18-10-2022, 10:59 AM
(Modification du message : 18-10-2022, 11:14 AM par fablelionsilencieux.)
(18-10-2022, 12:24 AM)bech a écrit : Les mises à jour du site mettent les rédacteurs du forum dans la g.............
En plus, j'ai essayé d'envoyer un message à Fab et j'obtiens :
Corrigez les erreurs suivantes avant de continuer :
- fablelionsilencieux a atteint son quota de messages privés donc votre message ne peut lui être délivré.
Voui m'sieur, ma messagerie est à nouveau hors service !
J'espère que Godefroy me la décoincera aussi vite que la dernière fois (je viens de lui en faire la demande)
Troisième gadoue,
L’auteur encore anonyme, mais qui sera facilement reconnu, précise que, même si les personnages historiques ont bien existé, cette aventure est imaginaire. Comme d’habitude, toute ressemblance…
J’avais terminé ma première année d’étude de l’histoire de l’art et débuté un stage dans un célèbre musée pendant les vacances d’été. Mon chef, le conservateur, me confia ma première mission :
— Sébastien, nous avons reçu un courriel d’une personne qui a trouvé un dessin dans la maison de ses grands-parents qu’il doit vider. Il aimerait qu’on l’expertise.
— Est-ce le rôle d’un musée ?
— Pas du tout, nous n’avons pas le temps de nous occuper des peintres du dimanche. Ce dessin a cependant quelque chose de particulier, je te transmets le message et tu me diras ce que tu en penses.
Je me rendis dans mon bureau sans fenêtre, plutôt un placard réservé aux stagiaires, et consultai le mail. Deux photos étaient jointes, celle du dessin représentant un homme nu et celle du verso où l’on pouvait lire l’inscription suivante : « Ruedi, 25 août 1802 ». Le modèle n’avait pas posé dans un atelier, on devinait le contour d’une montagne en arrière-plan, son corps était massif, musclé, ce n’était pas celui d’un étudiant malingre qui posait pour manger. J’agrandis l’image afin de déchiffrer la signature : « J. M. W. T. », je pensais immédiatement à Joseph Mallord William Turner, le célèbre artiste anglais. C’était donc cela qui avait attiré l’attention du conservateur, je lui fis part immédiatement de mes observations, il les confirma et me demanda d’appeler l’expéditeur du courriel. Celui-ci travaillait et n’avait pas le temps de me parler, il me proposa de le rejoindre le week-end suivant pour examiner le dessin, j’acceptai avec enthousiasme.
Je fis d’autres recherches à la bibliothèque : je trouvai le catalogue d’une exposition consacrée au voyage qu’avait effectué J. M. W. Turner dans les Alpes en 1802, il était accompagné par l’un des clients, Newbey Lowson, médiocre gribouilleur, mais qui réglait les dépenses en recevant après coup des œuvres comme paiement. Je reconnus la montagne en la comparant avec une aquarelle représentant le même endroit. J’informai Ruedi (oui, il avait le même prénom que l’homme dessiné), il poursuivait également les recherches de son côté, le soir, et il trouva des papiers qui laissaient penser que ce Ruedi était l’un de ses ancêtres qui guidait des étrangers lors de leurs voyages en Suisse. Il me proposa de nous rendre d’abord sur les lieux où le dessin avait été exécuté.
Nous nous retrouvâmes donc le samedi suivant à Meiringen, le courant passa immédiatement entre nous et nous décidâmes de nous tutoyer. Ruedi était bûcheron. Nous prîmes le car postal, puis marchâmes jusqu’à l’endroit qui correspondait à l’aquarelle, au bord d’une rivière. L’endroit était magnifique avec le glacier du Rosenlaui au loin. Je fis une photo pour comparer et voir dans quelle proportion la glace avait fondu depuis deux siècles.
