18-09-2022, 10:36 PM
Troisième Liste de mots
-abracadabrantesque
-bicéphale
-réminiscence
-contamination
-mercantile
-grandiloquant
-claquemuré
-électrolyse
-coloquinte
-Zébulon
— Hé, Zébulon, tu fais quoi, cette fin de semaine ? lança le grand Geoffroy, une des stars du basket universitaire.
— Hein ? Mais pourquoi tu m'appelles comme ça ?
— T'as dit l'autre jour que ta mère s'appelait Léa, non ?
— J'vois pas le rapport ! fit Xavier, haussant les épaules d'un air boudeur.
— Eh ben ! Dans la bible, Zébulon est un des fils de Léa, et toc ! Et j'trouve que ça te va bien !
Les autres approuvèrent bruyamment. On était dans les douches, après l'entraînement du vendredi soir.
Xavier savait qu'il serait claquemuré chez lui pendant deux jours : non qu'il fût agoraphobe ni qu'il manquât d'amis, mais décidément, la vie sociale n'était pas son fort.
On se doucha gaiement, et Geoffroy prit Xavier à part :
— Te fâche pas, Zébulon ! J'organise une partouze demain soir, et je manque de bites... J'ai pensé à la tienne : j't'ai pas vu en état de marche, mais j'imagine qu'avec ce que tu te trimballes, là... tu dois faire gueuler, quand tu perfores !
— Mais, mais... bêla Xavier.
— On serait une douzaine, avec des meufs chaud-chaud-chaudes ! T'as pas de copine, toi, hein ? Alors me dit pas que tu vas t'astiquer le concombre jusqu'à te faire bouillir la coloquinte tout seul pendant deux jours !
Le verbe grandiloquent de Geoffroy dut faire sourire Xavier, alors que le mecton poursuivait :
— On pourrait partager une présidence bicéphale...
— Hein ?
— Ma super belle queue, et la super belle tienne !
— Ha !
— Me dis pas que t'es jamais raide !
Xavier était effondré. Autant vous confirmer ce que vous pressentez déjà : cet élégant jeune homme était puceau jusqu'à l'os. Et la perspective de perdre sa vertu dans une telle société le refroidit hautement.
Mais Geoffroy semblait tenir à son idée, qui insista, et même proposa de prendre l'apéro ensemble, afin de « causer »... Xavier refusa, mais devant l'insistance du garçon, il finit par céder... et même de se laisser imposer l'apéro chez lui, entièrement assuré par Geoffroy.
Geoffroy, selon toute apparence, était sûr de lui. Néanmoins, remarqua Xavier, il se chargea à la supérette du coin de deux bouteilles de bulles et d'une de gin...
N'ayant rien contre les unes, ni l'autre, il se contenta d'en sourire in petto. Prudemment, il chopa juste avant de quitter le magasin un beau saucisson sec, au cas où...
C'est que ce garçon, encore qu'il fût gentiment musclé, n'était pas plus résistant que ça aux effets de l'alcool.
Posé contre lui dans son mini canapé — Xavier disposait d'un studio — Geoffroy servit joyeusement les bulles, en attaquant directement son sujet : la bite de Xavier avait toute sa place dans sa « petite réunion » du lendemain...
Comme la chèvre de Monsieur Seguin, Xavier batailla longtemps... mais sans céder. Enfin, et alors que le saucisson (du bon) avait été largement ébréché, Geoffroy lâcha :
— P'tain ! Faut qu'tu la voyes, ma bite, et si t'as pas envie de l'imiter, alors t'es une couille molle ! Mate ça !
Et de se lever pour virer ses chausses, comme son haut, d'ailleurs. Xavier l'avait cent fois vue, cette beauté velue et musclée, dans les vestiaires ! Mais là, on était en privé... et déjà un peu avinés. Bref, il eut un genre de frisson, surtout quand Geoffroy se saisit la bite qui, certes, était de belle ampleur déjà en sa mollesse présente.
