04-11-2022, 10:50 AM
Ben et moi nous entrons dans le local où se tient la réunion. Marc-Antoine nous accueille et me demande directement comment va mon petit frère, Jean. Je tente d’expliquer ce qui s’est passé mais après quelques mots, plus aucun son ne sort de ma bouche. C’est Ben qui raconte ce qui s’est passé et il termine en disant que Jean va rentrer à la maison lundi si tout va bien.
Je reste un peu en retrait. Gaby s’approche alors de moi et me dit :
Gab : « Phil, je sais que ce qui est arrivé à ton frère te rappelle de mauvais souvenirs !
Moi : Oui Gaby, tu le sais, cela m’a rappelé le décès de mon ami Henri.
Gab : Je sais, tu m’en avait touché un mot. Sache que je suis là aussi si tu as besoin de parler.
Moi : Merci Gaby, tu es super comme ami.
Gab : Tu l’es aussi pour moi, alors je te renvois l’ascenseur.
Moi : Merci. »
La réunion se poursuit, il s’agit de faire le débriefing des camps de Pâques. Marc-Antoine nous félicite tous pour notre engagement durant ce camp. Il fait un rapide résumé de ce que les animateurs des sections louveteaux et scouts ont retenu de notre présence avec eux. Il commence par le camp louveteau. Puis il regarde Ben et lui dit qu’il a impressionné tous ceux qui étaient présents. Il parle de son investissement auprès des trois jeunes moins valides et surtout de l’aide apportée à Pierric.
Ben demande alors s’il peut envisager de poursuivre ce genre d’activité avec des jeunes moins valides et si au niveau de l’unité scoute, cela ne pourrait pas être concrétisé. Marc-Antoine acquiesce et dit qu’il va avec lui aller trouver Luc, le chef d’unité pour parler de cette proposition.
Je vois Raphaël qui lui aussi réagit à la suite de ce qu’il vient d’entendre, il affiche un large sourire qui en dit long. Christophe ajoute alors qu’il trouve que c’est une excellente idée. Nous finissons par applaudir Ben pour ce qu’il souhaite envisager.
Ce sont alors les enseignements du camp scout. Il est une nouvelle fois question de ma bravoure pour venir en aide à Jean-Philippe lors de sa chute dans l’eau lors du passage sur le pont de singe ! Bref les animateurs de la troupe sont très contents de nos prestations et comptent sur nous pour le camp d’été si nous sommes toujours partants.
La réunion se poursuit par une réflexion sur ce que chacun va apporter pour l’animation de jeunes pour le prochain camp d’été envers les différentes sections. Raphaël, Philippe, Christophe et Ben souhaitent poursuivre l’animation avec les louveteaux ; Gaby, Alex et moi optons pour la poursuite de l’aventure avec les scouts.
Cette réunion se termine, et au moment de se quitter, Gaby et Christophe viennent me trouver pour savoir s’ils peuvent passer voir Jean. Ne sachant pas si mon petit frère sera bien rentré ce lundi à la maison, je leur propose de venir mercredi après-midi. Ils acceptent et promettent de passer. Je suis si heureux de cette proposition, je sais que nous sommes scouts mais aussi des amis et que l’amitié est quelque chose d’important et de vrai.
C’est Yves qui vient reprendre Ben devant les locaux. Il me fait signe, je m’avance vers lui. Il me fait la bise et me demande comment va Jean. Je lui explique ce qui s’est passé et notre visite auprès de lui à l’hôpital avant la réunion. Le papa de Ben me dit que je peux venir loger chez lui car c’est arrangé avec mes parents. Je vois le visage de Ben s’éclairer d’un large sourire. J’accepte volontiers de passer la nuit avec mon Ben d’amour.
En arrivant chez Arlette et Yves, Christine et Denis m’assaillent de questions concernant ce qui s’est passé. Je me pose dans le canapé à côté de Ben et j’attends que toute la famille soit installée pour exposer les faits et raconter la visite du début d’après-midi à Jean.
Le souper et la soirée se passent très bien. Je suis avec Ben, avec sa famille, ce qui me permet de ne plus penser à Jean et à son accident. C’est mieux comme ça, je sais qu’il est en vie, il est certes blessé, mais en vie ! Cette soirée me fait un bien fou, nous pouvons parler de ce que nous avons fait lors de notre réunion JER, des perspectives et d’un tas de choses.
Nous montons nous coucher en passant auparavant par la salle de bain pour prendre une bonne douche. Une fois dans le lit de Ben, nous nous embrassons tendrement. Je suis si bien dans les bars de mon chéri. Nous restons ainsi un moment à nous regarder.
