12-08-2020, 08:51 PM
Dernier jour - 30 juin 2020 (5)
Tous suivirent Patrice pour se rentre au spa privatif où un homme d’une trentaine d’années les accueillit, il était vêtu d’un tee-shirt blanc avec le sigle de l’hôtel sur la poche, un oiseau stylisé, et de pantalons assortis. Ses biceps impressionnèrent Patrice, il avait encore du travail à accomplir pour lui ressembler.
— Je m’appelle Jeremy, dit-il, et je vais vous expliquer le fonctionnement du spa. Ici vous pourrez vous asseoir et consommer les boissons que je vous servirai au bar, de l’autre côté de la porte vitrée nous avons la zone humide avec les douches, le bain de vapeur et le sauna, réglé à 60 degrés, c’est préférable pour les personnes qui n’ont pas l’habitude. Dans le coin il y a un petit vestiaire où vous pourrez vous changer et mettre un peignoir. N’y allez pas plus de quatre à la fois afin de garder les distances. Vous trouverez également des toilettes. Je pourrais aussi vous faire des massages, mais je pense que vous n’avez pas le temps. Il y a des serviettes dans la zone humide. Avez-vous des questions ?
Tout était clair. Patrice observa l’architecture du spa, d’inspiration japonaise. Au fond, il y avait deux parois translucides, éclairées en blanc, qui entouraient un petit jardin avec des bonsaïs et une fontaine.
Personne ne se dirigea spontanément vers le vestiaire, Adelin prit l’initiative. Patrice, Cosme et son metteur en scène, Olivier, le suivirent. Patrice hésita au moment de baisser son boxer.
— J’aurais dû vous dire de prendre un maillot de bain, dit-il, je n’y ai pas pensé.
— Je ne vais jamais dans les saunas où l’on ne peut pas être nu, fit Olivier. Mais tu peux laisser ton boxer, ça m’est bien égal.
— Non, dit Adelin en baissant le sous-vêtement de son ami, ce n’est pas hygiénique. Ce que tu peux être timide, il faudra te soigner.
Patrice dut une nouvelle fois expliquer pourquoi il avait un pansement sur le frein. Il le cacha sous un peignoir, également blanc avec le sigle de l’hôtel. Jeremy leur expliqua ensuite qu’ils étaient en vente à la réception et qu’ils étaient neufs, alors que ceux qu’on volait étaient usagés et aussi facturés.
Sacha, Raphaël et Jibran se changèrent et Patrice regretta de ne pas être avec eux, mais le vestiaire était fermé par une porte. On laissa Djibril et son amie seuls, finalement ce furent les sœurs et l’amie qui revinrent en peignoir.
Le masseur avait disposé des assiettes de blinis au caviar et d’autres amuse-bouches. Il servit le champagne. Raphaël prit la parole :
— Messieurs, Mesdames aussi, mais c’est surtout aux messieurs qui ont séjourné à l’hôpital que je m’adresse, je désire vous remercier d’avoir participé à cette étude, d’avoir suivi mes instructions à la lettre, même si elles pouvaient vous paraître étonnantes, d’avoir supporté mon langage grossier et militaire, vous pouvez être fiers de vous. Je remercie également Patrice et son père pour cette aimable invitation. Je désire lui offrir un petit cadeau, Adelin m’a conseillé.
Tout le monde applaudit et Patrice reçut son cadeau. Adelin lui demanda de l’ouvrir immédiatement, c’étaient deux livres : La bible du sexe gay et Le massage érotique du pénis.
— Je suis confus, balbutia Patrice en montrant les bouquins à l’assemblée, je ne m’y attendais pas, merci beaucoup.
— À votre santé ! ajouta Raphaël, espérons en l’avenir, cette épidémie ne sera bientôt qu’un mauvais souvenir.
— On pourra enfin de nouveau s’occuper du réchauffement climatique, fit Chloé.
Tout le monde trinqua. Patrice voulait proposer à Raphaël de tenir sa promesse, mais ses sœurs l’accaparèrent.
— Viens avec nous au sauna, fit Ambre, on ne t’a pas vu pendant un mois, on s’est ennuyées de toi. Tu nous le laisses un moment, Adelin ?
— Non, je viens avec, je dois le surveiller.
Ils passèrent dans la zone humide, les trois filles se douchèrent ensemble dans une cabine, les deux garçons dans une autre avant d’entrer dans le sauna.
— Pose une serviette avant de t’asseoir, dit Adelin.
— Je pensais la garder autour de la taille, répondit Patrice.
