13-09-2022, 04:59 PM
Coucou les gens,
Toutes mes excuses pour mon absence.
Je reprends les publications ce jour.
Septième Mercure (ou, Hermès, chez les grecs)
Je suis un fana de brocantes, vide maisons et toutes autres choses du même genre. Pour faire des bonnes affaires je suis souvent au cul des camions dès cinq heures du matin. J'achète de tout et chez moi c’est un bric à brac ou tous les style se mélangent avec harmonie. Mon garage, lui, est un vrai capharnaüm où j’entrepose mes » coup de cœur » en attente de restauration et d’une place dans la maison.
...
Ce matin-là je n'avais pas fait de trouvailles extraordinaires. Une de mes relations me proposa de le suivre à un vide maison à quelques kilomètres de là. Après tout pourquoi pas. On se gara devant une petite maison qui ne payait pas de mine. Ça m'étonnerait que je trouve quelque chose d'intéressant ici…
Finalement je reparti avec un trumeau (Le trumeau est un élément décoratif constitué d’un miroir encadré et surmonté d’un panneau marqueté, sculpté ou peint.) que je pensais mettre dans mon entrée en le transformant en porte manteaux. J'allais avoir du boulot à faire mais je pensai qu’il irait bien au-dessus de la petite console.
Arrivé à la maison je déposais ma trouvaille dans le garage avec tant d’autres et comme ces autres… je l’oubliais. Ce n'est que quelques mois plus tard que je le retrouvais en cherchant un bibelot. Je commençais à mieux le regarder. ‘’Putain mais pourquoi j'ai acheté ça moi ?’’ Je me souvins de l’usage auquel je le destinais.
« Bon, encadrement en état impec, les moulures belles, le miroir d'époque et les planches du fond… vermoulues à souhait. »
Ça tombait bien, je venais de remettre la main sur le pied de biche que je cherchais depuis deux semaines. Je commençai à arracher les planches pourries sans difficulté et en arrivant au niveau du miroir je fis plus délicatement. Là, j'eu la surprise de voir qu'il recouvrait un tableau. Je redoublai d'attention et finalement je finis d'enlever les planches.
J'enlevai les clous retenant le tableau et j'eu la mauvaise surprise de voir qu'il était recouvert d'un enduit gris uni qui s'écaillait, laissant voir quelques traces de peinture blanche ou ocre. ‘’On verra ça un autre jour’’
…
Deux semaines plus tard mon trumeau reposait sur la petite console de l’entrée. Ça avait de la gueule.
Pendant la rénovation, j'avais posé le tableau sur un clou qui dépassait du mur dans le garage. Il avait plu et l'humidité avait fait que l’enduit s'était écaillé un peu plus. Avec une spatule je commençais à enlever délicatement plusieurs morceaux… Du marron, du beige et des nuages, on dirait. Je me demandais bien ce que ça pouvait être comme tableau.
Au bout d’une heure : ‘’Bon allez, je me change et je file à la salle parce que ras le bol d'enlever ces éclats de peinture.’’
‘’La chance, Fred est là !’’
Fred c'est LE beau gosse dans toute sa splendeur, brun, visage harmonieux avec un nez fin et droit, un corps imberbe et musclé que je reluquais honteusement dans les vestiaires, ce qui était fréquent car Fred était assez peu pudique pour ne pas dire exhibitionniste. Il n'était pas rare qu'il se tape une mi-molle alors qu'il prenait sa douche – si pas plus. Et sans chercher à la cachée. Je ne vous parle même pas de ses fesses pommées à souhait qui étaient tout simplement bandantes. Mais ce que j'adorais chez lui c’étaient ses petits pecs ornés de deux petits tétons foncés aux pointes assez développées, de son ventre plat et de ses six packs d’abdos. Ce mec me faisait bander et c'est en fantasmant sur ce qu'on aurait pu faire ensemble que je me branlais la plupart du temps. Pour faire court j'étais en crush complet sur ce mec qui à part un, bonjour, bonsoir, quand on se croisait, ne prêtait pas plus attention que ça à moi. Pourtant, sans me vanter, j'étais plutôt beau gosse. Ce n’est pas moi qui le disait mais mes potes ou mes copines.
