07-11-2022, 02:17 PM
CHAPITRE 111 : « A bord du « Kannn ». » « Samuel »
« Espace privé de Samuel à bord du « Kannn ». »
Andréas émet des sons de gorge rauques du plaisir qu’il éprouve, sous les caresses de Samuel prenant tout son temps pour le faire devenir fou de l’envie de se faire prendre.
De ce fait ils sont tous deux trop obnubilés par le corps de l’autre pour s’apercevoir de la remise en mouvement du « Kannn ».
Samuel fait tout pour que son compagnon prenne le plus de plaisir possible, toujours aussi jaloux du choix de se dernier à semble-t-il lui préférer Ricoh.
Pourtant s’il en connaissait la raison, il serait le premier à se mettre des claques, car s’en sans doute s’en rendre compte c’est justement à cause de lui qu’Andréas a fait ce choix, remarquant combien il était proche de Thomas et d’Antonin, il a cru bon de choisir finalement Ricoh pour à juste titre ne pas créer un mauvais climat.
Andréas ne s’est pas forcé non plus étant donné ses sentiments pour Ricoh vraiment très proches de ceux qu’il éprouve pour Samuel, d’ailleurs le simple fait d’avoir répondu sur le champ au premier coup d’œil de ce dernier à le suivre en est une preuve de plus s’il en fallait une.
Toujours est-il qu’en ce moment les deux garçons sont allongés nus sur la couchette à faire l’amour et ne pensent visiblement à rien d’autre, l’un proche de la pamoison à n’attendre que d’appartenir à son compagnon, tandis que l’autre résiste du mieux qu’il le peut à l’envie de mettre les bouchées doubles.
- Arrhhh !!
Ce énième cri de gorge amène le visage de Samuel à quelques centimètres de celui d’Andréas, scrutant attentivement son partenaire qui en a les yeux qui se révulsent, visiblement dans l’attente fiévreuse de l’acte final qui devrait le libérer de tous ses picotements annonçant l’orgasme sans pour autant le déclencher.
- Arrhhh !!
- Quelque chose à me demander ?
Un coup de langue derrière l’oreille avant de reprendre.
- Vas-y demande moi !
- Arrhhh !! Salaud !!
- Alors tu veux quoi, dis-le et je le ferais.
Cette fois se sont ses lèvres qui lui suçotent le lobe avec une infinie douceur.
- Arrhhh !! Fait le… je ne tiens plus… Arrhhh !!
Les lèvres de Samuel se déplacent avec une lenteur calculée, pour rejoindre et longer la veine jugulaire particulièrement sensible d’Andréas, ayant appris de Ricoh quelques endroits particulièrement réceptifs de son petit ami.
- Fait le quoi ? parle si tu veux que je te comprenne.
- Prends moi… vite…Arrhhh !!
- Eh bien voilà…
Dans un mouvement souple Samuel ramène les deux genoux d’Andréas sur ses épaules, alors que ses reins se plaques là où il entre sans coups férir tellement l’excitation de son partenaire est à son comble.
- … Suffisait de demander !
- Arrhhh-Arrhhh-Arrhhh ! Ouuiii !
Samuel comprend qu’Andréas est parti loin dans les strasses de l’orgasme, les tremblements nerveux incontrôlables de ses cuisses et les resserrements anaux pour preuves.
Heureusement pour lui, il en était pour sa part quasiment au même point, aussi deux mouvements supplémentaires donner avec fougue lui suffisent pour qu’à son tour il perde la notion du temps et se tétanise, quand la manne épaisse quitte son corps en plusieurs contractions vigoureuses.
L’instant passe trop vite, mais reste quand même suffisant pour amener le sourire de satisfaction aux lèvres des deux amants suant de partout, Samuel ne résistant pas à l’envie d’embrasser Andréas qui semble particulièrement apprécier cette petite attention post-coïtale.
Le baiser dure jusqu’au moment ou les deux copains s’étalent sur le dos l’un contre l’autre sur la couchette, Andréas tournant alors la tête vers Samuel avec les traits marqués par les forts sentiments qu’il éprouve pour lui.
- Depuis quand m’aimes-tu, si ce n’est pas indiscret de te le demander ?
Samuel tourne la tête vers son ami avec l’intention de lui envoyer une vanne du genre « qui t’as dit que je t’aime d’abord » ou similaire, seulement la lecture qu’il en a du visage d’Andréas lui en ôte l’envie pour répondre honnêtement à sa question.
- Si je te répondais depuis la première heure où je t’ai rencontré, tu me croirais ?
- Difficilement je dois bien l’admettre, alors que moi oui.
- Comment ça toi oui ? pourquoi alors m’avoir fait passer pour ton ennemi ?
Andréas n’en croit pas ses oreilles d’entendre un tel reproche, se souvenant parfaitement de l’accueil qu’il a eu dès sa première présentation aux hôtes du manoir.
Du coup il se redresse sur un coude en marquant bien l’incompréhension qu’il ressent suite aux paroles de Samuel.