— Tu as encore beaucoup à apprendre dans le grand monde. C’est la première fois que tu es au sauna ?
— Oui.
Les filles les rejoignirent. Ils étaient assez serrés, les soeurs demandèrent à leur frère de s’asseoir à l’étage supérieur entre les deux, alors que Jade et Adelin se trouvaient plus bas.
— Qu’est-ce que tu as au zizi ? demanda Chloé. Tu t’es fait couper le prépuce à l’hôpital ? Tu aurais pu le dire à papa.
— Non, ce n’est qu’un piercing.
— Intéressant, tu nous le montres ?
— Je vais m’en occuper, dit Adelin, il faut être très prudent, c’est tout frais.
Adelin enleva délicatement le pansement, vérifia qu’il n’y avait pas d’enflure et que le prépuce coulissait toujours bien.
— Tu vois, dit Ambre, c’est comme ça des zizis d’hommes.
— J’en avais déjà vus en photo sur internet, fit Chloé, on est en 2020. Ça m’étonne que tu ne sois pas sensible à ces organes.
— Bah, nos deux lascars ne sont pas sensibles à nos foufounes.
Ce n’était pas tout à fait exact, Patrice regardait les filles attentivement, en particulier Jade qui était rasée et qui semblait aussi avoir un bijou sur le clitoris.
— Oui, dit-elle, je me suis aussi fait trouer le capuchon, peut-être qu’Ambre se décidera, maintenant qu’elle a vu que son frère en a un.
Patrice était mal à l’aise, il se demanda si ce n’était pas la chaleur, mais celle-ci était supportable. C’étaient plutôt les manipulations de son ami qui avaient réveillé son membre.
— Oh ! Shocking ! fit Jade.
— Désolé, dit Patrice en rougissant.
— Mais non, je plaisante. Tu sais, même si je suis lesbienne, j’aime bien voir un homme bander comme tu as bien aimé me mater. Les frontières sont floues.
— J’arrête, dit Adelin, c’était juste pour te chauffer. Garde des réserves pour tout à l’heure.
— Pourquoi ? Que va-t-il se passer ?
— Tu ne vas quand même pas laisser Raphaël se branler tout seul. Tes soeurettes t’ont vu bander, tu n’as plus aucune appréhension à avoir. Sois zen !
Tous suivirent Patrice pour se rentre au spa privatif où un homme d’une trentaine d’années les accueillit, il était vêtu d’un tee-shirt blanc avec le sigle de l’hôtel sur la poche, un oiseau stylisé, et de pantalons assortis. Ses biceps impressionnèrent Patrice, il avait encore du travail à accomplir pour lui ressembler.
— Je m’appelle Jeremy, dit-il, et je vais vous expliquer le fonctionnement du spa. Ici vous pourrez vous asseoir et consommer les boissons que je vous servirai au bar, de l’autre côté de la porte vitrée nous avons la zone humide avec les douches, le bain de vapeur et le sauna, réglé à 60 degrés, c’est préférable pour les personnes qui n’ont pas l’habitude. Dans le coin il y a un petit vestiaire où vous pourrez vous changer et mettre un peignoir. N’y allez pas plus de quatre à la fois afin de garder les distances. Vous trouverez également des toilettes. Je pourrais aussi vous faire des massages, mais je pense que vous n’avez pas le temps. Il y a des serviettes dans la zone humide. Avez-vous des questions ?
Tout était clair. Patrice observa l’architecture du spa, d’inspiration japonaise. Au fond, il y avait deux parois translucides, éclairées en blanc, qui entouraient un petit jardin avec des bonsaïs et une fontaine.
Personne ne se dirigea spontanément vers le vestiaire, Adelin prit l’initiative. Patrice, Cosme et son metteur en scène, Olivier, le suivirent. Patrice hésita au moment de baisser son boxer.
— J’aurais dû vous dire de prendre un maillot de bain, dit-il, je n’y ai pas pensé.
— Je ne vais jamais dans les saunas où l’on ne peut pas être nu, fit Olivier. Mais tu peux laisser ton boxer, ça m’est bien égal.
— Non, dit Adelin en baissant le sous-vêtement de son ami, ce n’est pas hygiénique. Ce que tu peux être timide, il faudra te soigner.
Patrice dut une nouvelle fois expliquer pourquoi il avait un pansement sur le frein. Il le cacha sous un peignoir, également blanc avec le sigle de l’hôtel. Jeremy leur expliqua ensuite qu’ils étaient en vente à la réception et qu’ils étaient neufs, alors que ceux qu’on volait étaient usagés et aussi facturés.