Ne vous méprenez pas quand je parle de mes copines, ce sont juste des copines, je ne baisse pas avec, je suis 100% gay et je l’assume. J'avais quelques habitués avec qui baiser mais, fleur bleue que je suis, je cherchai vainement l’amour. Et Fred était dans mes pensées depuis qu’il avait mis les pieds au club de sport.
‘’Assez divagué sur Fred.’’ Je me mis à bosser. Je me fis une bonne séance et c'est couvert de sueur que je retournai aux vestiaires où, bien sûr, Fred était à poil sous la douche. Pour une fois il ne bandouillait pas et son sexe au repos me fit encore plus fantasmer…
Je me vis à genoux devant lui, le prendre en bouche et le sentir grossir pendant que je le suçais. Mmmm !
‘’Merde, ça y est j'ai la gaule !’’
Mon short moulant ne faisant qu'amplifier l'ampleur de mon érection, je filai vite aux toilettes faire passer ça de la seule manière que je connaissais. C'est à dire en me branlant et, bien sûr, fantasmant sur Fred puis je filais me doucher. Mais Fred n’était plus sous l’eau.
La vapeur avait envahie la pièce. Je remarquais que la peinture s'écaillai sur les murs.
‘’Et si je mettais le tableau dans ma salle de bain, ça irait plus vite pour le décaper.’’
Je faisais ça en rentrant.
Au fil des jours l’enduit recouvrant la peinture se décolla peu à peu et je vis apparaître un pied ailé, puis un sceptre, un casque ailé. Et petit à petit le corps magnifique d'un homme nu. Seule la partie du visage ne voulut pas se décoller. J’enrageai. À n'en pas douter il s'agissait d’une représentation du dieu Mercure. Il fallut que j'attende encore huit jours pour découvrir le visage de mon divin bonhomme. Et quelle surprise, à n'en pas douter, c'était celui de Fred. Mais comment était-ce possible ? Ce tableau devait avoir plus de 200 ans. Par curiosité j’effectuai quelques recherches sur le net… où, bien entendu, je ne trouvais rien.
Je recherchais aussi des tutos pour savoir comment nettoyer le vernis de ma toile et, une fois ce travail fini, elle était juste magnifique. Je choisis pour elle une bonne place sur le meilleur mur. C’est-à-dire, juste en face de mon lit. C'était la dernière chose que je voyais en m'endormant et la première que je voyais en me levant, aussi celle que je regardais en me branlant.
Ça faisait trois semaines que la peinture trônait dans ma chambre. Les quelques amants que j'y avais emmenés, l’avaient trouvée magnifique. Mais de faire l'amour avec eux ne me satisfaisait pas autant que quand je me branlais en fantasmant sur mon Mercure/Fred.
Au boulot j'avais fait pas mal d’heures supplémentaires et j'étais en RTT. Je décidais d'aller à la salle où je voulais rattraper mes jours d’absence, il n'y avait personne, pas même le petit jeune qui habituellement était à l’accueil. Il avait dû aller pisser ou se chercher un café au bistrot en face. Le temps de me changer le petit jeune sortait de la buanderie suivie par Fred qui lui colla une claque sur les fesses. Ils me virent et piquèrent un fard. J'entrais dans la salle et je commençais à m’entrainer. Quelques minutes après Fred entra à son tour et s'approcha de moi. Il attendit que je finisse avant de m’aborder.
– Je peux te parler ?
– Oui pas de souci mais si c'est de ce que je viens de voir, vous pouvez être tranquille, je ne suis pas une langue de pute, ce que vous faites ne me regarde pas et encore moins les autres.
– C'est cool de ta part. Merci.
– Tu n'as pas à me dire merci. C'est naturel de se mêler de ses affaires et pas de fourrer son nez dans celles des autres.
À partir de ce jour-là on discutait ensemble en s'entrainant et au hasard d'une sortie en boite, dans une boite gay, je croisais Fred qui était venu lui aussi avec des amis. Il était sur la piste de danse et il avait tombé son tee-shirt. Quelques perles de sueur ruisselaient le long de son corps le rendant encore plus attrayant. Il s'approcha de moi et on commença à danser ensemble. Il frottait son service trois pièces contre le mien et il dut sentir mon érection tout comme je sentis la sienne.