Nous longeâmes la rivière sur quelques centaines de mètres, un torrent s’y jetait, il était à sec en cette année de sécheresse. Un pont de bois l’enjambait. Je demandai à Ruedi :
— Pourquoi ton ancêtre se serait-il déshabillé en présence des deux Anglais ?
— Pour se baigner, il faisait peut-être beau, comme aujourd’hui. Ou alors ils ont dû passer le torrent dans l’eau.
— Crois-tu qu’il y avait déjà un pont ?
— Certainement, fit Ruedi, ce pouvait être un simple tronc d’arbre.
— Dangereux, on pouvait glisser et tomber dans l’eau.
— C’est à cela que je pensais, l’eau est boueuse lorsqu’il pleut. Ruedi est tombé à l’eau, il a dû laver ses habits.
— Aurait-il osé se déshabiller devant deux gentlemen ?
— Il l’a fait, c’est évident, et ton Turner l’a croqué pendant que ses habits séchaient.
J’imaginai la scène, sans savoir si elle s’était réellement déroulée comme cela. Je demandai :
— Et les deux Anglais, se sont-ils aussi déshabillés ?
— Sûrement, deux hommes qui voyagent ensemble pendant plusieurs mois ne devaient pas se gêner de se montrer nus.
— Ils n’avaient pas de femmes avec eux.
— Oui, je vois ce que tu veux dire. C’est toi qui es historien, tu dois savoir si Turner était homosexuel.
— Je n’ai rien trouvé à ce sujet dans sa biographie, mais l’homosexualité était interdite en Angleterre. Ils pouvaient l’être sans que cela soit public, c’était plus facile lors d’un voyage à l’étranger. Tu penses que Ruedi couchait dans la même chambre qu’eux ?
— Avant ou après le passage du torrent ? Après, peut-être…
— Ce ne sont que des hypothèses, nous ne saurons jamais la vérité.
Ruedi testa la température de la rivière avec la main et dit :
— Elle est bonne, on se baigne ?
— Euh… Je n’ai pas l’habitude, je crains d’avoir froid.
— Je ne t’oblige pas, moi, je le fais depuis mon enfance.
— Et je n’ai pas pris de maillot de bain.
— Cela n’existait même pas en 1802. J’ai un linge pour me sécher, tu pourras aussi l’utiliser.
Ruedi se déshabilla entièrement et se trempa dans la rivière. J’hésitai à le rejoindre, puis je le fis. Cela me tentait de ressentir la même chose que ces voyageurs deux siècles plus tôt, sur les routes pour l’art au détriment de leur confort. L’eau était glaciale, je ressortis immédiatement et me séchai. Ruedi resta plus longtemps.
Lorsqu’il sortit de la rivière, la ressemblance de son corps avec celui de son ancêtre me frappa, je le lui dis.
— Tu n’as pas tout vu, me répondit-il en riant.
Nous nous rhabillâmes, mangeâmes notre pique-nique et marchâmes jusqu’à l’arrêt de bus suivant. Nous rentrâmes en passant la Grosse Scheidegg et Grindelwald.
La maison des grands-parents de Ruedi se trouvait à Zweilütschinen. Le grand-père était décédé tandis que la grand-mère était soignée dans un home, elle avait perdu la mémoire. La famille avait décidé de vendre le bâtiment car il était en mauvais état et personne ne s’y intéressait. Ruedi avait posé le dessin sur la table de la cuisine. Je l’examinai attentivement mais ne trouvai aucun indice qui pouvait confirmer que Turner en était bien l’auteur.
Ruedi me montra la cave qui était un véritable capharnaüm, d’autres secrets s’y cachaient peut-être et il avait l’intention de tout trier. Je lui souhaitai bon courage. Il m’invita ensuite à souper dans une auberge de la région, puis à passer la nuit dans la maison de ses grands-parents qui lui rappelait de bons souvenirs, il y venait chaque année en vacances.
— C’est dans cette maison que je me suis branlé la première fois, fit-il en riant.