- Tu ne manque pas d’air à me tenir un tel propos, je t’avais remarqué en premier et je m’apprêtais à venir me rapprocher de toi, quand j’ai été trainé de force pour ensuite avoir à soutenir ton regard pervers poser sur moi et qui m’a je t'avoue refroidi de suite. Après ça tu t’étonnes que j’aie voulu prendre mes distances ? ensuite tu m’as accusé d’avoir céder dès la première minute à Florian comme s’il était possible de lui résister !! Tu crois quoi ? que j’en ai été fier alors que je n’avais eu de rapports sexuels qu’avec Min et qu’il ne m’était jamais venu à l’idée de le tromper, mets-toi un peu à ma place aussi.
- Hum !!
- Tu peux dire ça comme ça oui et d’ailleurs qu’en est-il de ta première rencontre avec Florian ? n’as-tu pas été comme moi à lui céder, sans réfléchir une seule minute à ce que tu faisais ? quand est-il des autres ?
- Ok ! Ok ! Tu as raison et j’ai tort, là…ça te va comme ça !!
Andréas a du mal à cacher sa joie, celle d’avoir eu enfin le dernier mot sur son copain, mais surtout celle de l’aveu que chacun d’eux a fait à l’autre.
Samuel se redresse le premier pour chercher des vêtements dans son armoire, Il en sort ensuite pour Andréas qui a quasiment la même corpulence que la sienne.
- Allez zou on s’habille, cela fait déjà un moment qu’on a quitté les autres.
Le silence se fait durant le temps pour eux de faire une toilette rapide et de se vêtir, ce n’est qu’au moment où Andréas s’apprête à quitter la chambre de Samuel que se dernier arrive derrière lui pour l’enlacer gentiment.
- Qu’est-ce qui te prend encore, tu n’en as pas assez eu ?
Le ton de voix tout en douceur donne un tout autre sens à la question, Samuel pense que c’est le bon moment et ose alors faire la proposition qu’il a en tête depuis son arrivée sur le « Kannn ».
- Tu serais d’accord pour venir vivre ici avec moi ? je sais que tu as toi aussi fait le choix d’avoir une chambre privée, mais je…
Les deux mains d’Andréas viennent se poser avec douceur sur celles de Samuel lui entourant toujours la taille, le sourire resplendissant accompagner de quelques larmes de bonheur étant une réponse en soit que Samuel reçoit au plus profond de son cœur comme un énorme oui.
Andréas encore sous le coup de l’émotion se retourne pour plaquer ses lèvres sur celles de celui vers qui vont tous ses fantasmes depuis le premier jour.
« Espace privé de Samuel à bord du « Kannn ». »
Andréas émet des sons de gorge rauques du plaisir qu’il éprouve, sous les caresses de Samuel prenant tout son temps pour le faire devenir fou de l’envie de se faire prendre.
De ce fait ils sont tous deux trop obnubilés par le corps de l’autre pour s’apercevoir de la remise en mouvement du « Kannn ».
Samuel fait tout pour que son compagnon prenne le plus de plaisir possible, toujours aussi jaloux du choix de se dernier à semble-t-il lui préférer Ricoh.
Pourtant s’il en connaissait la raison, il serait le premier à se mettre des claques, car s’en sans doute s’en rendre compte c’est justement à cause de lui qu’Andréas a fait ce choix, remarquant combien il était proche de Thomas et d’Antonin, il a cru bon de choisir finalement Ricoh pour à juste titre ne pas créer un mauvais climat.
Andréas ne s’est pas forcé non plus étant donné ses sentiments pour Ricoh vraiment très proches de ceux qu’il éprouve pour Samuel, d’ailleurs le simple fait d’avoir répondu sur le champ au premier coup d’œil de ce dernier à le suivre en est une preuve de plus s’il en fallait une.
Toujours est-il qu’en ce moment les deux garçons sont allongés nus sur la couchette à faire l’amour et ne pensent visiblement à rien d’autre, l’un proche de la pamoison à n’attendre que d’appartenir à son compagnon, tandis que l’autre résiste du mieux qu’il le peut à l’envie de mettre les bouchées doubles.
- Arrhhh !!
Ce énième cri de gorge amène le visage de Samuel à quelques centimètres de celui d’Andréas, scrutant attentivement son partenaire qui en a les yeux qui se révulsent, visiblement dans l’attente fiévreuse de l’acte final qui devrait le libérer de tous ses picotements annonçant l’orgasme sans pour autant le déclencher.
- Arrhhh !!
- Quelque chose à me demander ?
Un coup de langue derrière l’oreille avant de reprendre.
- Vas-y demande moi !
- Arrhhh !! Salaud !!
- Alors tu veux quoi, dis-le et je le ferais.
Cette fois se sont ses lèvres qui lui suçotent le lobe avec une infinie douceur.
- Arrhhh !! Fait le… je ne tiens plus… Arrhhh !!
Les lèvres de Samuel se déplacent avec une lenteur calculée, pour rejoindre et longer la veine jugulaire particulièrement sensible d’Andréas, ayant appris de Ricoh quelques endroits particulièrement réceptifs de son petit ami.