Sacha, Raphaël et Jibran se changèrent et Patrice regretta de ne pas être avec eux, mais le vestiaire était fermé par une porte. On laissa Djibril et son amie seuls, finalement ce furent les sœurs et l’amie qui revinrent en peignoir.
Le masseur avait disposé des assiettes de blinis au caviar et d’autres amuse-bouches. Il servit le champagne. Raphaël prit la parole :
— Messieurs, Mesdames aussi, mais c’est surtout aux messieurs qui ont séjourné à l’hôpital que je m’adresse, je désire vous remercier d’avoir participé à cette étude, d’avoir suivi mes instructions à la lettre, même si elles pouvaient vous paraître étonnantes, d’avoir supporté mon langage grossier et militaire, vous pouvez être fiers de vous. Je remercie également Patrice et son père pour cette aimable invitation. Je désire lui offrir un petit cadeau, Adelin m’a conseillé.
Tout le monde applaudit et Patrice reçut son cadeau. Adelin lui demanda de l’ouvrir immédiatement, c’étaient deux livres : La bible du sexe gay et Le massage érotique du pénis.
— Je suis confus, balbutia Patrice en montrant les bouquins à l’assemblée, je ne m’y attendais pas, merci beaucoup.
— À votre santé ! ajouta Raphaël, espérons en l’avenir, cette épidémie ne sera bientôt qu’un mauvais souvenir.
— On pourra enfin de nouveau s’occuper du réchauffement climatique, fit Chloé.
Tout le monde trinqua. Patrice voulait proposer à Raphaël de tenir sa promesse, mais ses sœurs l’accaparèrent.
— Viens avec nous au sauna, fit Ambre, on ne t’a pas vu pendant un mois, on s’est ennuyées de toi. Tu nous le laisses un moment, Adelin ?
— Non, je viens avec, je dois le surveiller.
Ils passèrent dans la zone humide, les trois filles se douchèrent ensemble dans une cabine, les deux garçons dans une autre avant d’entrer dans le sauna.
— Pose une serviette avant de t’asseoir, dit Adelin.
— Je pensais la garder autour de la taille, répondit Patrice.
— Tu as encore beaucoup à apprendre dans le grand monde. C’est la première fois que tu es au sauna ?
— Oui.
Les filles les rejoignirent. Ils étaient assez serrés, les soeurs demandèrent à leur frère de s’asseoir à l’étage supérieur entre les deux, alors que Jade et Adelin se trouvaient plus bas.
— Qu’est-ce que tu as au zizi ? demanda Chloé. Tu t’es fait couper le prépuce à l’hôpital ? Tu aurais pu le dire à papa.
— Non, ce n’est qu’un piercing.
— Intéressant, tu nous le montres ?
— Je vais m’en occuper, dit Adelin, il faut être très prudent, c’est tout frais.
Adelin enleva délicatement le pansement, vérifia qu’il n’y avait pas d’enflure et que le prépuce coulissait toujours bien.
— Tu vois, dit Ambre, c’est comme ça des zizis d’hommes.
— J’en avais déjà vus en photo sur internet, fit Chloé, on est en 2020. Ça m’étonne que tu ne sois pas sensible à ces organes.
— Bah, nos deux lascars ne sont pas sensibles à nos foufounes.
Ce n’était pas tout à fait exact, Patrice regardait les filles attentivement, en particulier Jade qui était rasée et qui semblait aussi avoir un bijou sur le clitoris.
— Oui, dit-elle, je me suis aussi fait trouer le capuchon, peut-être qu’Ambre se décidera, maintenant qu’elle a vu que son frère en a un.
Patrice était mal à l’aise, il se demanda si ce n’était pas la chaleur, mais celle-ci était supportable. C’étaient plutôt les manipulations de son ami qui avaient réveillé son membre.
— Oh ! Shocking ! fit Jade.
— Désolé, dit Patrice en rougissant.
— Mais non, je plaisante. Tu sais, même si je suis lesbienne, j’aime bien voir un homme bander comme tu as bien aimé me mater. Les frontières sont floues.
— J’arrête, dit Adelin, c’était juste pour te chauffer. Garde des réserves pour tout à l’heure.
— Pourquoi ? Que va-t-il se passer ?
— Tu ne vas quand même pas laisser Raphaël se branler tout seul. Tes soeurettes t’ont vu bander, tu n’as plus aucune appréhension à avoir. Sois zen !
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