Je faillis lui dire que je n’avais pas pris de pyjama, je me retins car il m’aurait répondu que cela n’existait même pas en 1802, c’étaient des chemises avec des bonnets.
Que vous dire encore ? Ruedi n’a jamais fait expertiser le dessin de Turner, il l’a gardé précieusement sans même en parler à ses parents. Un dernier détail : le pénis en érection de Ruedi en 1802 était court et large, terminé par un gros gland, tandis que celui de Ruedi en 2022 est fin, long et son gland est pointu.
Quatrième gadoue,
Salut tout le monde,
Il faut que je vous raconte la semaine de ouf qu'on a eu, mon pote Camille et moi, il y a une quinzaine de jours. On est en fac tous les deux et l'association des étudiants de France avait organisé une semaine de vacances dans le sud de la Drôme, un petit village perdu au milieu de nulle part. Tout un camping ayant été réservé pour cette semaine-là.
Ça fait deux ans que Camille et moi - au fait, moi c'est Yoan - on est comme cul et chemise. On a les mêmes délires de sports extrêmes, de chouilles extrêmes et de baises extrêmes… sauf que, Camille nique avec des filles et moi avec des garçons. Quoique, si j'ai pas de garçons, je me rabats sur les filles. Et beau gosse comme je suis ''Avec les filles j'ai un succès fou-ou-ou'' dit une chanson du temps de ma grand-mère. Et c'est vrai ! Du coup j'en ramène à la coloc et souvent je les partage même avec Camille.
Je ne fais pas ça par philanthropie, loin de là, mais ce sont les seuls moments où Camille me laisse libre accès à sa queue qui me fait tant rêver. Elle n'est pas énormément longue, est légèrement courbée vers le haut et très veineuse, son gland, bien décalotté, forme un beau chapeau de champignon, sa tige est massive et épaisse et ses couilles rasées ne sont pas avares de nectar blanc, épais et souvent grumeleux, lorsqu'elles le libèrent. Aussi, les gémissements qu'il pousse à ce moment-là me donnent des frissons dans tout le corps et décuplent ma jouissance.
Pour autant on ne peut pas dire qu'on en a fait souvent des plans à trois mais au fil du temps, on s'en ai fait un ou deux par mois. Et je ne vous dis pas le pied que je prends chaque fois à le sucer. Oui, parce que si Camille ne m'a jamais touché - ou alors involontairement - il se laisse toucher mais il ne faut pas que j'aille voir trop loin, non plus.
Retour au jour du départ…
Il est tôt. On finit de charger la voitue.
– Tu es sûr qu'on n'a rien oublié Yoan ? On refait le listing.
– Ok ! La tente 4 places, 2 lits gonflables 140 par 200, les duvets, la table, les chaises, la glacière électrique, le panneau photovoltaïque qui fait fonctionner la glacière, la bouffe, les bouteilles, la vaisselle, nos fringues. J'ai même mis du p.q. et de l'essuie-tout en rabe.
– Je suis sûr qu'on oublie quelque chose mais je ne sais pas quoi.
– Bah écoute, si on a oublié quelque chose on l'achètera sur place.
– Ça y est, j'y suis ! Tu as pris le sac plastique dans l’entrée ?
– Non, pourquoi ? Il fallait le prendre ?
– Tu m'étonnes qu'il faut le prendre, c'est notre stock de capotes et de lubrifiant pour la semaine. Ma pote qui est bénévole à AIDES m'en a refilé pas mal. De toute façon elle a prévenu son assos qui va envoyer du monde au camping pour faire des distributions gratuites. Mais comme je compte bien baiser au moins trois ou quatre fois par jour et aussi par nuit, on a besoin de provisions. Je remonte le chercher.