- Fait le quoi ? parle si tu veux que je te comprenne.
- Prends moi… vite…Arrhhh !!
- Eh bien voilà…
Dans un mouvement souple Samuel ramène les deux genoux d’Andréas sur ses épaules, alors que ses reins se plaques là où il entre sans coups férir tellement l’excitation de son partenaire est à son comble.
- … Suffisait de demander !
- Arrhhh-Arrhhh-Arrhhh ! Ouuiii !
Samuel comprend qu’Andréas est parti loin dans les strasses de l’orgasme, les tremblements nerveux incontrôlables de ses cuisses et les resserrements anaux pour preuves.
Heureusement pour lui, il en était pour sa part quasiment au même point, aussi deux mouvements supplémentaires donner avec fougue lui suffisent pour qu’à son tour il perde la notion du temps et se tétanise, quand la manne épaisse quitte son corps en plusieurs contractions vigoureuses.
L’instant passe trop vite, mais reste quand même suffisant pour amener le sourire de satisfaction aux lèvres des deux amants suant de partout, Samuel ne résistant pas à l’envie d’embrasser Andréas qui semble particulièrement apprécier cette petite attention post-coïtale.
Le baiser dure jusqu’au moment ou les deux copains s’étalent sur le dos l’un contre l’autre sur la couchette, Andréas tournant alors la tête vers Samuel avec les traits marqués par les forts sentiments qu’il éprouve pour lui.
- Depuis quand m’aimes-tu, si ce n’est pas indiscret de te le demander ?
Samuel tourne la tête vers son ami avec l’intention de lui envoyer une vanne du genre « qui t’as dit que je t’aime d’abord » ou similaire, seulement la lecture qu’il en a du visage d’Andréas lui en ôte l’envie pour répondre honnêtement à sa question.
- Si je te répondais depuis la première heure où je t’ai rencontré, tu me croirais ?
- Difficilement je dois bien l’admettre, alors que moi oui.
- Comment ça toi oui ? pourquoi alors m’avoir fait passer pour ton ennemi ?
Andréas n’en croit pas ses oreilles d’entendre un tel reproche, se souvenant parfaitement de l’accueil qu’il a eu dès sa première présentation aux hôtes du manoir.
Du coup il se redresse sur un coude en marquant bien l’incompréhension qu’il ressent suite aux paroles de Samuel.
- Tu ne manque pas d’air à me tenir un tel propos, je t’avais remarqué en premier et je m’apprêtais à venir me rapprocher de toi, quand j’ai été trainé de force pour ensuite avoir à soutenir ton regard pervers poser sur moi et qui m’a je t'avoue refroidi de suite. Après ça tu t’étonnes que j’aie voulu prendre mes distances ? ensuite tu m’as accusé d’avoir céder dès la première minute à Florian comme s’il était possible de lui résister !! Tu crois quoi ? que j’en ai été fier alors que je n’avais eu de rapports sexuels qu’avec Min et qu’il ne m’était jamais venu à l’idée de le tromper, mets-toi un peu à ma place aussi.
- Hum !!
- Tu peux dire ça comme ça oui et d’ailleurs qu’en est-il de ta première rencontre avec Florian ? n’as-tu pas été comme moi à lui céder, sans réfléchir une seule minute à ce que tu faisais ? quand est-il des autres ?
- Ok ! Ok ! Tu as raison et j’ai tort, là…ça te va comme ça !!
Andréas a du mal à cacher sa joie, celle d’avoir eu enfin le dernier mot sur son copain, mais surtout celle de l’aveu que chacun d’eux a fait à l’autre.
Samuel se redresse le premier pour chercher des vêtements dans son armoire, Il en sort ensuite pour Andréas qui a quasiment la même corpulence que la sienne.
- Allez zou on s’habille, cela fait déjà un moment qu’on a quitté les autres.
Le silence se fait durant le temps pour eux de faire une toilette rapide et de se vêtir, ce n’est qu’au moment où Andréas s’apprête à quitter la chambre de Samuel que se dernier arrive derrière lui pour l’enlacer gentiment.
- Qu’est-ce qui te prend encore, tu n’en as pas assez eu ?
Le ton de voix tout en douceur donne un tout autre sens à la question, Samuel pense que c’est le bon moment et ose alors faire la proposition qu’il a en tête depuis son arrivée sur le « Kannn ».
- Tu serais d’accord pour venir vivre ici avec moi ? je sais que tu as toi aussi fait le choix d’avoir une chambre privée, mais je…
Les deux mains d’Andréas viennent se poser avec douceur sur celles de Samuel lui entourant toujours la taille, le sourire resplendissant accompagner de quelques larmes de bonheur étant une réponse en soit que Samuel reçoit au plus profond de son cœur comme un énorme oui.
Andréas encore sous le coup de l’émotion se retourne pour plaquer ses lèvres sur celles de celui vers qui vont tous ses fantasmes depuis le premier jour.
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