. Je fais de même. Il y a des parties rugueuses, là où j'ai mis la peinture et des parties plus douces où la peau est à nu. Puis Markeni se redresse et me regarde dans les yeux.
‒ Je t'aime Tigistu !
Ça, c'est une phrase qui me fait bien plaisir, d'autant plus que ...
‒ Je t'aime Markeni !
‒ grraooaoooouuu ! hi, hi hi hi hi !
‒ Hi, hi hi hi hi !
Je sens qu'après ces aveux, mon papayou s'est bien redressé et celui de Markeni appuie bien sur ma jambe. Mais on se contente de se caresser en se regardant dans les yeux avec un sourire rayonnant. Et puis ... on baille. On continue à se caresser un peu les yeux fermés pour bien sentir les caresses de l'autre.
On s'est finalement endormis et au réveil, nos papayous sont bien raides tous les deux. Du coup, on recommence les léchouilles qui donnent du plaisir. Cette fois-ci, on a eu tous les deux la même quantité de liquide blanchâtre, moins que la toute première fois, mais tout de même pas mal.
Mais le soleil est à présent assez bas et il faut rentrer pour éviter de se faire attaquer par les esprits de la nuit. Baignade rapide dans le fleuve et on part en se tenant délicatement par la main. Mais cette manière agréable de rester en contact a comme conséquence de redresser nos papayous. On préfère donc arrêter de se ternir la main une fois à proximité du village. Quand on sera plus, grand, chacun d'entre nous devra trouver une femme qui lui fera 3 ou 4 beaux enfants afin que deux d'entre eux atteindre à leur tour l'âge de perpétuer la tribu.
Aujourd'hui, j'ai appris deux choses. Markeni est amoureux de moi. Ça tombe bien car moi, ça fait plusieurs années que je l'aime et pas juste comme on aimerait un copain ou même un ami. Mais on n'avait pas encore eu l'occasion de se le dire. Il faudra trouver d'autres moments comme aujourd'hui pour partager notre amour.
L'autre chose que j'ai apprise c'est qu'il vaudrait mieux que je ne me retrouve pas seul face à un lion ou un tigre affamé. Et puis, si je disparaissais, Markeni risquerait d'en être très malheureux.
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