Et l'agita sans ardeur certes, mais... assez efficacement pour qu'elle prît une de ces ampleurs... Oh, la belle ampleur !
— Allez, aboule la tienne ! Vu le morcif mou, j'en attends plein la vue !
Xavier sourit... mais il s'avouait un peu pété quand même. Néanmoins, il obtempéra en se déloquant. Il ne bandait pas déjà, mais... la situation était si... Bref, il était sur un genre de nuage certes un peu vacillant, mais il eut encore assez de contrôle de lui-même pour botter en touche :
— T'es vachement poilu, toi !
— Oh ! fit Geoffroy, surpris, oui, oui... T'aimes pas ?
— Si : ça fait super viril, oui ! Tes meufs, elles disent quoi ?
— Surtout que j'en ai trop... là... ou là... J'ai envie de me faire épiler... par électrolyse.
— Moi, je le ferais pas.
— Hein ? Et pourquoi ?
— Les poils, c'est ça qui fait le mec. Les mecs épilés, c'est des pétasses qui s'assument pas !
— Ho ! fit Geoffroy, stupéfait. Mais...
— Moi, j'en ai moins que toi, mais... chuis content de ma touffe.
— Oui... t'as raison... fit mollement un Geoffroy incertain.
— Touche, dit Xavier en prenant la main de Geoffroy pour se la poser sur la touffe.
Un peu pété lui aussi, Geoffroy caressa la gentille fourrure... pour voir la bite de Xavier croitre doucement, mais sûrement. Et il sembla ne savoir que faire, quand le beau chibre se fut posé sur le dessus de sa main...
— T'es sûr que ça fera l'affaire, pour tes p'tits projets ? demanda Xavier en un sourire ironique.
— P'tain, t'es super monté, oui ! Ça va gueuler un max, quand tu vas fourrer ! Oh p'tain ! Je pensais pas que...
— Toi aussi, t'as de la tige de compète !
— Tu crois ? demanda Geoffroy, pas trop sûr de lui. Des fois... elles la trouvent trop épaisse, et...
— Ben... faut voir. Je peux ? demanda Xavier en avançant la main.
Sans attendre de réponse, il se saisit du gros mandrin de Geoffroy, qui soupira. Et même se renversa sur le petit sofa.
Xavier alors se mit à branler doucement le superbe objet, animant son épais prépuce. Geoffroy se mit à ronronner, doucement, d'abord. Mais poussa un petit cri quand il sentit la bouche de Xavier se refermer sur son gland. Trop tard, évidemment, et de toute façon... Xavier faisait ça bien.
Le moment dura gentiment. Et ce ne fut pas Geoffroy qui s'en plaignit ! Enfin, alors que Xavier était remonté à la surface pour respirer un peu, il s'entendit demander :
— Tu me la mets, mon beau bébé ?
— Hein ? Mais non, non !
— Si, si !
— Je fais pas ça, moi !
— Bon ! Loin de moi toute idée mercantile, mais... j'te propose un marché. Si tu me la mets, je viens à ta touze demain.
— Mais... Mais... Mais !... hoqueta Geoffroy. Je suis pas...
— Si : t'es parfaitement en état de me démonter le fion, mon bébé. Et puis... tu seras le premier.
— Aaaah ! Non, non !
— Rassure-toi : y a pas de contamination possible : demain, tu bourres toutes les chattes que tu veux !
— Mais c'est ab... ab...
— Abracadabrantesque ?
— Je... Oui, oui !
— Mais réel. Viens, mon bébé ! Me dis pas que t'as jamais touché un mec, au bahut ?
— Ben...
— Tu vois ! T'as bien des réminiscences, non ? T'façon, pour ce qui est de fourrer, tu t'y connais, non ?
— Oui, mais p'tain... T'es...
— T'occupe pas de ce que je suis, et bourre-moi !