Il me prit par la main et m'entraina vers des fauteuils vide où on s'assit un peu essoufflés et il me questionna.
– Tu es gay ?
– Pourquoi cette question ? Comme si tu ne le savais pas.
– Ce n'est pas parce que tu viens dans une boite gay, qu'on danse ensemble que tu es obligé de l’être. Tu es peut-être simplement open ou tolérant.
– Comme si tu ne m'avais pas senti bander quand on dansait.
– Ça aurait pu être juste physique.
– Bon, puisque tu veux le savoir, oui je suis gay.
– Je vais te mater dans les vestiaires maintenant que je le sais.
– Ça fait un moment que je le fais avec toi.
– J'évite de le faire parce que j'ai l'érection facile.
– Oui j'ai vu ça quand tu te douchais.
– C'est de ta faute. C'est toi qui me fait cet effet.
– Moi ou le petit jeune de la réception.
– C'est vrai qu'il est mignon aussi mais pas tant que toi.
– De toute façon, je te vois à poil tous les jours chez moi.
– Comment ça ? Tu as pris des photos de moi à poil ? Mais c'est dégueulasse.
– Ne t'excite pas. J'ai un tableau dans ma chambre qui représente Mercure et on dirait… Non ! C’est ton portrait.
– Tu déconnes ?
– Si tu veux, on peut aller le voir maintenant.
– Tu m'invites à boire un verre aussi ?
– Bien sûr.
On partit et après avoir bu un verre – très rapidement - je le conduisis à ma chambre où un tonitruant : Bin merde alors ! marqua son étonnement en voyant le tableau.
Il prit la même pause.
– Tu en penses quoi ?
– Disons que si tu avais la même tenue que lui je serais plus à même de juger la ressemblance.
– Si c'est que ça, ce n’est pas un problème… mais je te veux dans la même tenue, question d’équité.
On se déshabilla mutuellement…
et ce n'est que bien plus tard, le lendemain, que je pu faire, enfin, la comparaison visuelle !
Toutes mes excuses pour mon absence.
Je reprends les publications ce jour.
Septième Mercure (ou, Hermès, chez les grecs)
Je suis un fana de brocantes, vide maisons et toutes autres choses du même genre. Pour faire des bonnes affaires je suis souvent au cul des camions dès cinq heures du matin. J'achète de tout et chez moi c’est un bric à brac ou tous les style se mélangent avec harmonie. Mon garage, lui, est un vrai capharnaüm où j’entrepose mes » coup de cœur » en attente de restauration et d’une place dans la maison.
...
Ce matin-là je n'avais pas fait de trouvailles extraordinaires. Une de mes relations me proposa de le suivre à un vide maison à quelques kilomètres de là. Après tout pourquoi pas. On se gara devant une petite maison qui ne payait pas de mine. Ça m'étonnerait que je trouve quelque chose d'intéressant ici…
Finalement je reparti avec un trumeau (Le trumeau est un élément décoratif constitué d’un miroir encadré et surmonté d’un panneau marqueté, sculpté ou peint.) que je pensais mettre dans mon entrée en le transformant en porte manteaux. J'allais avoir du boulot à faire mais je pensai qu’il irait bien au-dessus de la petite console.
Arrivé à la maison je déposais ma trouvaille dans le garage avec tant d’autres et comme ces autres… je l’oubliais. Ce n'est que quelques mois plus tard que je le retrouvais en cherchant un bibelot. Je commençais à mieux le regarder. ‘’Putain mais pourquoi j'ai acheté ça moi ?’’ Je me souvins de l’usage auquel je le destinais.
« Bon, encadrement en état impec, les moulures belles, le miroir d'époque et les planches du fond… vermoulues à souhait. »
Ça tombait bien, je venais de remettre la main sur le pied de biche que je cherchais depuis deux semaines. Je commençai à arracher les planches pourries sans difficulté et en arrivant au niveau du miroir je fis plus délicatement. Là, j'eu la surprise de voir qu'il recouvrait un tableau. Je redoublai d'attention et finalement je finis d'enlever les planches.
