13-08-2020, 01:52 AM
(Modification du message : 22-10-2022, 06:08 PM par fablelionsilencieux.)
Roméo et Julio,
Année 1593.
William Shakespeare crée les amants de Vérone Roméo et Juliette.
Année 1993.
Une représentation de la pièce, modernisée, est donnée : Roméo et Julio !
L'un des acteurs principaux pose devant la peinture représentant Juliette -son rôle-, mais dans sa tête la fiction est-elle si loin de la réalité ?
Son "Roméo" lui semble accessible et si loin en même temps ...
Et si, pour la dernière de ce soir, quand ils sont nu sur scène dans la pénombre, avant leur séparation forcée, à la place de mimer et faire semblant de lui prodiguer une fellation puis de lui offrir ses fesses fictivement…
"Oui, ce soir j'ose !" Pensa-t-il, déterminé du haut de ses 18 ans.
Rentré chez lui il avait préparé son corps avec minutie, vérification tatillonne de son épilation intégrale, douche aux senteurs de vanille, hydratation de sa fine personne au lait corporel à base d'huile de monoï, lui laissant ce toucher satiné d'une peau de bébé.
Lavement approfondi et enfin, bien lubrifié, port d'un plug préparatoire jusqu'au moment du fameux acte.
— Ce soir je meurs sous la dague de son refus ou je vis pourfendu de son glaive ! Fit-il face à son reflet alors qu'il poussait la porte vitrée du théâtre.
Durant l'acte lll scène 3. (Une musique baroque, douce et romantique en léger fond).
Sur scène un lit trône, sur eux, comme seule parure, un projecteur "de nuit" se promène. Leurs nudités voilées en un halo bleuté, splendeurs juvéniles transcendées par ce clair-obscur. Assombrissement complice de nos amoureux. 500 personnes en salle attendaient le point d'orgue du spectacle, selon les critiques, la simulation parfaite de l'amour charnel au masculin.
L'instant est crucial, assis sur le lit et attirant son partenaire face à lui, fini les simulacres, Julio avance les lèvres et les referment sur le Saint Graal. Il se mit à téter ce gland, à exercer une succion, à aspirer ce piston de chair. Qui s'épanouit instantanément...
Malgré la surprise de ce passage à l’acte réel, l’acteur en herbe ne perd pas son sang-froid -si j’ose dire- et, reprenant la trame de la fiction, réalise devant le public ce qu’ils imaginaient être des ‘jeux d’acteur’ très bien mis en scène…
Il bascule Julio sur le dos, les fesses au bord du matelas, réalisant de visu que celui-ci bande roide tout comme lui !
Roméo se place à l’entrée du conduit de Julio, après avoir mis ses jambes sur ses épaules puis entre comme dans du beurre dans le fondement de son ami. (Peu étonnant, vu le traitement préparatoire que celui-ci lui a fait subir.) Pendant de longues minutes ce -new style- Montaigu encule son ami et commence réellement à ressentir de l’amour pour ce jeune homme androgyne au visage angélique. Il lâche les chevilles de Julio et l’embrasse fougueusement tout en continuant de le ramoner fougueusement.
Le voleur de son cœur continuant de le sodomiser avec de plus en plus d’entrain, la situation prêtant à l’excitation !
(587 spectateurs, machinistes et acteurs en coulisse compris)
Julio, lui, perdu dans un autre monde continue de savourer la plénitude rectale qu’il est en train de subir, son amour le possède maintenant avec de grand « Han » de bucheron, il ne vit plus que pour la colonne de chair qui lui pourfend le fondement. Son fantasme de toujours se réalise enfin et il ne voudrait pas que cela se termine. Roméo le posséde au plus profond de son être, il sort sa lance entièrement de sa cible pour la replonger la seconde suivante jusqu’à la garde. Ils changent de position pour se mettre en levrette, la sensation n’en est que plus forte et l’assaillant continue de le posséder par son membre, l’ambiance sur le décor devenait bouillonnante, nonobstant les faibles lumières froides, ils étaient depuis un moment trempés de sueur et dégoulinait tous deux.
Se sentant sur un ile déserte et pourtant en pleine vue d’un parterre et balcons aux yeux tous rivés sur eux.
L’enculade se prolonge pendant de longues minutes et, fiché au plus profond, le chevaucheur finit par éjaculer en feulant dans les entrailles de son ami. Le contact du gland vibrant sur sa prostate en crachant ses fluides spermatiques dans son réceptacle déclenche un orgasme foudroyant à notre jouvenceau, il se cambre au maximum pour accentuer la pénétration puis retombe comme une masse sur le lit entrainant avec lui son ami qui, réellement à présent, était devenu son amant.
Le lit craque une dernière fois et des gorges de ces tourtereaux, un dernier gémissement rauque résonne.