Je me réveille d’un coup, je vois qu’il fait déjà jour et que le soleil brille. Je vois le visage de Ben face à moi, il dort encore. Sa tignasse blonde est étalée sur son oreiller. Je lui caresse alors la joue droite doucement. Après quelques minutes il ouvre enfin les yeux, son regard bleu-océan apparaît. Je plonge dans celui-ci et nous nous regardons. Ensuite Ben me dit :
Ben : « Bonjour mon Philou d’amour.
Moi : Bonjour mon Ben chéri.
Ben : Hier soir tu t’es endormi très vite dans mes bras.
Moi : Je ne m’en suis pas rendu compte, j’étais vidé.
Ben : Je l’ai bien vu. As-tu bien dormi au moins ?
Moi : Oui, comme un bébé ! J’ai rêvé de toi !
Ben : Moi aussi ! »
Nous nous embrassons à nouveau avec volupté, nos mains parcourent nos corps encore un peu alanguis. Nos attributs prennent du volume, nous commençons à bander. Inutile de dire que nous n’allons pas rester comme ça sans y prêter attention. Nous déposons en même temps une main sur le sexe dressé de notre chéri. Nous débutons une petite masturbation lascive tout en nous embrassant. Nos corps se rapprochent l’un de l’autre pour se coller. Mon pénis vient alors se plaquer sur celui de Ben. Nous bougeons au même rythme pour notre plus grande satisfaction. Je déplace ma main pour enserrer nos deux membres bandés pour entamer une masturbation conjointe appuyée. Ben vient poser sa main sur la mienne et ensemble nous nous donnons du plaisir mutuellement, collés-serrés. Nous sentons chacun que notre amour vibre à l’unisson, nos sens sont éveillés et partagent les mêmes impressions de bonheur. Nos sèves vont bientôt être libérées par cette montée de la pression. Je sens mon ventre qui chauffe de plus en plus, Ben aussi dégage lui aussi beaucoup de chaleur. Nos halètements s’accélèrent, nous savons l’un et l’autre que nous allons arriver à l’apogée, au moment ultime qui précède la jouissance. De fait je sens que ma semence monte dans ma verge et qu’elle va enfin jaillir pour mon plus grand bonheur. Je joui en laissant échapper des râles de béatitude. Ben me suit dans les secondes qui suivent, laissant son sperme se mélanger au mien. Nos ventres sont maculés de traces blanchâtres, résultat de notre jouissance. Je porte à ma bouche un peu de sperme pour y goûter et je vois que mon chéri fait de même. Nous apprécions ce nectar, ce mélange de nos liqueurs de vie.
Ben prend des mouchoirs en papier pour que nous puissions essuyer les dernières traces qui se trouvent encore sur nous. Sans un mot dire, nous allons dans la salle de bain prendre une bonne douche bien méritée.
Je reste un peu en retrait. Gaby s’approche alors de moi et me dit :
Gab : « Phil, je sais que ce qui est arrivé à ton frère te rappelle de mauvais souvenirs !
Moi : Oui Gaby, tu le sais, cela m’a rappelé le décès de mon ami Henri.
Gab : Je sais, tu m’en avait touché un mot. Sache que je suis là aussi si tu as besoin de parler.
Moi : Merci Gaby, tu es super comme ami.
Gab : Tu l’es aussi pour moi, alors je te renvois l’ascenseur.
Moi : Merci. »
La réunion se poursuit, il s’agit de faire le débriefing des camps de Pâques. Marc-Antoine nous félicite tous pour notre engagement durant ce camp. Il fait un rapide résumé de ce que les animateurs des sections louveteaux et scouts ont retenu de notre présence avec eux. Il commence par le camp louveteau. Puis il regarde Ben et lui dit qu’il a impressionné tous ceux qui étaient présents. Il parle de son investissement auprès des trois jeunes moins valides et surtout de l’aide apportée à Pierric.
Ben demande alors s’il peut envisager de poursuivre ce genre d’activité avec des jeunes moins valides et si au niveau de l’unité scoute, cela ne pourrait pas être concrétisé. Marc-Antoine acquiesce et dit qu’il va avec lui aller trouver Luc, le chef d’unité pour parler de cette proposition.
Je vois Raphaël qui lui aussi réagit à la suite de ce qu’il vient d’entendre, il affiche un large sourire qui en dit long. Christophe ajoute alors qu’il trouve que c’est une excellente idée. Nous finissons par applaudir Ben pour ce qu’il souhaite envisager.
Ce sont alors les enseignements du camp scout. Il est une nouvelle fois question de ma bravoure pour venir en aide à Jean-Philippe lors de sa chute dans l’eau lors du passage sur le pont de singe ! Bref les animateurs de la troupe sont très contents de nos prestations et comptent sur nous pour le camp d’été si nous sommes toujours partants.
La réunion se poursuit par une réflexion sur ce que chacun va apporter pour l’animation de jeunes pour le prochain camp d’été envers les différentes sections. Raphaël, Philippe, Christophe et Ben souhaitent poursuivre l’animation avec les louveteaux ; Gaby, Alex et moi optons pour la poursuite de l’aventure avec les scouts.