J'enlevai les clous retenant le tableau et j'eu la mauvaise surprise de voir qu'il était recouvert d'un enduit gris uni qui s'écaillait, laissant voir quelques traces de peinture blanche ou ocre. ‘’On verra ça un autre jour’’
…
Deux semaines plus tard mon trumeau reposait sur la petite console de l’entrée. Ça avait de la gueule.
Pendant la rénovation, j'avais posé le tableau sur un clou qui dépassait du mur dans le garage. Il avait plu et l'humidité avait fait que l’enduit s'était écaillé un peu plus. Avec une spatule je commençais à enlever délicatement plusieurs morceaux… Du marron, du beige et des nuages, on dirait. Je me demandais bien ce que ça pouvait être comme tableau.
Au bout d’une heure : ‘’Bon allez, je me change et je file à la salle parce que ras le bol d'enlever ces éclats de peinture.’’
‘’La chance, Fred est là !’’
Fred c'est LE beau gosse dans toute sa splendeur, brun, visage harmonieux avec un nez fin et droit, un corps imberbe et musclé que je reluquais honteusement dans les vestiaires, ce qui était fréquent car Fred était assez peu pudique pour ne pas dire exhibitionniste. Il n'était pas rare qu'il se tape une mi-molle alors qu'il prenait sa douche – si pas plus. Et sans chercher à la cachée. Je ne vous parle même pas de ses fesses pommées à souhait qui étaient tout simplement bandantes. Mais ce que j'adorais chez lui c’étaient ses petits pecs ornés de deux petits tétons foncés aux pointes assez développées, de son ventre plat et de ses six packs d’abdos. Ce mec me faisait bander et c'est en fantasmant sur ce qu'on aurait pu faire ensemble que je me branlais la plupart du temps. Pour faire court j'étais en crush complet sur ce mec qui à part un, bonjour, bonsoir, quand on se croisait, ne prêtait pas plus attention que ça à moi. Pourtant, sans me vanter, j'étais plutôt beau gosse. Ce n’est pas moi qui le disait mais mes potes ou mes copines.
Ne vous méprenez pas quand je parle de mes copines, ce sont juste des copines, je ne baisse pas avec, je suis 100% gay et je l’assume. J'avais quelques habitués avec qui baiser mais, fleur bleue que je suis, je cherchai vainement l’amour. Et Fred était dans mes pensées depuis qu’il avait mis les pieds au club de sport.
‘’Assez divagué sur Fred.’’ Je me mis à bosser. Je me fis une bonne séance et c'est couvert de sueur que je retournai aux vestiaires où, bien sûr, Fred était à poil sous la douche. Pour une fois il ne bandouillait pas et son sexe au repos me fit encore plus fantasmer…
Je me vis à genoux devant lui, le prendre en bouche et le sentir grossir pendant que je le suçais. Mmmm !
‘’Merde, ça y est j'ai la gaule !’’
Mon short moulant ne faisant qu'amplifier l'ampleur de mon érection, je filai vite aux toilettes faire passer ça de la seule manière que je connaissais. C'est à dire en me branlant et, bien sûr, fantasmant sur Fred puis je filais me doucher. Mais Fred n’était plus sous l’eau.
La vapeur avait envahie la pièce. Je remarquais que la peinture s'écaillai sur les murs.
‘’Et si je mettais le tableau dans ma salle de bain, ça irait plus vite pour le décaper.’’
Je faisais ça en rentrant.
Au fil des jours l’enduit recouvrant la peinture se décolla peu à peu et je vis apparaître un pied ailé, puis un sceptre, un casque ailé. Et petit à petit le corps magnifique d'un homme nu. Seule la partie du visage ne voulut pas se décoller. J’enrageai. À n'en pas douter il s'agissait d’une représentation du dieu Mercure. Il fallut que j'attende encore huit jours pour découvrir le visage de mon divin bonhomme. Et quelle surprise, à n'en pas douter, c'était celui de Fred. Mais comment était-ce possible ? Ce tableau devait avoir plus de 200 ans. Par curiosité j’effectuai quelques recherches sur le net… où, bien entendu, je ne trouvais rien.
