Chapitre 2 :
-Machine… ! Truc… ! T’es où ?
Pu…naise... ! Elle débarque chez moi, me fait un petit-déj et s’en va en coup de vent.
Je deviens folle, c’est ça. Où c’est un cauchemar ! Une hallucination ! C’est sûrement cela. Quoi d’autres ?
Je devrais aller porter plainte au commissariat. Je m’y vois « Bonjour, je voudrais porter plainte pour l'intrusion d’une personne chez moi. Elle est apparue et m’a obligé à manger le repas qu’elle à préparer. Non elle n’a pas essayé de m’empoisonner, il était même excellent. Non, elle ne m’a rien volé au contraire, elle a fait apparaître une cafetière et un tabouret et a construit une table de travail et elle s’est évaporée ». C’est sûr que ce soir je dors dans un asile psychiatrique. Je ne sais même pas comment elle s’appelle.
Je ne sais pas ce que j’ai, mais je me sens bien, détendue, je me mets même à chantonner
Je lève les yeux au ciel, qu’est-ce que je raconte ? C’est vrai que la couleur noir ébène de ses cheveux font ressortir ses yeux bleus/verts, et son petit nez retroussé s’harmonise parfaitement avec ses lèvres fines et ses petites fossettes qui s’agrandissent quand elle sourit.
Je me secoue le cocotier Brrr… ! Ça ne va pas dans ta petite tête Madeline, Il faut vraiment que j’aille consulter, voilà que je m’intéresse aux filles maintenant et une en particulier.
Aujourd'hui, je décide d'aller me promener, je me prépare pour l'occasion, j'aurai dû appeler ma meilleure amie, si j'en avais une. D'un naturel très timide et très réservée, je me contentais de peu.
Je discutais avec les vendeuses des magasins, mais ça n'allait jamais plus loin. J'aurais pu prendre un chien, trop contraignant ; un chat, allergique ; un poisson rouge, pas envie ; une plante, pas la main verte.
Donc, une bonne heure plus tard, je suis dehors à flâner dans le parc en face de chez-moi, il est vraiment magnifique et dire que depuis 18 mois que j’habite ici, je ne suis même pas venue m’y promener, étant toujours renfermée sur moi-même à ronger mon frein sur mon passé.
Je m’assois à la terrasse d’une brasserie au parc et commande une salade fraîcheur, en patientant qu’elle arrive, j’observe les gens autour. J’aperçois un groupe qui discutent et s’amusent, je les scrute pour savoir si dans le lot, il n’y en aurait pas un où une avec qui je m’entendrais bien.
^"Une" quelle pensée ridicule.
-Pourquoi ? Ça le serait.
-Hein… !!!
Heureusement que je n’étais pas entrain de boire, j’aurais rejeté la boisson ingurgiter d’effarement, car elle vient d’apparaître, comme ça, assise à côté de moi, en sirotant avec une paille, un liquide à base de glace pilée.
Je fus surprise de son apparition soudaine. Je regarde tout autour, que personne d’autre que moi ne l’ai vue surgir comme ça.
-Mais tu es folle, quelqu’un aurait pu t’apercevoir !
-Et alors ? Ils se frotteront les yeux pour voir s’ils ont bien vu et ensuite ils se diront qu’ils ont dû rêver.
Le serveur arrive avec ma salade.
-La même chose pour moi, s’il vous plaît.
En s’adressant au garçon qui acquiesce avant de repartir préparer la commande, puis à moi.
-Alors pourquoi ça serait ridicule que tu t’intéresses aux filles.
-Est-ce que tu peux arrêter de lire dans mes pensées et de surgir n’importe où et de te volatiliser quand cela te chante. Je n’ai jamais été séduite par les filles avant ton arrivée.
Son machin au poignet se remet à scintiller et elle s’évapore à nouveau.
-Nooonnn ! Reviens tout de suite. Je n’ai pas fini. ^elle m’a encore fait le même coup, je la hais.
-Vous désirez autre chose mademoiselle ?
Me demande le serveur.
-Oui, annulé le plat que ma cop…collègues à commander et apporter moi un café et l’addition s’il vous plaît.
Il interpelle le 2ème serveur.
-Marc, il faut que tu annule la commande que t’a passé l’amie de la dame.
-heu… ! c’est à vous qu’elle à commander quand vous m’avez emmené mon plat.
Devant son air ahuri, je comprends que je suis dans l’embarras et que je passe pour une aliénée.
-Je dois me tromper, la fatigue sans doute, apportez-moi juste l’addition que je rentre me reposer.
-Tout de suite Madame.
Me dit-il avec un sourire moqueur.
Je n’ai plus envie de continuer ma balade et je décide de rentrer chez moi pour oublier cette journée.
Je n’y suis que depuis 10 minutes que la sonnerie de la porte d’entrée retentit. Une personne d’un certain âge se présente.
-Bonjour, je suis la grand-mère de Cécilia.
-Bonjour, qui est Cécilia ?
-C’est moi !
-Machine… ! Truc… ! T’es où ?
Pu…naise... ! Elle débarque chez moi, me fait un petit-déj et s’en va en coup de vent.