Ce n'était pas là le langage habituel de Xavier, oh nenni !Mais la bonne ration de crémant et l'urgence de la situation avaient ensemble fait tilt en sa fraîche cervelle, et il était désormais prêt à tout, cet enfant-là !
Et Geoffroy bandait si fort qu'il eût été bien en peine de refuser son concours à cet amusant projet...
Que le lecteur ne s'effraye pas dès l'abord ! Xavier, tout niaiseux qu'il était, avait tout de même acquis un petit matériel qui lui avait permis de s'entraîner gentiment. Aussi la bonne dose de gel dont il enduisit le fort vit de Geoffroy suffit-elle à permettre l'ouverture... des négociations.
Certes, il dégusta un peu, au début, Xavier... mais pas question de le faire savoir ! Respirant à fond, il s'efforça de se détendre au maximum et ma foi, il ne fut pas au martyre quand il sentit en lui l'entièreté du beau vit de Geoffroy.
— Ça va, t'es sûr ? demanda doucement iceluy.
— Oui. Commence lentement, et j'te dirai.
Ainsi fut fait. Étrange moment pour ce puceau-là, dont les fantasmes allaient plutôt vers de cachectiques princes charmants aux allures de premiers communiants... et qui se faisait embourber par une solide bestiole poilue et montée comme jamais !
Mais à sa surprise, Geoffroy fut extrêmement précautionneux, et même tendre, ne manquant pas de s'informer de l'état de son patient au cours de l'action.
Xavier ne tarda pas à y trouver son avantage, qui se mit à gémir doucement, puis de plus en plus fort, tandis que les minutes passaient...
Enfin, il exhorta Geoffroy à se lâcher, et ce cosaque-là ne fit pas dans la demi-mesure ! Xavier se mit à bramer comme un hippopotame amoureux, alors que Geoffroy suait de toute part... et la séance dura de beaux quarts d'heure, où Xavier exigea de changer de position moult fois.
Pour terminer sur le dos, avec les naseaux fumants de son baiseur sous le nez. Là, il n'eut pas besoin de demander pour recevoir ce qu'il voulait depuis un temps... Geoffroy l'embrassa à pleine bouche, et avec une furie !
Quand cette force de la nature l'eut bien empli, il feula :
— Fais-moi jouir, bébé, branle-moi comme un fou !
Et Geoffroy de s'exécuter en soufflant encore...
Avachis sur le lit, les mecs soupirèrent un moment, avant que Geoffroy murmurât :
— P'tain... J'y crois pas !
— T'es... génial, Geoffroy... susurra Xavier, génial.
— Oh, ça... je sais pas trop.
— Si tu veux toujours de moi, demain... j'en suis !
— Oui, mais... Mais... Oh, je sais pas quoi dire,là...
— Je toucherai aucun mec, si c'est à ça que tu penses.
— Euh...
— En revanche, hésite pas à me foutre la main au cul, parce que les nanas, moi... connais pas !
— Oh p'tain !... Elles sucent, quand même !
Après la douche, on termina les bulles, et Xavier déclara :
— Tu dors pas ici, hein ? Sinon j'te vide jusqu'à la moelle, et demain tu ressembleras à une serpillière desséchée !
— Fou, ce mec !
— Et tu t’rappelles que demain, je nique des meufs pour la première fois... et sans doute la dernière !
Geoffroy promit que tout irait bien. Sur le pas de la porte, il hésita un instant... mais accepta le baiser vorace que Xavier lui donna, longuement.
Un Xavier qui ne savait plus du tout où il était, après cette soirée totalement invraisemblable ! Et qui se demandait bien ce qui l'attendait, le lendemain soir...
Il passa son samedi à bander... dès qu'il pensait à Geoffroy. Mais aussi à refuser de se toucher... et ce fut, ma foi, fort emprunté qu'il parut chez Geoffroy, qui disposait du bel appartement de ses parents. Comme annoncé, on y était une bonne douzaine.