Il part en courant vers la maison et revient aussi vite qu'il est parti. Il case le sac dans le coffre qu'il referme et nous voilà partis, zic à donf. On chante en même temps que la musique et ce qui doit arriver arrive. Deux motards nous doublent et font signe de les suivre. Contrôle des papiers du véhicule, alcootest et même recherche de stupéfiants, avec un coton tige dans la bouche. Et ce con de Camille qui dit tout fort :
– Yo, c'est plutôt le coton tige ou la langue du monsieur que tu voudrais dans ta bouche et pas celui-là, pas vrai ?
Le jeune flic qui est en train de me passer le coton tige dans la bouche rougit et moi également Cam va pour continuer mais l'autre flic lui dit :
– Ouvrez donc la bouche, vous aussi, ça vous évitera de dire des inepties.
Et Voilà mon Camille rendu muet, la bouche ouverte avec le coton tige dedans. Les résultats sont négatifs, on repart. On roule deux bonnes heures avant de nous arrêter pour pisser et boire un café. Et nous voilà repartit. Cette fois c'est Camille qui conduit. Et, presque arrivés au camping, dans un rond-point il y a encore les flics et cette fois, la douane. Et bien sûr, on y a droit. Mais cette fois il y a même un chien qui nous renifle. Et on arrive enfin !
Le coin est sympa, il est arboré et le comité d'accueil de la fac est déjà en place.
– Salut les gars, vous avez fait bonne route ?
– Tranquille, par contre, tu devrais mettre fissa sur le site qu’il y a un contrôle des douanes et de la police à quelques kilomètres d’ici.
– Putain, ils font chier ! Adri, tu t'en occupes ?
– J'y vais de suite.
Il nous demande nos noms qu'il coche sur une liste et nous dit qu'on est les premiers à être arrivés. Puis nous dit de suivre les flèches et qu'on s'occupera de nous plus loin. Plus bas d'autres gars nous indiquent la zone où planter notre tente et garer la voiture. Avec Camille on est très organisé. On a chargé la voiture à l'envers ce qui fait que quand on ouvre le coffre la première chose qu'on prend (à part le sac contenant les capote et le lubrifiant, hein) c'est la toile de tente qu'on monte en un temps record. On a une chambre de chaque côté de la tente et au milieu, pas loin de 3 m² où on tient presque droit lui et moi. Une heure plus tard on est installés. On a pas mal transpiré et du coup direction la douche. On se change et, vêtus d'un short de bain et de tongs, on passe aux sanitaires. Ensuite, on décide de faire le tour du propriétaire.
Dans un espace dégagé il y a une estrade où des gars sont en train d'installer le son. Pas très loin, d'autres installent le bar et les machines à bière. Ça n'a pas l'air de fonctionner. On va leur donner un coup de main et bien vite, Camille et moi, on tire les premiers demis pour les essayer. C'est bon tout fonctionne.
Petit à petit le camping se remplit. On aide certains novices à monter leur toile de tente. Camille à l'air soucieux.
– Qu'est ce qui ne va pas Cam ?
– Bin, y'a pratiquement que des mecs et les quelques meufs qu'il y a sont toutes maquées.
– Elles vont arriver, tu sais bien que les meufs ne sont jamais pressées quand elles conduisent.
C'est vrai, le peu de gazelles présentes, je l'ai remarqué aussi et dans mes observations, j'ai même déjà repéré deux ou trois petits mecs, bien à mon goût dont deux beaux qui ont monté leur tente pas loin de la nôtre.
Le camping continue à se remplir. On décide d'aller se baigner dans la rivière toute proche. Un gars nous a expliqué qu'à quelques centaines de mètres en amont il y avait un trou assez grand où on pouvait plonger et nager. Le hic, a-t-il dit, c'est que c'est naturiste et que les naturistes tiennent à ce que ça le reste.
Cam se marre et répond : Si c'est que ça, on se foutra à poil.
Nos voisins ont entendu qu’on parlait de baignade et, avec notre approbation, nous accompagnent. On trouve facilement de la place et ils sont rosissant en enlevant leur short de bain, on saute tous à l’eau.