Je deviens folle, c’est ça. Où c’est un cauchemar ! Une hallucination ! C’est sûrement cela. Quoi d’autres ?
Je devrais aller porter plainte au commissariat. Je m’y vois « Bonjour, je voudrais porter plainte pour l'intrusion d’une personne chez moi. Elle est apparue et m’a obligé à manger le repas qu’elle à préparer. Non elle n’a pas essayé de m’empoisonner, il était même excellent. Non, elle ne m’a rien volé au contraire, elle a fait apparaître une cafetière et un tabouret et a construit une table de travail et elle s’est évaporée ». C’est sûr que ce soir je dors dans un asile psychiatrique. Je ne sais même pas comment elle s’appelle.
Je ne sais pas ce que j’ai, mais je me sens bien, détendue, je me mets même à chantonner
♡Il en faut peu pour être heureuse, vraiment très peu pour être heureuse. Chassez de votre esprit cette sorcière si jolie…♡
Je lève les yeux au ciel, qu’est-ce que je raconte ? C’est vrai que la couleur noir ébène de ses cheveux font ressortir ses yeux bleus/verts, et son petit nez retroussé s’harmonise parfaitement avec ses lèvres fines et ses petites fossettes qui s’agrandissent quand elle sourit.
Je me secoue le cocotier Brrr… ! Ça ne va pas dans ta petite tête Madeline, Il faut vraiment que j’aille consulter, voilà que je m’intéresse aux filles maintenant et une en particulier.
Aujourd'hui, je décide d'aller me promener, je me prépare pour l'occasion, j'aurai dû appeler ma meilleure amie, si j'en avais une. D'un naturel très timide et très réservée, je me contentais de peu.
Je discutais avec les vendeuses des magasins, mais ça n'allait jamais plus loin. J'aurais pu prendre un chien, trop contraignant ; un chat, allergique ; un poisson rouge, pas envie ; une plante, pas la main verte.
Donc, une bonne heure plus tard, je suis dehors à flâner dans le parc en face de chez-moi, il est vraiment magnifique et dire que depuis 18 mois que j’habite ici, je ne suis même pas venue m’y promener, étant toujours renfermée sur moi-même à ronger mon frein sur mon passé.
Je m’assois à la terrasse d’une brasserie au parc et commande une salade fraîcheur, en patientant qu’elle arrive, j’observe les gens autour. J’aperçois un groupe qui discutent et s’amusent, je les scrute pour savoir si dans le lot, il n’y en aurait pas un où une avec qui je m’entendrais bien.
^"Une" quelle pensée ridicule.
-Pourquoi ? Ça le serait.
-Hein… !!!
Heureusement que je n’étais pas entrain de boire, j’aurais rejeté la boisson ingurgiter d’effarement, car elle vient d’apparaître, comme ça, assise à côté de moi, en sirotant avec une paille, un liquide à base de glace pilée.
Je fus surprise de son apparition soudaine. Je regarde tout autour, que personne d’autre que moi ne l’ai vue surgir comme ça.
-Mais tu es folle, quelqu’un aurait pu t’apercevoir !
-Et alors ? Ils se frotteront les yeux pour voir s’ils ont bien vu et ensuite ils se diront qu’ils ont dû rêver.
Le serveur arrive avec ma salade.
-La même chose pour moi, s’il vous plaît.
En s’adressant au garçon qui acquiesce avant de repartir préparer la commande, puis à moi.
-Alors pourquoi ça serait ridicule que tu t’intéresses aux filles.
-Est-ce que tu peux arrêter de lire dans mes pensées et de surgir n’importe où et de te volatiliser quand cela te chante. Je n’ai jamais été séduite par les filles avant ton arrivée.
Son machin au poignet se remet à scintiller et elle s’évapore à nouveau.
-Nooonnn ! Reviens tout de suite. Je n’ai pas fini. ^elle m’a encore fait le même coup, je la hais.
-Vous désirez autre chose mademoiselle ?
Me demande le serveur.
-Oui, annulé le plat que ma cop…collègues à commander et apporter moi un café et l’addition s’il vous plaît.
Il interpelle le 2ème serveur.
-Marc, il faut que tu annule la commande que t’a passé l’amie de la dame.
-heu… ! c’est à vous qu’elle à commander quand vous m’avez emmené mon plat.
Devant son air ahuri, je comprends que je suis dans l’embarras et que je passe pour une aliénée.
-Je dois me tromper, la fatigue sans doute, apportez-moi juste l’addition que je rentre me reposer.
-Tout de suite Madame.
Me dit-il avec un sourire moqueur.
Je n’ai plus envie de continuer ma balade et je décide de rentrer chez moi pour oublier cette journée.
Je n’y suis que depuis 10 minutes que la sonnerie de la porte d’entrée retentit. Une personne d’un certain âge se présente.
-Bonjour, je suis la grand-mère de Cécilia.
-Bonjour, qui est Cécilia ?
-C’est moi !
Signature pour le sexe féminin
???
Signature pour le sexe masculin
????
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Signature pour le sexe masculin
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