Pour cause d'efficacité, tout le monde fut prié de se désaper, quand on fut au complet. Les filles applaudirent en voyant leurs futures proies et se jetèrent dessus sans autre préavis... tandis que ces Messieurs sirotaient leur apéro...
Xavier échangea un regard entendu avec Geoffroy quand la Marie-Solange lui happa la bite goulûment... mais la vue de ces mecs se mettant à bander l'incita à bien faire ! On avait à peine entamé le buffet que les filles avaient largement attaqué le dessert...
Et Xavier ne s'en sortait pas si mal, vu qu'il était chevauché par la Sophie-Charlotte... Et ailleurs, on se moquait bien des petits fours...
Ça niquait donc depuis un bon p'tit moment, et avec allégresse, quand il y eut une sorte de coup de tonnerre : une des nanas proposa que les mecs se suçassent :
— C'est vrai, ça ! Ça nous excite à mort, de voir des beaux mecs se pomper la bite !
— Ouiiiii ! hurlèrent les autres filles.
— Allez hop, les mecs !
Il y eut un coup de mou, alors... Les mecs se regardèrent, et les filles insistèrent :
— Allez, les couilles molles ! Qui se lance ?
— Moi, dit calmement Xavier, après avoir lancé un regard à Geoffroy, j'ai jamais fait, alors... je promets rien !
— Ouiii !
Autre moment d'hésitation, où Xavier fit semblant d'hésiter dans le choix de son patient. Pour aller vers un macho de la plus belle eau, pire encore que Geoffroy ! Mais super bien baraqué, et titulaire d'un fort bel objet, qu'il emboucha... non sans avoir fait quelques manières, pour la galerie. Il y alla délicatement, puis sagement... tandis que les filles applaudissaient.
— Les autres ! Les autres ! hurlèrent-elles alors.
Où l'on vit une rousse liane bellement montée s'agenouiller aussi, et y aller sans plus de façons que ça... Enfin, le premier sucé s'y colla aussi ; les filles se contentèrent de ces trois-là avant de se jeter derechef sur ce beau cheptel.
Xavier ne suça point Geoffroy, qu'il regarda à peine durant cette bizarre séquence. Puis il se laissa faire par les minettes, acceptant les compliments pour s'être lancé dans la sucette... La soirée s'acheva donc comme un succès. Au moment où la société se sépara, Xavier souffla à Geoffroy :
— J'ai suggéré à Joël et Martin de rester causer un peu...
Geoffroy comprit tout de suite : c'étaient les deux autres suceurs... Il ne moufta pas et alla même quérir une bouteille de bulles. Tandis que Xavier y alla franco :
— Vous aviez déjà sucé, les mecs ?
— Un petit essai dans une touze, aussi, fit le fin rouquin.
— Moi non, mais tu m'avais super bien chauffé, et j'me suis lancé !
— Alors ?
— Pourrait être pire, nettement ! fit le beau brun. Et toi ?
— Je suis gay, moi... et j'ai envie de recommencer !
C'est ce qu'entendit Geoffroy en rentrant au salon. Immédiatement, Xavier proposa la pipe au champagne, qui ranima ces trois beautés — il n'avait pas choisi les moins bien montés ! Et il réussit à leur rendre forme humaine...
Et dans la foulée, il s'en fit niquer aussi... Au milieu de la nuit, les deux autres s'avouaient bicurieux... et Geoffroy garda Xavier pour son propre usage.
Ce fut un dimanche de rêve, pour Xavier...
— Zébulon, murmura Geoffroy, tu te fous pas de ma gueule, hein ? Est-ce que... tu m'apprendrais des trucs ?
— Si tu m'apprends à pas rater un tir au panier...
— Tu rateras pas le mien, de panier... Zébulon !
-abracadabrantesque
-bicéphale
-réminiscence
-contamination
-mercantile
-grandiloquant
-claquemuré
-électrolyse
-coloquinte
-Zébulon
— Hé, Zébulon, tu fais quoi, cette fin de semaine ? lança le grand Geoffroy, une des stars du basket universitaire.