À notre habitude, Camille et moi, on fait les cons en essayant de nous couler. Nos collègues sont plus timorés et se contentent de nager. A un moment, on repère le plongeoir idéal, une avancée rocheuse qui surplombe l’eau et au lieu de faire le tour, on escalade en varappe la paroi.
Camille ouvre la voie et ‘’putain le con !’’ je sais qu'il doit trouver des points d’appuis mais il écarte tellement les jambes que je vois son trou rose, ses couilles toutes lisses et sa queue qui pendent mollement. Je détourne le regard parce que, là, l’autre conne commence à durcir.
Il attend que je sois aussi sur la plateforme pour plonger. Un gars du cru nous prévient de plonger sur la droite parce qu'à gauche il y a une pierre qui a déjà causé pas mal d’accidents.
On fait quelques plongeons, de la bronzette et vers dix-huit heures, on décide de rentrer. On a la surprise de voir qu'entre notre tente et celle des gars il y en a une autre au sol et que quatre filles essaient désespérément de la monter. Tels des Zorro modernes, Cam et moi, on s'en charge. Elles ont presque la même que la nôtre alors c'est facile. Je vois Cam qui reluque leurs rondeurs et son short de bain laisse deviner ses envies. Le connaissant comme je le connais, sur les quatre il y en a trois très à son goût et pour ne pas faire de jalouses, il s'occupera aussi de la quatrième.
Vingt heures, on est tous devant la scéne où les organisateurs nous expliquent le déroulement de la semaine, les activités proposées ou possibles moyennant finance mais rien d'exorbitant pour un budget d’étudiants. Et la musique laisse la place aux discours. J'ai faim et Camille aussi. Ce soir ça sera taboulé, saucisson, chips et fruits. On se prend deux demis chacun au bar, pour faire descendre tout ça. Puis on retourne à la fête.
Ça danse, ça boit et ça fume… et pas que du tabac. Le DJ demande des volontaires pour un concours de tee-shirt mouillé. Plusieurs filles grimpent sur l’estrade. Avec Cam on est aux premières loges. Dans un second temps il réclame aussi le même nombre de volontaires masculins.
Avec d’autres, on se porte volontaires. Comme les filles il nous fait passer derrière un rideau où on nous tend à chacun un mini string blanc. Pour nous ça sera le concours des plus jolies fesses. Cam est dépité. Il pensait qu'on allait verser l'eau sur les tee-shirts des filles.
On se retrouve vite tous à poil, à enfiler le string qu'on nous a donné. J'ai un peu du mal à caser tout mon matériel dedans. J'ai pas une queue d'âne, ni des couilles comme des pastèques, mais les quelques (beaux) spécimens qui sont là ont de quoi me mettre en émois. Ça y est tout est rentré.
C'est les filles qui doivent commencer. On assiste au spectacle des coulisses. Et les organisateurs s'en donnent à cœur joie à verser de l'eau sur les tee-shirts.
Plusieurs des gars ont des problèmes pour tout contenir dans le string et on est peu à vraiment nous maitriser. Quoique pour moi c'est plus la queue et le cul du grand blond musclé qui commencent à me faire de l’effet. Et je crois que je fais de l'effet à mon voisin de gauche, celui-ci essaye d’être discret en louchant vers moi et se tripote la queue pour la remettre en place.
Ça y est c'est notre tour. On doit traverser la scène en tournant sur nous-même. Ce sont les filles qui ont fait le concours de tee-shirts mouillés qui sont les juges et il y a un drap entre elles et nous qui cache le haut de notre corps jusqu’au nombril. Elles nous éliminent un à un à l’aveugle et pour finir il reste Cam, le grand blond, le gars à qui j'ai fait de l'effet et moi.
Les jurés ont du mal à nous départager. On nous fait aligner, cul vers elles, et elles viennent palper, caresser, pincer pour certaines et même quelques mains plus curieuses que d'autres viennent voir ce qu'il se passe devant.