Cette réunion se termine, et au moment de se quitter, Gaby et Christophe viennent me trouver pour savoir s’ils peuvent passer voir Jean. Ne sachant pas si mon petit frère sera bien rentré ce lundi à la maison, je leur propose de venir mercredi après-midi. Ils acceptent et promettent de passer. Je suis si heureux de cette proposition, je sais que nous sommes scouts mais aussi des amis et que l’amitié est quelque chose d’important et de vrai.
C’est Yves qui vient reprendre Ben devant les locaux. Il me fait signe, je m’avance vers lui. Il me fait la bise et me demande comment va Jean. Je lui explique ce qui s’est passé et notre visite auprès de lui à l’hôpital avant la réunion. Le papa de Ben me dit que je peux venir loger chez lui car c’est arrangé avec mes parents. Je vois le visage de Ben s’éclairer d’un large sourire. J’accepte volontiers de passer la nuit avec mon Ben d’amour.
En arrivant chez Arlette et Yves, Christine et Denis m’assaillent de questions concernant ce qui s’est passé. Je me pose dans le canapé à côté de Ben et j’attends que toute la famille soit installée pour exposer les faits et raconter la visite du début d’après-midi à Jean.
Le souper et la soirée se passent très bien. Je suis avec Ben, avec sa famille, ce qui me permet de ne plus penser à Jean et à son accident. C’est mieux comme ça, je sais qu’il est en vie, il est certes blessé, mais en vie ! Cette soirée me fait un bien fou, nous pouvons parler de ce que nous avons fait lors de notre réunion JER, des perspectives et d’un tas de choses.
Nous montons nous coucher en passant auparavant par la salle de bain pour prendre une bonne douche. Une fois dans le lit de Ben, nous nous embrassons tendrement. Je suis si bien dans les bars de mon chéri. Nous restons ainsi un moment à nous regarder.
Je me réveille d’un coup, je vois qu’il fait déjà jour et que le soleil brille. Je vois le visage de Ben face à moi, il dort encore. Sa tignasse blonde est étalée sur son oreiller. Je lui caresse alors la joue droite doucement. Après quelques minutes il ouvre enfin les yeux, son regard bleu-océan apparaît. Je plonge dans celui-ci et nous nous regardons. Ensuite Ben me dit :
Ben : « Bonjour mon Philou d’amour.
Moi : Bonjour mon Ben chéri.
Ben : Hier soir tu t’es endormi très vite dans mes bras.
Moi : Je ne m’en suis pas rendu compte, j’étais vidé.
Ben : Je l’ai bien vu. As-tu bien dormi au moins ?
Moi : Oui, comme un bébé ! J’ai rêvé de toi !
Ben : Moi aussi ! »
Nous nous embrassons à nouveau avec volupté, nos mains parcourent nos corps encore un peu alanguis. Nos attributs prennent du volume, nous commençons à bander. Inutile de dire que nous n’allons pas rester comme ça sans y prêter attention. Nous déposons en même temps une main sur le sexe dressé de notre chéri. Nous débutons une petite masturbation lascive tout en nous embrassant. Nos corps se rapprochent l’un de l’autre pour se coller. Mon pénis vient alors se plaquer sur celui de Ben. Nous bougeons au même rythme pour notre plus grande satisfaction. Je déplace ma main pour enserrer nos deux membres bandés pour entamer une masturbation conjointe appuyée. Ben vient poser sa main sur la mienne et ensemble nous nous donnons du plaisir mutuellement, collés-serrés. Nous sentons chacun que notre amour vibre à l’unisson, nos sens sont éveillés et partagent les mêmes impressions de bonheur. Nos sèves vont bientôt être libérées par cette montée de la pression. Je sens mon ventre qui chauffe de plus en plus, Ben aussi dégage lui aussi beaucoup de chaleur. Nos halètements s’accélèrent, nous savons l’un et l’autre que nous allons arriver à l’apogée, au moment ultime qui précède la jouissance. De fait je sens que ma semence monte dans ma verge et qu’elle va enfin jaillir pour mon plus grand bonheur. Je joui en laissant échapper des râles de béatitude. Ben me suit dans les secondes qui suivent, laissant son sperme se mélanger au mien. Nos ventres sont maculés de traces blanchâtres, résultat de notre jouissance. Je porte à ma bouche un peu de sperme pour y goûter et je vois que mon chéri fait de même. Nous apprécions ce nectar, ce mélange de nos liqueurs de vie.
Ben prend des mouchoirs en papier pour que nous puissions essuyer les dernières traces qui se trouvent encore sur nous. Sans un mot dire, nous allons dans la salle de bain prendre une bonne douche bien méritée.