— Hein ? Mais pourquoi tu m'appelles comme ça ?
— T'as dit l'autre jour que ta mère s'appelait Léa, non ?
— J'vois pas le rapport ! fit Xavier, haussant les épaules d'un air boudeur.
— Eh ben ! Dans la bible, Zébulon est un des fils de Léa, et toc ! Et j'trouve que ça te va bien !
Les autres approuvèrent bruyamment. On était dans les douches, après l'entraînement du vendredi soir.
Xavier savait qu'il serait claquemuré chez lui pendant deux jours : non qu'il fût agoraphobe ni qu'il manquât d'amis, mais décidément, la vie sociale n'était pas son fort.
On se doucha gaiement, et Geoffroy prit Xavier à part :
— Te fâche pas, Zébulon ! J'organise une partouze demain soir, et je manque de bites... J'ai pensé à la tienne : j't'ai pas vu en état de marche, mais j'imagine qu'avec ce que tu te trimballes, là... tu dois faire gueuler, quand tu perfores !
— Mais, mais... bêla Xavier.
— On serait une douzaine, avec des meufs chaud-chaud-chaudes ! T'as pas de copine, toi, hein ? Alors me dit pas que tu vas t'astiquer le concombre jusqu'à te faire bouillir la coloquinte tout seul pendant deux jours !
Le verbe grandiloquent de Geoffroy dut faire sourire Xavier, alors que le mecton poursuivait :
— On pourrait partager une présidence bicéphale...
— Hein ?
— Ma super belle queue, et la super belle tienne !
— Ha !
— Me dis pas que t'es jamais raide !
Xavier était effondré. Autant vous confirmer ce que vous pressentez déjà : cet élégant jeune homme était puceau jusqu'à l'os. Et la perspective de perdre sa vertu dans une telle société le refroidit hautement.
Mais Geoffroy semblait tenir à son idée, qui insista, et même proposa de prendre l'apéro ensemble, afin de « causer »... Xavier refusa, mais devant l'insistance du garçon, il finit par céder... et même de se laisser imposer l'apéro chez lui, entièrement assuré par Geoffroy.
Geoffroy, selon toute apparence, était sûr de lui. Néanmoins, remarqua Xavier, il se chargea à la supérette du coin de deux bouteilles de bulles et d'une de gin...
N'ayant rien contre les unes, ni l'autre, il se contenta d'en sourire in petto. Prudemment, il chopa juste avant de quitter le magasin un beau saucisson sec, au cas où...
C'est que ce garçon, encore qu'il fût gentiment musclé, n'était pas plus résistant que ça aux effets de l'alcool.
Posé contre lui dans son mini canapé — Xavier disposait d'un studio — Geoffroy servit joyeusement les bulles, en attaquant directement son sujet : la bite de Xavier avait toute sa place dans sa « petite réunion » du lendemain...
Comme la chèvre de Monsieur Seguin, Xavier batailla longtemps... mais sans céder. Enfin, et alors que le saucisson (du bon) avait été largement ébréché, Geoffroy lâcha :
— P'tain ! Faut qu'tu la voyes, ma bite, et si t'as pas envie de l'imiter, alors t'es une couille molle ! Mate ça !
Et de se lever pour virer ses chausses, comme son haut, d'ailleurs. Xavier l'avait cent fois vue, cette beauté velue et musclée, dans les vestiaires ! Mais là, on était en privé... et déjà un peu avinés. Bref, il eut un genre de frisson, surtout quand Geoffroy se saisit la bite qui, certes, était de belle ampleur déjà en sa mollesse présente.
Et l'agita sans ardeur certes, mais... assez efficacement pour qu'elle prît une de ces ampleurs... Oh, la belle ampleur !
— Allez, aboule la tienne ! Vu le morcif mou, j'en attends plein la vue !