Cam et moi on est premier, ex aequo, et le grand blond troisième – nos culs musclés et bien épilés ont fait la différence. D'avoir fait les cons nous aura permis de gagner des tickets de boissons gratuites qu'on s'empresse d'aller consommer avec les autres concurrents. C'est déjà ça.
Finalement le grand blond n'est pas si hétéro que ça et le gars à qui je fais de l'effet pas si gay que ça non plus parce qu'on se retrouve à huit - dont quatre des filles - dans la tente.
Et ce qu'il s'y passe … bin, on peut en faire un film, très, très hot mais surtout, très, très hard et les filles ne sont pas les plus réservées. Elles sont même allées chercher leurs sextoys et d'en voir une enfoncer le sien entre les fesses musclées de Cam me procure un tel plaisir, que le grand blond qui me suce, a failli s'étouffer en recevant ma production lactée. On remet ça plusieurs fois dans la nuit et j'ai même le plaisir de recevoir la manne de Cam qui enfonce sa queue bien au fond de ma bouche en me maintenant la tête alors qu'il jouit.
Certains sont partis au petit matin, d'autres sont restés et après quelques préliminaires plus que poussés on se lève. Après un petit-déjeuner copieux Cam et moi on part courir. C'est complètement crevé qu'on rentre au camping. Un gars de notre âge, est en train de poser une affiche orange fluo. On s'approche pour la lire.
– Salut les mecs, demain on organise la troisième Crad’eau. Ça se passe à quelques kilomètres d’ici.
– Ça consiste en quoi ?
– C'est un concours qui n'en est pas un. Ça commence par une descente en canoë de quelques kilomètres, puis d'un parcours où il y a plusieurs obstacles à franchir et le but est de ne pas se salir, du moins autant que possible, parce qu'il y a de la boue de partout en cas de chute. Et il n'y a jamais eu personne pour le moment à ne pas être revenu crado. Ça se joue par équipe de deux et l'inscription est de 10 euros par duo. Pour ce prix-là il y a un tee-shirt offert et un petit filet garni chacun avec des produits locaux.
– Ça te dit de le faire, Cam ?
– Grave, et toi, Yo ?
– On va s'éclater mec.
– À demain alors. N'hésitez pas à en parler à vos potes.
– Ça sera fait.
Après une bonne douche et un repas - plus que déséquilibré - on veut faire la sieste mais une des meufs de la veille vient nous voir avec une autre idée en tête - on fera la sieste après.
Cette fille je l'aurais embrassé et baisé autant qu'elle aurait voulu parce que ça m'a permis de bouffer le cul de Cam et d'y enfiler un doigt sans qu'il me repousse la main comme il fait d'habitude puis, à la suite de changements de positions, de le sucer en jouant de deux doits avec sa prostate. Il jouit tellement fort qu'il ne repose plus que sur sa tête et ses talons. Et je ne peux avaler tout ce qu'il a produit. La meuf jouit en même temps que lui. Il n'y a que moi à avoir la queue raide et baveuse. Je ne sais pas comment elle s'y est prise mais de voir ma queue s'enfoncer dans la bouche de Cam a failli me faire jouir direct. Heureusement que la gourmande le remplace. Cam cherche quelque chose et je le vois ouvrir une dosette de lubrifiant. Il cherche ma prostate qu'il trouve et joue avec. Il y met même deux doigts. Et ils me sucent à tour de rôle. Et quand j'envoie la sauce autant lui que la meuf en prennent plein la tête.
Comme la veille, à vingt heures, les organisateurs nous font un compte rendu de la journée et des activités du lendemain. Il parle de la crad’eau. Et on est pas mal à s’inscrire pour le lendemain.