Je recherchais aussi des tutos pour savoir comment nettoyer le vernis de ma toile et, une fois ce travail fini, elle était juste magnifique. Je choisis pour elle une bonne place sur le meilleur mur. C’est-à-dire, juste en face de mon lit. C'était la dernière chose que je voyais en m'endormant et la première que je voyais en me levant, aussi celle que je regardais en me branlant.
Ça faisait trois semaines que la peinture trônait dans ma chambre. Les quelques amants que j'y avais emmenés, l’avaient trouvée magnifique. Mais de faire l'amour avec eux ne me satisfaisait pas autant que quand je me branlais en fantasmant sur mon Mercure/Fred.
Au boulot j'avais fait pas mal d’heures supplémentaires et j'étais en RTT. Je décidais d'aller à la salle où je voulais rattraper mes jours d’absence, il n'y avait personne, pas même le petit jeune qui habituellement était à l’accueil. Il avait dû aller pisser ou se chercher un café au bistrot en face. Le temps de me changer le petit jeune sortait de la buanderie suivie par Fred qui lui colla une claque sur les fesses. Ils me virent et piquèrent un fard. J'entrais dans la salle et je commençais à m’entrainer. Quelques minutes après Fred entra à son tour et s'approcha de moi. Il attendit que je finisse avant de m’aborder.
– Je peux te parler ?
– Oui pas de souci mais si c'est de ce que je viens de voir, vous pouvez être tranquille, je ne suis pas une langue de pute, ce que vous faites ne me regarde pas et encore moins les autres.
– C'est cool de ta part. Merci.
– Tu n'as pas à me dire merci. C'est naturel de se mêler de ses affaires et pas de fourrer son nez dans celles des autres.
À partir de ce jour-là on discutait ensemble en s'entrainant et au hasard d'une sortie en boite, dans une boite gay, je croisais Fred qui était venu lui aussi avec des amis. Il était sur la piste de danse et il avait tombé son tee-shirt. Quelques perles de sueur ruisselaient le long de son corps le rendant encore plus attrayant. Il s'approcha de moi et on commença à danser ensemble. Il frottait son service trois pièces contre le mien et il dut sentir mon érection tout comme je sentis la sienne.
Il me prit par la main et m'entraina vers des fauteuils vide où on s'assit un peu essoufflés et il me questionna.
– Tu es gay ?
– Pourquoi cette question ? Comme si tu ne le savais pas.
– Ce n'est pas parce que tu viens dans une boite gay, qu'on danse ensemble que tu es obligé de l’être. Tu es peut-être simplement open ou tolérant.
– Comme si tu ne m'avais pas senti bander quand on dansait.
– Ça aurait pu être juste physique.
– Bon, puisque tu veux le savoir, oui je suis gay.
– Je vais te mater dans les vestiaires maintenant que je le sais.
– Ça fait un moment que je le fais avec toi.
– J'évite de le faire parce que j'ai l'érection facile.
– Oui j'ai vu ça quand tu te douchais.
– C'est de ta faute. C'est toi qui me fait cet effet.
– Moi ou le petit jeune de la réception.
– C'est vrai qu'il est mignon aussi mais pas tant que toi.
– De toute façon, je te vois à poil tous les jours chez moi.
– Comment ça ? Tu as pris des photos de moi à poil ? Mais c'est dégueulasse.
– Ne t'excite pas. J'ai un tableau dans ma chambre qui représente Mercure et on dirait… Non ! C’est ton portrait.
– Tu déconnes ?
– Si tu veux, on peut aller le voir maintenant.
– Tu m'invites à boire un verre aussi ?
– Bien sûr.
On partit et après avoir bu un verre – très rapidement - je le conduisis à ma chambre où un tonitruant : Bin merde alors ! marqua son étonnement en voyant le tableau.
Il prit la même pause.
– Tu en penses quoi ?
– Disons que si tu avais la même tenue que lui je serais plus à même de juger la ressemblance.
– Si c'est que ça, ce n’est pas un problème… mais je te veux dans la même tenue, question d’équité.
On se déshabilla mutuellement…
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