Xavier sourit... mais il s'avouait un peu pété quand même. Néanmoins, il obtempéra en se déloquant. Il ne bandait pas déjà, mais... la situation était si... Bref, il était sur un genre de nuage certes un peu vacillant, mais il eut encore assez de contrôle de lui-même pour botter en touche :
— T'es vachement poilu, toi !
— Oh ! fit Geoffroy, surpris, oui, oui... T'aimes pas ?
— Si : ça fait super viril, oui ! Tes meufs, elles disent quoi ?
— Surtout que j'en ai trop... là... ou là... J'ai envie de me faire épiler... par électrolyse.
— Moi, je le ferais pas.
— Hein ? Et pourquoi ?
— Les poils, c'est ça qui fait le mec. Les mecs épilés, c'est des pétasses qui s'assument pas !
— Ho ! fit Geoffroy, stupéfait. Mais...
— Moi, j'en ai moins que toi, mais... chuis content de ma touffe.
— Oui... t'as raison... fit mollement un Geoffroy incertain.
— Touche, dit Xavier en prenant la main de Geoffroy pour se la poser sur la touffe.
Un peu pété lui aussi, Geoffroy caressa la gentille fourrure... pour voir la bite de Xavier croitre doucement, mais sûrement. Et il sembla ne savoir que faire, quand le beau chibre se fut posé sur le dessus de sa main...
— T'es sûr que ça fera l'affaire, pour tes p'tits projets ? demanda Xavier en un sourire ironique.
— P'tain, t'es super monté, oui ! Ça va gueuler un max, quand tu vas fourrer ! Oh p'tain ! Je pensais pas que...
— Toi aussi, t'as de la tige de compète !
— Tu crois ? demanda Geoffroy, pas trop sûr de lui. Des fois... elles la trouvent trop épaisse, et...
— Ben... faut voir. Je peux ? demanda Xavier en avançant la main.
Sans attendre de réponse, il se saisit du gros mandrin de Geoffroy, qui soupira. Et même se renversa sur le petit sofa.
Xavier alors se mit à branler doucement le superbe objet, animant son épais prépuce. Geoffroy se mit à ronronner, doucement, d'abord. Mais poussa un petit cri quand il sentit la bouche de Xavier se refermer sur son gland. Trop tard, évidemment, et de toute façon... Xavier faisait ça bien.
Le moment dura gentiment. Et ce ne fut pas Geoffroy qui s'en plaignit ! Enfin, alors que Xavier était remonté à la surface pour respirer un peu, il s'entendit demander :
— Tu me la mets, mon beau bébé ?
— Hein ? Mais non, non !
— Si, si !
— Je fais pas ça, moi !
— Bon ! Loin de moi toute idée mercantile, mais... j'te propose un marché. Si tu me la mets, je viens à ta touze demain.
— Mais... Mais... Mais !... hoqueta Geoffroy. Je suis pas...
— Si : t'es parfaitement en état de me démonter le fion, mon bébé. Et puis... tu seras le premier.
— Aaaah ! Non, non !
— Rassure-toi : y a pas de contamination possible : demain, tu bourres toutes les chattes que tu veux !
— Mais c'est ab... ab...
— Abracadabrantesque ?
— Je... Oui, oui !
— Mais réel. Viens, mon bébé ! Me dis pas que t'as jamais touché un mec, au bahut ?
— Ben...
— Tu vois ! T'as bien des réminiscences, non ? T'façon, pour ce qui est de fourrer, tu t'y connais, non ?
— Oui, mais p'tain... T'es...
— T'occupe pas de ce que je suis, et bourre-moi !
Ce n'était pas là le langage habituel de Xavier, oh nenni !Mais la bonne ration de crémant et l'urgence de la situation avaient ensemble fait tilt en sa fraîche cervelle, et il était désormais prêt à tout, cet enfant-là !
Et Geoffroy bandait si fort qu'il eût été bien en peine de refuser son concours à cet amusant projet...