Donc le jour J - ou le D Day en anglais - Cam et moi on se prépare. On a décidé de nous saper en beaux gosses sexy. On ne va pas avoir de problème, question physique, LOL. On est vite d'accord sur le short. On met chacun un même short d’athlétisme, vous savez ces mini shorts avec slip intégré et échancrés haut sur les côtés, vous voyez de quoi je veux parler ? Le mien est jaune fluo et celui de Cam, orange fluo. On enfile ensuite un marcel blanc très moulant et les filles, qui sont venues voir si on était prêt, nous ceignent la tête avec un bandana rouge pour moi et blanc, pour Cam. Elles en profitent un peu pour nous tripoter et nos shorts ne cachent plus grand chose de nos anatomies respectives en sortant de la tente.
Finalement on est une bonne vingtaine d'équipes à participer.
La première partie en canoé est plus que facile. Puis on nous montre le parcours et les mares de boue où on ne doit pas tomber. En fait le crad'eau est une espèce de parcours du combattant ludique. Les premiers candidats passent et c'est la franche rigolade. Tout a été fait pour qu'on tombe. C'est notre tour. On est jugé sur la propreté au bout des dix premiers obstacles parce qu'après on est obligé de se saloper, c’est carrément le parcours du combattant. Cam et moi on est (presque) toujours nickel au passage du dixième obstacle.
Puis c'est la grosse rigolade parce qu'on fait tous exprès de se rouler dans la fange. On fait des boules de ‘’gadoue’’ et on se bombarde avec. À l'arrivée on en a de partout, j’en ai même entre les fesses. Heureusement que juste à côté il y a la rivière. Les garçons d'un côté, les filles de l’autre. Avec Cam on fait simple. On se fout à poil et, nos fringues à la main, on s’avance dans l’eau jusqu’à la taille pour commence à se laver. L'eau claire vire instantanément au trouble puis devient opaque et marron foncé, au fur et à mesure que les gens arrivent.
– Cam, c’est vachement collant. Tu peux m'aider et enlever la boue que j'ai dans le dos ?
– Tourne-toi. Tu me le feras, après.
Il se sert de son short comme un gant de toilette et descend tout au long de mon dos. Le trou d’eau n'est pas très large. On est serré et je sens la queue de Cam qui frôle mes fesses. Cam arrive à mon popotin qu'il nettoie aussi bien que mon dos. Il s'enhardit même à nettoyer entre mes rondeurs, avec insistance. Je bande comme un âne en rut.
– À mon tour maintenant.
– Tourne-toi.
Et cette fois, c'est lui qui sent ma queue raide contre ses fesses. Tout aussi consciencieusement que lui, je lui nettoie le dos, les fesses et entre les fesses comme il me l'a fait. Le temps de débander on lave aussi nos tee-shirts et nos shorts - shorts qu'on renfile sur la berge. Petit à petit la rivière se vide et retrouve sa clarté.
On a gagné, bien sûr ! Pour Cam et moi, un gros panier garni chacun plein de bonnes choses locales ainsi qu'une belle médaille... en chocolat.
On finit notre semaine au camping où on partage notre temps en sexe, sport et rigolade.
La dernière nuit je l'ai passée entre les bras de Cam, en tête à tête. On n'a pas fait grand-chose entre nous. Du touche pipi diraient certains. Mais ça nous a suffi. Et pour la première fois, à ma plus grande surprise, Cam m'a roulé des pelles d’enfer, faisant de moi l'homme le plus heureux du monde. Et juste avant de nous endormir, il m'a dit :
– Je sais déjà que tu suces mieux que toutes les meufs qui me l'ont fait et tu m’as fait découvrir de nouvelles sensations .. et sentiments. Bientôt je voudrais savoir, si tu es d’accord, si ton cul est plus serré que le vagin d'une meuf.
…
Donc, depuis quinze jours, c’est la fête à la maison ...
Ah oui, encore une chose, la photo, ce n’est ni Cam, ni moi. On est bien plus mignon, sans vouloir dénigrer le gars en photo.
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