Tombé du rideau, sous les applaudissements nourris du public enthousiaste !
Ils repartiront ensemble ce soir-là... et beaucoup d'autres par la suite.
NB : La tournée à eu un succès fou -Suisse, Belgique, Québec,...- et énormément de prolongation.
Chaque soir ils étaient repartis pour un nouveau numéro d’exhibitionnistes.
(À leurs corps défendant… bien sûr)
Année 1593.
William Shakespeare crée les amants de Vérone Roméo et Juliette.
Année 1993.
Une représentation de la pièce, modernisée, est donnée : Roméo et Julio !
L'un des acteurs principaux pose devant la peinture représentant Juliette -son rôle-, mais dans sa tête la fiction est-elle si loin de la réalité ?
Son "Roméo" lui semble accessible et si loin en même temps ...
Et si, pour la dernière de ce soir, quand ils sont nu sur scène dans la pénombre, avant leur séparation forcée, à la place de mimer et faire semblant de lui prodiguer une fellation puis de lui offrir ses fesses fictivement…
"Oui, ce soir j'ose !" Pensa-t-il, déterminé du haut de ses 18 ans.
Rentré chez lui il avait préparé son corps avec minutie, vérification tatillonne de son épilation intégrale, douche aux senteurs de vanille, hydratation de sa fine personne au lait corporel à base d'huile de monoï, lui laissant ce toucher satiné d'une peau de bébé.
Lavement approfondi et enfin, bien lubrifié, port d'un plug préparatoire jusqu'au moment du fameux acte.
— Ce soir je meurs sous la dague de son refus ou je vis pourfendu de son glaive ! Fit-il face à son reflet alors qu'il poussait la porte vitrée du théâtre.
Durant l'acte lll scène 3. (Une musique baroque, douce et romantique en léger fond).
Sur scène un lit trône, sur eux, comme seule parure, un projecteur "de nuit" se promène. Leurs nudités voilées en un halo bleuté, splendeurs juvéniles transcendées par ce clair-obscur. Assombrissement complice de nos amoureux. 500 personnes en salle attendaient le point d'orgue du spectacle, selon les critiques, la simulation parfaite de l'amour charnel au masculin.
L'instant est crucial, assis sur le lit et attirant son partenaire face à lui, fini les simulacres, Julio avance les lèvres et les referment sur le Saint Graal. Il se mit à téter ce gland, à exercer une succion, à aspirer ce piston de chair. Qui s'épanouit instantanément...
Malgré la surprise de ce passage à l’acte réel, l’acteur en herbe ne perd pas son sang-froid -si j’ose dire- et, reprenant la trame de la fiction, réalise devant le public ce qu’ils imaginaient être des ‘jeux d’acteur’ très bien mis en scène…
Il bascule Julio sur le dos, les fesses au bord du matelas, réalisant de visu que celui-ci bande roide tout comme lui !
Roméo se place à l’entrée du conduit de Julio, après avoir mis ses jambes sur ses épaules puis entre comme dans du beurre dans le fondement de son ami. (Peu étonnant, vu le traitement préparatoire que celui-ci lui a fait subir.) Pendant de longues minutes ce -new style- Montaigu encule son ami et commence réellement à ressentir de l’amour pour ce jeune homme androgyne au visage angélique. Il lâche les chevilles de Julio et l’embrasse fougueusement tout en continuant de le ramoner fougueusement.
Le voleur de son cœur continuant de le sodomiser avec de plus en plus d’entrain, la situation prêtant à l’excitation !
(587 spectateurs, machinistes et acteurs en coulisse compris)
Julio, lui, perdu dans un autre monde continue de savourer la plénitude rectale qu’il est en train de subir, son amour le possède maintenant avec de grand « Han » de bucheron, il ne vit plus que pour la colonne de chair qui lui pourfend le fondement. Son fantasme de toujours se réalise enfin et il ne voudrait pas que cela se termine. Roméo le posséde au plus profond de son être, il sort sa lance entièrement de sa cible pour la replonger la seconde suivante jusqu’à la garde. Ils changent de position pour se mettre en levrette, la sensation n’en est que plus forte et l’assaillant continue de le posséder par son membre, l’ambiance sur le décor devenait bouillonnante, nonobstant les faibles lumières froides, ils étaient depuis un moment trempés de sueur et dégoulinait tous deux.
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Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
à chacun son histoire bis (mais ici ce sont des anciennes (g@y-tous styles) ) (slygame.fr)
La "hot" du père Noël ! (GAY-ADO-OS) (slygame.fr)
Piscine...et plaisir aqueux (OS-minet-gay) (slygame.fr)
-La tête dans les étoiles (aquatique)-(fanfiction - gay - humour) (slygame.fr)
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