Que le lecteur ne s'effraye pas dès l'abord ! Xavier, tout niaiseux qu'il était, avait tout de même acquis un petit matériel qui lui avait permis de s'entraîner gentiment. Aussi la bonne dose de gel dont il enduisit le fort vit de Geoffroy suffit-elle à permettre l'ouverture... des négociations.
Certes, il dégusta un peu, au début, Xavier... mais pas question de le faire savoir ! Respirant à fond, il s'efforça de se détendre au maximum et ma foi, il ne fut pas au martyre quand il sentit en lui l'entièreté du beau vit de Geoffroy.
— Ça va, t'es sûr ? demanda doucement iceluy.
— Oui. Commence lentement, et j'te dirai.
Ainsi fut fait. Étrange moment pour ce puceau-là, dont les fantasmes allaient plutôt vers de cachectiques princes charmants aux allures de premiers communiants... et qui se faisait embourber par une solide bestiole poilue et montée comme jamais !
Mais à sa surprise, Geoffroy fut extrêmement précautionneux, et même tendre, ne manquant pas de s'informer de l'état de son patient au cours de l'action.
Xavier ne tarda pas à y trouver son avantage, qui se mit à gémir doucement, puis de plus en plus fort, tandis que les minutes passaient...
Enfin, il exhorta Geoffroy à se lâcher, et ce cosaque-là ne fit pas dans la demi-mesure ! Xavier se mit à bramer comme un hippopotame amoureux, alors que Geoffroy suait de toute part... et la séance dura de beaux quarts d'heure, où Xavier exigea de changer de position moult fois.
Pour terminer sur le dos, avec les naseaux fumants de son baiseur sous le nez. Là, il n'eut pas besoin de demander pour recevoir ce qu'il voulait depuis un temps... Geoffroy l'embrassa à pleine bouche, et avec une furie !
Quand cette force de la nature l'eut bien empli, il feula :
— Fais-moi jouir, bébé, branle-moi comme un fou !
Et Geoffroy de s'exécuter en soufflant encore...
Avachis sur le lit, les mecs soupirèrent un moment, avant que Geoffroy murmurât :
— P'tain... J'y crois pas !
— T'es... génial, Geoffroy... susurra Xavier, génial.
— Oh, ça... je sais pas trop.
— Si tu veux toujours de moi, demain... j'en suis !
— Oui, mais... Mais... Oh, je sais pas quoi dire,là...
— Je toucherai aucun mec, si c'est à ça que tu penses.
— Euh...
— En revanche, hésite pas à me foutre la main au cul, parce que les nanas, moi... connais pas !
— Oh p'tain !... Elles sucent, quand même !
Après la douche, on termina les bulles, et Xavier déclara :
— Tu dors pas ici, hein ? Sinon j'te vide jusqu'à la moelle, et demain tu ressembleras à une serpillière desséchée !
— Fou, ce mec !
— Et tu t’rappelles que demain, je nique des meufs pour la première fois... et sans doute la dernière !
Geoffroy promit que tout irait bien. Sur le pas de la porte, il hésita un instant... mais accepta le baiser vorace que Xavier lui donna, longuement.
Un Xavier qui ne savait plus du tout où il était, après cette soirée totalement invraisemblable ! Et qui se demandait bien ce qui l'attendait, le lendemain soir...
Il passa son samedi à bander... dès qu'il pensait à Geoffroy. Mais aussi à refuser de se toucher... et ce fut, ma foi, fort emprunté qu'il parut chez Geoffroy, qui disposait du bel appartement de ses parents. Comme annoncé, on y était une bonne douzaine.
Pour cause d'efficacité, tout le monde fut prié de se désaper, quand on fut au complet. Les filles applaudirent en voyant leurs futures proies et se jetèrent dessus sans autre préavis... tandis que ces Messieurs sirotaient leur apéro...
Xavier échangea un regard entendu avec Geoffroy quand la Marie-Solange lui happa la bite goulûment... mais la vue de ces mecs se mettant à bander l'incita à bien faire ! On avait à peine entamé le buffet que les filles avaient largement attaqué le dessert...
Et Xavier ne s'en sortait pas si mal, vu qu'il était chevauché par la Sophie-Charlotte... Et ailleurs, on se moquait bien des petits fours...
Ça niquait donc depuis un bon p'tit moment, et avec allégresse, quand il y eut une sorte de coup de tonnerre : une des nanas proposa que les mecs se suçassent :
— C'est vrai, ça ! Ça nous excite à mort, de voir des beaux mecs se pomper la bite !
— Ouiiiii ! hurlèrent les autres filles.
— Allez hop, les mecs !
Il y eut un coup de mou, alors... Les mecs se regardèrent, et les filles insistèrent :
— Allez, les couilles molles ! Qui se lance ?
— Moi, dit calmement Xavier, après avoir lancé un regard à Geoffroy, j'ai jamais fait, alors... je promets rien !
— Ouiii !
Autre moment d'hésitation, où Xavier fit semblant d'hésiter dans le choix de son patient. Pour aller vers un macho de la plus belle eau, pire encore que Geoffroy ! Mais super bien baraqué, et titulaire d'un fort bel objet, qu'il emboucha... non sans avoir fait quelques manières, pour la galerie. Il y alla délicatement, puis sagement... tandis que les filles applaudissaient.
— Les autres ! Les autres ! hurlèrent-elles alors.
Où l'on vit une rousse liane bellement montée s'agenouiller aussi, et y aller sans plus de façons que ça... Enfin, le premier sucé s'y colla aussi ; les filles se contentèrent de ces trois-là avant de se jeter derechef sur ce beau cheptel.
Xavier ne suça point Geoffroy, qu'il regarda à peine durant cette bizarre séquence. Puis il se laissa faire par les minettes, acceptant les compliments pour s'être lancé dans la sucette... La soirée s'acheva donc comme un succès. Au moment où la société se sépara, Xavier souffla à Geoffroy :
— J'ai suggéré à Joël et Martin de rester causer un peu...
Geoffroy comprit tout de suite : c'étaient les deux autres suceurs... Il ne moufta pas et alla même quérir une bouteille de bulles. Tandis que Xavier y alla franco :
— Vous aviez déjà sucé, les mecs ?
— Un petit essai dans une touze, aussi, fit le fin rouquin.
— Moi non, mais tu m'avais super bien chauffé, et j'me suis lancé !
— Alors ?
— Pourrait être pire, nettement ! fit le beau brun. Et toi ?
— Je suis gay, moi... et j'ai envie de recommencer !
C'est ce qu'entendit Geoffroy en rentrant au salon. Immédiatement, Xavier proposa la pipe au champagne, qui ranima ces trois beautés — il n'avait pas choisi les moins bien montés ! Et il réussit à leur rendre forme humaine...
Et dans la foulée, il s'en fit niquer aussi... Au milieu de la nuit, les deux autres s'avouaient bicurieux... et Geoffroy garda Xavier pour son propre usage.
Ce fut un dimanche de rêve, pour Xavier...
— Zébulon, murmura Geoffroy, tu te fous pas de ma gueule, hein ? Est-ce que... tu m'apprendrais des trucs ?
— Si tu m'apprends à pas rater un tir au panier...
— Tu rateras pas le mien, de panier... Zébulon !
Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
à chacun son histoire bis (mais ici ce sont des anciennes (g@y-tous styles) ) (slygame.fr)
La "hot" du père Noël ! (GAY-ADO-OS) (slygame.fr)
Piscine...et plaisir aqueux (OS-minet-gay) (slygame.fr)
-La tête dans les étoiles (aquatique)-(fanfiction - gay - humour) (slygame.fr)
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La "hot" du père Noël ! (GAY-ADO-OS) (slygame.fr)
Piscine...et plaisir aqueux (OS-minet-gay) (slygame.fr)
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